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Ecoulement Incompressible Sur Un Objet Solidebou4709
Ecoulement Incompressible Sur Un Objet Solidebou4709
No d’ordre : ………………..
No de série : ………………..
Mémoire
Présenté Pour l’obtention du diplôme de
MAGISTER EN PHYSIQUE
Option : ENERGETIQUE
Thème :
Par
BOUBEKRI MAHMOUD
Soutenue le :
Devant le jury :
Président : L. BAHI Prof Univ.Mentouri Constantine
Rapporteur : M. AFRID Prof Univ.Mentouri Constantine
Examinateurs : Z. NEMOUCHI Prof Univ.Mentouri Constantine
A. DJEMEL Prof Univ.Mentouri Constantine
T. BOUFENDI M.C Univ.Mentouri Constantine
Nomenclature
Introduction générale
Introduction générale
Les structures d’écoulement incompressible autour des corps non profilés occupent une
place importante dans la physique des fluides dues à leur importance pratique dans les
applications aérodynamiques et hydrodynamiques tels que les ailes d’avion, les sous-marins et
les missiles….etc. Dans la majorité des recherches effectuées, le cylindre à section circulaire a
été le modèle de base des corps non profilés et est devenu la configuration conforme pour étudier
de tels écoulements externes.
Quand un corps non profilé est placé dans un écoulement uniforme, dont la vitesse est tout
à fait petite entraînant un nombre de Reynolds de l'ordre de quelques unités, il se produit un
décollement dans la couche limite qui se développe sur sa paroi. Alors, les effets dissipatifs dus à
la viscosité du fluide tendent à envahir l'écoulement. Ce mouvement se traduit par la formation
des structures tourbillonnaires appelées : tourbillons ou vortex qui a été décrit et dessiné dès le
XVéme siècle par le célèbre scientifique italien Leonardo da Vinci cité dans l’article de Hartog
[1]. Lors de ce phénomène, le fluide semble quitter la paroi pour s'enrouler autour d'un axe qui
constitue le coeur du tourbillon. Les filets fluides sont alors animés d'une rotation très rapide
dont une des manifestations les plus dramatique est la tornade. Pour une valeur critique du
nombre de Reynolds, l’écoulement cesse d’être stationnaire et la vitesse du fluide est dépendante
du temps : les tourbillons se détachent périodiquement en aval de l’écoulement. Ils forment alors
une rangée double de tourbillons, appelée allée de Bénard-Von Karman. Elle peut être
observée jusqu’à de très grands nombres de Reynolds dans des écoulements océanographiques
ou atmosphériques, derrière des îles ou des obstacles de grande taille (paquebots, sous-
marins…). En 1878 Strouhal [1] édite une formule pour déterminer la fréquence de ce
détachement de vortex, basé seulement sur les observations. En 1911 Von Karman [1] fait une
analyse de stabilité des vortex et dérive le modèle géométrique. C'était la première recherche
théorique sur le sujet dont le sillage de vortex porte son nom : le sillage de Von Karman.
Dans le présent travail, on s’intéresse aux cylindres elliptiques qui sont des géométries plus
générales, pouvant tendre vers la plaque ou le cylindre selon leurs allongements. Les paramètres
géométriques tels que le rapport des axes et l'angle d'attaque peuvent considérablement
influencer la structure du sillage.
1
Chapitre 1
Etude bibliographique
Chapitre 1 Etude bibliographique
1. Etude bibliographique
Dans ce chapitre nous présentons une synthèse bibliographique effectuée dans le domaine
des écoulements de fluide autour d'obstacles profilés. Il apparaît que les travaux entrepris sont
très riches et variés et discernent des études expérimentales et des études théoriques de type
analytiques et numériques.
A. Umemura et al. [7] utilisent la méthode des expansions asymptotiques assorties pour fournir
une description détaillée du champ d'écoulement près d'un cylindre elliptique placé dans un
écoulement uniforme à faible nombre de Reynolds (écoulement de Stokes). Les paramètres fixés
dans cette étude sont l'angle d'attaque α= 900 et le nombre de Reynolds Re=0.1 alors que
l'excentricité de l'ellipse ε est variée. Ils ont constaté aussi que la distribution de pression est
conforme a celle d’un cylindre circulaire pour ε 〈 0.7071 et que pour ε 〉 0.7071 , la pression
maximum était indépendante du point de stagnation (η =2700).
2
Chapitre 1 Etude bibliographique
8t
dans les puissances du temps t, et de paramètre λ = . La deuxième est numérique basée sur
Re
la méthode de la différence finie et la méthode spectrale pour résoudre les équations de Navier-
Stokes. La comparaison entre les résultats des deux méthodes concernant les coefficients de
traînée et de portance et le coefficient de pression démontre que pour des faibles valeurs du
temps et de grands nombres de Reynolds les deux méthodes de résolution sont en bon accord.
Quand le temps progresse l’accord entre les deux méthodes s'affaiblit.
R. Mittal et S. Balachandar [10] présentent une étude qui simule l’écoulement incompressible
sur des cylindres elliptiques tridimensionnelle et bidimensionnelle en se basant sur la méthode
spectrale. Le rapport des axes AR =2, le nombre de Reynolds Re =525 et les valeurs de l’angle
d’attaque dans cette étude sont α =0° et α = 45°. Le coefficient de traînée calculé par le biais
d’une simulation tridimensionnelle rivalise mieux avec la valeur expérimentale que celui qui
3
Nomenclature
Symboles Grecs
ε ,η Coordonnées elliptiques
Kg
ρ Masse volumique,
m3
ϕ Potentiel de vitesse
m2
ν Viscosité cinématique,
s
B
Γ Aspect des axes =
A
α Angle d’attaque
Indices
n, s, e, w Fait référence aux faces d’un volume fini typique respectivement nord, sud, est,
ouest
N, S, E, W Fait référence aux nœuds entourant un volume fini typique respectivement nord, sud,
est, ouest
Exposants
* Variable adimensionnelle
t Désigne l’instant t
• pour Re = 250 : le détachement périodique secondaire ne se produit plus dans les paires
des vortex.
Re=40 Re=75
Re=125 Re=150
Re=175 Re=250
Figure 1.1 : Les différents régimes de l’écoulement derrière un cylindre elliptique [12].
5
Références
Chapitre 1 Etude bibliographique
vitesse sur la structure du sillage aussi bien que les forces hydrodynamiques agissant sur le
cylindre. La dynamique de vortex derrière le cylindre est affectée par l’accélération du cylindre.
Le coefficient de traînée CD et le coefficient de portance CL varient avec la fréquence du cylindre
dans tous les cas considéré dans cette étude.
L’utilisation du spectre de fréquence pour analyser les structures de sillage est une meilleure
méthode pour faire apparaître les différents régimes d’écoulement par rapport à celle obtenue par
la méthode de visualisation d’écoulement. Elle permet une définition plus précise de ces régimes.
Le régime f0 n’est pas discuté dans cet article. Le régime f1 se compose du modèle de
détachement périodique de Von Karman. Dans le régime f2ni un détachement périodique
transitoire se présente loin du sillage. Le régime f2 est caractérisé par le détachement périodique
secondaire. Le régime lf de basse fréquence est défini par la présence d’une structure de basse
fréquence (f<0.03 dans l’analyse de spectre de fréquence). Pour AR= 4 les fréquences changent
de régime f1 en régime lf avec l’augmentation du nombre de Reynolds. Pour Re=75, seulement
une fréquence est présente, cette fréquence est la fréquence primaire du détachement de vortex
de Von Karman, qui s’est délabré à x= 40 ndu (unité non dimensionnelle). Pour Re = 100, la
fréquence secondaire est présente loin du sillage. Pour Re = 125 l’amplitude de la fréquence
6
Chapitre 1 Etude bibliographique
secondaire est plus grande. Quand le nombre de Reynolds est augmenté à 150, la fréquence
dominante loin du sillage est une fréquence harmonique de basse fréquence et il y a une plus
large bande de fréquence loin de la région de sillage, indiquant qu’aucun modèle régulier de
détachement n’est présent. Pour Re = 175, trois fréquences dominantes sont présentes : entre x =
0 et x = 12, la fréquence primaire est la fréquence la plus dominante due au détachement de
vortex. Au dessus de x = 12, les vortex s’effondrent l’un sur l’autre dû à l’influence de la
fréquence secondaire. La fréquence tertiaire devient dominante au dessus de x = 70. Toutes les
fréquences secondaires et les fréquences tertiaires sont des fréquences harmoniques.
Ota et al. [9] ont étudié expérimentalement l’écoulement de fluide et le transfert de chaleur à
partir d’un cylindre elliptique avec les rapports d’axes 2 et 3. Ils ont trouvé que le coefficient de
transfert thermique est plus élevé que celui obtenu pour les cylindres circulaires avec la même
circonférence et les coefficients de traîné sont très inférieur que ceux obtenu par les cylindres
circulaires.
Une étude expérimentale est faite par J. H. Choi et S. J. Lee [11] pour déterminer les
caractéristiques d’écoulement incompressible autour un cylindre elliptique. L’expérience a été
exécutée dans un tunnel d’air (figure 1.2). Un cylindre elliptique ayant un rapport d’axe AR=2,
placé près d’une plaque plane a été enfoncé dans une couche limite turbulente dont l’épaisseur
est plus grande que les dimensions du cylindre. Pour la comparaison, la même expérience a été
effectuée pour un cylindre circulaire ayant la même taille verticale. Le nombre de Reynolds basé
sur la taille de la section transversale de cylindre était 14000. Le détachement de vortex se
G
produit dans le sillage derrière le cylindre elliptique quand le rapport d’espace (G représente
B
7
Chapitre 1 Etude bibliographique
la distance entre la base du cylindre et la plaque, B étant le petit axe de cylindre) est plus grand
que la valeur critique : 0.4. Le rapport critique d’espace est plus grand que celui d’un cylindre
circulaire ayant la même taille verticale. Avec le rapport d’espace décroissant la fréquence de
détachement du vortex diminue abruptement pour le cas du cylindre elliptique. La déviation dans
la distribution de pression sur le cylindre elliptique en ce qui concerne le rapport d’espace est
beaucoup plus petite que celle du cylindre circulaire. Cette tendance est plus dominante sur
l’extrados du cylindre que sur l’intrados. Le coefficient de traînée du cylindre elliptique est
environ la moitié de celui du cylindre circulaire pour tous les rapports d’espace examinés dans
cette étude.
Cylindre elliptique
T. L. Chng et al. [14] ont fait une étude expérimentale pour déterminer les différents régimes
d’écoulement derrière une cylindre elliptique de rapport des axes AR =3.25. La technique de
vélocimétrie d’image (PIV) est employée dans cette étude. Le cylindre effectue un mouvement
sinusoïdal avec différentes valeurs de l’amplitude variant entre θ 0 = 20° jusqu’à 60°. La
fc
fréquence réduite k des oscillations du cylindre est définie par la formule : k = où f est la
2U ∞
8
Chapitre 1 Etude bibliographique
rapport est grand k = 0.5, l’écoulement est caractérisé par la formation d’une rangée de vortex de
Von Karman.
Dans un autre travail J. H. Choi et S. J. Lee [15] ont effectué la même expérience présentée
antérieurement [11] mais avec des angles d’attaque différents. Les angles d’attaque considérés
dans cette étude pour étudier l’interaction entre la couche limite turbulente et le sillage de
cylindre sont : α =-5° et 0°, 5°. Lorsque l’angle d’attaque change, la fréquence de détachement
des vortex diminue graduellement et la pression maximale sur la surface de cylindre se déplace
vers le bord de fuite. Aux angles d’attaque positifs, la pression minimum sur la plaque se
déplace en aval légèrement, tandis qu’elle se déplace en amont pour des angles d’attaque
négatifs.
Dans le premier chapitre, on présente une synthèse des travaux scientifiques concernant
l’écoulement sur des objets solides à section elliptique qui fait ressortir l’importance scientifique
et industrielle du sujet. En outre, on pourra à l’issue de cette recherche donner l’orientation à
prendre dans le développement de cette étude et de pouvoir situer notre contribution.
9
Chapitre 1 Etude bibliographique
La résolution par voie numérique de ce système d’équations fera l’objet du troisième chapitre.
On commencera par présenter les aspects et les détails du maillage du domaine physique.
Ensuite, on détaillera la discrétisation de l’ensemble des équations de conservation et des
conditions aux limites par la méthode des volumes finis. Cette discrétisation sera en second ordre
dans l’espace et dans le temps.
La partie relative aux résultats de cette étude constitue le quatrième chapitre. Une comparaison
avec les résultats numériques obtenus par S.A.Johnson et al. [12] sera discutée. Dans cette
partie, On présente, en premier lieu, la structure de l’écoulement non visqueux pour la validation
du code de calcul puis on représenté Les résultats de notre étude concernent la structure de divers
régimes de l’écoulement visqueux pour le cas spécifique AR=3.5 et un domaine de variation du
nombre de Reynolds compris entre 10 et 280 (10 ≤ Re ≤ 280). On fera apparaître le champ de
pression, les variations temporelles de vitesse et les variations de coefficient de pression et le
coefficient de frottement local.
Enfin une conclusion générale sur ce travail sera présentée au cinquième chapitre.
10
Chapitre 2
Modélisation mathématique
Chapitre 2 modélisation mathématique
2. Modélisation mathématique
∂ X ∂Y
2 2
h1 = + = a sinh (ε ) + sin (η )
2 2
∂ε ∂ε
(2-2)
2 2
∂X ∂Y
h 2 = + = a sinh 2 (ε ) + sin 2 (η )
∂η ∂η
Les dérives partielles des facteurs d’échelle h1 et h2 par apport à ε et η sont :
11
Chapitre 2 modélisation mathématique
B
.
-a 0
.
+a
X
(2-3)
∂h1 ∂h2 sin (η )cos(η )
= =
∂η ∂η sinh 2 (ε ) + sin 2 (η )
J (ε ,η ) =
∂ε
∂Y
∂η
∂Y
= ( )
= a 2 sinh 2 (ε ) + sin 2 (η )
J (ε ,η ) = h1 h2 (2-4)
12
Chapitre 2 modélisation mathématique
dX dY = J (ε ,η ) dε dη
(2-5)
dX dY = h1 h2 dε dη
Les relations entre les vitesses cartésiennes et les vitesses elliptiques sont :
U=
1
[a sinh (ε ) cos(η ) V
ε − a cosh(ε ) sin (η ) Vη ]
h1 h2
(2-6)
V=
1
[a cosh(ε ) sin (η ) V
ε + a sinh (ε ) cos(η ) Vη ]
h1 h2
2. 3 Le modèle mathématique
A t * f 0 , on a :
13
Introduction générale
Chapitre 2 modélisation mathématique
Ø Equation de continuité
1 ∂
(h2 Vε ) + 1 ∂ (h1 Vη ) = 0 (2-9)
h1 h2 ∂ε h1 h2 ∂η
(2-10)
Ø Equation de quantité de mouvement suivant η :
(2-11)
1
Dans ce cas tous les termes qui sont multipliés par dans les équations modélisantes sont
Re
supprimés.
14
Chapitre 2 modélisation mathématique
Vε (ε , 0) = Vε (ε , 2π )
(2-12)
Vη (ε , 0) = Vη (ε , 2π )
∂ Vη
A ε = ε i , Vε = =0 (2-13)
∂ε
A ε = εe,
On utilise le potentiel complexeϕ de l’écoulement potentiel autour une ellipse pour obtenir les
composantes de la vitesse [20] :
µ (ε )
ϕ = −a U ∞ ch(ε ) cos(η ) (2-14)
λ (ε i )
Avec :
cosh (ε )
λ (ε ) =
sinh 2 (ε )
( ( ))
+ ln tanh ε
2
(2-15)
µ (ε ) = −
1
cosh(ε )
[ ( ( ))]
1 + cosh (ε ) ⋅ ln tanh ε
2 (2-16)
Et :
d
(µ cosh (ε )) = −λ sinh (ε ) (2-17)
dε
1 ∂ϕ
Vη =
h2 ∂η
Donc :
aU ∞ λ (ε ) U∞ λ (ε )
Vε = 1 − sinh (ε ) cos(η ) = 1− sinh (ε ) cos(η )
h1 λ (ε )
i sinh 2
(ε ) + sin 2
(η ) λ (ε )
i
(2-18)
aU ∞ µ (ε ) U∞ µ (ε )
Vη = − 1 + cosh (ε ) sin (η ) = − 1+ cosh (ε ) sin (η )
h2 λ (ε i ) sinh 2 (ε ) + sin 2 (η ) λ (ε i )
15
Chapitre 2 modélisation mathématique
v L’écoulement visqueux
Vε (ε ,0 ) = Vε (ε , 2π )
(2-19)
Vη (ε ,0 ) = Vη (ε ,2π )
A ε = ε i , Vε = Vη = 0 (2-20)
A ε = εe :
U∞ λ (ε )
Vε = 1− sinh (ε ) cos(η )
sinh (ε ) + sin (η )
2 2 λ (ε )
i
(2-21)
U∞ µ (ε )
Vη = − 1+ cosh (ε ) sin (η )
sinh 2 (ε ) + sin 2 (η ) λ (ε i )
Pour mettre le système précèdent sous forme adimensionnelle nous avons normalisé :
Vε
o La vitesse suivant ε : Vε* =
U∞
Vη
o La vitesse suivant η : Vη* =
U∞
U
o La vitesse suivant X : U* =
U∞
V
o La vitesse suivant Y : V* =
U∞
h1 h
o Les facteurs d’échelle : h1* = et h2* = 2
2a 2a
16
Chapitre 2 modélisation mathématique
t
o Le temps : t* =
2a
U
∞
P − P0
P* =
o La pression:
( )
1 ρ U ∞2
2
2aU ∞
o Le nombre de Reynolds : Re =
ν
(
1 ∂ h2* Vε* ) 1 ∂ h1 Vη
* *
( )
+ * * =0 (2-23)
h1* h2* ∂ε h1 h2 ∂η
∂ Vε*
+
(
1 ∂ h2* Vε* Vε* )
+ * *
* *
(
1 ∂ h1 Vη Vε
*
1
− * * Vη
)
*2 ∂ h2
*
+
1 * * ∂ h1
Vη Vε
*
=
∂ t * h1* h2* ∂ε h1 h2 ∂η h1 h2 ∂ ε h1* h2* ∂η
2 ∂ ∂V* 1 ∂ ∂ Vε* 1 ∂ Vε* ∂ h1* 2 ∂ Vη ∂ h1*
*
* * ε
+ * * − * * * + * *
h1 h2 ∂ ε ∂ ε h1 h2 ∂η ∂η h1 h2 ∂ η h1 ∂ η h1 h2 ∂ ε h1 ∂ η
*
1 ∂ P* 1 1 ∂ * ∂ Vη 1 ∂ Vη ∂ Vη ∂ h1*
* * *
− * + + * * h1 + * * +
h1 ∂ ε * * *
Re h1 h2 ∂η ∂ ε h2 h1 h2 ∂ ε h2 ∂ η h1 ∂ η
− 2 1 ∂ Vη + Vε ∂ h2 ∂ h2
* * * *
h * h * h * ∂η h1* h2* ∂ ε ∂ ε
1 2 1
(2-24)
17
Chapitre 2 modélisation mathématique
∂ Vη*
+
* *
(
1 ∂ h2 Vε Vη
*
+
)
1 ∂ h1 Vη Vη
* * *
−
( 1
V
)
*2 ∂ h1
*
+
1
V * * ∂ h2
V
*
=
ε η ε
∂ t * h1* h2* ∂ε h1* h2* ∂η h1* h2* ∂ η h1* h2* ∂ε
1 ∂ ∂ Vη* 2 ∂ ∂ Vη
*
1 ∂ Vη ∂ h2*
*
2 ∂ Vε* ∂ h2*
* * + * * − * * + *
h1 h2 ∂ ε ∂ ε h1 h2 ∂η ∂η h1 h2 ∂ ε h2 ∂ ε h1 h2 ∂ η h2 ∂ ε
* * *
1 ∂ P* 1 1 ∂ * ∂ Vε* 1 ∂ Vη ∂ Vε* ∂ h2*
*
− * + + * * h2 + * * + *
h2 ∂η Re h1 h2 ∂ ε ∂ η h1 h1 h2 ∂ ε h2 ∂ η h1 ∂ ε
*
− 2 1 ∂ Vε + Vη ∂ h1 ∂ h1
* * * *
h* h * h * ∂ ε
h1 h2 ∂ η ∂ η
* *
1 2 1
(2-25)
Vε* (ε , 0) = Vε* (ε , 2π )
(2-26)
Vη* (ε , 0) = Vη* (ε , 2π )
∂ Vη*
A ε = ε i , Vε* = =0, (2-27)
∂ε
dimensionnelles suivantes:
λ (ε )
sinh (ε ) cos(η )
1
Vε* = 1−
sinh 2 (ε ) + sin 2 (η ) λ (ε i )
(2-28)
µ (ε )
cosh(ε ) sin (η )
1
Vη* = − 1 +
sinh (ε ) + sin (η ) λ (ε i )
2 2
v L’écoulement visqueux :
18
Chapitre 2 modélisation mathématique
Aε = εe,
Les composantes de la vitesse elliptique adimensionnelles sont :
λ (ε )
sinh (ε ) cos(η )
1
Vε* = 1−
sinh 2 (ε ) + sin 2 (η ) λ (ε i )
(2-31)
µ (ε )
cosh(ε ) sin (η )
1
Vη* = − 1+
sinh 2 (ε ) + sin 2 (η ) λ (ε i )
19
Chapitre 3
Résolution numérique
Chapitre 3 Résolution numérique
3. Résolution numérique
3.1.1 Maillage :
On rappelle qu’une géométrie elliptique peut être traité dans un repère cartésien comme aussi
dans un repère elliptique qui seraient différents de part leur maillage. Dans le repère cartésien il
serait, automatiquement, non uniforme. La figure 3.1 montre qu’au voisinage de la paroi le
maillage est plus affiné et qu’il s’élargi au fur et à mesure que l’on s’éloigne. Dans un repère
elliptique, la particularité réside dans l’uniformité du maillage ( ∆ε = ∆η ) comme l’illustre la
figure 3.2. Cet aspect géométrique du maillage est très avantageux car il permet une
discrétisation spatiale du second ordre avec l’utilisation du schéma des différences centrées; On
précise aussi que le maillage dans l’espace cartésien permet un calcul plus précis des gradients
importants des variables calculés dans les zones affinées. Le domaine elliptique utilisé dans cette
étude est limité entre ε i = 0.29389 et ε e = 3 et divisé en 62*142 volumes uniformes, dans les
directions ε et η respectivement. Dans la figure 3.3, on illustre un volume de contrôle typique du
maillage où le point P est au centre de ce volume. Ce volume est entouré de quatre volumes où
sont centrés les points N, S, E et W. Les faces du volume fini typique sont dénommées e, w, n et
s.
20
Chapitre 3 Résolution numérique
21
Remerciements
J’adresse mes plus vifs remerciements à Mr : M.Afrid, professeur à l’université Mentouri, qui
m’a proposé ce sujet et n’a pas cessé de me guider pour la réalisation, jusqu’à la phase finale de
rédaction de ce manuscrit.
Je tiens à remercier le docteur L.Bahi pour m’avoir fait l’honneur d’accepter la présidence du
jury de ma thèse.
En fin, je remercie tous ceux qui m’ont aidée et soutenue de prés ou loin.
Chapitre 3 Résolution numérique
dηe dηw
. .
N
η
. ( i+1, k) .
.
n
.
.
E . e P .
( i, k)
w W
.
.
dεn ( i, k+1)
.
( i, k-1)
s
∆εp
. . S. .
dεs .
( i-1,k)
.
∆ηp
∂φ t + ∆t (∆t ) ∂ 2φ t + ∆t
2
φ t = φ t + ∆t − ∆ t + + 0(∆t )
2
(3-1)
∂t 2 ∂t 2
∂φ t + ∆t (2∆t ) ∂ 2φ t + ∆t
2
φ t − ∆t
=φ t + ∆t
− 2∆ t + + 0(∆t )
2
∂t 2 ∂t 2
(3-2)
On multiplie la relation (3-1) par 4, et on fait la différence entre le produit et la relation (3-2)
pour obtenir :
∂φ t + ∆t
4φ t − φ t − ∆t = 3φ t + ∆t − 2∆t + 0(∆t )
2
∂t
∂φ t + ∆t 3φ t + ∆t − 4φ t + φ t − ∆t
= + 0(∆t )
2
Ou :
∂t 2 ∆t
22
Chapitre 3 Résolution numérique
Et donc, la discrétisation de la variation temporelle locale avec une erreur de troncature d’ordre 2
∂φ t + ∆t 3φ t + ∆ t − 4φ t + φ t − ∆ t
= (3-3)
∂t 2∆t
On multiplie la relation (3.1) par 2, puis on fait la différence entre le produit et la relation (3-2),
et on obtient :
φ t + ∆t
= 2φ − φ
t t − ∆t
+
(∆t )
2
∂ 2 φ t + ∆t
+ 0(∆t )
2
2 ∂t 2
φ t + ∆ t = 2 φ t − φ t −∆ t (3-4)
Cette discrétisation porte le nom d’Adam-Bashforth.
∂φ l 2 ∂ 2φ l 3 ∂ 3φ
φ p = φn − l + − + ........ (3-5)
∂ε n 2 ∂ε 2 n
6 ∂ε 3 n
∂φ l 2 ∂ 2φ l 3 ∂ 3φ
φN = φn + l + + + ........ (3-6)
∂ε n 2 ∂ε 2 n
6 ∂ε 3 n
∂φ l 3 ∂ 3φ
φ N − φ p = 2l + (3-7)
∂ε n 3 ∂ε 3 n
dε n
Sachant que pour un maillage uniforme : l =
2
∂φ φ N − φP 1 ∂ 3φ
≈ − (d ε )2 (3-8)
∂ε n
d εn 24 ∂ ε 3 n
23
Chapitre 3 Résolution numérique
∂φ φ N − φP
≈ (3-9)
∂ε n
d εn
On utilise une discrétisation temporelle avec une erreur de troncature de l’ordre de (∆ t ) 2 et une
discrétisation spatiale avec une erreur de troncature de l’ordre de (∆ ε )2 et (∆η )2 . Tous les termes
advectifs et tous les termes diffusifs (à part les deux premiers termes diffusifs des membres de
droite dans les équations de Navier-Stokes (2-24) et (2-25)) sont discrétisés selon Adam-
Bashforth et les différences centrées. Tandis que les gradients de pression et les deux premiers
termes diffusifs sont spatialement discrétisés selon les différences centrées; mais ils sont évalués,
sans approximation, au temps t + ∆ t .
. N. .
l dεn
n
l
.
E
.
P W
.
∆εp
s
. .
S
.
24
Chapitre 3 Résolution numérique
1 ∂
(h 2 Vε ) + ∂ (h 1 Vη ) h 1 h 2 dε dη = 0
n e
∫∫
s w
h 1 h 2 ∂ε ∂η
∂ t + ∆t
∂
t + ∆t
∫
n
e
(
∫w ∂ε 2 ε
h V ) + (h V
1 η ) dε dη = 0
s ∂ η
[(h 2 Vεt + ∆t ) − (h
n 2 Vεt + ∆t ) ]∆η + [(h V ) − (h V ) ]∆ε
s p 1 η
t + ∆t
e 1 η
t + ∆t
w p =0
(3-10)
Avec :
h2 e = sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η C (k )) h2 w
= sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η C (k − 1))
Les termes de l’équation de quantité de mouvement sont intégrés dans le volume de contrôle
décalé dans la direction ε (figure 2-5):
nu eu 3V
t + ∆t t − ∆t
∂Vε − 4Vε + Vε
t
nu eu
•∫ ∫wu ∂t h h d ε d η = ∫wu ∫wu
ε
h 1 h 2 dε dη
2∆t
1 2
su
3Vεtpu+ ∆t − 4V εt pu + Vεtpu− ∆t 2
= h pu dε p ∆η p
2∆t
Avec :
25
Chapitre 3 Résolution numérique
nu eu 1 ∂(h 2 Vε Vε ) nu eu ∂ (h V V )
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ 2 ε ε
dε dη
su wu h 1h 2 ∂ε su wu ∂ε
∂ (h 2 Vε Vε ) nu eu ∂ (h V V )
t t − ∆t
nu eu
= 2∫ ∫wu ∂ε d ε d η − ∫su ∫wu ∂ε
2 ε ε
dε dη
su
[(
= 2 h 2 Vεt Vεt ) nu
(
− h 2 Vεt Vεt ) ]dη − [(h
su p 2 Vεt − ∆t Vεt − ∆t ) nu
(
− h 2 Vεt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dη
su
= B1
Avec :
Vε NU + Vε PU
Vε nu
=
2
Vε SU + Vε PU
Vε su
=
2
h2 nu
= sinh 2 (ε P (i + 1)) + sin 2 (η P (k ))
h2 su = sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η P (k ))
nu eu 1 ∂(h1VηVε ) nu eu ∂ (h1VηVε )
•∫ ∫ h1h2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
su wu h1h2 ∂η su wu ∂η
∂(h1Vη Vε ) ∂ (h1Vη Vε )
t t − ∆t
nu eu nu eu
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫ dε dη
su wu ∂η su wu ∂η
[(
= 2 h 1 Vηt Vεt )eu
(
− h 1 Vηt Vεt ) ]dε − [(h V
wu n 1
t − ∆t
η Vεt − ∆t )eu
(
− h 1 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dε
wu n
= B2
Avec :
Vε EU + Vε PU
Vε eu
=
2
26
Chapitre 3 Résolution numérique
Vε WU + Vε PU
Vε wu
=
2
Vη NV + Vη PV
Vη eu
=
2
Vη WV + Vη NWV
Vη =
wu 2
h1 eu
= sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η C (k ))
h1 wu
= sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η C (k − 1))
1 2 ∂h2 t + ∆t ∂h
• −∫ ∫ h1h2 dε dη = − ∫ ∫ Vη2
nu eu nu eu
Vη 2
dε dη
su wu h1h2 ∂ε su wu ∂ε
nu eu ∂h2 nu eu t − ∆t ∂h2
= −2 ∫ ∫ dε dη + ∫ ∫ Vη2
t
Vη2 dε dη
su wu ∂ε su wu ∂ε
∂h ∂h
= −2Vηt Vηt 2 dε n ∆η P + Vηt − ∆t Vηt − ∆t 2 dε n ∆η P
∂ε PU ∂ε PU
= B3
Avec :
Vη PU
=
1
4
[
Vη NV + Vη NWV + Vη WV + Vη PV ]
∂h 2 sinh (ε C (i )) cosh(ε C (i ))
=
∂ε PU sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η P (k ))
27
Chapitre 3 Résolution numérique
∂h 1 t + ∆t ∂h 1
h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ (Vε Vη )
1
•∫ ∫
nu eu nu eu
Vη Vε dε dη
su wu h 1h 2 ∂η su wu ∂η
∂h 1 t − ∆t ∂h 1
∫ (V V ) dε dη − ∫ ∫ (Vε Vη )
nu eu nu eu
= 2∫
t
ε η dε dη
su wu ∂η su wu ∂η
∂h ∂h
= 2 Vεt Vηt 1 ⋅ dε n ⋅ ∆η P − Vεt − ∆t Vηt − ∆t 1 dε n ∆η P
∂η PU ∂η PU
= B4
Avec :
∂h 1 sin (η P (k )) cos(η P (k ))
=
∂η PU sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η P (k ))
t + ∆t
1 ∂P ∂P
• −∫ ∫wu h1 ∂ε h1h2 dε dη = −∫su ∫wu h2 ∂ε
nu eu nu eu
dε dη
su
= − h2 PU
( )
⋅ PNt + ∆t − PPt + ∆t ⋅ ∆η P
Avec :
h 2 PU = sinh 2 (ε C (i )) + sin (η P (k ))
t + ∆t
nu eu 1 2 ∂ ∂Vε nu eu 2 ∂ ∂Vε
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
su wu R e h 1 h 2 ∂ε ∂ε su wu R e ∂ε ∂ε
2 ∂Vε t + ∆t
∂V
t + ∆t
= − ε ∆η P
Re ∂ε nu
∂ε su
Avec :
∂Vε Vε NU − Vε PU
=
∂ε nu ∆ε N
28
Chapitre 3 Résolution numérique
ε
η
dηe dηw
. . . . .
Nu
.
. . .
NE nu
.
N NW
.
Eu eu
.
Pu wu
Wu
dεn
. . .
E
su .
P
.
W
.
Su
dεp
. . .
SE
.
S SW
. .
∆ηE ∆ηP
∂Vε Vε PU − Vε SU
=
∂ε su ∆ε P
t + ∆t
nu eu 1 1 ∂ ∂Vε nu eu 1 ∂ ∂Vε
•∫ ∫ ⋅ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
su wu R e h 1 h 2 ∂η ∂η su wu R ∂η ∂η
e
1 ∂Vε t + ∆t
∂V
t + ∆t
= − ε dε n
Re ∂η eu
∂η wu
Avec :
∂Vε Vε EU − Vε PU
=
∂η eu
dη e
29
Chapitre 3 Résolution numérique
∂Vε Vε PU − Vε WU
=
∂η wu
dη w
t + ∆t
2 1 ∂ Vη ∂h 1 2 ∂ Vη ∂h 1
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nu eu nu eu
dε dη
su wu R e h 1 h 2 ∂ε h 1 ∂η su wu R
e ∂ε
h ∂η
1
t t − ∆t
2 ∂ Vη ∂h 1 2 ∂ Vη ∂h 1
2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫
nu eu nu eu
= dε dη
su wu R e ∂ε h 1 ∂η su wu R
e ∂ε h 1 ∂ε
Vηt ∂h Vηt ∂h 1 V t − ∆t V t − ∆t
=
4
1
− ∆η P − 2 η ∂h 1 − η ∂h 1 ∆η P
Re h 1 ∂η nu h 1 ∂η su R e h 1 ∂η
nu
h ∂η
1 su
= B5
Avec :
VηNV + VηWNV
Vη =
nu
2
VηPV + VηWV
Vη =
su 2
t + ∆t
nu eu 2 1 ∂ Vε ∂h 1 nu eu 2 ∂ Vε ∂h 1
• −∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = − ∫ ∫ dε dη
su wu R e h 1 h 2 ∂η h 1 ∂η su wu R
e ∂η h 1 ∂η
t t − ∆t
nu eu 2 ∂ Vε ∂h 1 nu eu 2 ∂ Vε ∂h 1
=−2∫ ∫ dε dη + ∫ ∫ dε dη
su wu R e ∂η h 1 ∂η su wu R
e ∂η h 1 ∂ε
4 Vεt ∂h 1 V t ∂h 1 2 Vεt − ∆t ∂h 1 V t − ∆t ∂h 1
=− − ε
dε n +
− ε dε n
Re h 1 ∂η eu h 1 ∂η wu R e h 1 ∂η eu h 1 ∂η wu
30
Chapitre 3 Résolution numérique
= B6
Avec :
VεEU + VεPU
Vε eu
=
2
VεPU + VεWU
Vε wu
=
2
t + ∆t t + ∆t
1 1 ∂ ∂ Vη 1 ∂ ∂ Vη
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nu eu nu eu
h h dε dη
Re h 1 h 2 ∂ε ∂ε h 2 Re ∂ε ∂ε h 2
1 1
su wu su wu
t t − ∆t
1 ∂ ∂ Vη nu eu 1 ∂ ∂ Vη
dε dη − ∫ ∫
nu eu
= 2∫ ∫ h1 h1 dε dη
su wu Re ∂ε ∂ε su wu Re ∂ε ∂ε
h2 h2
2 ∂ Vη ∂ Vη 1 ∂ Vη V t − ∆t
t t t − ∆t
= h1
− h1 dε − h − h1 ∂ η dε n
Re ∂ε h 2 ∂ε h 2 n Re 1 ∂ε h 2
eu ∂ε h 2
wu
eu wu
= B7
Avec :
Vη V
− η
∂ Vη h2 NV h2 PV
h1
∂ε
= (h1 )eu
⋅
dε n
h2 eu
31
Chapitre 3 Résolution numérique
V sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η C (k )) Vη (i + 1, k )
h1 ∂ η = −
∂ε h 2
(ε ( + )) + 2
(η ( )) ε ( )
2 eu sinh P i 1 sin C k d i
t + ∆t t + ∆t
nu eu 1 1 ∂ Vη ∂h 1 nu eu 1 ∂ Vη ∂h 1
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
su wu Re h 1 h 2 ∂ε h 2 ∂η su wu Re ∂ε h
2 ∂η
t t − ∆t
nu eu 1 ∂ Vη ∂h 1 nu eu 1 ∂ Vη ∂h 1
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫ dε dη
Re ∂ε h 2 ∂η su wu Re ∂ε h ∂η
2
su wu
2 ∂h 1 Vη Vt Vη V t − ∆t
t − ∆t
− η ∆η P − 1 ∂h 2
t
= − η ∆η P
Re ∂η PU h 2
nu h 2 su Re ∂η PU h 2
nu h 2
su
= B8
Avec :
VηNV + VηWNV
Vη =
nu 2
VηPV + VηWV
Vη =
su 2
1 1
=
h 2 nu sinh 2 (ε P (i + 1)) + sin 2 (η P (k ))
1 1
=
h2 su sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η P (k ))
t + ∆t t + ∆t
1 1 ∂ Vε ∂h 1 nu eu 1 ∂ Vε ∂h 1
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nu eu
dε dη
su wu Re h 1 h 2 ∂η h 1 ∂η su wu Re ∂η h
1 ∂η
32
Chapitre 3 Résolution numérique
t t − ∆t
1 ∂ Vε ∂h 1 nu eu 1 ∂ Vε ∂h 1
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫
nu eu
dε dη
su wu Re ∂η h 1 ∂η su wu Re ∂η h
1 ∂η
2 ∂h1 Vεt Vt t − ∆t t − ∆t
dε n − 1 ∂h1 Vε − Vε dε n
= − η
Re ∂η PU h1
eu h1
wu Re ∂η PU h1 eu h1 wu
= B9
Avec :
VεPU + VεEU
Vε eu
=
2
VεPU + VεWU
Vε wu
=
2
1 1
=
h1 eu sinh (ε C (i )) + sin 2 (η C (k ))
2
1 1
=
h1 wu sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η C (k − 1))
t + ∆t t + ∆t
nu eu 2 1 1 ∂Vη ∂h 2 nu eu 2 1 ∂Vη ∂h 2
• −∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = − ∫ ∫ dε dη
su wu Re h 1 h 2 h 1 ∂η ∂ε su wu Re h ∂η
1 ∂ε
t t − ∆t
nu 2 1 ∂Vη
eu ∂h 2 nu eu 2 1 ∂Vη ∂h 2
= −2 ∫ ∫wu Re h 1 ∂η dε dη + ∫ ∫ dε dη
∂ε su wu Re h ∂η ∂ε
1
su
=−
4 1 ∂h 2
Re h 1 ∂ε
[( ) − (V ) ] dε
Vηt eu
t
η wu n +
2 1 ∂h 2
Re h 1 ∂ε
[(
Vηt − ∆t )eu
(
− Vηt − ∆t ) ] dε
wu n
PU PU
= B10
Avec :
1 ∂h 2 sinh (ε C (i )) cosh (ε C (i ))
=
h 1 ∂ε PU sinh (ε C (i )) + sin (η P (k ))
2 2
33
Chapitre 3 Résolution numérique
VηPV + VηNV
(V )
η eu =
2
VηWV + VηWNV
(V )
η wu =
2
t + ∆t t + ∆t
Vε ∂h 2 ∂h 2 1 ∂h 2
2
nu eu 2 1 nu eu 2
• −∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = − ∫ ∫ Vε dε dη
Re h 1 h 2 h 1 h 2 ∂ε ∂ε 1 2 ∂ε
su wu su wu Re h h
t t − ∆t
2 1 ∂h 2 1 ∂h 2
2
nu eu nu eu 2
= −2 ∫ ∫wu Re h 1 h 2 ∂ε Vε dε dη + ∫su ∫wu Re h 1 h 2 ∂ε Vε dε dη
su
4 ∂h 2 Vε
t − ∆t
dε n ∆η P + 2 ∂h 2 Vε
t 2 2
=− dε n ∆ η P
Re ∂ε h 1 h 2
PU Re ∂ε h 1 h 2
PU
= B11
Avec :
1 ∂h2 2
sinh 2 (ε C (i )) cosh 2 (ε C (i ))
=
h1 h2 ∂ε
PU [
sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η P (k ))
2
]
Les termes intégrés sont réarrangés dans une équation de discrétisation algébrique sous la forme
suivant :
(3-11)
Avec :
3(h 1 h 2 )PU dε n dη PU
AP = A N + AS + A E + A W +
2∆t
34
Chapitre 3 Résolution numérique
2 ∆η P
AN =
Re ∆ε N
2 ∆η P
AS =
Re ∆ε P
1 dε n
AE =
Re dη e
1 dε n
AW =
Re dη w
(3-12)
Avec
[(
B1 = 2 h 2 Vεt Vεt )
nu
(
− h 2 Vεt Vεt ) ]dη − [(h
su p 2 Vεt − ∆t Vεt − ∆t ) nu
(
− h 2 Vεt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dη
su
[(
B 2 = 2 h 1 Vηt Vεt )
eu
(
− h 1 Vηt Vεt ) ]dε
wu n [(
− h 1 Vηt − ∆t Vεt − ∆t )
eu
(
− h 1 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dε
wu n
∂h 2 ∂h 2
B 3 = −2 Vηt Vηt ⋅ dε n ⋅ ∆η P + Vηt − ∆t Vηt − ∆t dε n ∆ η P
∂ε PU ∂ε PU
∂h ∂h
B 4 = 2 Vεt Vηt 1 ⋅ dε n ⋅ ∆η P − Vεt − ∆t Vηt − ∆t 1 dε n ∆η P
∂η PU ∂η PU
4 Vεt ∂h 1 V t ∂h 1 2 Vεt − ∆t ∂h 1 V t − ∆t ∂h 1
B7 = − − ε
dε n +
− ε dε n
Re h 1 ∂η eu h 1 ∂η wu R e h 1 ∂η eu h 1 ∂η wu
2 ∂h 1 Vη Vt Vη V t − ∆t
t − ∆t
− η ∆η P − 1 ∂h 2
t
B8 = − η ∆η P
Re ∂η PU h 2
nu h 2 su Re ∂η PU h 2
nu h 2
su
35
Chapitre 3 Résolution numérique
2 ∂h 1 Vεt Vt 1 ∂h 1 Vεt − ∆t V t − ∆t
B9 = − η dε n − − ε dε n
Re ∂η PU h 1 h1
eu wu Re ∂η PU h 1
eu h 1
wu
B10 = −
4 1 ∂h 2
Re h 1 ∂ε
[( ) − (V ) ] dε
Vηt eu
t
η wu n +
2 1 ∂h 2
Re h 1 ∂ε
[(
Vηt − ∆t )
eu
(
− Vηt − ∆t ) ] dε
wu n
PU PU
4 ∂h 2 Vε
t − ∆t
dε ∆η + 2 ∂h 2 Vε
t 2 2
B11 = − dε n ∆η P
Re ∂ε h 1 h 2 Re ∂ε h 1 h 2
n P
PU PU
Avec :
1 ∂ (h1Vη Vη ) nv ev ∂ (h1Vη Vη )
t + ∆t
nv ev
•∫ ∫ h1 h2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
sv wv h1 h2 ∂η sv wv ∂η
∂ (h1Vη Vη ) ∂(h1Vη Vη )
t t − ∆t
nu eu nv ev
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫ dε dη
su wu ∂η sv wv ∂η
[(
= 2 h 1 Vηt Vηt )
ev
(
− h 1 Vηt Vηt ) ]∆ε − [(h V
wv p 1 η
t − ∆t
Vηt − ∆t )eu
(
− h 1 Vηt − ∆t Vηt − ∆t ) ]∆ε
wv P
= C1
Avec :
36
Chapitre 3 Résolution numérique
Vη PV + Vη EV
Vη =
ev 2
Vη PV + Vη EV
Vη =
wv 2
h1 wv
= sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η P (k ))
1 ∂ (h2VηVε ) nv ev ∂ (h2VηVε )
t + ∆t
nv ev
•∫ ∫ h1h2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
sv wv h1h2 ∂ε sv wv ∂ε
∂ (h2VηVε ) ∂ (h2VηVε )
t t − ∆t
nv ev nv ev
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫ dε dη
sv wv ∂ε sv wv ∂ε
[(
= 2 h 2 Vηt Vεt )nv
(
− h 2 Vηt Vεt ) ]dη − [(h
sv e 2 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) nv
(
− h 2 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dη
sv P
= C2
Avec :
Vε EU + Vε PU
Vε nv
=
2
Vε ESU + Vε SU
Vε sv
=
2
Vη NV + Vη PV
Vη =
nv 2
Vη PV + Vη SV
Vη =
sv 2
h2 nv
= sinh 2 (ε C (i )) + sin 2 (η C (k ))
h2 sv
= sinh 2 (ε C (i − 1)) + sin 2 (η C (k ))
37
Chapitre 3 Résolution numérique
nv ev 1 ∂h nv ev t + ∆t ∂h1
• −∫ ∫ Vε2 1 h1 h2 dε dη = − ∫ ∫ Vε2 dε dη
sv wv h1 h2 ∂η sv wv ∂η
nv ev ∂h1 nv ev t − ∆t ∂h
= −2 ∫ ∫ dε dη + ∫ ∫ Vε2
t
Vε2 1
dε dη
sv wv ∂η sv wv ∂η
∂h ∂h
= −2 Vεt Vεt 1 ∆ε P dη P + Vεt − ∆t Vεt − ∆t 1 ∆ε P dη P
∂η Pv ∂η Pv
= C3
Avec :
Vε Pv
=
1
4
[
Vε PU + Vε EU + Vε SU + Vε ESU ]
∂h t + ∆t ∂h
Vη Vε 2 h1h 2 dε dη = ∫ ∫ (Vε Vη )
1
•∫ ∫
nv ev nv ev
2
dε dη
sv wv h 1h 2 ∂ε sv wv ∂ε
∂h 2 t − ∆t ∂h 2
= 2∫ ∫ (V V ) dε dη − ∫ ∫ (Vε Vη )
nv ev t nv ev
ε η dε dη
sv wv ∂ε sv wv ∂ε
∂h 2 ∂h 2
= 2 Vεt Vηt ∆ε P dη e + Vεt − ∆t Vηt − ∆t ∆ ε P dη e
∂ε Pv ∂ε Pv
= C4
Avec :
∂h 2 sinh (ε P (i )) cos(ε P (i ))
=
∂ε Pv sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η C (k ))
38
Chapitre 3 Résolution numérique
t + ∆t
nv 1 ∂P
ev nv ev ∂P
• −∫ ∫wv h 2 ∂η h 1 h 2 dε dη = − ∫sv ∫wv h 1 ∂η dε dη
sv
= −h 1 Pv
(P
t + ∆t
E )
− PPt + ∆t ⋅ ∆ε P
Avec :
h1 Pv
= sinh 2 (ε P (i )) + sin(η C (k ))
t + ∆t
1 1 ∂ ∂Vη nv ev 1 ∂ ∂Vη
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nv ev
dε dη
sv wv R e h 1 h 2 ∂ε ∂ε
sv wv R
e ∂ε
∂ε
1 ∂Vη
t + ∆t t + ∆t
∂Vη
= − dη e
R e ∂ε ∂ε
nv sv
Avec :
∂Vη Vε NV − Vε PV
=
∂ε nv
dε n
∂Vη Vε PV − Vε SV
=
∂ε sv
dε P
t + ∆t
nv ev 1 2 ∂ ∂Vη nv ev 2 ∂ ∂Vη
•∫ ∫ h1h 2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
sv wv R e h1h 2 ∂η ∂η sv wv R ∂η ∂η
e
2 ∂Vη t + ∆t
∂Vη
t + ∆t
= − ∆ε P
Re ∂η ev
∂η wv
39
Chapitre 3 Résolution numérique
dηe η
. . . . . .
. . NE . Nv N . .
nv
WN
.
. . ev
E . Pv
P . wv
Wv
W . .
∆εp
sv
. . SE . Sv
S . WS . .
Avec :
∂Vε Vε EV − Vε PV
=
∂η ev
∆η e
∂Vε Vε PV − Vε WV
=
∂η wv
∆η w
t + ∆t
2 1 ∂ Vε ∂h 2 nv ev 2 ∂ Vε ∂h 2
•∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nv ev
dε dη
sv wv R e h 1 h 2 ∂η h 2 ∂ε sv wv R
e ∂η h 2 ∂ε
t t − ∆t
nv ev 2 ∂ Vε ∂h 2 nv ev 2 ∂ Vε ∂h 2
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫ dε dη
sv wv R e ∂η h 2 ∂ε sv wv R
e ∂η h 2 ∂ε
40
Chapitre 3 Résolution numérique
4 Vεt ∂h 2 V t ∂h 2 2 Vεt − ∆t ∂h 2 V t − ∆t ∂h 2
= − ε
∆ε P −
− ε ∆ε P
Re h 2 ∂ε ev h 2 ∂ε wv R e h 2 ∂ε
ev h 2 ∂ε
wv
= C5
Avec :
Vε EU + Vε ESU
Vε ev
=
2
Vε PU + Vε SU
Vε wv
=
2
1 ∂h 2 sinh (ε P (i )) cosh (ε P (i ))
=
h 2 ∂ε ev sinh (ε P (i )) + sin (η P (k + 1))
2 2
1 ∂h 2 sinh (ε P (i )) cosh (ε P (i ))
=
h 2 ∂ε wv sinh (ε P (i )) + sin (η P (k ))
2 2
t + ∆t
2 1 ∂ Vη ∂h 2 2 ∂ Vη ∂h 2
• −∫ ∫ h 1 h 2 dε dη = − ∫ ∫
nv ev nv ev
dε dη
sv wv R e h 1 h 2 ∂ε h 2 ∂η sv wv R
e ∂ε h ∂η
2
t t − ∆t
2 ∂ Vη ∂h 2 2 ∂ Vη ∂h 2
=−2∫ ∫ dε dη + ∫ ∫
nv ev nv ev
dε dη
sv wv R e ∂ε h 2 ∂η sv wv R
e ∂ε h 2 ∂η
= C6
Avec :
Vε NV + Vε PV
Vη =
nv 2
Vε PV + Vε SV
Vη =
sv 2
41
Chapitre 3 Résolution numérique
1 ∂h 2 sinh (ε C (i )) cosh(ε C (i ))
=
h 2 ∂ε nv sinh (ε C (i )) + sin (η C (k ))
2 2
t + ∆t t + ∆t
nv ev 1 1 ∂ ∂ V nv ev 1 ∂ ∂ Vε
•∫ ∫wv Re h1 h2 ∂ε h2 ∂η hε1 h1h2 ⋅ dε dη = ∫ ∫wv Re ∂ε h2
∂η h dε dη
sv
sv
1
t t − ∆t
1 ∂ ∂ Vε nv ev 1 ∂ ∂ Vη
= 2∫ ∫wv Re ∂ε dε dη − ∫ ∫
nv ev
h2 h1 dε dη
∂η h sv wv Re ∂ε ∂η h
sv
1 1
= C7
Avec :
Vε V
− η
V
h 2 ∂ ε = (h 2 )nv h 2 EU h 2 PU
∂η h dη e
1 nv
Vε Vη
−
∂ Vε h 2 ESU h 2 PU
∂η h = (h 2 )sv
h2
dη e
1 sv
42
Chapitre 3 Résolution numérique
t + ∆t t + ∆t
nv 1 1 ∂ Vη
ev ∂h 2 nv ev 1 ∂ Vη ∂h 2
•∫ ∫wv Re h 1 h 2 ∂ε h 2 h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫ dε dη
∂ε sv wv Re ∂ε h ∂ε
2
sv
t t − ∆t
nv 1 ∂ Vη
ev ∂h 2 nv ev 1 ∂ Vη ∂h 2
= 2∫ ∫wv Re ∂ε h 2 dε dη − ∫ ∫ dε dη
∂ε sv wv Re ∂ε h ∂ε
2
sv
2 ∂h 2 Vη Vt V t − ∆t
− η dη e − 1 ∂h 2 η
V t − ∆t
t
= − η dη e
Re ∂ε PV h 2
nv h 2 sv Re ∂ε PV h 2
nv h 2
sv
= C8
Avec :
VηPV + VηNV
Vη =
nv 2
VηPV + VηSV
Vη =
sv 2
∂h 2 sinh (ε P (i )) cosh(ε P (i ))
=
∂ε PV sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η C (k ))
1 1
=
h2 nv sinh (ε C (i )) + sin 2 (η C (k ))
2
Vη 1
=
h
2 sv sinh (ε C (i − 1)) + sin 2 (η C (k ))
2
43
Chapitre 3 Résolution numérique
t + ∆t t + ∆t
1 1 ∂ Vε ∂h 2 nv ev 1 ∂ Vε ∂h 2
•∫ ∫wv Re h 1 h 2 ∂η h 1 h 1 h 2 dε dη = ∫ ∫
nv ev
d ε dη
∂ε sv wv Re ∂η h ∂ε
sv
1
t t − ∆t
1 ∂ Vε ∂h 2 nv ev 1 ∂ Vε ∂h 2
= 2∫ ∫ dε dη − ∫ ∫
nv ev
dε dη
sv wv Re ∂η ∂ ε sv wv Re ∂η ∂ε
1
h 1
h
2 ∂h 2 Vε Vη 1 ∂h 2 Vε Vεt − ∆t
t t t − ∆t
= − ∆ε P − − ∆ε P
Re ∂ε PV h 1 ev h 1 Re ∂ε PV h 1 ev h 1
wv
wv
= C9
Avec :
VεESU + VεEU
Vε ev
=
2
VηPU + VηSU
Vε wv
=
2
∂h 2 sinh (ε P (i )) cosh (ε P (i ))
=
∂ε Pv sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η C (k ))
1 1
=
h2 ev sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η P (k + 1))
Vη 1
=
h2 sv sinh 2 (ε P (i )) + sin 2 (η P (k ))
t + ∆t t + ∆t
2 1 1 ∂V ∂h1 nv ev 2 1 ∂V ∂h1
• −∫ ∫wv Re h1h 2 h1 ∂εε h1h 2 dε dη = − ∫ ∫
nv ev
ε dε dη
sv ∂η sv wv Re h1 ∂ε ∂η
t t − ∆t
nv 2 1 ∂V ∂h
ev nv ev 2 1 ∂V ∂h1
= −2 ∫ ∫wv Re h1 ∂εε ∂η1 dε dη + ∫sv ∫wv Re h1 ∂εε dε dη
sv ∂η
4 1 ∂h 1 2 1 ∂h 1
=− Vεt
Re h 1 ∂η Pv
[( ) − (V ) ]dη
nv
t
ε sv e +
Re h1 ∂η Pv
[(
Vεt − ∆t ) − (V ) ]dη
nv ε
t − ∆t
sv e
= C 10
44
Chapitre 3 Résolution numérique
Avec
1 ∂h 2 sinh (η C (k )) cosh(η C (k ))
=
h 1 ∂ε Pv sinh (ε P (i )) + sin (η C (k ))
2 2
Vε PU + Vε EU
(Vε )nv =
2
Vε SU + Vε ESU
(Vε )sv =
2
t + ∆t 2 t + ∆t
nv 2 1
ev Vη ∂h 1 ∂h 1 nv ev 2 1 ∂h 1
• −∫ ∫wv Re h 1 h 2 h 1 h 2 dε dη = − ∫ ∫ Vη dε dη
h 1 h 2 ∂η ∂η ∂η
sv sv wv Re h h
1 2
2 t t − ∆t
nv 2 1
ev ∂h 1 nv ev 2 1 ∂h 1
= −2 ∫ ∫wv Re h 1 h 2 Vη dε dη + ∫ ∫ Vη dε dη
sv
∂η sv wv Re h 1 h 2 ∂η
4 ∂h 1 Vη V t − ∆t
2 2
∆ε dη + 2 ∂h 1 η ∆ε dη
t
=−
Re ∂η h 1 h 2 Re ∂η h 1 h 2
P e P e
Pv Pv
= C11
Avec :
= sinh (η C (k )) cosh (η C (k ))
1 ∂h 1
2
2 2
h 1h 2
∂η [
Pv sinh (ε P (i )) + sin (η C (k ))
2 2 2
]
Les termes intégrés sont réarrangés dans une équation de discrétisation algébrique sous la forme
suivant :
Avec :
3(h1h 2 )Pv ∆ε P dη e
A P = A N + AS + A E + A W
2∆t
1 dη e
AN =
Re dε n
45
Chapitre 3 Résolution numérique
1 dη e
AS =
Re dε s
2 ∆ε P
AE = (3-14)
Re ∆η e
2 ∆ε n
AW =
Re ∆η w
2∆t
Avec
[(
C1 = 2 h 1 Vηt Vηt )ev
(
− h 1 Vηt Vηt ) ]∆ε − [(h V
wv p 1 η
t − ∆t
Vηt − ∆t )
eu
(
− h 1 Vηt − ∆t Vηt − ∆t ) ]∆ ε
wv P
[(
C 2 = 2 h 2 Vηt Vεt ) nv
(
− h 2 Vηt Vεt ) ]dη − [(h
sv e 2 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) nv
(
− h 2 Vηt − ∆t Vεt − ∆t ) ]dη
sv P
∂h ∂h
C 3 = −2 Vεt Vεt 1 ∆ε P dη P + Vεt − ∆t Vεt − ∆t 1 ∆ε P dη P
∂η Pv ∂η Pv
∂h 2 ∂h 2
C 4 = 2 Vεt Vηt ∆ε P dη e + Vεt − ∆t Vηt − ∆t ∆ε P dη e
∂ε Pv ∂ε Pv
C6 = − −
R e h 2 ∂η h 1 ∂η
sv R e h 1 ∂η h ∂η
1 sv
nv nv
2 ∂ Vε
t
∂ Vε
t
1 ∂ Vεt − ∆t ∂ Vεt − ∆t
C7 = h2 −h2 dη e − h − h 2 dη e
Re ∂η h 1 ∂η h 1 Re ∂η h 1
nv ∂η h 1
2
nv sv sv
46
Chapitre 3 Résolution numérique
2 ∂h 2 Vεt Vt 1 ∂h 2 Vεt − ∆t V t − ∆t
C9 = − η ∆ε P − − ε ∆ε P
Re ∂ε PV h 1 h1
ev wv Re ∂ε PV h 1
ev h 1
wv
4 1 ∂h 1 2 1 ∂h 1
C10 = − Vεt
Re h 1 ∂η Pv
[( )nv
( ) ]dη
− Vεt sv e +
Re h 1 ∂η Pv
[(
Vεt − ∆t )
nv
(
− Vεt − ∆t ) ]dη
sv e
4 ∂h 1 Vη V t − ∆t
2 2
∆ε dη + 2 ∂h 1 η ∆ε dη
t
C11 = −
Re ∂η h 1 h 2 Re ∂η h 1 h 2
P e P e
Pv Pv
Pour Vε :
On a : Vε = 0
AP = 1 , AE = AW = AN = AW = 0
S =0
Pour Vη :
∂ Vη
On a : =0
∂ε
AP = AN = 1 , AW = AE = AS = 0
S' = 0
Ø A la frontière externe ( ε = ε e )
Pour Vε = 0 :
AP = 1 , AE = AW = AN = AS = 0
sinh( ε e ) cos (η ) λ (ε e )
S= 1 −
h1* λ (ε i )
Pour Vη :
AP = 1 , AE = AW = AN = AS = 0
47
Chapitre 3 Résolution numérique
cosh( ε e ) sin(η ) µ (ε e )
S' = − 1 +
h*2 λ (ε i )
Pour Vε et Vη :
On a : Vε = Vη = 0
AP = 1 , AE = AW = AN = AS = 0
S = S' = 0
Ø A la frontière externe ( ε = ε e )
Pour Vε = 0 :
AP = 1 , AE = AW = AN = AS = 0
sinh( ε e ) cos(η ) λ (ε )
S= 1 −
λ (ε i )
*
h1
Pour Vη :
AP = 1, A E = A W = A N = AS = 0
cosh(ε e ) sin (η ) µ (ε )
S' = − 1 +
h2* λ (ε i )
( )
∧
Vε PU = Vε n = V ε n + d n PP − PN
( )
∧
Vε SU = Vε s = V ε s + d s PS − PP
(3-15)
( )
∧
Vη PV = Vη e = V η e + d e PP − PE
( )
∧
Vη WV = Vη w = V η w + d w PW − PP
48
Chapitre 3 Résolution numérique
∧ t + ∆t ∧ t + ∆t ∧ t + ∆t ∧ t + ∆t
Les pseudo vitesses : V ε n , V ε s , V η e et V η w sont les composantes de vitesse déterminées avec
des sources qui ne contiennent pas les termes de pression, et sont données par les expressions
suivantes :
∧ t + ∆t
Vε n =
∑ AV t + ∆t
i εi +S
=
+ ∆t
AE VεtEU + ∆t
+ AW VεtWU + ∆t
+ AN Vεt NU + ∆t
+ AS VεtSU +S
AP AP
∧ t + ∆t
Vε s =
∑ AV t + ∆t
i εi +S
=
+ ∆t
AE VεtEU + ∆t
+ AW VεtWU + ∆t
+ AN Vεt NU + ∆t
+ AS VεtSU +S
AS AS
∧ t + ∆t
Vη e =
∑ AV i
t + ∆t
ηi +S '
=
AE V t + ∆t
η EV + AW V t + ∆t
η WV + AN Vηt +NV∆t + AS Vηt +SV∆t + S '
AP AP
∧ t + ∆t
Vη w =
∑ AV i
t + ∆t
ηi + S'
=
AE Vηt +EV∆t + AW Vηt WV
+ ∆t
+ AN Vηt +NV∆t + AS Vηt +SV∆t + S '
AW AW
h2 ∆η P
dn = PU
AP
h2 ∆η P
ds = PU
AS
h 1 PV ∆ε P
de =
AP
h1 ∆ε P
dw = PV
AW
Pour obtenir une équation de discrétisation de la pression on remplace les équations des vitesses (3-
15) dans l’équation de continuité discrétisée (3-10):
(h 2 )n
∧ t + ∆t
(
V ε n + d n PPt + ∆t − PNt + ∆t ) ∧ t + ∆t
(
− (h 2 )s V ε s + d s PSt + ∆t − PPt + ∆t ) ∆η P +
(h 1 )e
∧ t + ∆t
(
V η e + d e PPt + ∆t − PEt + ∆t ) − (h ) 1 w
∧ t + ∆t
(
V η w + d w PWt + ∆t − PPt + ∆t ) ∆ε P =0
D’où :
49
Chapitre 3 Résolution numérique
Avec :
AN = (h2 )n d n ∆η P
AS = (h2 )s d s ∆η P
AE = (h1 )e d e ∆ε P
AW = (h1 ) w d w ∆ε P (3-17)
∧ t + ∆t ∧ t + ∆t ∧ t + ∆t ∧ t + ∆t
S = (h2 )s ⋅ V ε s − (h2 )n ⋅ V ε n ∆η P + (h1 )w ⋅ V η w − (h1 )e ⋅ V η e ∆ε P
"
(3-18)
Avec un champ de vitesse estimé on peut calculer les pseudo vitesse, utilisé dans la source (3-18) et
obtenir une estimation du champ de pression P * . On utilise cette estimation de pression dans les
équations (3-11), (3-13) pour obtenir une estimation du champ de vitesse Vε* ,Vη* : ( )
(
AnVε*n = ∑ Ai Vε*i + a n PP* − PN* )
(
AsVε*s = ∑ AiVε*i + a s PS* − PP* )
(3-19)
AeV = ∑ AiV + a e P − P
*
ηe
*
ηi ( *
P
*
E )
(
AwVη*w = ∑ Ai Vη*i + a w PW* − PP* )
En utilisant l’équation de pression (3-16) pour déterminer le champ de pression qui permettra le
calcul du champ de vitesse. Cependant, ce champ n’a pas les valeurs exactes satisfaisant les critères
de convergence, mais des vitesses qualifiées d’initiales.
Donc, pour converger vers l’écoulement exact, il faut corriger le champ initial, et par conséquent,
chaque variable s’écrit comme suit :
Vε = Vε* + Vε'
P = P* + P'
Vε' , Vη' , P ' : Les corrections de la vitesse suivant ε , la vitesse suivant η et la correction de
pression respectivement.
50
Chapitre 3 Résolution numérique
(
Vε' n = d n PP' − PN' )
(
Vε' s = d s PS' − PP' )
(3-22)
V = de P − P
'
ηe ( P
'
E
'
)
(
Vη' w = d w PW' − PP' )
Et donc le champ de vitesse s’écrit comme suit :
(
Vε n = Vε*n + d n PP' − PN' )
(
Vε s = Vε*s + d s PS' − PP' )
(
Vε e = Vε*e + d e PP' − PE' )
(
Vε w = Vε*w + d w PW' − PP' ) (3-23)
Le champ de vitesse dans le système (3-23) doit satisfaire l’équation de continuité. En introduisant
ce champ de vitesse dans l’équation de continuité, on obtient l’équation de correction de pression
discrétisée suivante :
AP PP' = AN PN' + AS PS' + AE PE' + AW PW' + S "' (3-24)
Les coefficients AP , AN , AS , AE , AW sont les même que ceux de l’équation de pression (3-16) mais la
51
Chapitre 3 Résolution numérique
( ) (
S"' = (h 2 )s Vε*s − (h 2 )n Vε*n ∆η P + (h 1 )w Vη*w − (h 1 )e Vη*e ∆ε P )
AP ( i , k )Φ i ,k = AN ( i , k )Φ i +1 ,k + AS ( i , k )Φ i −1,k + AE ( i , k )Φ i ,k +1 + AW ( i , k )Φ i ,k −1 + S( i , k )
(3-26)
Les coefficients A sont des matrices pentagonales. Ce système est transformé en un système à
matrice tri diagonale dans chaque direction.
Suivant ε :
AP Φ P = AN Φ N + AS Φ S + S * (3-27)
Avec :
S * = AE Φ E + AW Φ W + S (3-28)
Ce système d’équations peut être résolu par l’algorithme de Thomas. La solution obtenue est
notée Φ * .
Suivant η :
AP Φ P = AE Φ E + AW Φ W + S ** (3-29)
Avec :
S ** = AN Φ N + AS Φ S + S (3-30)
Ce système d’équations peut être résolu par l’algorithme tri diagonal cyclique. La solution
obtenue est notée Φ ** .cette dernière est la solution obtenue après les deux balayages.
52
Chapitre 3 Résolution numérique
a i , bi et c i sont des coefficients, d i comprend les termes de source. On suppose que la relation
Φ i = Pi Φ i +1 + Q I (3-32)
Donc :
Φ i −1 = Pi −1 Φ i + Qi −1 (3-33)
Donc :
bi
PI = (3-35)
a i − c i PI −1
d i + c i Qi −1
Qi = (3-36)
a i − c i Pi −1
Par définition :
c i = 0, bil = 0 (3-37)
On doit avoir :
Pil = 0 (3-38)
Avec :
b
P1 = 1 (3-39)
a1
d1
Q1 = (3-40)
a1
53
Chapitre 3 Résolution numérique
1)- initialiser une estimation de champ de vitesse Vε, Vη au temps (t) et (t-∆t).
2)- calculer les coefficients des équations de discrétisation de Vε, Vη.
∧ ∧
3)- calculer les pseudo vitesses V ε , V η par les équations de discrétisation des quantités de
mouvement sans les termes de pression.
4)- utiliser les pseudo vitesse pour calculer la source de l’équation de pression.
5)- résoudre le système d’équation de pression et obtenir une estimation de pression P * .
6)- utiliser la pression estimée P * pour calculer le champ de vitesse estimé Vε* , Vη* .
7)- utiliser le champ de vitesse pour calculer la source de l’équation de pression est obtenir une
correction de pression P ' .
8)- résoudre l’équation de correction de pression et corriger le champ de vitesse.
9)- s’il n’y pas de convergence retourner à l’étape 2.
54
Chapitre 3 Résolution numérique
55
Chapitre 4
Résultats et discussion
Chapitre 4 Résultats et discussion
4. Résultats et discussion
Dans ce chapitre on présente les résultats de notre étude concernant les régimes
d’écoulement visqueux et incompressible, bidimensionnel sur un cylindre elliptique. En premier
lieu on considère, pour la validation du code de calcul, le cas de l’écoulement non visqueux où la
répartition de la vitesse est analytiquement connue. Dans la deuxième partie on expose les
résultats de l’écoulement visqueux avec le cas AR=3.5 et Reynolds entre 10 et 280 et on fait la
comparaison avec les résultats numériques obtenus par S. A. Johnson et al. [12]. Tous les cas
sont effectués pour un pas de temps ∆t = 10 −3 avec un nombre total d’itérations atteignant 4.3106
itérations. Pour exécuter les calculs itératifs, on a utilisé un PC Pentium 4 avec un processeur
d’une fréquence de 2.8 GHz et une mémoire RAM de 250 Mo. Pour la représentation graphique
de nos résultats on a utilisé les logiciels de graphisme ORIGIN 6.0 et TECPLOT 9.0.
dX B
Avec β = arctg et Γ =
dY A
En effectuant les transformations de cet angle β en coordonnées elliptiques ainsi que les
différences d’orientation de l’angle β par rapport à η , on peut comparer le profil cité avec notre
résultat. La figure 4.1 compare les deux profils des vitesses, analytique et numérique. Ils sont en
très bon accord, validant ainsi notre code.
56
Sommaire
Nomenclature
Introduction générale 1
Chapitre 1 Etude bibliographique 2
1.1 Etudes théoriques ……………………………………………………………………………. 2
1.1.1 Etudes analytiques …………………………………………………………………... 2
1.1.2 Etudes numériques …………………………………………………………………... 3
1.2 Etudes expérimentales ………………………………………………………………………. 7
1.3 Conclusion et objectif de notre travail ………………………………………………………. 9
Chapitre 2 Modélisation mathématique 11
2.1 Géométrie du système ……………………………………………………………………… 11
2.2 Les coordonnées elliptiques ………………………………………………………………... 11
2. 3 Le modèle mathématique ………………………………………………………………..... 13
2. 3.1 Les hypothèses de travail ………………..………………………………………… 13
2. 3.2 Equations de conservation …………………..…………………………………….. 13
2. 3.3 Conditions aux limites …………..………………………………………………… 14
2.4 Forme adimensionnelle des équations ……………………………………………………... 16
2. 4.1 Equations de conservation adimensionnelles ……………………………………… 17
2.4.2 Les conditions aux limites adimensionnelles ……………………………………… 18
Chapitre 3 Résolution numérique 20
3.1 La méthode numérique de résolution ………………………………………………………. 20
3.1.1 Maillage …………………………………………………………………………….. 20
3.2 La discrétisation des équations …………………………………………………………….. 22
3.2.1 La discrétisation temporelle au second ordre ……………………………………… 22
3.2.2 La discrétisation spatiale au second ordre …………………………………………. 23
3.3 Discrétisation des équations modélisantes ………………………………………………… 24
3.3.1 Discrétisation de l’équation de continuité ……………………..………………….. 24
3.3.2 Discrétisation de l’équation de quantité de mouvement suivant ε ……..…………. 25
3.3.2.1 Discrétisation du terme temporel ………………………………………… 25
3.3.2.2 Discrétisation des termes convectifs …………………………………….. 26
3.3.2.3 Discrétisation des deux premier termes diffusifs et du terme de pression .. 28
3.3.2.4 Discrétisation des autres termes ………………………………………….. 30
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,4 1,4
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
|Vη|
0,6 0,6
0,4 0,4
Profil numérique
Profil théorique
0,2 0,2
0,0 0,0
0 1 2 3 4 5 6 7
57
Chapitre 4 Résultats et discussion
58
Chapitre 4 Résultats et discussion
59
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
0,6 0,6
0,4 0,4
0,2 0,2
CP
0,0 0,0
-0,2 -0,2
-0,4 -0,4
-0,6 -0,6
-0,8 -0,8
0 1 2 3 4 5 6 7
60
Chapitre 4 Résultats et discussion
61
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.8 : Ecoulement transitoire obtenu par notre code de calcule pour AR=2 et Re=37.
62
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.9 : Ecoulement stationnaire avec 2-vortex pour AR=2 et Re=40 [12].
Figure 4.10 : Ecoulement stationnaire avec 2-vortex obtenu par notre code de calcule pour
AR=2 et Re=30.
63
Chapitre 4 Résultats et discussion
La figure 4.11 illustre le champ de pression et les vecteurs de vitesse autour de l’ellipse. On
remarque que le champ de pression est symétrique par rapport à l’axe horizontal de l’ellipse. La
pression maximale se localise au bord d’attaque et elle diminue suivant la direction de
l’écoulement jusqu’au bord de fuite. L’observation générale indique que l’écoulement derrière
l’ellipse est stationnaire et parfaitement symétrique avec 0-vortex. La figure 4.12 est un
agrandissement autour de l’ellipse. La variation du coefficient de pression sur la surface de
l’ellipse comme l’illustre la figure 4.13 montre que le maximum Cp=2.28 est situé au bord
d’attaque et diminue jusqu’à atteindre le minimum Cp=-0.741 au bord de fuite.
La figure 4.14 illustre la variation du coefficient de frottement local sur la surface de l’ellipse.
On constate que le Cf prend une valeur nulle au bord d’attaque (η = π ). A partir du bord
d’attaque il augmente graduellement jusqu’au points η=2.828 et η=3.43 pour atteindre son
maximum Cf=1.20. Puis il diminue jusqu’à Cf=0 au bord de fuite.
64
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.12 : Agrandissement du champ de pression et les vecteurs de vitesse pour Re=10
0 1 2 3 4 5 6 7
2,5 2,5
2,0 2,0
1,5 1,5
1,0 1,0
CP
0,5 0,5
0,0 0,0
-0,5 -0,5
-1,0 -1,0
0 1 2 3 4 5 6 7
65
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,4 1,4
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
0,6 0,6
CF
0,4 0,4
0,2 0,2
0,0 0,0
-0,2 -0,2
0 1 2 3 4 5 6 7
0,7 0,7
0,6 0,6
0,5 0,5
Vε
0,2 0,2
20 40 60 80 100 120 140 160
66
Chapitre 4 Résultats et discussion
Dans La figure 4.15 on présente la variation temporelle de la vitesse pour quelques points du
domaine. La figure montre l’existence d’un champ oscillatoire non harmonique pour des temps
courts (t<20), mais plus on marche dans le temps, l’amplitude des oscillations s’amortit et
s’annule quand l’écoulement atteint le régime permanent.
D’après la figure 4.18 on remarque que le coefficient de pression prend une valeur maximale
Cp=1.403 au bord d’attaque et diminue jusqu’à une valeur minimale Cp=-0.454 aux point
η=1.567 dans la surface supérieure et η=4.716 dans la surface inférieure. Entre ces points et le
bord de fuite elle augmente jusqu’à Cp=-0.3.
67
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.17 : Agrandissement du champ de pression et les lignes de courant pour Re=50
68
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,5 1,5
1,0 1,0
0,5 0,5
CP
0,0 0,0
-0,5 -0,5
0 1 2 3 4 5 6 7
Dans la figure 4.19 on présente les variations temporelles de la vitesse suivant la direction ε pour
quelques points. Au début, on remarque de faibles variations de la vitesse jusqu’à t = 23 . Pour
des temps supérieures, les vitesses points seront stables et permanentes. Par conséquent
l’écoulement est stable.
Sur la figure 4.20 on illustre la variation du coefficient de frottement local suivant la surface de
l’ellipse. Au bord d’attaque (η = π ) le coefficient de frottement local est nul puis il augmente
jusqu’à la valeur maximale Cf=0.552 aux points η=2.852 et η=3.431. Aux points η=0.211 et
η=6.028, qui désignent les points de découlement de la couche limite où le gradient de la vitesse
égal à zéro le Cf est nul. Au-dessus de ces points où le gradient de vitesse est négatif le Cf prend
la valeur minimale égale à Cf=-0.0032 aux point η=0.073 et η=6.154. Puis il augmente jusqu’au
bord de fuite.
69
Chapitre 4 Résultats et discussion
0,9 0,9
0,8 0,8
0,7 0,7
0,6 0,6
Vε
0,5 0,5
Vε(25,10)
0,4 Vε(25,15) 0,4
Vε(25,20)
Vε(25,25)
0,3 0,3
0 1 2 3 4 5 6 7
0,6 0,6
0,5 0,5
0,4 0,4
0,3 0,3
CF
0,2 0,2
0,1 0,1
0,0 0,0
-0,1 -0,1
0 1 2 3 4 5 6 7
70
Chapitre 4 Résultats et discussion
La variation du coefficient de pression sur la surface de l’ellipse est illustrée dans la figure 4.24.
On constate que le maximum Cp=1.17 se localise au bord d’attaque. Puis il diminue
graduellement jusqu’à -0.441 les points η=1.718 et η=4.537. Entre ces points et le bord de fuite il
augmente jusqu’à -0.2.
71
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.22 : Agrandissement du champ de pression et les lignes de courant pour Re=150
72
Chapitre 4 Résultats et discussion
0,9 0,9
0,8 0,8
0,7 0,7
Vε
0,6 0,6
Vε(25,5)
0,5 0,5
Vε(25,10)
Vε(25,15)
0,4 0,4
Vε(25,20)
Vε(25,25)
0,3 0,3
Le champ de vitesse montre au début (t<23) un champ oscillatoire non harmonique. A partir de
t = 23 les oscillations s’amortissent et le champ de vitesse en tous points devient permanent,
comme le montre la figure 4.23, et par conséquence le régime est stable.
Dans la figure 4.25 on présente la distribution du coefficient de frottement local sur la surface de
l’ellipse. Il atteint son maximum (Cf=0.332) aux points η=2.864 et η=3.416, et diminue
graduellement jusqu’à une valeur nulle aux points de décollement η=0.543 et η=5.737. Il
continue à diminuer pour atteindre son minimum (Cf=-0.011) aux points η=0.175 et η=6.097.
Entre ces points et le bord de fuite il augmente. Au bord d’attaque le coefficient de frottement
local est nul.
73
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,4 1,4
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
0,6 0,6
0,4 0,4
CP
0,2 0,2
0,0 0,0
-0,2 -0,2
-0,4 -0,4
-0,6 -0,6
0 1 2 3 4 5 6 7
0 1 2 3 4 5 6 7
0,40 0,40
0,35 0,35
0,30 0,30
0,25 0,25
0,20 0,20
0,15 0,15
CF
0,10 0,10
0,05 0,05
0,00 0,00
-0,05 -0,05
-0,10 -0,10
0 1 2 3 4 5 6 7
74
Chapitre 4 Résultats et discussion
La pression maximale est au bord d’attaque. Le long de la surface de l’ellipse, la pression chute à
partir du bord d’attaque jusqu’aux points η=1.774 et η=4.481. Prés du bord de fuite et à l’aval de
cette dernière la distribution de la pression est asymétrique par rapport à l’axe horizontal de
l’ellipse. En ce qui concerne le coefficient de pression (figure 4.31), il est maximum (Cp=1.142)
au bord d’attaque et diminue progressivement jusqu'à la valeur Cp=-0.436 aux points η=1.774 et
η=4.481.
Dans la figure 4.32 on présente la distribution du coefficient de frottement local sur la surface de
l’ellipse. Il atteint son maximum (Cf=0.286) aux points η=2.864 et η=3.431, et diminue
graduellement jusqu’à une valeur nulle aux points de décollement η=0.640 et η=5.640. Il
continue à diminuer pour atteindre son minimum (Cf=-0.013) aux points η=0.186 et η=6.085.
Entre ces points et le bord de fuite il augmente. Au bord d’attaque le coefficient de frottement
local est nul.
75
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.26 : Le champ de pression et les lignes de courant pour Re=210 à t=800
Figure 4.27 : Agrandissement du champ de pression et les lignes de courant pour Re=210 à
t=800
76
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.28 : Agrandissement du champ de pression et les lignes de courant pour Re=210 à
t=900
Dans la figure 4.29, on représente les variations temporelles de quelques vitesses prés du bord de
fuite. On remarque que les variations sont dépendantes du temps (oscillatoire). Pour s’assurer
que les oscillations temporelles de l’écoulement sont physiques et non numériques, on a réduit le
pas du temps de ∆t = 10 −3 à ∆t = 5.10 −4 , on a constaté que les oscillations ne sont pas amorties.
Elles sont les mêmes avec les deux pas du temps. Les oscillations pour un temps inférieur à
t = 900 sont obtenues avec ∆t = 10 −3 , les autres sont obtenues avec ∆t = 5.10 −4 qui illustrent
clairement le mode instable de ce régime.
77
Chapitre 4 Résultats et discussion
0,08 0,08
0,07 0,07
0,06 0,06
0,05 0,05
Vε(5,5)
0,04 Vε(5,10) 0,04
Vε(5,15)
0,03 0,03
Vε
0,02 0,02
0,01 0,01
0,00 0,00
-0,01 -0,01
-4,5 -4,5
-5,0 -5,0
-5,5 -5,5
-6,0 -6,0
Log(E/N )
2
-6,5 -6,5
-7,0 -7,0
-7,5 -7,5
-8,0 -8,0
-8,5 -8,5
-9,0 -9,0
0,0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8
f
78
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
0,6 0,6
0,4 0,4
CP
0,2 0,2
0,0 0,0
-0,2 -0,2
-0,4 -0,4
-0,6 -0,6
0 1 2 3 4 5 6 7
0 1 2 3 4 5 6 7
0,30 0,30
0,25 0,25
0,20 0,20
0,15 0,15
CF
0,10 0,10
0,05 0,05
0,00 0,00
-0,05 -0,05
0 1 2 3 4 5 6 7
79
Chapitre 4 Résultats et discussion
La distribution spatiale de champ de pression est asymétrique par rapport à l’axe horizontal de
l’ellipse. La zone à haute pression se trouve prés du bord d’attaque. A partir de cette position, la
pression diminue progressivement jusqu’aux points η=1.774 et η=4.481 où le Cp est égal à -0.45.
Entre ces points et le bord de fuite elle augmente comme le montre la figure 4.35.
Le coefficient de pression Cp sur la surface de l’ellipse comme le montre la figure 3.35, atteint
son maximum qui est 1.13, sur le bord d’attaque, à partir de cette position le coefficient de
pression subit une diminution importante jusqu’aux points η=1.774 et η=4.481, où sa valeur est
Cp=-0.45. Entre ces points et le bord de fuite le Cp augmente.
Sur la figure 4.36 on illustre la variation du coefficient de frottement local suivant la surface de
l’ellipse. Au bord d’attaque le coefficient de frottement local est nul puis il augmente jusqu’à la
valeur maximale Cf=0.25 aux points η=2.864 et η=3.416. Aux points η=0.737 et η=5.530, qui
désignent les points de découlement le Cf est nul. Au-dessus de ces points le Cf prend les valeur
minimales Cf=-0.0132 au point η=0.129 et Cf=-0.0067 au point η=5.959. Puis il augmente
jusqu’au bord de fuite. On voit dans la figure 4.32 que la variation de Cf prés de bord de fuite est
asymétrique.
80
Chapitre 4 Résultats et discussion
Figure 4.33 : Le champ de pression et les lignes de courant pour Re=280 à t=450
Figure 4.34 : Agrandissement du champ de pression et les lignes de courant pour Re=280 à
t=450
81
Chapitre 4 Résultats et discussion
0 1 2 3 4 5 6 7
1,2 1,2
1,0 1,0
0,8 0,8
0,6 0,6
0,4 0,4
CP
0,2 0,2
0,0 0,0
-0,2 -0,2
-0,4 -0,4
-0,6 -0,6
0 1 2 3 4 5 6 7
0 1 2 3 4 5 6 7
0,30 0,30
0,25 0,25
0,20 0,20
0,15 0,15
CF
0,10 0,10
0,05 0,05
0,00 0,00
-0,05 -0,05
0 1 2 3 4 5 6 7
82
Chapitre 4 Résultats et discussion
L’analyse spectrale par la transformée rapide de fourrier de la vitesse Vε (5,5) comme illustrée
dans la figure 4.38 montre un fréquence dominante f=0.2748 qui désigné le nombre de Strouhal.
1,0 1,0
0,9 0,9
Vε(25,25)
Vε(25,20)
0,8 0,8
Vε(5,5)
Vε(5,10)
Vε
0,7 0,7
0,6 0,6
0,5 0,5
0,4 0,4
83
Chapitre 4 Résultats et discussion
-8 -8
-9 -9
Log(E/N )
2
-10 -10
-11 -11
-12 -12
-13 -13
84
Chapitre 5
Conclusion
3.3.3 Discrétisation d’équations de quantité de mouvement Suivant η ………………….. 36
3.3.3.1 Discrétisation du terme temporel ……………………………………….. 36
3.3.3.2 Discrétisation des termes convectifs ……………………………………. 36
3.3.3.3 Discrétisation des deus premier termes diffusifs et du terme de pression . 39
3.3.3.4 Discrétisation des autres termes ………………………………………… 40
3.3.4 Discrétisation des conditions aux limites ………………………………………… 47
3.3.4.1 le cas de l’écoulement non visqueux …………………………………… 48
3.3.4.2 le cas de l’écoulement visqueux ……………………………………….. 48
3.3.5 L’équation de discrétisation de la pression ………………………………. 48
3.4 Solution des systemes d’équations de discrétisation par la méthode de balayage ………. 52
3.4.1 La méthode de balayage ………………………………………………………….. 52
3.4.1.1 L’algorithme de Thomas ……………………………………………….. 53
3.5 L’algorithme SIMPLER …………………………………………………………………. 54
3.6 Structure du code de calcul ………………………………………………………………. 54
Chapitre 4 Résultats et discussion 56
4.1 L’écoulement non visqueux …………………………………………………………….. 56
4.1.1 Validation du code de la simulation numérique ………………………………… 56
4.1.2 Structure de l’écoulement ………………………………………………………. 57
4.1.3 Le champ de pression ……………………………………………………………. 59
4.2 L’écoulement visqueux ………………………………………………………………….. 61
4.2.1 Comparaison des résultats………………………………………………………… 61
4.2.2 Structure de l’écoulement ………………………………………………………… 64
4.2.2.1 L’écoulement à Re=10 …………………………………………………. 64
4.2.2.2 L’écoulement à Re=50 …………………………………………………. 67
4.2.2.3 L’écoulement à Re=150 ……………………………………………….. 71
4.1.2.4 L’écoulement à Re=210 ……………………………………………….. 75
4.2.2.5 L’écoulement à Re=280 ……………………………………………….. 80
Chapitre 5 Conclusion 85
Références 87
Résumé en arabe
Résumé en anglais
Résumé en français
Chapitre 5 Conclusion
5. Conclusion
avec l’apparition de deux vortex contra rotatifs dues au décollement de la couche limite. Ces
vortex se localisent entre les points de décollement et le bord de fuite, et leur longueur augmente
avec l’augmentation de nombre de Reynolds.
85
Chapitre 5 Conclusion
Avec l’augmentation du nombre de Reynolds à Re=210 qui est la valeur critique où le régime
instable commence à apparaître on obtient un écoulement asymétrique et spatialement ondulé
dans la zone de sillage. Les deux vortex sont alternés dans le temps avec un nombre de Strouhal
St=0.2075. A un nombre de Reynolds compris entre 220 et 280, le régime instable est devenu
plus fort. Les vortex se détachent et forment ce qu’on appelle les vortex détachés de Bénard-Von
Karman. Ce régime est caractérisé par un nombre de Strouhal St= 0.2748.
86
Références
Références
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Engineering: Proc N. A. S, Vol. 40, 1954.
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87
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boundary layer, Journal of Fluids and Structures (2000) 14, 697-709.
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elliptic cylinder. Canadian applied mathematics quarterly. Volume 8, Number 3, Fall 2000.
[19] W. A. Khan, J. R. Culham, M. M. Yovanovich, Fluid Flow Around and Heat Transfer
from Elliptical Cylinders: Analytical Approach. Journal of thermophysics and heat transfer. Vol
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88
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[23] R. Comolet, Mécanique expérimental des fluides. Tom II. 2éme édition, Masson, Paris.
[24] R. L. Panton, Incompressible Flow, John Wiley & Sons. Inc. pages 384-401.
89
Références
90
Résumé
Mots clés : cylindre elliptique/ volumes finis/ sillage/ tourbillon/ détachement des tourbillons/
rapport des axes/ nombre de Strouhal.
ﻣﻠﺨـﺺ
ﻓﻲ ﻫﺫﻩ ﺍﻟﺩﺭﺍﺴﺔ ﻨﻬﺘﻡ ﺒﺎﻟﺤل ﺍﻟﻌﺩﺩﻱ ﻟﻤﺴﺄﻟﺔ ﺍﻟﺠﺭﻴﺎﻥ ﺍﻟﻤﻨﻀﻐﻁ ﻭ ﺍﻟﻠﺯﺝ‚ ﺜﻨﺎﺌﻲ ﺍﻟﺒﻌﺩ ﺤﻭل ﺍﺴﻁﻭﺍﻨﺔ
ﺍﻫﻠﻴﺠﻴﺔ .ﻨﺜﺒﺕ ﻨﺴﺒﺔ ﺍﻟﻤﺤﺎﻭﺭ ﻟﻼﺴﻁﻭﺍﻨﺔ ﻋﻨﺩ 3.5ﻭﻨﻐﻴﺭ ﻋﺩﺩ ﺭﻴﻨﻭﻟﺩﺯ ﺒﻴﻥ 10ﻭ . 280ﺍﻟﻨﻤﻭﺫﺝ
ﺍﻟﺭﻴﺎﻀﻲ ﻟﻠﺠﺭﻴﺎﻥ ﻴﺘﻜﻭﻥ ﻤﻥ ﻤﻌﺎﺩﻻﺕ ﺍﻨﺤﻔﺎﻅ ﻜﻤﻴﺔ ﺍﻟﻤﺎﺩﺓ ﻭ ﻜﻤﻴﺔ ﺍﻟﺤﺭﻜﺔ .ﻟﺤل ﻨﻅﺎﻡ ﺍﻟﻤﻌﺎﺩﻻﺕ ﻏﻴﺭ
ﺍﻟﺨﻁﻴﺔ ،ﻨﺴﺘﻌﻤل ﻁﺭﻴﻘﺔ ﺍﻟﺤﺠﻭﻡ ﺍﻟﻤﻨﺘﻬﻴﺔ ﺩﻗﺘﻬﺎ ﻤﻥ ﺍﻟﺩﺭﺠﺔ ﺍﻟﺜﺎﻨﻴﺔ ﺒﺎﻟﻨﺴﺒﺔ ﻟﻠﻔﻀﺎﺀ ﻭﺍﻟﺯﻤﻥ .ﺍﻟﺤﻠﻭل
ﺍﻟﻌﺩﺩﻴﺔ ﺘﻅﻬﺭ ﺃﺭﺒﻌﺔ ﺃﻨﻤﺎﻁ ﻤﺨﺘﻠﻔﺔ ﻤﻥ ﺍﻟﺠﺭﻴﺎﻥ ﺤﻭل ﺍﻻﺴﻁﻭﺍﻨﺔ :ﻤﻥ ﺍﺠل ﻋﺩﺩ ﺭﻴﻨﻭﻟﺩﺯ ﺒﻴﻥ 10ﻭ 40
ﺍﻟﺠﺭﻴﺎﻥ ﻴﻜﻭﻥ ﻤﺴﺘﻘﺭﺍ ﻭ ﻤﺘﻨﺎﻅﺭﺍ ﺒﺎﻟﻨﺴﺒﺔ ﻟﻠﻤﺤﻭﺭ ﺍﻷﻓﻘﻲ ﻟﻼﺴﻁﻭﺍﻨﺔ .ﻤﻥ ﺍﺠل ﻋﺩﺩ ﺭﻴﻨﻭﻟﺩﺯ ﺒﻴﻥ 50
ﻭ 200ﺍﻟﺠﺭﻴﺎﻥ ﻴﻜﻭﻥ ﻤﺴﺘﻘﺭﺍ ﻤﻊ ﺩﻭﺍﻤﺘﻴﻥ ﺨﻠﻑ ﺍﻻﺴﻁﻭﺍﻨﺔ ﻨﺘﻴﺠﺔ ﺍﻨﻔﺼﺎل ﺍﻟﻁﺒﻘﺔ ﺍﻟﺤﺩﻴﺔ .ﻋﻨﺩ
ﺭﻴﻨﻭﻟﺩﺯ ﻴﺴﺎﻭﻱ ، 210ﺍﻟﺠﺭﻴﺎﻥ ﻴﺼﺒﺢ ﻏﻴﺭ ﻤﺴﺘﻘﺭ ﻤﻊ ﺍﻫﺘﺯﺍﺯﺍﺕ ﺘﻭﺍﻓﻘﻴﺔ :ﺍﻟﺩﻭﺍﻤﺘﻴﻥ ﻤﺘﻨﺎﻭﺒﺘﻴﻥ ﻓﻲ
.0.2075ﻤﻥ ﺍﺠل ﻋﺩﺩ ﺭﻴﻨﻭﻟﺩﺯ ﺒﻴﻥ 220ﻭ 280ﺍﻟﺩﻭﺍﻤﺘﻴﻥ ﻴﺴﺎﻭﻱ ﺍﻟﺯﻤﻥ ﻤﻊ ﻋﺩﺩ ﺴﺘﺭﻭﻫل
ﺘﻨﻔﺼﻼﻥ ﺍﻟﻭﺍﺤﺩﺓ ﺒﻌﺩ ﺍﻷﺨﺭﻯ ﺒﺴﺒﺏ ﻋﺩﻡ ﺍﺴﺘﻘﺭﺍﺭ ﻁﺒﻘﺔ ﺍﻟﻘﺹ .ﻋﺩﺩ ﺴﺘﺭﻭﻫل ﻓﻲ ﻫﺫﻩ ﺍﻟﺤﺎﻟﺔ ﻴﺴﺎﻭﻱ
.0.2748
ﺍﻟﻜﻠﻤﺎﺕ ﺍﻟﻤﻔﺘﺎﺤﻴﺔ :ﺍﺴﻁﻭﺍﻨﺔ ﺍﻫﻠﻴﺠﻴﺔ /ﺍﻟﺤﺠﻭﻡ ﺍﻟﻤﻨﺘﻬﻴﺔ /ﺍﻷﺜﺭ /ﺩﻭﺍﻤﺔ/ﺍﻨﻔﺼﺎل ﺍﻟﺩﻭﺍﻤﺎﺕ /ﻋﺩﺩ ﺴﺘﺭﻭﻫل.
Abstract
We consider the numerical simulation of the incompressible and viscous, two-dimensional flow
on an elliptic cylinder. We fixed the aspect ratio at AR=3.5 and one varies the Reynolds number
between 10 and 280. The flow is modelled by the differential equations with the derivative
partial of conservation of mass and conservation of the momentum, in the elliptic coordinates.
The finite volumes method’s employed for solved the equations of mathematical model. The
numerical solutions have appears four mode of flow around the ellipse: for Reynolds between 10
and 40 the flow is stationary with 0-vortex. For the Reynolds number between 50 and 20, the
flow is stationary with two vortices countered rotary in the wake due to the separation of
boundary layers. In Re=210, the flow becomes unstable with harmonic oscillations: The two
vortices are alternate in time with a Strouhal number equal to 0.2075. For Reynolds between 220
and the 280 vortices are detached one after the other because of the instability of the shearing
layer of the Strouhal number in this case equal to 0.2748.
Keywords: elliptic cylinder/ finite volumes/ wake/ vortex/ shedding vortex/ aspect ratio/
numbers of Strouhal.