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LA MALEDICTION DE FONTEVRAULT AVANT-PROPOS “action va se situer en jullet 1900 a Fontevrault dans le Maine-et ‘Loire, & dix sept ilométres au Sud-Est de Seurnur Les personnages vont se trower melés a d'Gtranges évenements se dérou- lant dans la propriété de la Comtesse Sophie d’Arbrssel Mais avant d'entrer dans le vif du sujet, permettez-mot de vous dire que ques mots sur Fontevrault, d'évoquer son passe et de vous conter quelques legendes concernant ce site. HISTOIRE ET LEGENDES DE FONTEVRAULT - ceut-on dire que Fontevrault appar- tient encore au VakdeLoire, ce Vest plus Anjou ni la Touraine et ce lest pas encore tout fait le Poitou. A. vrai de Fontevrault constitue une sorte de no man’s land desert et incuite, une terre sauvage. ‘Au XI sidcle ce n’était qu'une im- mense forét abritant de ferouches br gqnds, on Tappa le fort de «Tran ‘Ces brigands avaient pour chef un certain Evrault et leur campement était situé pres dune fontaine: rapidement ‘cette fontaine fut plus connue sous le rnom de fontaine d'Evraut. La sinistre reputation des bandits ne faisant que croitre, on ne parla bien {ot ps qu de Fonteaut pour ds ane le lieu Cependant gréce 4 un seul homme tout calaallat changer. ‘Mais quel homme ! Ilse nommalt Robert D’Arbrissl et préchait la croisade & Angers: venant de Bretagne et révolté par I'état du clerae, il avait interrompu ses études, brisé se carrere d'ecclésiastique et s'en état alle ire en anachoréte dans la forét de ‘Grace & sa fol et & son éloquence d'Arbrissel groupe autour de iui une foule de trois mille disciples. Et en 1099 & leur tete l se dirigen vers Angers. Penétrant un jour dans la forét de Fontevrault, c'est le plus simplement du ‘monde, s2” fol étant tellement vivace, ‘qu'il convertit le redoutable bandit ainsi ‘que ses complices. ‘Alors, renongant & son projet de croisade, il décida avec Taide de ses ddsciples de créer en pleine forét une ‘communauté relisiause. Un _homme cependant parmi la bande d'Evrault ne fut pas touche par lo grace et vit meme d'un assez mauvais Gil la naissance dun monastére dans Cette fore quill considerait un peu comme son domaine Ilse nommait Francois Le Lowverd, surnom qui lui avait ét@ atiribue du fait aqun grand loup gris le suvalt partout pas & pas. 1 proféra contre le Saint Homme tune malédiction : «Ce que tu viens de faire naitve ici, un jour sera détrut par tun de tes descendants et les huttes de Dieu, dit, désignant les premieres ca- Danes que les fidéles du bon ermite étaient en train d’difier, seront rempla- cées par le Palais du Diable.r Puis, le loup toujours sur ses talons, uta diner ert Fone: Les villas gens disent encore que le jour 08 Ton verra un homme accom- ppagné d'un loup hanter la foret, la ‘malédiction de Fontevrault ne sera pas loin de s‘accomplr tuatre monasteres furent érigés Je plus grand pour les femmes le grant Moutier, un autre pour les hom ‘hes : Saint Jean de Habit, un troisieme Ordre fut supprime en 1790 et _pe fut pas rétabl Des immenses batiments de lan denne Abbaye, il restat en 1900 Teglse du Grand Moutier, edifice & cou- pole du Xil™ siécie, converte en prison ‘depuis 1804 par décret de Napoleon, le cloitre romain, a salle capitulsire” et les caisines. (° salle capitulaire - leu oi se tient un chapitre de chanoines ou de reigieus) F ontevrauit est également un lieu propice aux légendes. L'une des ‘ps sinistros fait alusion @ un Prince de haute lignée amoureux d'une nonne aux yeux magnifiques. Collec etant clotrée & Fontevrault ‘Cependant le jeune gentihomme par un hablle stratagéme, lui fit parvenir lin billet la supplant de iui accorder un rendez-vous, car disaitil: Ses beaux yeux le faisaient mourir» agi? nome esta, puis hit par Rendez-vous fut fixe dans la foret. Le solr venu, le Prince vit venir lu un re torrifiant, les orbites ensanglan- tes, qui lui offrit sur un plateau d'argent ses doux yeux. Une voix plaintive murmura : «Te: rez Messsire, l'objet de vos désirs, pre- nerles et quil préserve mon honneur.» Bien entendu on raconte depuis que parfois le fantéme de la nonne senglante hante les halliers. ‘Au loin une plainte s'éleve. Extce lamoureux éconduit cla- mant sa détresse sous la lune pale ou implement le chant d'un olseau noe: fume... je laisse au lecteur le soin de cholsi. Bay sinc foie a Henri Il d’Angleterre, une bien ae Sa ce ated pn FE Maes ou 9 et ee Serer at Philippe Auguste. Le sort des armes lui ‘tant défavorable, il dut rendre les villes pied oh I dut égalerrent signer le taité de la Colombire est & ce moment la quil apprit vec stupélaction et pour comble de malheur que son fils préféré, Richard Coeur de Lion pectisait avec Ses enne- Le coup ht it fatal Peu de temps aprés, le 6 jullet 1189 exactement Henri Ii mourait en ‘maudissant son fil Richard ‘Une siatue du roi Henri I, sous forme de gisant, e trouve dans le pare de la Comtesse Scphie d' Arbrissel, cette statue a la réputation de verser des lar- ‘mes de sang tous les 6 jullet a Pheure cexacte de la mort du ral (On dit également que la statue a fexactement la mime réaction chaque fois qu'un hote particullérement indést- rable réside en la demeure NOTE POUR LE MENEUR DE JEU T ns, bert ps scree ges de différentes fagons. 1- En ce qui concere lermite Robert dArbrissel et histoire de Tabbaye de Fontevrault: dans un ouvrage intitulé ‘Wie de Robert dArorisseh; & noter que cet ouvrage ne mentionne pas lalegende concernant Le Loward. Ce live se trouve dans la bibiothé ue de la Comtesse (On peut également en trower un ‘exemplaire@ la Bibliotheque de Saumur, 2+ En ce qui conceme la légende du Lowvard et celle de la nonne sanglante cles sont citées dans un autre owrage intitule sLegendes du Val de Loire.» cet ‘ouvrage se trowe également dans la bibictheque de la Comtesse 3 Quelques vielles personnes de la région peuvent également en parler, 8 EGZFee™ {jaBe Bis a Comtese Sophie 24 PROT OGUE LES HABITANTS Pate lomies se Botet destin DE LA MAISON de la fondation de Vabbave, car Vermite est son ancdtre et elle en est trés fitre } Par contre ce nest quavec rét- 1- LA COMTESSE cence qu'elle aborde la lagende de Lou- | vard. Etant impressionnable elle prétére LE LIEU - SOPHIE D'ARBRISSEL | he pas evoquer ce sujet. 2 decreas eae contest kh naitieeeeeee & Pour ce qui est: car | statue de Henri —_— es Vou ee = ry ‘aucun ouvrage ne la mentionne, mais Jewve, ele se maria en 1854 avec Restores la Comtesse, la vieille cui- . 2) 2S ee ee ese aste demeure assez isoke se si- union naqut un fs. LausXaver de en font pas mystére. tuant en pleine forét trois kilo Trébizonde, né 8 Parisen 1857.0 eee ant, pis jeune et Tres du Grand Moutior de Fontewrult Le mari de le Comtesse it ue & demi iter Gepencent Pus eune et Gta ensron dx sept Klométres de Metz en 1870, crnt ke ste del ile ee Seumar Relusant de se rendre male a capil propre et eteurte din onde Basins mount siete doses pare comme ‘A une cenaine de métres de Tr état Colonel dun régiment de called une baraque avec remise servant curassiers | de eu dhabitation aa arcnir ‘Cet un destin tragiaue que coh | Egalement proche du batiment de la famille de la Comtesse. principal, une écurie avec remise. Aprés avoir perdu son mari en Dans le pare, mais aster acignée 1870, ele de la demeure, la statue de gisant repré- Xavier, so sentant Hens I petit file Agnés décedés le méme jour au cours d'un naufrage le 15 septembre 1897. LLouis-Xavier exercant la profession ingénieur, se rendait en Angleterre pour afaire, sa femme et safle Agee de {quatorze ans Taccompagnaient. Ils embarquorent & Dieppe & bord du -Vuleains. Colu-ci ne devalt jamais parvenir 8 bon port, il ft naufrage au ge. Détall“tacique, c'était Tanniver- saire de la petite Agnes. Malaré cet affreux malheur, la Comtesse étant profondément chré- fienne fit face & adversité avec beau- ‘coup de courage. ‘Ayant regagné Fontevrault en 70 & la mort de son mart, avec Taide de ses serviteurs, elle organisa la vie de tous les jours au domaine Elle s‘occupa de bonne couwres, puis la vie reprenant ses droits recom: menga a recevoir des amis. Son frére, ancien président au Tribunal d’Angers, venait également souvent hui rendre visite. Ceest toujours avec un vif plaisir ue la. Comtesse le recevait Copendant une petite chose la chagrinait, son ere était un fervent adepte du spirtisme et en fervente ca- tholique, Sophie d'Arbrissel reprouvait ce genre de pratique 2- EULALIE MAGRET We a cinguante ans, elle est au service de la Comtesse depuis twente ans, Cest une cuisinigre hors pair un veritable cordon ble. Elle est ertiérement dévouée Madame la Contesse, catholique tres Dratiquante, méme un peu supersti- Elle est parfaitement heureuse a Fontevraut. Bien str, elle se dispute perpétue!- lement avec le jardinier, le viel Alber, dit ‘Pissenlite, car celui s'adonne beau- coup trop 4 la beisson. Mais finalement ‘cela met un peu de piment dans sa vie, ui, sans celarisquerait d'etre parfois monotone, En fin de compte, Eulalie aime bien Pissenlit malgré son penchant pour la boutelle 3- LE VIEIL ALBERT DIT PISSENLIT 1a soixante quatre ans, est jardinier chez la Comtesse depuis déja de ‘ombreuses années, ‘Avant d'etre jardinior, il était un eu breconnier. travailant aussi a la ‘ache dans les fermes du votsinage. La Comtesse charitablement Ta pris & son service, car son pour la boutelle iui interdsait tout em- pi stable. Dans la région on le considére ‘comme un etre un peu simplet Et Ion a tort En fait contrairement & ce que fon croit, Pissenlit n'est pas frustre, il i arrive souvent de feindre d'étre ivre pour renforcer cette image que les autres ont de hi, En effet tant que les gens des ‘alentours simagineront quil n'est qu'un pauwre niais alcooligue, ils ne cherche- ront pas a en savoir pls. Or, Pissenlit ost un sorcier, un sorcier blanc plus précisément et meme il n'est pas investi des powoirs d'un grand Maitre en cet art, il en connait Suffsmment pour savoir quil faut tre vigilant. Car Pissenlt a peur que le mal revignne sur la région, il est au courant dde la maléiction du Louvard et prend la chose tres au sérieux, De plus il aime bien la Comtesse et ne voudrait pas qu'il lui arrive malheur ‘Alors tout en tondant la pelouse ou en tallant les massifs de roses, Pssenlit fest sur ses gardes, observant tout, éplant le moindre fait insolite, pret intervenir au moindre signe avant coureur du re- tour du »MALIN: 4 - SIMON FRELEZEAUX ingt cing ans - né & Paris, en a Vv daileurs Taccent, ces le fils d'un ayant servi sous les ordres de feu Louis-Gonzague de Trébizonde, ex-mari de la Comtesse, Ia un cOte trés «Tite parisien, un peu voyou aussi, mais rien de bien méchant ‘On pourrait cependant imaginer ‘quill a quite la capiiale depuis un an pour ve faire oubller, c'est en effet de ‘puis un an seulement qu'il travaile chez ‘2 Comtesse Ul s'ennue dans ce strous de pro- vince et ne réve que de retourner 4 Pars UI considére qu’Eulaie et Pisseniit rhe sont que des ploucs. I Iul arrive cependant dalle & la bane dece demir pour bore un coup Ia rien d'un serviteur mode, est m&me un cocher assez médiocre Si la Comtesse le garde, on peut penser que c'est uniquement parce que est le fils d'un des soldats de son mari. NOTE POUR LE MENEUR DE JEU Bn eerie @5 (personnages non paiePNd), sox estngs 8. vote ‘usage persosne. Le caractre ot le passé de chacan re seront conus des joveurs que qual vous ls animerez et au cours du dérou Jement de action. I serait bien entondu catastrophi- «que par exemple de réwéler aux joueurs aque Pissenit est un sorcier. Cest exactement comme sl au début d'un roman polcier le nom de Tassassn etait devo ‘Au cours de parties précédentes nous nous sommes apergus gl powait atre extrémemen: interessant de faire jouer les persornages (Pissenit, La Comtesse ete.) rar d'auttes personnes aque le Meneur de jeu On peut trex bien concevoir cette soite de scénarlo Joué de la fegon su vante ‘Ging joueurs. par exemple, inter- prétent leur personage Un Meneur de jeu, metteur en Une, deux au trois personnes in- terprétent le role ces personnes rencon- {n€es au cours de faventure (PN.J). Ce riest ni obligatoire, ni indispen- sable, mais cela peut slouer un plisr supplementaie. Dans cette atemative, es autour de la demeure. “Tout d'abord en exagérant le dan ‘ger que représente I ancienne Abbaye de Fontewraut, transiormée en maison Sart. Tl nlen veut pour prewe que la récente évasion de Baraduc Tl demandera meme au juge st celu-cl n’étalt pas un de ses slints», ce ‘ue le juge reconnaltra bien volontiers, sais sans sinquiéter outre mesure ce- pendent. Puis Kaufmann, ayant quelques connaissances des legendes du pays (no- tamment la legende de la nonne mais en ‘aucun cas Il ne parlera du Loward), faméne la conversation sur ce sujet en insistant sur le c6té fundbre et morbide de ce gonre de legends. Ensuite, connaissant les godts de les Arbrissel pour le spirtsme, il Tincite & faire une séance de table tour- ante. ATTITUDE DE JULES D'ARBRISSEL - out d'abord ceiuici réagira_ aux propos de Kaufmann de facon sroderatrice. Tui fera remarquer que Vévasion de Baradue est une chose exception: ral I n'y a pas eu dautres évasions durant. les deux dernigres années par exemple. ‘Gant aux legendes, c'est le genre de choses qui existent dans la France entiére Sil tient ces propos mesurés, c'est tout dabord parce que c'est un homme pondéré et ensuite parce quill essaye Binsi de rassurer sa soeur, gui semble alarmée par ce genre de discours. Par contre, quand Kaufmann Tai: ull su le spittsme, ses vieux démons teprennent le dessus II commence par se foie pier puis, enfin, accept de fire Une stance le soir meme ‘Avec Kaufmann et les personne: ges, i ceurci le veulent bien ATTITUDE DE LA COMTESSE - elle-ci durant le repas n'apprécie ‘pas partculiérement les propos de Kaufmann, qui la mettent mal 4 Taise. Cependant attention, elle nest tout de ‘meme pas terrorisée. Par contre elle n'apprécie pas que son frére accepte de faire une séance de spirtisme. Etant fervente chrétienne, est une chose qu’elle désapprowe. Elle refuse de participer & cette seance mais ne s'y oppose pas. Elle se contentera de regagner s chambre avant que la seance nait leu INTERVENTION DE PISSENLIT - A u moment od Kaufmann propose & Jules d’Arbrissel de faire une ‘stance de spiritisme et que celui-cl ac- cepte, Pissenlit pénetre dans la salle & ‘manger (avec une corbeille de fruits & la ‘main par exemple) envendant cela, au ‘moment ou ise retirera de la pice, il ‘marmonnera entre ses dents: «ll ne faut, pas faire cela, il faut laisser dormir en paix les petites filless. Faire jeter les dés sous perception ‘aux personnages, ceux qui auront ob- tenu un résultat’ de cualté A ou B, ‘auront entendu la phrase de Pisseniit. Si celuici est interroge & ce sujet, il se refusera 4 fournir la moindre expli- cation et quittera la pitce. ACTE I - SCENE V - [ese eas nous retrouvons Jales d Arbrissal, Kaufmann et les personnages dans le patit salon pour la séance de spritisme. La Comtesse Ses reliae dai se chambre, Depuis le début de la soirée, Is est iis @ plewvoir et 'orage gronde au loin. Maintenant la pluie tombe violem: ‘ment et Vorage se rapproche, Le Meneur de jou peut ainsi faire s'intensfier 'orage aver la montée pro- ‘gressive de la tension dramatique durant Ia seance de spirtsme NOTE POUR LE MENEUR DE JEU Ul, oul, je sais, ce sont de vielles ficelles, mais’ vous verrez cela marche toujours !! Tout dabord, @ la demande des ppersonnages ou de Aaufmann, Jules Arbrissal invoguera un esprit queleon- que, ami de la famille 2 autres. La méthode est simple, Si Tesprit est 18, 11 frappera un ‘coup, ensuite il reponcra, un coup pour oui et deux coups pour non, Un esprit se manifeste assez rapi- Gement mais le Mereur de jeu doit effectuer un tirage pour les personnages se trowent proche ce Kauimann, jet sous la perception. CCeux qui auront cbtenu sur la table des paliers un résultat de qualté A Sapergevront que Kaufmann truque la séance En avertir discrdtement les person nage. Ensuite Jules d'Arbrissel ranifes- tera le desir d'entrer en contact avec Agnts, s2 petite nigce. Llorage est & son paroxisme. ITentvera effectivement en contact aver elle Alors, au comble de l'émotion, i Sécriera:' «Agnes, pardon ma petite Agnes: ‘Au méme instant le tonnere ex- plose, un violent éclair illamine toute la pléce et le juge s écroule en se tenant Pepaule (On peut voir s2 main tachée de Tl vient d'etre blessé, légérement, par_un coup de feu provenant d'une fenétre du petit salon ‘On. peut remarquer _dailleurs quiune vitre de la fendire a été brisée, cat on a tre de lexterieur. ‘Si quelqu'un sor, I remarquera des traces de pas dans le ol détrempé pros de la fendtre, mais les traces de pas ne ‘ménent. pas loin et vsiblement Fagres- seur a di s‘enfuir vers les bois proches. Bien entendu un personnage ira ou envera chercher la police, les gender lls se trowent & Saumur, il faut ‘compier deux heures aller-retour pour u's artivent. lls entreprendront immédiatement des bats pour esayer de rerower ‘agresseur Kaufmann profitera de l'occasion pour noircir encore le tableau en ce qui oncere ls dangers de vie en pel ee, Doneronarae Quant Jules d'Arbrissel, apres avoir été soigné, la blessure n’étant pas bien grave, la ‘balle n’ayant fait que Teraler (bale de révolver il ira se cou- cher. ‘On peut compter quill sera remis sur pied ds le lendemain matin. 1S 2 oI Sil ny a pas de prétre, cela 1e: Le brit courait en vies que le ROPE Tn Benes rexpiquer cebendent’ tit dabod uge cul Tova condamné, cesardte Lundi 7 juillet (6 heures) - parce que Baraduer'ena ps que pour sles dros, profit quil sot en quelques instants, ensuite parle feit que prison pour, s‘occuper dun peu trop de toute fagon il veut parler & quelqu'un prs de sa fille, la petite Agnes cus les habitants dela mason sont avant de mou ‘On disait méme que © état le juge spits Bar des eeu eis I sedrsser bien entendu dun des i aya ses tudes et au sot appes 8 la porte personages. avec ele le dimanche. TEs valle Eulaie ve cuir et fait centr les gendarmes. Lidée fit son chemin. Baratue Cee portent ax ne CONFESSION OU commenga 8 avoir des doutes, la soltule civigre improvisée un homme agonisant. CONFIDENCE DE ‘idant, ces doutes davinrent des certinr I segit de Baradue BARADUC oe Le pauwre homme devintlitérale- Les gendarmes a Taube, Vont re- nen? ee ‘out d'abord il reconnaitra s@tre "I voulit savor. Soba or weexcenons: dea, onduit de fagon malhonnéte et Pour cela, illu falleit s'évader. ae 125 ioir mete pelne de prison est co qu seredi soir fy ben etait d'aileurs prét &accomplr sa décidé d'aller demander des comptes au pine pour exper ses fates. NOTE POUR ‘as cst en prison que les choses" apes sare caché dans les bois, le LE MENEUR DE JEU se gat dimanche soir, profitant de Torage, il erent, Petit & petit, les compagnons de asa s approcher de la propriété de So- | parmi les personnages se trou- cellule de Baraduc le regardérent avec phe d’Arbrissel, esperant trouver le juge vent un prétre, on peut expliguer des sourires narquois. chez ell. IP halte des gendarmes chez la Com- ‘A la longue intrigué par ce ma- I Sapprocha d'une des fenétres tesse, par le desir qu'a Baraduc de vou- nage, il les questionna. Aprés bien des donnant sur le petit salon et la i! blémit loir se confesser. hésitations, l'un d’eux fnit par lui avouer autour de la table se trowaient des ppersonnages quill ne connaissait pas et ‘au bout de cette table, face lu. Jules dArbrissel, visiblement —bouleversé, ‘Séeriant: «Agnes, pardon Agnés !, Le sang de Baraduc ne fit qu'un ‘our tout ce qu'on ll avait teat done 1 était armé, s'étant emparé dun révoler lors de son évasion. Alors fou de rage, & travers la vitre a fit feu sur le juge. Puis, désesperé, i s'enfuit dans los bois. Cees la, qu’au petit matin, il devait tomer sous les balles des gendarmes. ‘Ace moment du récit, Baraduc a bout de force sinterrompt, semble re- garder dans le vide une apparition terr- flante, son visage se convulse, puis, se cramponnant nerveusement au bras de Ja personne qui est pres de luis écrie Au secours, au secours... La bete, ele cst la, mon Dieu ayer pitié de mois tl meurt aprés un dernier sursaut dangoisse, NOTE POUR LE MENEUR DE JEU Lest & préciser que Baraduc ne fera ce récit qu’a un seul personnage et & Técart des autres. Done ceux-ci n’entendront tien, st ce n'est aa fin ce en de terreur qui sera percu par toutes les personnes se trou- vant dans la piece. Si Baraduc se conte & un prétre, ne pas oublier que celui sera lie par le secret de la confession Aprés la mort de Baraduc, les gendarmes se reticent emportant le comps du paunre homme ACTE I - SCENE I- D urant le déjeuner, profitant de Sires fe tar aie tae décor fa Comtesse A qutter les hewt La Comtesse paralt de plus en pus sensible ux arguments de Kaufmann. Meme le veux juge, assez ebranlé par les événements, semble gagné @ la ause de Kaufmann La journée se passe sans événe- ments notables. ‘la tombée du jour, quelques ins fants avant le repas du soi, un des personages aura limpression denten- dre hurler des loups dans le lointain, Pendant le repas, un second per- sonnage aura la mime impression, les Joups semblant se -approcher, puis se sera au tour d'un trcsidme d'@prowver la ‘méme impression. NOTE POUR LE MENEUR DE JEU ce premier personage qui entendra les loups doit ére celui qui a le phus e fluide, puis le second et le troisieme, les choisir par ordre décroissant. Le phénoméne étant d'origine pare-normal, il est evident que les per- sonnages les plus sensible & ce genre de chose sont les preniers touches. ACTE I - SCENE Ill - urant la nuit, certains persona es vont peu-dtre fare des cau ‘chemars Pour le savoir, effectuer un test sous Touverture dsprit pour chaque personnage, ceux qui auront échoué ‘uront une mut agiiée. Pour ceux-, rer 1410 puis con- sulter la table ei deasous pour savolr quel cauchemar le persomnage fera. 14 4- Correspend & un cauchemar ayant trait la légende de la nonne (voir BP ou le 4 8-Le personage verra le corps lune petite noyée flottant entre deux fenux (il s’agit de la petite Agnes), 9 et 10- Cauarar pis vk. aie les deux précédents, le personnage volt tun homme vetu dime cape marchant dans la foret avec un loup sur ses talons Tl semble se diriger vers le dormeur. Puis il sarréte ot k regarde fixement. Ensuite il part dur long rire muet. Le personnage se révllera terriblement angoissé ACTE Il - SCENE IV - rofitant que fout le monde dort Kaufmann descendra dans le petit salon ola eu lie la stance de spiritisme. al va proceder & une mise en scene diabolique. Tout dabord, avisant un tableau représentant un portrait de none (vrai- semblablement un portrait de famille), i va i exever les yeux Puis il renversera la table ayant serv a la séance de spiritisme. Enfin, sortant discrétement de la ‘maison, il va se rendre A la remise attenante a Técurie, semparer d'un pot de peinture noire et d'un pincaau, re- ‘tourer dans le salon et tracer sur le mur lun vague signe cabelistique (ce signe n'a ‘aucun sens précis). Puis il va remetire peinture et pinceau & leur place et regagner sa ‘chambre. Cette mise en scéne est dest- née a efirayer davantage la Comtesse. Si Cest un personnage qui ensuite pinstre dan ls pléce on premier, hi ire tier un jet sous ouverture despit, tun résultat de qualité A ou B lui per rmettra de comprendre quil s'agit d'une mise en scéne. Si les personnages enquétent, ils pourront s'apercevoir que la peinture est ‘encore fraiche (selon I'heure bien sir od ils decouvriront ce qui s ext passé) Tis pourront également découvrir ke pot de peinture de la remise et saperce- Vole quill a été utllsé récomment. (le pot ‘ayant pas été remis exactement & sa place et le rayonnage étant poussiérewc, on pest en desire qui ee dépace recemment) ACTE Ill - SCENE I- Mardi 8 Juillet (1a matinée) - {un des personnages demande & la Comtesse quelles sont ses inten tions en ce qui conceme la propriété, cle restera évasive, cependant, le per- sonnage pourra alsément deviner quelle a intention de vendre. ACTE III - SCENE I - Midi - ‘aufmann viendra prendre congé de tout le monde, prétextant que ‘es affaires le rappellent & Paris. En fait, il va se rendre 8 Saurnur pour contacter le notaire de la Com esse, celleci ayant décidé de i céder la propriet. ACTE II - SCENE Il - Le soir au repas - ules d’Arbrissel annonce son inten- tion de refaire une séance de spir- les derniers evenements, bien que tragiques, hi parsissant favorables & ce genre d'experience. ACTE Ill - SCENE IV - La séance de spiritisme (21 heures) - és que la stance de spirtisme ‘commence, les personnages, ‘BOUrront se rendre compte qu'l se passe quelque chose d anormal “Tout dabord latmosphére dans la ppléce semble changée, les personnages ‘auront impression qu'une sorte de soul fle glacé belaye la pice. Une ambiance oppressante, s'ins- ‘Jules d'Arbrissel essaye d'invoquer Tesprit @’Agnés. ‘Diune voix angoissée il T'appelle désespérément, sans obtenir la moindre re pose Puls soudain la hueur des bougles ‘exile, le juge devient trés pale, comme si un esprit sétait emparé de hi, et \venant de null par, la vobx dune petite file chuchote: ‘Mon Diew protégez mol, il stest emparé de moi, mon Dieu que veisie dovenir. is c'est le silence. Le juge, blanc comme un linge se lave ot quite la pice. ‘Alors, venant de Vesterieur, mon- tent tout autour de la maison les hurle- ‘ments des loups, ‘On a Timpression que Fenfer se déchaine et que la demeure est devenue Te centre du eu maudt. Puis brusquement cest le sence, um silence étrange. Les personages ont soudain im pression qulune présence se trowve dans la pice En dehors de la table, faiblement fédairée par les bougies, la piéce est entiérement plongée dans le noir, mais petit a petit, un angle de la ‘piéce Stédaie faiblement ‘Ona impression qu’ cet angle se frowve un homme. ‘Vatu dune cape, un capuchon dissimulant son visage, il semble des ger du doigt un des’ personnages et pprononcer une phrase ‘On voit ses lévres bouger, mais ‘aucun son ne sort de sa bouche. ‘Au meme instant de la cabene de Pissenlit, une mélopée sauvage retentit dans une langue incomprehensible. Le visage de homme & la cape semble se tordre de haine, il replie son bras sur son visage, comme sil voulait se protéger d'un danger, puis sa silhouette Sevier ove, immatre, et ft por sparaltre. Le chant s'arréic atmosphere de ia pidce semble se Cea le sence NOTE POUR LE MENEUR DE JEU ous assistons au retour du Lou- vard. Quand celui, au moment création de Tabbaye de Fonte- vrault, disait en désignant les cabanes que les fidales de !Enmite étaient en train decir : Ce que tu viens de faire naltre ici, un jour sera détruit par un de tes descendants, et les huttes de Diew seront remplacées par le palais du Dis bles, ce n’était pas des paroles en Tair, nl une vaine menace La premiére séance de spirtisme organisée par Jules d'Arorissel en ces eux, permit deja au Loward (Cestadire & travers lui & Satan) de se ‘manifester La mort de Baraduc hui faclita ‘encore plus les choses. ‘Ainsi, petit 2 petit, les eux pou- vvalont redevenir des leuk maudits,<'00, les hurlements des loups et les étranges ‘spirtisme ‘oumnit toutes grandes les portes de Fon- tevrault au Lowvard, qui, en semparant de Tesprit d’Agnés, sen servit comme dune bréche pour pouvoir revenir phy- siquerent. La pauvre enfant tenta de resister et put ainsi camer pendant quelques instants son désespoir. Puis elle dut se taire, subjuguée par la force mentale de Thormme au loup. ‘Calui-ci désignant alors un des personnages commenca 8 tenter de Stemparer de son ame, (le Meneur de jeu 8 cet effet cholsra le personnage avant la spintualite fa plus falble) quand le Loward le désignera du doigt, ce per- sonnage entendra de fagon telepathique tune voix lui disant : «Crest toi que Jai choish. (Prévenir le personage en le pre- pant & part, les autres n'ayant assisté & la sene que visuellement) ‘Mais comme nous l'avons wu pré- cédemment Pissenit velle: de sa. car bane ila senti la présence du Lowvard dans la piece Alors, réunissant tous ses pouvoirs psychigues, il a reagi immédiaterent, od Fincantation que nous avons en” tendue venant de la cabane. Test arrivé ainsi 8 chasser le Low vard, mais le chasser momentanément, écartant le danger que pour quelques instants. (Car, il seit que pour pouvoir le chasser defiiivement, il faudra utliser lune magie beaucoup plus puissante et quil aura besoin de Taide Fautres per- Dialleus ce quil vient de faire était deja risque et I'2 pulse psychiquement. A eat instant daileurs, 1 oft ina: rimé sur son lit et ne sortra de cette tespéce de coma qu'au bout d'une heure. 'A ce moment Ia, soit les personna- ges seront alls le trouver, sit, sie ‘rest pas le cas, lira les rejoindre pour leur expliquer la situation et demander leur aide. ACTE Ill - SCENE V - Entrevue de pissenlit avec les personnages - {ssenlit va expliquer aux personna- ges qua cause de leurs impru- dence le Loward est revenu, Tl peut leur raconter en détail la legende de homme au loup et les rai- sons pour lesquelles il hante & nouveau Is region. Tl leur explique également que si Von ne fait rien pour le chasser defniti- vvement, ily ade fortes chances pour que cette créature du diable, tente de s'em- parer de I'dme de chacun. Ila dialleurs en séquences actions, ‘On peut considérer que dans cha: que séquence, les actions qui se dérou Tent, ont lieu en simultane. SEQUENCE !- D @s leur arriée dans la clatritre, Pissenlit demandera 4 deux des personnages de prononcer aver ful une S521 forme magique, une sorte dincanta tion, Avant de commencer, il expiquera 2 ceuxci que cette formule est destinée € convoquer le Louvard dans la clairiére pour pouvoir le chasser ensuite ( Je ne sais pas si les personages seront trés enthousiastes 4 l'idée de faire venir le Lowvard 1), Demander aux deux personnages @effectuer un test dowverture d'esprit, sie résultat est de qualité A, B, ou C les ppersonnages accepteront, sinon is ref seront énergiquement, considérant cet acte comme un sactilége Ce sera alors aux autres personna- ges d’essaver. ‘Au cas od personne nlaccepterait, vous pourrez considérer que ce n'était uune hésitation de leur part et refaire effectuer des trages. SEQUENCE Il - que la formule magique aura te prononcée, les personnages Pourrent apercevoir & une centaine de metres de la, le Lowvard dans lombre, au pied d'un arbre, a Torée de la cla Tiere, un grand loup gris sur ses talons. 'En aucun eas on ne peut l'appro- cher de plus d'une dizaine de metres, un sentiment de terreur incontrdlée s'em- ‘parant des personnes qui tenteraient ce ‘genre de chose. (On ne peut done exercer aucune violence physique contre hu De plus, aucun projectile ne peut Tatteindre, il est automatiquement dé- toumé de fagon inexpliquable. Si toutefois Tun des personages tente ce genre daction, dis quill se trowera & proximité du Loward, lui faire effectuer un test sous la spiritual Sil le réussit, bien que ne pouvant pas Tapprocher, il arivera cependant a con- tuéler sa peur ou le malaise qui peut Stemparer de lui en face dun person- nage aussi meléfique. * Par contre sl échoue, il prenda la fuite et rejoindra au plus tot ses compa- gnons, SEQUENCE III - P ssa tine on gore Soe Sr hae coon t abel" ial cago nas [fares ettee amie i eri a ih Ete dtetecine semen ih Sena bet a oo 5 copia oa in be Ba Spree fumes a soonest Il ne parle plus d’ailleurs, seul des. ou neh dae Et pourtant, mais eela les person rages ne le savent pas, i fut etre trois dans le pentacle pour prononcer la for mule permettant de chasser le Lowvard. Colucci ne reste pas inacit dail leurs. I designe celui qui a préctdem- ment choisi (durant la demnigre séance de spirtisme) et part d'un grand éclat de rire, audible catte fois et pariaitement ciabolique bien entendu. Pui, & son tour il commence une incantation Ty a de grandes chances pour que les personnages hésitent a penétrer dans Je pentacle, [aspect de Pissenit n'a rien de rassurant. Ne rien faire dallours qui puisse rassurer les joueurs. Les personnages qui voudront pé nétrer_ dans le pentacle devront au préalable effectuer un test sous ouver- ture d esprit. Si le résultat est de qualité A ou B, lls comprendront que Pissenlit ‘lest pas un adversaire et quil est oblige de revetir cette apparence pour lutter contre le Louvard, SEQUENCE IV- [Ls peronme ut et dsignte par |e Loward se trouve confvontée a un événement ordre 2 (oir table de ‘onirontation) lui faire effectuer un test Sous la spinualté & -2 (force de eve nement) Si le resutat est de qualité A, Ja personne gagne 2 points en spinal rien ne se passe, s le résultat est de ‘alié B, ele gagne 1 point en spr Thalté ot parent & résistr au Lowa, ile reat est de qualité C ele réste ezalement au Lowardmais ne gagne ‘aucun point en spintualte, par contre tn résutat de qualté D a pour efit de Jui faire perdre 1 point en spirituaité mals de ne pas subir la volonté du Loward, alors quun échee hi fea per dee 2 points en spirtualté et fobigera 2 subir la volonté du Loward La personne. ayant enregisré un ‘éhec commence & grogner, son Visage Se trarsforme, une certaine bestalté étorme ses tris. Il semble menacant et en aucun cas ‘ine voudra franchir le arco de feu pour pndtrer dans le pentace. De pis, ls personages transfor smés on loups-garous.ls sot rejouts a cours dautres aventures ont & chaque pine hine 5% de chance de se trans: former en loupgarou et cola pendant tune durée dun an, cestadire jusqu'au BS jullet 1901. Le mentionner sur la fiche person- nage destinée au Meneur de jeu et voir fiche technique loupgarou en fin de SEQUENCE V - Be esr cee ee Se = ore ries oltre Sears eee Er oere Se rrr Teer cen de Po os en pices Sarees i cn is Laan aoe Ses Peal gen wat nek re a Pacers ae ee es ‘Dans ce cas, procéder comme pour foots Coe ae tualité et un événement d'ordre 2). SEQUENCE VI - 1 Soit Pissenlt a réussit& la sequence pprécédente a chasser le Louvard, et dans e cas il va pouvoir au cours de cette sequence le tannir& jamas de Fonte FSi commence s pratique magi aque u cours se cte sequence et cans Ceces comentqut sequence suivante ye prendra effet. “Soi lina encore en p fae Bans’ ee ease Loire serait pas tann! au cours de cee squence Done, le premier louppoercx cont nuera a attaquer les personnes se trou- wanton dered peace, & escep- tion du personnace'cetrenlormant en eros qi vo element paket 8 Teheave Dans le cas ct hors du pentacle, i ne se trowerait personne, hormis les deux loups-garous, ceue! vont se com- batt. Par contre, si Pissenlit a terminé son invocation, le Louvard va pousser un grand cri de désespoir et disparaiire lentement avec son loup, son image et cele du loup derenant de plus en pis SEQUENCE VII - Jigs ee eat leur aspect humain et contempler Ja scéne hébétés, n'ayant plus aucun ona Le pentacle 1a également disparai- Slee apiece on pea soe tse tion est abolie e l'ame de la petite Agnes, car il ne faut pas l‘oublier, enfin fennel Be aeeues eee date ese mal, c'est-a-dire si Pissenlit et ses com- peu aaser tae poets eo a aout La ae eee ‘ques instants, la température baisseralt en a Tod aupeenres at cae eee eee Soe ear | désigné au préalatle par le Louvard. ee a ee Baers chaque pleine lune, ils se transforme- raient automatiquement en loups-ga- eee cier assez puissant, pratiquant la magie blanche qui puissent les exorcser. De plus, tous les personnages vir vants confrontés un évenement dor- dre 4, brove apparition de Satan, de- vront effectuer un test sous la spiritualté (woir table de confrontation), Puis Satan ddsparait. Mais, & partir de ce moment, ise passera de drdles de choses dans la région de Fontevrauit!! Par contre si tout se passe bien et que Le Loward est bbanni de la région & tout jamais. Eff four a rages sets en ot ev ppersonnages, tous les tirages seront ceffectués sur la table de résistance. 1 Personnages ayant pénétré dans le pentacle et ayant aldé Pissenlit & pro- noncer l'invocation. T° tirage, sous la spirtualit ; évé- nement d’ordre 3 ; gains possibles : 1 & 3 points en spiritualite. 2 tirage sous le fluide, évenement ordre 2; gens possibies 1.42 pints Pree and ct deal pentacle mais n'yant pes aides Pissenkt 2 pronencer Tinwocation T rege, sus la spirale, vé- rement dordre 2 tirage, ous le ide, vénement pond 1 “Personnagesn'ayent été que simples spectateurs T? troge, sous la spintualté, evé- noment dortre 1 tage, sous le fide, énement ordre 1 “Pour les personnagestranlormés en Joupegarous, un seul tage sous le fide, evénement dordre 2 Fiche technique concernant le loup-garou La personne se transformant en Joup-garou voit ses aptitudes physiques augmenter de 2 points Sil attaque par morsure et c'est une de ses attaques favorites, on const dre que les dégats quil peut occasion- nner correspondent & ceux qui peuvent ‘re provoqués par une arme blanche courte (voir table des dommages Un etre humain ne peut se trans- former en loup gerou que de minuit au lever du soleil et es sois de pine lune (sauf dans le cas present ou la personne ‘st vitime dun sor ‘On ne peut tuer un loupgarou aqutavee Taide d'une balle d argent. Par contre, si ie loup-gerou cause la mort d'une personne, il reprend im- ‘médiatement son aspect humain et con- temple hébété sa victim, carne garde ‘aucun souvenir de son éiat animal

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