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DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

J'ai été impliqué dans un grave accident de la circulation alors que j'étais assis
sur le siège arrière d'une petite voiture, sans ceinture de sécurité. La voiture a
traversé la circulation, a brulé un panneau d'arrêt et a été emboutie sur le côté
du conducteur par un camion semi-remorque roulant à 90 km/h. J'ai été projeté
contre le siège arrière, je me suis cogné la tête contre la vitre arrière et j'ai
brisé la vitre. Un morceau de la vitre s'est logé dans mon crâne. La voiture a
ensuite filé dans une cour et a heurté un arbre. Cela m'a projeté vers l'avant
contre le pare-brise avant de la voiture.

La dernière chose dont je me souviens, c'est un moment d'immobilité et de silence


absolus. Alors que je me dirigeais vers l'avant de la voiture, je me souviens avoir
appelé à l'aide. Ma voix semblait résonner comme si je savais qui j'appelais.

Ma vue s'est estompée et j'étais dans un tunnel. Je me suis retrouvé en présence


d'une grande entité sombre, semblable à un être humain, avec des ailes noires qui
faisaient penser à des plumes. L'entité, que j'appelle Quinn, me tenait dans ses
bras tandis que ses ailes s'enroulaient autour de moi, procurant une sensation de
confort et de protection.

J'ai repris connaissance et me suis retrouvé à l'extérieur de la voiture.


J'essayais d'aider les autres passagers et j'avais conscience d'avoir l'impression
que Quinn était toujours avec moi. Cependant, je n'avais aucun souvenir de mon nom,
qui de qui j'étais, ou comment j'étais arrivé là. Cette confusion et cette
désorientation ont persisté pendant des mois et même des années après. Bien que
d'autres m'aient dit que mon expérience était le résultat d'un stress traumatique
et d'hallucinations, je continue à ressentir un lien avec Quinn et je crois qu'il
est toujours avec moi.

J'ai un sens de mon but et je sens que quelque chose de spirituel et de vaste va
bientôt se produire. Ce sentiment est peut-être lié à mon EMI. De nombreuses
personnes qui ont eu des EMI déclarent ressentir un sens de leur but ou de leur
mission par la suite et peuvent éprouver un sens aigu de spiritualité ou de
connexion avec l'univers à la suite de leur expérience.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Cela concerne ma Femme, Vera Gonzalez, décédée le 7 mai 2016 ; l'adjoint au


médecin/infirmier praticien certifié et moi-même avons vu un orbe lumineux quitter
son corps quelques minutes après sa mort. Une sphère blanche de lumière concentrée
est sortie de sa poitrine par le sternum, s'est élevée et a plané un moment, puis a
quitté la pièce tout en accélérant. Je pensais que j'imaginais ces choses jusqu'à
ce que l'adjoint au médecin me demande si j'avais vu la lumière. Il a dit que cela
lui était déjà arrivé, et que c'était l'âme de Vera. Il a également dit qu'il
sentait beaucoup de sainteté dans la pièce (tout comme moi). J'avais administré les
derniers rites à Vera avant sa mort. Je suis chrétien mais d'origine juive
(sépharade) et l'infirmier praticien était juif. Vera était une chrétienne forte et
fidèle.

Quelques jours avant de mourir, Vera m'avait dit, ainsi qu'à nos enfants, qu'un
ange lui avait rendu visite. Elle avait traversé un tunnel qui s'était ouvert sur
la lumière. Là, elle avait vu ses parents décédés, dont son père, son frère et sa
grand-mère. Elle avait supplié l'ange de la laisser vivre pour rester avec nos
enfants, mais l'ange lui a dit qu'elle ne pouvait plus vivre et que son heure était
proche. Elle l'a supplié et imploré pour qu'il lui montre ensuite l'avenir de nos
enfants et le mien. Plusieurs des choses qui, selon elle, allaient survenir, se
sont bel et bien produites. Elle n'a pas été autorisée à partager les détails de
mon avenir et de mon décès, mais je suis parvenu à des conclusions à partir de son
amour. Elle a partagé l'avenir de nos enfants et les choses que je devais faire, et
je les fais. Elle a plaidé si fort pour vivre que l'ange est revenu une deuxième
fois et lui a dit qu'elle serait autorisée à vivre entre ici et là-bas, en tant
qu’ange veillant sur nos enfants.

J'ai voyagé et raconté cela à qui voulait bien l'entendre, y compris des mourants
et membres du clergé. Je l'ai partagée avec des rabbins juifs, de nombreux membres
du clergé chrétien de différentes confessions, catholiques, musulmans et autres. Ma
vie a changé à jamais.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

J'ai eu un rêve vif. Cela ne ressemblait à aucun autre survenu auparavant ou


depuis. Il n'y avait pas de tunnel, mais il y avait une lumière vive. C'était
rempli d'amour. Tout était englobant. J'ai compris que c'était le Sauveur, Jésus-
Christ, mais je ne pouvais pas voir une personne dans la lumière. La lumière était
brillante au-delà de toute description, mais pas inconfortable à regarder. En fait,
je ne pouvais pas détourner le regard.

C'était le plus confortable que j'aie jamais été. Je n'avais jamais ressenti un
amour aussi complet. Je ne sentais rien d'autre communiqué que l’amour inimaginable
émanant de la lumière. J'ai adoré la lumière. J'ai adoré la source de la lumière.
Je me suis réveillé encore entouré du rayonnement et de l'amour que je ressentais.
J'étais parfaitement éveillé, mais je ne voulais pas bouger. Je n'avais jamais été
aussi à l'aise. J'ai encore ressenti l'amour et la lumière pendant plusieurs
minutes après mon réveil. Ce fut une expérience que je ne comprends pas
entièrement, mais que je chéris et à l

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

C'est arrivé par une fraîche soirée d'octobre 1965. J'avais 15 ans et je rentrais
chez moi à vélo après avoir travaillé dans un restaurant local. Il devait être
après 20h00, et il faisait assez sombre. Il n'y avait pas de lampadaires dans notre
communauté à l'époque. J'avais une lampe de devant, et un feu arrière, alimentés
par un générateur sur mon vélo léger à 3 vitesses. Je me dirigeais vers le sud sur
une route goudronnée à deux voies et je suis arrivé au carrefour avec l'autoroute
7. Il s'agissait à l'époque d'une autoroute goudronnée à 4 voies. Il y avait des
bretelles à gauche pour le trafic prenant la direction de l'est et de l'ouest.
Après m'être arrêté, j'ai traversé la voie qui allait vers l'ouest et j'ai attendu
dans le terre-plein. Mon attention était concentrée sur le trafic en direction de
l'est à ce moment-là.

Soudain, je me suis retrouvé au-dessus du carrefour, en train de regarder vers le


bas. La scène en-dessous était éclairée d'une manière ou d'une autre, de sorte que
je pouvais voir clairement les objets. J'ai vu la voiture familiale Ford, couleur
vert foncé, avec son porte-bagage de toit chromé et son hayon en faux bois,
continuer vers l'ouest dans le terre-plein couvert d’herbe. Je me suis vu en bas,
alors que mon corps tournait sur le dos, et j’ai regardé la voie dans la direction
ouest de l'autoroute 7. Les voitures faisaient des embardées pour éviter de me
percuter.

Pendant que j'étais hors de mon corps, je n'ai ressenti aucune douleur physique.
J'ai éprouvé du réconfort et une certaine paix. En un instant, je suppose que
j'avais accepté ma mort. J'ai entendu une communication qui n'était pas une voix
audible. On m'a dit qu'il fallait que je reparte, car « Mon heure n'était pas venue
! » J'ai résisté, arguant que je ne voulais pas retourner dans ce corps à l'air
triste. Ma veste isolante en nylon bleue avait fondu dans le dos et mes chaussures
avaient été arrachées de mes pieds. Encore une fois, on m'a fait savoir que « Mon
heure n'était pas venue ! » Instantanément, j'étais dans le monde physique et
j'étais doucement soulevé sur une civière.

Les radiographies ont révélé un délogement des reins et des intestins. J'ai eu du
sang dans mes urines et mes selles pendant plusieurs mois.

Quelque temps plus tard, un policier est venu chez nous pour prendre ma déclaration
sur l'accident. Je suis sûr que je lui ai expliqué pourquoi et comment j'étais
arrivé à cet endroit à ce moment-là. Mais quand j'ai décrit la voiture qui m'avait
percuté et mon atterrissage dans les voies en direction de l'ouest, il s'est arrêté
brusquement. Il m'a interrompu, disant qu'il n'y avait aucun moyen que je puisse
décrire cette voiture familiale en raison de sa vitesse et de l'obscurité. J'ai
tenu bon et j'ai confirmé ce que j'avais vu. Ma mère a été soufflée, mais elle est
restée dans son coin. Le policier m'a alors dit ce qu'il avait appris : Le
conducteur de la voiture familiale se dirigeait vers l'ouest et, pensant que la
bretelle à gauche était une troisième voie, il s'y était engagé et avait accéléré.
La voiture familiale m'avait percuté de plein fouet, à partir de la gauche.
J’ignorais qu’une voiture arrivait en sens inverse. Sa vitesse avait été estimée à
plus de 145 km/h au moment de l'impact. Le break s'était immobilisé environ 400 m
plus loin. Le policier était étonné que j'aie survécu à l'accident.

Tout au long de ma vie. Je me suis fait un devoir de ne pas partager mon


expérience. Je me suis confié à ma Femme et quand elle est devenue infirmière, elle
a partagé quelques livres couvrant la recherche sur le sujet. Les histoires
contenues dans ces livres m'ont rassuré : je ne suis pas un cinglé !

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Mon peloton revenait d'un de nos petits avant-postes. Une voiture nous a dépassé
sur la route. Je n'ai pas prêté attention à la voiture, mais d'autres membres de
mon peloton l'ont fait. J'ai entendu la radio dire d'être prêt, parce qu'un gars
venait de déposer deux femmes avant de repartir dans une direction différente. Nous
savions que quelque chose allait se passer car il s'agissait de tactiques courantes
lors d'embuscades précédentes. Sur notre chemin vers un autre avant-poste, rien ne
s'est passé. Nous avons donc continué à avancer.

Le camion qui venait en tête est passé sur un engin explosif improvisé (EEI),
provoquant son explosion 3 à 5 secondes plus tard. J'étais dans le deuxième camion
qui a subi la force de l'explosion.

Je me souviens avoir regardé mon corps et d'avoir pensé : « Mec, ils m'ont eu !
C'est là que mon histoire se termine ». Je regardais tous les dégâts. J'ai vu des
roues avec des pneus toujours attachés et des réservoirs de carburant s'envoler à
des dizaines de mètres en l'air. Je n'ai pas vu de lumière. Je me souviens juste
avoir baissé les yeux et avoir dit : « Non, ce n'est pas comme ça que ça va se
terminer pour moi ».

Tout à coup, j'étais allongé sur mon piédestal. Je suis handicapé à 100% et j'ai
encore des cauchemars. Je me réveille en larmes tous les jours et je dois me
bourrer de pilules pour dormir quelques heures de plus, si je veux me réveiller en
me sentant à peu près normal.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :
Je voyage dans un tunnel de lumière composé de milliards d'étoiles. J'arrive dans
une prairie, un endroit que j'appelle mon « mon paradis ». La prairie et cet
endroit ont des couleurs qui n'existent pas ici-bas sur Terre. C'est incroyablement
beau. J'ai été amusé de découvrir qu'il y avait aussi des pissenlits, que nous
traitons de « put---ns de pissenlits » au Danemark. On en trouve donc aussi au
Paradis. Je vois ensuite une rivière, le soleil brillant et se reflétant dans
l'eau, ce qui fait que la rivière scintille comme de l'argent. Au bord de la
rivière, je vois environ sept personnages de différentes hauteurs. Au loin, je vois
une pyramide, et je suis tout naturellement attiré par la pyramide. Je monte les
marches, en comptant cent, et en haut il y a une pièce sombre.

La lumière est fournie par des torches sur les murs, et un autel en pierres se
trouve à ma gauche. Sur l'autel, il y a une épée énorme, si grosse que je pensais
que je ne pourrais jamais la soulever. En même temps, je vois la plus belle Déesse
assise sur un trône. A ses côtés se trouve un hibou. Les yeux clairs et brillants
du hibou me fixent. La Déesse dit alors que l'épée sur l'autel est un cadeau pour
moi. Elle me dit que l'épée n'est pas tranchante et qu'elle n'est pas faite pour se
battre. Au contraire, l'épée peut être utilisée pour trouver des solutions. Elle
peut dénouer les nœuds (les problèmes) les plus difficiles et les plus gros. Je me
souviens clairement lui avoir dit que je n'avais que 18 ans et que je ne pouvais
pas soulever cette épée (je n’osais pas). La Déesse a dit que je serais toujours le
bienvenu pour revenir et la prendre quand je serais prêt.

J'ai dit au revoir et au même instant, je me suis retrouvé au bord de la rivière où


se trouvaient encore les personnages, immobiles. Je leur ai dit au revoir et j'ai
voyagé une fois de plus à travers l'univers rempli d'étoiles.

Je me suis réveillé pour entendre une voix disant « qu'il est de retour ». Les
ambulanciers sont arrivés sur les lieux. Cette nuit-là, j'entends trois fois une
voix dire, « Il est de retour », sous le train, dans l'ambulance, sur la table
d'opération. Bien que je n'ai eu l'expérience de mort imminente qu'une seule fois.

Le lendemain, je me suis réveillé à l'hôpital, handicapé. Cinq jours après


l'accident, je suis sorti de l'hôpital. Dix jours après l'accident, j'ai recommencé
à jouer au football, au badminton et au volley-ball.

J'étais reconnaissant d'être en vie.

Chaque matin, je me réveillais avec l'image de l'expérience de mort imminente


gravée dans mon cerveau, mais il a fallu 30 ans avant que j'en parle à d’autres.
DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

J'ai été impliqué dans un grave accident de la circulation alors que j'étais assis
sur le siège arrière d'une petite voiture, sans ceinture de sécurité. La voiture a
traversé la circulation, a brulé un panneau d'arrêt et a été emboutie sur le côté
du conducteur par un camion semi-remorque roulant à 90 km/h. J'ai été projeté
contre le siège arrière, je me suis cogné la tête contre la vitre arrière et j'ai
brisé la vitre. Un morceau de la vitre s'est logé dans mon crâne. La voiture a
ensuite filé dans une cour et a heurté un arbre. Cela m'a projeté vers l'avant
contre le pare-brise avant de la voiture.

La dernière chose dont je me souviens, c'est un moment d'immobilité et de silence


absolus. Alors que je me dirigeais vers l'avant de la voiture, je me souviens avoir
appelé à l'aide. Ma voix semblait résonner comme si je savais qui j'appelais.

Ma vue s'est estompée et j'étais dans un tunnel. Je me suis retrouvé en présence


d'une grande entité sombre, semblable à un être humain, avec des ailes noires qui
faisaient penser à des plumes. L'entité, que j'appelle Quinn, me tenait dans ses
bras tandis que ses ailes s'enroulaient autour de moi, procurant une sensation de
confort et de protection.

J'ai repris connaissance et me suis retrouvé à l'extérieur de la voiture.


J'essayais d'aider les autres passagers et j'avais conscience d'avoir l'impression
que Quinn était toujours avec moi. Cependant, je n'avais aucun souvenir de mon nom,
qui de qui j'étais, ou comment j'étais arrivé là. Cette confusion et cette
désorientation ont persisté pendant des mois et même des années après. Bien que
d'autres m'aient dit que mon expérience était le résultat d'un stress traumatique
et d'hallucinations, je continue à ressentir un lien avec Quinn et je crois qu'il
est toujours avec moi.

J'ai un sens de mon but et je sens que quelque chose de spirituel et de vaste va
bientôt se produire. Ce sentiment est peut-être lié à mon EMI. De nombreuses
personnes qui ont eu des EMI déclarent ressentir un sens de leur but ou de leur
mission par la suite et peuvent éprouver un sens aigu de spiritualité ou de
connexion avec l'univers à la suite de leur expérience.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Le 15 mai 1969, c'était un jour férié, le jour de l'ascension.

Ce jour de fête, mon papa arbitrait une compétition de pétanque et toute notre
petite famille l'avait suivi, car il y avait toute une convivialité avec les autres
participants. Pendant la compétition, j'ai voulu aller aux toilettes mais je ne
sais pas pourquoi, j'ai traversé la route de campagne pour ce faire. Quand j'ai
voulu revenir et que j'ai retraversé, une voiture arrivait à ma droite mais je ne
l'ai pas vue ni entendue. Je me souviens seulement qu'au moment où je traversais,
tout d'un coup une sorte de silence s'est fait autour de moi comme un temps
suspendu. C'est alors que j'ai été renversée par cette voiture. Je n'ai rien senti
du choc qui s'ensuivit et ai perdu connaissance.

Lors de ma perte de connaissance, j'ai baigné dans une lumière douce et chaude,
j'ai entendu une sorte de douce musique. J'étais parfaitement bien. Puis j'ai vu
une porte devant moi. Il me semble avoir entendu une voix emplie d'amour qui
m'invitait à venir et à ouvrir cette porte. Je me suis approchée de la porte et ai
commencé à tourner la poignée. La porte s'est entrebaillée et j'ai pu apercevoir un
halo de lumière encore plus puissant que celui dans lequel je me trouvais déjà.
Tout n'était que douceur et bien-être. Je ne ressentais aucune peur. A l'instant où
je m'apprêtais à pousser davantage cette porte, j'ai alors entendu une voix, celle
de ma maman qui hurlait et priait la Vierge Marie de me laisser la vie sauve. Il me
semble que la voix douce m'a laissé le choix mais sincèrement je ne me souviens pas
exactement de cela. Par contre, le cri du coeur et les pleurs de ma maman m'ont
persuadée de revenir même si à mon grand regret. Et je suis revenue à moi au grand
soulagement de ma maman.

Suite à cet accident, outre le fait que j'ai dû rester immobilisée de nombreux
jours car j'avais ma jambe endommagée et que j'ai risqué une hémorragie interne,
l'élément le plus important à mes yeux est que mon caractère très doux et aimable
"d'avant" a subitement changé. Le choc a été tel que j'ai développé une sorte de
réaction épidermique (agressivité et colère) qui m'ont longtemps handicapée dans ma
vie sociale.

Enfin dans les années qui suivirent, j' ai vécu 1 cas de décorporation physique et
2 cas "d'appel" à partir. Dans les 3 expériences, cela s'est produit pendant mon
sommeil. Et dans 2 cas, j'ai vécu des sensations de musique, de bonheur. Dans les 3
cas, je suis restée parce que soit j'étais enceinte, soit mon fils était déjà né
soit il dormait auprès de moi et dans les trois expériences, je voulais que mon
fils naisse et puisse avoir sa maman auprès de lui pour l'accompagner dans la vie
terrestre.

Ultérieurement lors de décès de proche, j'ai été en contact avec eux pendant des
rêves. Et la dernière fois lors du décès de ma maman le 33 décembre 2022, j'ai
connu un mois de grâce et de plénitude.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Cela s'est passé il y a de nombreuses années, mais je m'en souviens encore très
clairement. J’œuvrais avec mon père dans les bois derrière sa maison, abattant des
arbres, les coupant en longueurs et taillant leurs branches pour faciliter leur
transport jusqu’à la maison. J'étais en congé de la Marine. Mon père abattait un
arbre, puis je coupais les branches. Ensuite, nous les coupions tous les deux en
longueurs plus gérables pour les transporter ou traîner. J'ai toujours été gêné par
le fait que cela s'est avéré être un accident grave, mettant ma vie en danger, mais
mon père m'a dit que c'était en fait la partie la plus dangereuse à laquelle les
bûcherons sont confrontés.

Mon père venait d'abattre un arbre. Je coupais les branches, sauf qu'une branche
n'était pas une branche. C'était un arbre plus petit courbé jusqu'au sol. Juste
avant de le couper, j'ai entendu mon père m'avertir de ne pas couper ça. Mais
c'était trop tard. Le petit arbre courbé était encore vert (vivant) et a
instantanément rebondi, une fois que la partie épinglée par le grand arbre a été
libérée. Je me tenais juste au-dessus et avant que je m'en rende compte, j'ai été
projeté en arrière et aplati contre le sol de la forêt couvert de feuilles mortes.

Mon père s'est précipité vers moi. Tout baignait dans une brume bleue ou violacée.
J'ai essayé de dire à mon père que j'allais bien, tandis qu'il m'aidait à me
relever. J'avais déjà eu un saignement au nez, mais c'était différent. C'était
comme si quelqu'un avait ouvert un robinet. J'ignorais qu’autant de sang puisse
couler de mon nez. Par la suite, mon père a décrit cela comme si Mike Tyson m'avait
infligé un « uppercut » à l'aide d'une batte de baseball. J'ai littéralement fait
un bond en l'air de près de 2 mètres, avant de m'écraser par terre sur le dos. Il
pensait que j'étais mort sur le coup et avait très peur.

Mon père ne gère pas bien ce type d'urgences, mais il a fait de son mieux pour me
raccompagner à pied sur quelques centaines de mètres jusqu'à la maison. Il m'a mis
sur une chaise dans le jardin pendant qu'il entrait chercher une serviette (ou du
moins, c'est ce qu'il a dit). En fait, il est allé appeler ma mère au travail pour
lui dire que j'avais eu un grave accident dans les bois et qu'il allait m'emmener à
l'hôpital. Il a ensuite appelé l'hôpital et a prévenu qu'il m'y amenait. Il
habitait juste en haut de la route, et pouvait m'y amener plus rapidement que si
une ambulance était venue. Quand il est revenu dehors, j'étais tombé de ma chaise
et j'étais allongé dans une flaque de sang sur le passage qui menait à la piscine.
Je me souviens qu'il m'a aidé à m'asseoir sur la chaise, puis tout s’est estompé
pendant une seconde.

Pour passer de l'arrière à l'avant de sa maison, il fallait franchir un mur de


pierre d'environ 1.2 à 1.5 mètres, car l'avant de la maison était environ 3 mètres
plus haut que l'arrière. Le côté avec l'allée menant au garage descendait
légèrement, puis il y avait un mur, et l'autre côté de la maison était juste une
colline/pelouse inclinée. Le mur de pierre permettait de retenir le sol plus haut,
pour permettre une allée plus plane. Quoi qu'il en soit, de l'arrière à l'avant de
la maison, il y avait un dénivèlement d'environ 3 mètres, progressif du côté du mur
d'1.5 mètres. Dès que mon père m'a laissé seul, j'ai eu l'impression que je me
tenais debout à côté de l'endroit où j'étais tombé et qu'une file d'anciens amis et
parents auxquels je n'avais même pas pensé se dirigeait vers moi. J'en ai reconnu
certains, je n'étais pas sûr de connaître certains d'autres, mais j'avais
l'impression de les connaître. Mon grand-père paternel venait en tête, car il était
décédé quelques mois plus tôt. Ce qui est étrange, c'est que les gens provenant de
ce côté-là faisaient un détour pour ne pas avoir à sauter par-dessus le mur qui
s'amenuisait à mesure qu'il s'éloignait de la maison. Ils marchaient, ou
pratiquement flottaient vers moi. Ils descendaient par-dessus le mur comme s'il
s'agissait d'une marche facile ou comme s'ils étaient sur un escalier roulant. Vu
notre météo, il faisait frais ou froid à l'époque. Pourtant, je me souviens que la
température était absolument parfaite. Je n'avais jamais été très proche de mon
grand-père, mais il était très fier de moi pour avoir rejoint la marine américaine
car il venait de « là-bas » (d’Irlande). Il est venu vers moi et je ne me souviens
pas qu'il ait dit grand-chose, sauf peut-être une salutation générale. Je pense
qu'il m'a demandé ce qui s'était passé et m'a peut-être dit que mon heure n'était
pas encore venue. Pour être honnête, une fois qu'il est arrivé jusqu'à moi, ça
devient un peu flou pour moi maintenant.

C'est à ce moment-là que mon père m'a réveillé en criant mon nom, alors qu'il
essuyait le sang sur mon visage avec une serviette froide et humide. Il a réussi à
me remettre debout et à me faire monter dans son camion, puis il m'a transporté
rapidement à l'hôpital. Je perdais et reprenais conscience et le personnel de la
salle d'urgence m'a gardé pendant quelques jours sous observation. Je m'étais
fracturé le crâne, cassé le nez et avait subi une commotion cérébrale.

Je n'ai jamais aimé en parler à quiconque, car j'avais peur qu'on se moque de moi.
Mais depuis, je n'ai jamais vraiment eu peur de mourir. J'aime aider les autres
dans le besoin et faire en sorte que tout le monde se sente à l'aise et bienvenu,
quelques soient les circonstances. De ce fait, j'étais très apprécié des enfants
car je n'ai jamais aimé les gronder ou les punir. Quand j'avais beaucoup d'élèves,
au lieu de punir les mauvais, je préférais récompenser les bons - devant les
mauvais. Cela a généralement très bien fonctionné pour moi pendant toutes ces
années de travail avec des enfants en bas âge et même avec des enfants ayant des
besoins spéciaux. C'est comme si j'étais devenu une personne très chaleureuse,
amicale et extravertie, malgré les cicatrices sur mon visage.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

En juillet 1993, j'ai tourné trop brusquement dans un cul-de-sac alors que je
faisais du vélo. Je ne portais pas de casque à l'époque et j'ai subi une commotion
cérébrale de niveau 3 à la suite de l'accident. J'ai vécu une brève amnésie
rétrograde qui s'est essentiellement estompée, mais j'ai aussi vécu une EMI à
partir du moment où j'ai perdu conscience, jusqu'au moment où j'ai à nouveau repris
conscience.

Cet été-là, j'essayais de rester active et en forme en faisant régulièrement du


vélo. C'était l'été entre mes classes de première et de terminale au lycée. Je me
souviens avoir traîné mon vélo à dix vitesses hors du garage, à travers la maison
et par la porte d'entrée, parce qu'il était trop difficile de traverser la cour
arrière. Je me souviens avoir tiré le vélo devant mon jeune frère qui jouait avec
une tente dans le jardin de devant.

C'était une journée d'été lumineuse et chaude, idéale pour faire du vélo. Je
voulais m'éprouver physiquement ce jour-là, alors j'essayais d'aller le plus vite
possible dans le quartier.

Quand je suis tombée de mon vélo dans le cul-de-sac, ma conscience a été


instantanément transportée ailleurs. Je ne me souviens pas avoir été capable de
voir, autant que de pouvoir sentir ce qui se passait. J'avais conscience que
j'étais ailleurs, le sentiment de me souvenir de qui j'étais et de savoir que
j'avais un objectif plus grand. Je sais juste que j'en ai un, parce que je suis
ici-bas pour une raison, mais je ne sais pas nécessairement de quoi il s’agit.

J'avais le sentiment qu’il se trouvait d’autres entités autour de moi. J’ignore si


c’était des êtres humains ou Non, mais elles me semblaient familières. Je n'avais
pas de parents proches décédés, donc ce n'était certainement pas des parents que
j'étais capable de reconnaître. J'étais gênée d'être morte trop tôt en tombant de
mon vélo et que ce soit à cela que revenait le point culminant de mon existence.
J'ai demandé si j'étais morte. On m'a dit : « Non », et que je devais repartir. Mon
expérience a été très brève, mais assez profonde. Je n'ai ressenti aucune tristesse
en entendant cela, mais c'était plutôt comme une compréhension de me rappeler que
j'avais plus à faire.

J'ai repris conscience sur l'asphalte, me rappelant que j'avais été au téléphone.
J'ai commencé à me souvenir de mon expérience lors du transport dans l'ambulance.
J'ai eu le vif souvenir de l'EMI pendant la radiographie et j'étais presque en
larmes lorsque j'ai compris ce qui s'était passé.

Trente ans plus tard, je me demande toujours quel est mon but. Peut-être le fait de
vous avoir contacté ?
DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Un peu de contexte avant de partager mon histoire. J'ai été élevé par un père qui
m'a appris à être analytique et scientifique. Je n'ai pas été religieux pendant une
grande partie de ma vie et je me suis moqué de plusieurs des principales religions
du monde. Je croyais fermement aux études vérifiables, reproductibles et évaluées
par des pairs et je plaçais toute ma foi dans la science. J'ai obtenu mon
baccalauréat en ingénierie et j'ai conservé cet esprit d'analyse jusqu'à ce jour.
Pendant que je vivais en Californie en 2015, j'ai été confronté à des événements
paranormaux (assez pour pouvoir rédiger un livre entier) et ces événements ont
radouci mon point de vue que la science était la seule autorité sur tous les
sujets.

Je me suis donc lancé dans une recherche de vérité et de ce fait, de nombreuses


personnes de la communauté scientifique se sont moquées de moi, refusant d’admettre
ce dont j'avais été témoin. Leur arrogance vis-à-vis des rencontres et questions
paranormales honnêtes n'a fait que renforcer ma détermination à rechercher la
vérité. Une poursuite élusive et historique aussi vieille que la civilisation elle-
même. Comme un enfant curieux, j'ai commencé à étudier toutes les religions du
monde et j'ai trouvé des graines de vérité dans la plupart d'entre elles. J'ai
trouvé beaucoup de paix dans le christianisme, ses enseignements, la fraternité et
la morale et l'idée d'une seule entité qui soit Dieu, mais j'avais encore des
doutes majeurs. Je lisais aussi avidement les écrits bouddhistes qui s'opposaient à
un Dieu unique, mais contenaient beaucoup de détails sur le monde paranormal/autre,
accessible à travers la méditation.

D'ici à l'été 2016, j'étais encore plus désorienté, car plus j'en apprenais, plus
mon trouble augmentait. J'étais sur le point de devenir fou et de partir en forêt
pour passer 40 jours à méditer, parce que j'en avais marre de tourner en rond
spirituellement. Ce désespoir a conduit à une sorte de dépression, de tristesse et
de découragement que la vérité soit si insaisissable. Je demandais sincèrement à
l'univers des réponses, mais tout ce que j'avais obtenu était un mélange de
réponses. Tel est le contexte de l'histoire qui suit.

C'était un samedi après-midi d'été chaud, vers 16 heures. C'était mon week-end,
donc je n'avais pas grand-chose de prévu, mis à part me détendre et essayer de
conserver un état d'esprit positif face à ma confusion spirituelle. Après avoir
déjeuné et navigué sur les réseaux sociaux pendant un moment, j'ai décidé de faire
une sieste. Cette sieste a conduit à un rêve saisissant où je me trouvais dans mon
appartement par une nuit vraiment noire. Tout l'appartement était très faiblement
éclairé. J'étais dans le salon en train de réfléchir au fait que j'ignorais quelle
direction prendre spirituellement. J'ai entendu le bruissement des clés de ma
colocataire, alors qu'elle s'apprêtait à entrer. Une fois à l'intérieur, elle s'est
dirigée vers sa chambre. Je l'ai arrêtée et j'ai dit : « Salut Jackie ... Crois-tu
en Dieu ? » (Disons en passant, je parlais rarement à Jackie dans la vraie vie, car
nos horaires étaient si différents ; donc, lui poser une question aussi profonde
était un vrai signe de désespoir.) Elle m'a regardé et a ri : « Dieu ? Bien sûr que
Oui ! ! Tout le monde sait qui est Dieu ! » ... Et avec cela, j'ai ressenti une
tristesse tellement écrasante, et j'ai répondu : « Alors, comment se fait-il que je
ne sache pas qui il est ? »

Et avec cela, je me suis soudain réveillé - pas ici-bas, mais dans une autre
dimension. Je vais essayer d'expliquer la prochaine séquence d'événements du mieux
que je peux, mais honnêtement, je suis limité par le langage. Les mots ne sauraient
décrire l'expérience. Notre compréhension actuelle du temps et de l'espace ne peut
pas Non plus saisir cela, alors je vais essayer de dresser le meilleur tableau
possible. Ces événements suivants se sont produits dans un laps de temps d'environ
2 secondes sur terre ... mais je m'en suis souvenu tellement en détails que c'était
comme si le temps s'était ralenti/déformé.

Je flottais soudain au-dessus de mon corps et j'ai senti un filin attaché à mon
dos, qui me reliait à mon corps. Cette dimension était aussi réelle que celle dans
laquelle nous sommes tous éveillés, et j'avais distinctement le sentiment d'être
éveillé (et Non de rêver). J'ai été immédiatement tiré vers le ciel avec une force,
et à une vitesse, incroyables, comme si j'étais sur des montagnes russes
hypersoniques (si cela ait jamais existé). J'accélérais à une vitesse si rapide
vers ce que je supposais être l'espace extra-atmosphérique, que j'ai vu des étoiles
(ou de petits points brillants) autour de moi se déformer et me donner l'impression
que je volais à travers un tunnel dans l’espace. C'était une vitesse tellement
incroyable, pour la physique moderne. Puis j'ai remarqué qu'au bout de ce tunnel se
trouvait une lumière incroyablement brillante. Cette lumière n’a cessé de grandir à
mesure que je me rapprochais. Alors que je m'approchais de la lumière, j'ai soudain
commencé à comprendre. Ma peur s'est transformée en un confort et sentiment de paix
extrêmes. Soudain, je me suis dit : « Oh, bien sûr... c'est VOUS », comme si
j'avais toujours connu cette lumière.

Je me souviens distinctement de quelques mots qui me sont venus à l'esprit lors de


cette expérience. Le premier était PURETÉ. Cette lumière possédait une
pureté/innocence/honnêteté incroyable, évocatrice d’un petit enfant qui n'avait
jamais commis de crime, jamais menti à personne, une pureté d'être si sincère et
honnête. Avez-vous déjà vu à quel point un enfant est vraiment heureux de saluer
son père à son retour du travail ? Ce type d'innocence et de bonheur. Multipliez
cela par un milliard et vous aurez une idée d’une telle pureté. Le deuxième mot
était AMOUR. Cette lumière émanait tellement d'amour ; c'est difficile à décrire,
car le mot amour ne peut englober que ce que nous percevons en tant qu'êtres
humains. Je peux mieux décrire cela comme l'amour d'une mère, quand vous êtes un
nouveau-né, multiplié par un milliard. Un amour qui ne jugeait pas, qui pardonnait,
qui comprenait, qui vous embrasserait tout entier. Cet amour possédait une chaleur
incroyable que je ressentais physiquement alors que cela rayonnait, et je m'y
prélassais et me sentais extrêmement paisible et en sécurité.

Le dernier mot était SAINT. Cette lumière était si brillante, magnifique et vaste,
qu'elle était digne de mon admiration et de mes louanges. En fait, je voulais
adorer cette lumière (et je suis un Homme assez têtu quand il s'agit de louer les
choses), parce qu'il ne faisait aucun doute dans mon esprit qu'elle était digne,
absolument digne, de toute mes louanges. Je n'avais jamais rien rencontré de proche
sur terre, à part certains petits aspects reproduits ou émulés par certains
individus. Cette lumière était sans tache et sans corruption, la source de ce que
j'appellerais la morale, ou tout ce qui est bon dans le cosmos.

Alors que je m'approchais de cette lumière, que je savais maintenant être Dieu, je
savais que si j'entrais en contact avec cela, deux choses pouvaient arriver. 1) Je
ne reviendrais jamais sur terre et mettrais officiellement fin à ma vie terrestre
2) Je passerais un moment avec Dieu, j'apprendrais quelques vérités
supplémentaires, puis je reviendrais sur terre, mais ma vie ne serait plus la même.
Il n'y avait aucun moyen que je puisse continuer à vivre comme une personne
normale, en connaissant ces vérités. Ces deux options m'ont fait peur. Je me
sentais par ailleurs vraiment sale en m'approchant de Dieu et j'avais l'impression
que je devais me repentir de choses que j'avais faites durant ma vie terrestre,
simplement parce que je voulais comparaître devant lui sous un meilleur jour (il
n'y avait pas de jugement de la part de Dieu, j'avais juste envie de m’arranger, un
peu comme vous le feriez avant d'aller à un rendez-vous avec quelqu'un que vous
aimez). Alors j'ai décidé que je n'étais pas prêt (dans ma tête) et je me suis
dit : « Non... je ne suis pas encore prêt », et juste comme ça, avec la même force
et la même vitesse que j'avais monté, je suis redescendu, tiré par le filin qui me
reliait à mon dos.

J'ai percuté mon lit avec un tel élan que lorsque j'ai repris conscience dans ce «
monde éveillé », je me suis retrouvé légèrement en l'air en rebondissant. Je me
suis alors levé et me suis assis sur le rebord de mon lit, restant en profonde
contemplation pendant environ trente minutes. J'essayais de me souvenir de tout ce
qui c’était passé et j'ai commencé à pleurer de bonheur, car il ne faisait plus
aucun doute dans mon esprit que Dieu existait. Je savais que c'était là que j'irais
après ma mort. Je savais aussi que tous les êtres humains provenaient de ce Dieu et
y retournaient. J'avais maintenant une réponse à ma question la plus pressante, et
j'ai éprouvé de la paix depuis lors. Les jours difficiles, mon esprit revient à
l'amour et à la chaleur de Dieu, sachant qu'en fin de compte, son amour transcende
tout. Même si cela peut paraître un tel cliché.

Renseignements généraux :

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Ma sœur et moi avons quitté la côte occidentale de la Suède et nous nous sommes
dirigées vers la côte orientale. A mi-chemin de notre voyage, nous sommes entrées
en collision de plein fouet, à 90 km/h, dans notre petite Honda de 1994. J'ai
souffert de nombreuses blessures graves ; intestins et rate endommagés, diaphragme
déchiré, les deux poumons perforés. J'avais aussi une vertèbre écrasée dans le dos
et je souffrais d'une luxation à l'épaule droite. Nous sommes restées coincées dans
la voiture pendant environ 45 minutes avant que les secouristes ne scient le toit
et nous transportent aux urgences.

Heureusement, nous n'étions qu'à environ 5 minutes du grand hôpital où tout le


personnel régulier était encore là pour le service de jour. Quand nous avons quitté
la voiture, j'ai eu l'impression d'être en train de mourir. Je ne pouvais pas
respirer. Je me battais pour vivre, et je ne voulais pas quitter mon corps, mais ça
faisait tellement mal. Je me sentais seule, même si j'entendais ma sœur me crier de
me calmer. Lorsque les secours sont arrivés, je me suis sentie un peu plus calme.
Ils me posaient des questions et j'ai répondu entre mes sanglots que : « Je voulais
rentrer à la maison ».

J'ai quitté mon corps car je pouvais entendre tous les sons autour de moi. J’ignore
où j'étais, parce que j'étais partout. J'entendais tout, je ressentais tout et
brusquement, j'ai à nouveau ressenti de la douleur quand je suis revenue dans mon
corps. Ça faisait trop mal et j'ai lâché prise, tandis que j'abandonnais et que
j'en avais fini. Tel était mon sentiment.
Puis ma marraine est venue à ma rencontre. Elle était décédée d'un cancer du sein
dix ans plus tôt. Tout n'était qu'énergie, mais je savais que c'était elle. Elle
m'a conduite vers une salle d'attente lumineuse. J'ai encore du mal à décrire ce à
quoi ça ressemblait, et la sensation reste indescriptible, indéfinissable, mais si
j'essaie, ça ressemblait à ça : Tout était lumineux et clair ; tout était énergie.
Derrière les trois énergies venues à ma rencontre se trouvait une lumière encore
plus grande. C'était comme un pilier de lumière, complètement aveuglant, sans
pourtant l’être. Les couleurs étaient complètement indescriptibles dans la mesure
où je ne les avais jamais vues auparavant, ni depuis. Ma marraine, Anette, s'est
approchée en premier, puis il y avait deux êtres énergétiques encore plus grands.
Je les appellerais des anges ou même plus grands, plus hauts et plus puissants.
Tout était amour inconditionnel. J'ai senti IMMÉDIATEMENT que j'étais rentrée chez
moi. Je n'étais plus séparée. J'ignorais où moi-même je commençais, et où je
finissais, car je faisais partie de tout. J'ai décidé immédiatement que c'était là
que j'allais rester. Plus tard, on m'a expliqué que ce n'était qu'une étape dans
mon parcours.

J'avais le choix. Je pouvais choisir de reculer dans mon corps brisé et de le


guérir. J'avais déjà décidé que je resterais là-bas, et le réintégrer me paraissait
absolument impensable. Ensuite, j'ai pu entendre et voir ma vie depuis le jour de
ma naissance et quand j'étais petite. Ensuite, j'ai entendu très clairement toutes
les prières de ma famille et de mes amis pour que je revienne et que je ne quitte
pas ma vie sur terre. J'ai vu et entendu mes enfants à naître et mon futur mari. Je
me suis vue âgée, et tout s'est passé en même temps.

Le temps et l'espace n'existaient pas ou se produisaient tout en même temps. J'ai


compris que je n'en avais pas fini. Dans cet état d’absolu inconditionnel, il n'y
avait aucune crainte de repartir en arrière. J'ai compris beaucoup de choses qui
semblaient se débloquer par étapes. Plus ma conscience augmentait, plus je me
développais et visitais ce souvenir et ce lieu. Je savais également beaucoup de
choses que nous ne pourrons jamais comprendre dans la vie terrestre ; je ne les
comprendrai probablement pas Non plus parce que c'est indéfinissable et
complètement illimité. Il y a tellement de choses que je ne peux pas évoquer
oralement, ou que j'ai jamais tenté de le faire. J'ai protégé cet événement pendant
de nombreuses années parce que je n’aurais pas pu supporter que quelqu'un ne me
croie pas. Cette expérience était sacrée pour moi.

Après l'accident, je n'ai reçu de la part des médecins, des psychologues, des
prêtres et des thérapeutes que des réponses incompréhensibles et hypothétiquement
logiques. Et je comprends maintenant que c'est tout à fait raisonnable, car comment
les autres pourraient-ils comprendre l'indéfinissable alors qu'eux-mêmes n'y sont
pas allés. Moi qui y suis allée, je ne peux même pas comprendre et expliquer cela
dignement. Je ne peux que faire du mieux que je peux.

Quand je suis retournée dans mon corps, l'expérience a été douloureuse et très
désagréable, si bien que je n'aime même pas m'en souvenir. Et je pense que c'est ce
que l'on ressent quand nous sommes tous nés à la vie sur terre. La sensation
devient plus sombre, plus dure et plus oppressante. C'était comme si j'étais
déchirée et que je me séparais de l'état magnifique et merveilleux dans lequel je
me trouvais juste avant. Et pour être honnête, il y a probablement beaucoup plus à
retirer de cet événement, mais je n'ai pas voulu fouiller dans ça. C'est très
douloureux.

Une fois de retour dans mon corps, je pouvais tout entendre à l'extérieur de moi.
J'ai entendu des infirmières parler. Avant tout, j'étais consciente de ma mère.
Elle ne m'a pas quittée ; je l'ai sentie et c'était aussi très douloureux. Je n'ai
pas pu lui répondre. Pendant ce temps, mon corps était engourdi et j'étais sous
respirateur lorsque les médecins voulaient que mes organes internes flottent
librement sans trop de tension. Ils m'avaient rempli d'eau et mes mains et mes
pieds n’avaient presque plus de contours, tandis que mon visage était rond comme un
ballon de football. Ils ont opéré de toute urgence - tout ce qui se trouvait dans
mon estomac et même la vertèbre de mon dos a été réparée avec une tige en titane
lors d'une opération rigide. Après 2 jours et demi, j'ai commencé à respirer contre
le respirateur dès que le somnifère commençait à s'estomper. Ils ont pris la
décision, avec ma mère, de l'enlever.

Je ne connais pas tous les termes médicaux, mais les médecins ont qualifié ma
survie de miracle. J'ai entendu haut et fort une voix en moi qui m'a dit comment
déplacer l'énergie dans mon corps, où se concentrer et comment cela se sentirait.
J'ai aussi ressenti beaucoup de dissonance quand quelqu'un disait quelque chose
avec lequel je ne pouvais pas être d'accord. Je sentais clairement en moi que je
décidais, que les mots de quelqu'un d'autre ne contrôleraient plus ma vérité sur la
vie. J'ai récupéré miraculeusement vite. Puis, un tout nouveau chapitre a commencé
dans ma vie. C'était une renaissance que je recherchais depuis 18 ans, afin que je
puisse entrer dans le but de ma vie.
DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Mon corps a souffert deux arrêts cardiaques le même jour en septembre 2018 en
raison d'un excès d'alcool. Je n'avais pas l'intention de mourir. J’ignorais que ma
dépression ait gravement affecté ma santé physique. Je ne pouvais tout simplement
pas arrêter de boire de l'alcool. Je me suis présentée aux urgences parce que mon
corps me disait que quelque chose n'allait pas du tout.

J'étais dans le coma pendant une semaine et vers la fin de la semaine, j'étais
entre deux mondes.

La première fois que mon cœur s'est arrêté, j'ai eu le sentiment de me retrouver
dans un très mauvais endroit avec d'autres êtres qui souffraient. J'ai crié que je
ne voulais plus être là et je suis revenue dans mon corps.

Peu de temps après, mon cœur s'est de nouveau arrêté. J'ai flotté vers le sommet
d'une montagne. Mes mains ont touché la montagne. J'ai été accueillie par mes
grands-parents décédés. C'était magnifique, tandis que je regardais un motif par
terre. J'ai éprouvé un sentiment de joie et d'amour ultimes alors que je respirais
profondément et que je regardais au-dessus du sommet de la montagne. Puis ma grand-
mère m'a dit de redescendre de la montagne.

Au bout d'une semaine, j'ai vécu un épisode de déjà-vu. Quelques autres personnes
se trouvaient dans l’unité de soins intensifs (USI) avec moi. Cet événement s'est
répété environ 6 fois. Je n'avais aucun contrôle sur le temps ou sur ce qui allait
se passer. J'avais l'impression que j'étais sur le point de mourir. J'ai pu me
ramener à la réalité.

DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Merci de m'offrir cette opportunité de partager mon expérience. Je l'ai gardée en


moi pendant longtemps, ne sachant où, ni à qui, la mentionner. Je crois que je suis
parvenue au bon endroit et que mon histoire est en sécurité avec vous. J'espère que
cela contribuera à vos recherches et m'apportera également un peu plus de clarté.
Essayer d'évoquer quelque chose qui vous laisse sans voix (si cela a un sens) n'est
pas facile, mais allons-y :

Nous, c’est-à-dire mes parents et moi-même, avons quitté Le Cap, en Afrique du Sud,
dans notre Land Rover complètement chargée en vue de vacances dans le désert du
Kalahari, qui se trouve à environ 800 km au nord. À peu près à mi-chemin, nous
traversions la région désertique du Grand Karoo. Cette grande vallée ouverte est
connue pour ses vents violents provenant de chaque côté des montagnes. Nous
dépassions un camion de 40 tonnes avec une remorque à une vitesse d'environ 120
km/h. Une forte rafale de vent a projeté la remorque arrière dans notre voie. Ma
mère conduisait et a pu s'écarter pour que nous ne soyons pas touchés. Cependant,
notre véhicule a commencé à tanguer d'un côté à l'autre en raison de la lourde
charge sur le porte-bagages du toit de notre véhicule. Nous avions presque dépassé
le camion lorsque ma mère a perdu le contrôle du véhicule. La jeep s'est renversée
sur le côté droit devant le camion. Le camion n'a eu aucune chance de freiner et
nous a roulé dessus, nous traînant le long de la route avant de ralentir et de «
relâcher » notre véhicule. Nous avons ensuite effectué 5 tonneaux jusqu'à ce que
nous nous arrêtions dans un champ, le véhicule sur le côté.

Quelques minutes avant cet incident, j'avais débouclé ma ceinture de sécurité alors
que je tendais la main vers un sac de l'autre côté du véhicule. Quand j'ai vu à
quel point nous étions près du camion, à quelle vitesse nous roulions et à quel
point notre véhicule tanguait, je me suis dit : « Ça ne s'annonce pas bien ».
L'instant d'après, notre véhicule a atterri sur le côté et j'ai été projetée contre
le plafond du véhicule. J'ai entendu mon cou craquer alors que ma tête était tordue
de force vers la gauche.

Immédiatement, ma perception du temps a changé. Tout a ralenti, comme si le temps


était passé au ralenti avant que j'entre dans un espace de lumière brillante. En
fait, cela ne ressemblait pas tout à fait à un espace, car cette zone n'avait
apparemment aucune limite. J'avais l'impression de flotter ou de voler, mais en
même temps, mon corps se fondait dans cette infinité alors que je l’intégrais. Je
ne voyais rien d'autre que la lumière et la blancheur qui m'entouraient. Pourtant,
j'étais submergée par le plus grand sentiment de clarté et de calme illimités. Je
savais au plus profond de moi, à ce moment précis, que j'étais entre deux mondes.
J'ai vu ma vie défiler à travers moi sous forme d'émotions et j'étais si heureuse
de ne pas avoir de regrets. Je savais que le moment était venu où je pouvais passer
dans un autre monde et je me sentais totalement en paix du fait de laisser ma vie «
terrestre » derrière moi.

J'ai repris conscience alors que je me tenais devant le véhicule, qui gisait sur le
côté alors que la radio jouait toujours. Après avoir vérifié si j'étais blessée, je
suis allée aider ma mère, qui était grièvement blessée, et mon père, à sortir du
véhicule.

Compte-tenu de la nature de l'incident, j'ai eu des blessures mineures. Cependant,


j'avais encore besoin d'être hospitalisée. L'ambulance a mis plusieurs heures à
nous rejoindre, car nous étions si loin de la civilisation. Le trajet jusqu'à
l'hôpital le plus proche a duré 4 heures. Tandis que j'étais allongée dans
l'ambulance, bien éveillée, les yeux ouverts, j'ai commencé à voir un film se
projeter devant moi. Je me tenais sur l'une des montagnes et regardais la vallée où
s'était produit notre accident. Je pouvais voir le camion et notre véhicule. Au
loin dans le ciel, j'ai vu une créature. Cela s'est approché et s'est avéré être un
ange. D'où je me tenais, je pouvais voir l'accident s’enclencher.

Plus le moment approchait, plus l'ange se rapprochait. Alors que notre véhicule
commençait à tanguer d'un côté à l'autre, l'ange, qui était maintenant d'une taille
immense, s'est allongé sur notre porte-bagages en serrant ses ailes autour de notre
véhicule. Alors que nous basculions sur le côté, nous avons été poussés par le
camion et avons fait des tonneaux dans le champ. L'ange gardait ses ailes
étroitement enroulées autour de nous. Une fois que le véhicule s'est immobilisé,
l'ange nous a lentement relâchés. Il a continué à planer au-dessus de nous pendant
un moment jusqu'à ce qu'il s'éloigne peu à peu de plus en plus. Je me souviens
avoir dit à ma mère que j’avais pu voir comment notre accident s'était produit.

Renseignements généraux :
DESCRIPTION DE L'EXPERIENCE :

Je me suis réveillée ce matin-là en me sentant relativement bien. Je suis allée


chez le dentiste pour un traitement du canal radiculaire. Mon dentiste m'avait
toujours donné une pilule pour me détendre avant toute procédure dentaire sérieuse.
Il administrait ensuite du protoxyde d’azote avant des injections de novocaïne.
C'est au moment où il m'a administré le gaz que mon expérience de mort imminente
s'est produite.

J'ai commencé à avoir la sensation de flotter, mais je me sentais toujours en


contrôle. Il semblait que le dentiste prenait trop de temps, car je sentais ma
conscience s'éclipser. Je n'arrêtais pas de penser : « S'il vous plaît, dépêchez-
vous ». Tout d'un coup, je me déplaçais rapidement à travers un tunnel sombre.
C'était comme être dans un train très rapide et entendre à peine en arrière-plan un
« bruissement ». En même temps, je voyais un rapide aperçu de ma vie.

Ensuite, j'étais au bord de l'obscurité avec un énorme cercle brillant de lumière.


Cela a commencé à communiquer avec moi par télépathie. La lumière n'arrêtait pas de
me dire que j'étais morte, jusqu'à ce que j’admette en moi-même que j'étais morte.
J'ai alors demandé : « Où sont les arbres, le ciel et les pâturages dont j'ai
entendu parler dans les Psaumes ? » La lumière a répondu : « Ce ne sont que des
paroles ». Cela m'a affligée.

J'étais consciente à ce moment-là de ce qui m'arrivait dans le cabinet du dentiste.


Je savais que le dentiste me giflait. Je savais qu'il passait du protoxyde d'azote
à de l'oxygène, même s'il était derrière moi. Il tenait mon poignet et vérifiait
mon pouls. Une fois que l'oxygène a commencé à faire son effet, je suis revenue
très rapidement par le tunnel et j'ai repris connaissance.

J'étais patraque et je ne voulais pas parler de ce qui s'était passé. Le dentiste


n'a pas discuté de ce qui s'est passé jusqu'à mon prochain rendez-vous. Il m'a
juste demandée si j'avais mangé ce matin-là. J'ai répondu que j'avais juste pris
une tranche de pain grillé. Il a alors dit que je devais vraiment manger avant mes
rendez-vous. Lors de mon rendez-vous suivant, je lui ai fait savoir que je
souffrais d'une infection rénale au moment de ma perte de connaissance. Puis il m'a
demandée ce qui s'était passé. Il a dit que parfois, lorsque ses patients sont sous
« protoxyde d'azote », ils ont des expériences. Il voulait vraiment savoir si
j'avais eu une EMI, mais je n'étais toujours pas prête à partager ce qui s'était
passé. J'ignorais toujours pourquoi la lumière avait dit : « Ce ne sont que des
paroles ».

Avec du recul, j'aime croire que la parole de Dieu a créé les arbres, le ciel et
les verts pâturages. Ce qui m'a vraiment dérangée, c'est que je continuais à parler
et que je n'entrais pas dans la lumière. Ce qui a semblé durer longtemps n'a
probablement pris que quelques minutes. J'ai eu d'autres expériences depuis, et
j'ai même rêvé que je parlais à un être cher décédé. Je me suis réveillée en me
sentant très aimée et paisible.

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