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Chapitre 03
Chapitre 03
Les premiers moteurs pas -à- pas à réluctances variable ont été utilisés par la
marine de guerre britannique dans les années 1920 pour déplacer les
indicateurs de direction de lance -torpilles et des canons. Dans les années 1930,
l’ingénieur Marius Lavet a découvert un type particulier de moteur pas à pas à
aimant, connu maintenant sous le nom de moteur lavet , qui a permis le
développement de se dispositif dans le domaines de l’hodologie grâce à sa
miniaturisation et à son faible cout.
Il équipe aujourd’hui presque toutes les montres à aiguilles .Le moteur pas à
pas classique est apparu dans les années 1940, mais c’est l’avènement de
l’électronique numérique dans les années 1960 qui a permis son
développement .
La flèche noire représente l'aiguille d'une boussole qui serait disposée en place et
lieu du rotor ; elle indique l'orientation du champ magnétique (elle pointe vers le
nord, qui attire donc le pôle Sud du rotor) et se décale alors d'un quart de tour à
chaque étape :
Le rotor est un barreau aimanté radialement ayant plusieurs paires de pôles N-S
• Bon marché
• Dimensions réduites
• Bon rendement
• Bon amortissement des oscillations
• Grand angle de pas (nombre de pas faible : 48).
• Puissance faible
• Paliers en bronze ou plastique (pas de roulement)
• Couple résiduel sans courant
• Vitesse faible
Dans ces deux types le rotor est à Nr dents identiques et régulièrement réparties.
De nombreuses tentatives ont été faites par des chercheurs pour réaliser des
moteurs synchrones à aimants, mais ce n’est qu’avec l’apparition des matériaux à
fort champ coercitif et induction rémanente assez élevée qu’elles ont pu,
réellement se concrétiser [.
Les aimants du type inserés aussi sont montés sur la surface du rotor.
Cependant, les espaces entre les aimants sont remplies du fer (voir Fig.3.1-b).
L’alternance entre le fer et les aimants provoque l’effet de saillance.
L’inductance de l’axe-d est légèrement différente de celle de l’axe-q. Cette
structure est souvent préférée pour les machines trapézoïdale, parce que l’arc
polaire magnétique peut étre réglé afin d’aider à former les forces
électromagnétiques.
Les aimants sont intégrés dans la masse rotorique (Fig.3.1-c) : le moteur sera à
pôles saillants. Dans ce cas, le circuit magnétique du rotor est anisotrope, les
inductances dépendent fortement de la position du rotor. Les aimants étant
positionnés dans le rotor, ce type de moteur est plus robuste mécaniquement et il
permet le fonctionnement à des vitesses plus élevées. D’autre part, il est
naturellement plus cher à fabriquer et plus complexe à contrôler.
III.4.b. Inconvénients
Figure 3.3 : Vue schématique des machines : (a) à flux radial, (b) à flux axial
Des aimants de forme simple sont insérés à la surface du rotor, ce qui leur permet
d’avoir une bonne tenue mécanique (figure 3.6).