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Diagnostic NDP
Diagnostic NDP
com/science/article/pii/S1878776220300261
Manuscript_8959b4b3210375f75c78a9c915b96e3c
37 : - Courriel : timothee.lenglet@aphp.fr
© 2020 published by Elsevier. This manuscript is made available under the Elsevier user license
https://www.elsevier.com/open-access/userlicense/1.0/
Mots clés : neuropathie périphérique; polyneuropathie ; électroneuromyographie ; biopsie de
strategy.
Résumé : La neuropathie périphérique (NP) est une situation clinique très fréquemment
rencontrée en routine, bien au-delà de la seule spécialité neurologique. Elle englobe un large
éventail de troubles affectant le système nerveux périphérique dans des patterns variés
renvoyant à plus d’une centaine d’étiologies. Certaines sont fréquentes, d’autres graves ;
toutes ne sont pas curables. Face à un patient suspect de NP, le neurologue devra préciser par
ligne sera proposé et bien souvent suffisant pour faire le diagnostic des NP les plus
nerveuse, sera recommandé selon les caractéristiques de la NP, son évolutivité, et un éventuel
contexte extra-neurologique.
far beyond the neurological specialty. It encompasses a wide range of disorders affecting the
peripheral nervous system in various patterns each referring to different etiologies. Facing a
patient with suspicion of PN, the neurologist will have to specify through anamnesis and
family or general context, etc.). A first line biological assessment will be proposed and very
often sufficient to diagnose the most frequent PN. In addition, an electroneuromyogram may
obvious cause. A second or even third line assessment, potentially including a nerve biopsy,
will be recommended depending on the characteristics of the NP, its evolution, and any extra-
neurological context.
Introduction
neurologie. Elle s’avère même bien souvent dépistable en l’absence de toute plainte clinique
NP. Dans la littérature, il est rapporté que 1% de la population générale serait touchée par une
NP et que cette prévalence atteindrait 7% après 65 ans [1]. En pratique établir un diagnostic
étiologique d’une NP peut se révéler difficile compte tenu de la variété de situations cliniques
rencontrées. Dès 2003 Péréon et coll. ont proposé un classement de l’ensemble des NP en
[2]. Il s’avère ainsi possible de placer sur un graphique à trois dimensions plusieurs dizaines
d’étiologies de NP. En découle un très large éventail d’examens diagnostiques allant d’une
génétique ou d’immunologie, voire invasifs comme la biopsie de nerf, justifiant que leur
réalisation soit confiée à des centres spécialisés. Pour autant examen clinique et interrogatoire
s’avèrent le plus souvent suffisants pour retenir le diagnostic étiologique d’une NP. A
contrario, près d’un tiers des NP demeurent sans cause identifiée, quelle que soit
bénigne. Aussi apparait-il essentiel d’établir une démarche diagnostique rationnelle face à une
NP, visant à guider la réalisation d’examens complémentaire et à baliser le recours à une prise
en charge spécialisée. Dans le texte qui suit, nous avons ainsi voulu poser les bases de
(Figure 1).
Stratégie clinique
d’appel classiques d’une NP. De principe, une atteinte des nerfs crâniens sera également
neuropathie peut également être dépistée via l’usage d’un monofilament de Nylon de calibre
5,07 en dépit d’une sensibilité très imparfaite. En pratique un examen clinique minutieux
convient en particulier d’insister sur l’importance d’une étude soigneuse des réflexes
Il convient ensuite de préciser la topographie des troubles. On distinguera ainsi le contexte des
neuropathies focales et mutifocales pour lesquelles le déficit neurologique peut prendre une
chronique (plus de six mois) de la NP constitue un temps primordial pour orienter son
méfier d’un effet de censure si l’un des parents est décédé pour une autre raison avant d’avoir
développé des symptômes. Le caractère héréditaire peut aussi être suspecté aussi du fait
d’antécédents médicaux dans l’enfance ou l’adolescence comme des entorses à répétition, une
renseignées.
De principe, la question d’une NP iatrogénique doit toujours être posée. Il s’agit le plus
Il est important de préciser si la NP est isolée ou si elle s’inscrit dans une maladie plus
générale. Cette dernière peut être connue et plus ancienne comme un diabète par exemple. La
neuropathie est alors une complication. Il peut s’agir d’une maladie pour laquelle l’atteinte du
nerf correspond à l’atteinte d’un tissu parmi d’autres comme dans certaines maladies auto-
immunes. La NP peut aussi la première manifestation d’une maladie qui atteindra à terme
- Examen ENMG
Toutes les NP n’appellent pas à la pratique d’un ENMG. Les recommandations HAS de 2007
certitude et/ou en cas de discordance entre le tableau clinique ou son évolution et l’étiologie
typique chez un sujet diabétique connu n’engage pas à la réalisation d’un ENMG (HAS,
2007). Cette restriction s’étend théoriquement également au contexte d’une PSD survenant
chez sujet éthylique chronique ou exposé à une chimiothérapie neurotoxique, mais il apparait
plus discutable chez eux de ne pas pratiquer ENMG visant à documenter la sévérité de la NP
et considérant qu’il s’agit là de patients à risque de présenter une NP d’une autre cause.
indiquant qu’il soit réalisé par un praticien qualifié à partir d’une demande correctement
renseignée. Si tel n’est pas le cas l’examinateur veillera à appréhender le contexte de cet
initial. Cela dit son déroulement que ce soit dans le choix des nerfs investigués ou des muscles
étudiés en détection à l’aiguille, découlera directement des données recueillies au cours même
de l’examen sans que l’on puisse dresser un examen standard applicable à toutes situations
cliniques.
Les enjeux de l’ENMG sont multiples : venir confirmer le fait d’une NP et l’hypothèse
arguments pour une pathologie de l’axone, de la myéline, une atteinte du neurone moteur
l’excitabilité nerveuse ; mesurer la sévérité de la NP (et donc son pronostic) ; et apporter des
arguments pour définir sa chronicité et son évolutivité, autant d’éléments qui conditionneront
L’ENMG permet ainsi de préciser la nature des fibres nerveuses atteintes et de conclure à une
neuropathie sensitive (seules les grosses fibres myélinisées sont enregistrables), sensitivo-
motrice et plus rarement motrice pure. Parfois la présentation est sensitive pure mais une
sont essentielles.
L’étude des vitesses de conduction motrice doit permettre de conclure quant au profil, axonal,
précises pour définir le profil axonal. Classiquement l’amplitude des potentiels d’action
prorata de la perte axonale. En cas d’atteinte axonale chronique, dans le cadre du processus de
réinnervation avec anatomiquement des intervalles entre les nœuds de Ranvier plus courts, les
vitesses de conductions pourront être ralenties sans jamais atteindre les critères de
myélinique est retenu abusivement, correspondant en fait à une atteinte axonale chronique
comme explicité ci-dessus. Il existe cependant des NP de vrai profil à la fois axonal et
tronculaires, proximales (ondes F), de l’allongement des latences distales et/ou de la mise en
démyélinisant), d’un pattern de démyélinisation très distal évocateur d’une neuropathie à IgM
formes distales de PIDC. Les signes de démyélinisation pourront également se limiter à des
aspects de blocs de conduction sur un ou plusieurs troncs nerveux traduisant une forme
multifocale de PIDC. Une atteinte sensitive pure de distribution non longueur dépendante
évoquera une neuronopathie sensitive [7]. Enfin, les données de l’ENMG devront toujours
être analysées en miroir des données cliniques. Ainsi, l’équation « importantes anomalies
ENMG » et clinique fruste (ENMG plus « malade » que le patient) doit faire évoquer une
neuropathie héréditaire.
nerfs moteurs médian, ulnaire, tibial et fibulaire avec enregistrement des vitesses de
conduction, des ondes F, et recherche de bloc de conduction jusqu’au point d’Erb. Le cas
échéant les index de latence terminale seront calculés [8]. En sensitif, l’étude portera au
minimum et bilatéralement sur les nerfs médian, ulnaire, radial et sural. L’examen à l’aiguille
enregistrera des muscles des loges jambières et des cuisses aux membres inférieurs, parfois la
ceinture pelvienne. Aux membres supérieurs, l’examen pourra porter sur des muscles distaux
(mains), des avant-bras ou plus proximaux encore. Ceci permettra de statuer sur la distribution
et au-delà. En effet, l’évolution objective des données ENMG sera également un élément
l’HAS a publié des recommandations pour la prise en charge diagnostique des neuropathies
périphériques [5]. Un bilan biologique de première ligne a été proposé incluant : une glycémie
à jeun à la recherche d’un diabète ; une numération formule sanguine à la recherche d’une
anémie, d’une macrocytose ou d’une hémopathie maligne ; des gamma-GT dans l’hypothèse
d’un alcoolisme chronique ; des transaminases dans l’hypothèse d’une hépatite ; une
une protéine C réactive ou une vitesse de sédimentation dans l’hypothèse d’un syndrome
inflammatoire ou d’une hémopathie maligne ; une TSH pour identifier une hypothyroïdie. En
2000, Magy et Vallat avaient proposé de doser la T4 en parallèle de la TSH. Ils réalisaient
aussi une électrophorèse des protéines sériques et une immunofixation de même qu’un dosage
de la vitamine B12 et une sérologie VIH [9]. Au final, on peut proposer raisonnablement
Dans le contexte le plus fréquemment rencontré en routine clinique d’un tableau de PSD, la
stratégie clinique et paraclinique de 1ère ligne décrite s’avèrera le plus souvent suffisante pour
axonale idiopathique chronique (PAIC) qui rend compte d’un tiers des NP. En l’absence de
biomarqueur d’une telle entité, on pourrait avoir tendance à considérer le diagnostic de PAIC
ainsi de pouvoir d’emblée dresser le profil type d’une PAIC. D’un point de vue clinique, il
s’agit d’une neuropathie dont l’incidence augmente avec l’âge et qui s’observe chez un sujet
de plus de 60 ans qui consulte au motif d’une sensation d’engourdissement débutant au niveau
des orteils avec diffusion insidieuse, lente en chaussettes. Au-delà le patient rapport volontiers
des dysesthésies vécues comme désagréables plus que véritablement douloureuse des
extrémités inférieures. On admet cependant une variante douloureuse avec l’implication des
l’ENMG dans ce contexte clinique d’une polyneuropathie sensitive distale isolée demeure
sujet à controverse, mais sa pratique demeure hautement recommandée [10]. Les anomalies
ENMG d’une PIAC se limitent volontiers à une déperdition axonale sensitive modérée et
L’évolutivité attendue au long cours d’une PAIC est celle d’une accentuation insidieuse des
C’est d’ailleurs un élément important à expliquer au patient qui craint en l’absence de cause
que sa NP puisse s’accompagner d’un handicap important. Cette faible évolutivité clinique
s’accompagne également d’une faible évolutivité ENMG. Il convient pour s’en assurer de
proposer un suivi clinique et ENMG avec un recul évolutif d’au moins 6 mois avant de se
Bilan de 2e ligne
Ce bilan sera proposé d’emblée en cas de la mise en évidence de l’un des drapeaux rouges
cliniques ou ENMG listés dans le tableau II mais également dans le contexte d’une NP
demeurée sans cause au terme du bilan de 1ère ligne et dont le suivi clinique/ENMG
consultation spécialisée.
Le diagnostic de PIDC est parfois simple, mais toutes les présentations ne sont pas classiques
doit s’envisager qu’après concertation avec un centre expert. D’un point de vue biologique
paranoeud comme par exemple les anticorps anti-NF155 ou les anticorps anti-Contactin1 qui
[13].
Le diagnostic génétique peut être proposé dans un contexte évocateur à la recherche d’une
neuropathie de Charcot Marie Tooth de type 1A (CMT1A) par duplication sur le gène de
PMP22. En effet, le tableau clinique de déficit moteur des loges jambières avec pieds creux et
ENMG démyélinisant peut faire rechercher cette neuropathie qui est la plus fréquente des
neurologiques qui orienteront la poursuite des investigations. Parmi les étiologies déjà
(sans signe digestif ni hématologique associé) et d’un dosage de vitamine B12 demeurant
pompe à protons au long cours, portage d’Helicobacter pylori chronique) sont plus fréquents
que la maladie de Biermer proprement dite. D’autres origines carentielles plus rares (déficit
Les investigations sont par ailleurs orientées par les principales causes de polyneuropathie
axonale évolutive acquise qu’il s’agisse d’une vascularite, d’une hémopathie, d’une amylose,
d’une protéinurie des vingt-quatre heures, et parfois d’un PET scanner au 18-
fluorodeoxyglucose.
D’un point de vue génétique la recherche d’une neuropathie amyloïde familiale (NAF) par
avec une NP douloureuse associé à une dysautonomie. Le constat d’une perte axonale
motiver une étude du gène de la TTR, au même titre que l’existence de signes en faveur d’une
Une neuropathie ataxiante de distribution plutôt longueur dépendante avec une atteinte
motrice distale des membres inférieurs au deuxième plan et un ENMG objectivant une
démyélinisation distale doit faire rechercher des anticorps anti-MAG. La neuropathie pourra
Ophtalmoplegia IgM paraprotein, cold Agglutins Disialosyls) sera recherché en dosant une
Des critères diagnostiques sont disponibles pour établir ce cadre qu’on évoquera devant une
atteinte sensitive pure non-longueur dépendante avec des potentiels d’action sensitif
d’amplitude diminuée [7]. Le mode d’installation peut être aigu ou subaigu dans un contexte
CV2/CRMP5. Le tableau peut être plus insidieux dans un cadre dysimmun de type syndrome
de Sjögren (anticorps antinucléaires, anti-SSA/-SSB), carentiel (vitamine B12) ou infectieux
(VIH, EBV). En cas d’évolution très chronique et/ou de discordance électro-clinique marquée
on évoquera une origine hérédo-dégénérative s’intégrant le plus souvent dans une atteinte
Les neuropathies restreintes aux petites fibres (NPF) ne sont pas authentifiées par l’ENMG et
peuvent imposer un recours aux potentiels évoqués laser ou à la biopsie cutanée pour mesure
être investigué par des tests neurophysiologiques (réflexe cutané sympathique, intervalle RR)
La présentation des NPF peut être non-longueur dépendante. Une atteinte des petites fibres
dépendante et en cas d’évolution vers une atteinte des grosses fibres le bilan rejoindra celui
Pour le reste les étiologies potentielles des NPF sont multiples. Parmi les causes acquises on
distingue : une origine dysimmunitaire dans le cadre d’un Sjögren, d’un lupus, de pathologies
diabète ou induite par une correction rapide du diabète, ou sur dysthyroïdie ; infectieuse
existe d'autres causes génétiques (canalopathies sodiques, Fabry, Tangier, cadre des HSAN)
que l’on évoquera surtout en cas d’histoire familiale, de début dans l’enfance, de
cause potentiellement traitable de NPF peut être identifiée chez un tiers à la moitié des
patients à partir des données de leur histoire clinique et d’un bilan biologique bien conduit
S’il s’agit d’une atteinte asymétrique sensitivo-motrice plus souvent que sensitive pure,
d’installation aiguë, douloureuse, isolée ou intégrée dans une maladie générale et que
l’ENMG confirme une atteinte axonale dans une distribution multi-tronculaire et asymétrique
plus souvent d’une vascularite source d’une ischémie nerveuse qu’il s’agisse d’une vascularite
nerf périphérique, une biopsie de nerf (voir le bilan de troisième ligne pour ses conditions de
réalisation) doit légitimement être proposée dès le bilan de deuxième ligne tenant compte de
En cas de neuropathie axonale asymétrique sans distribution tronculaire claire et/ou avec
doit faire suspecter une neuropathie motrice avec blocs de conduction. L’ENMG sera bien sûr
une pièce centrale du diagnostic pour la mise en évidence du trouble de conduction. Une IgM
anti-GM1 sera présente dans 40 à 60% des cas, et le diagnostic pourra également être étayée
par une imagerie plexique [22]. En cas d’altération de la conduction sensitive en regard de
Des atteintes tronculaires dans les suites du maintien même peu prolongé d’une position avec
un ENMG montrant des ralentissements des vitesses de conduction motrice dans les sites
doivent faire rechercher une neuropathie par hypersensibilité à la pression par délétion du
Bilan de 3e ligne
Biopsie de nerf
Ce geste invasif ne doit s’envisager que dans un centre spécialisé permettant l’étude standard
du tissu interstitiel des différentes tuniques du nerf (endonèvre, périnèvre, épinèvre), l’étude
contexte d’une polyneuropathie axonale évolutive dont le diagnostic n’aurait pu être établi en
dépit des bilans de 1ère et 2e ligne. Elle pourra en effet apporter un diagnostic étiologique
direct dans les pathologies touchant le tissu interstitiel. Ainsi la biopsie nerveuse peut
multi-organe (cœur, rein, foie, tube digestif, système nerveux autonome). Egalement elle
peut être restreinte au nerf. La biopsie de nerf peut confirmer également le mécanisme d’une
NP notamment dans le contexte d’une PIDC ne répondant pas aux traitements conventionnels
[11]. Un élargissement des gaines de myélines les plus périphériques voire un dépôt d’IgM
dans le nerf pourra apporter des arguments en faveur d’une neuropathie anti-MAG surtout si
le taux d’anticorps anti-MAG est peu élevé [17]. Enfin, la biopsie de nerf peut avoir sa place
Biologie
Il est difficile de conseiller un bilan biologique y compris génétique de troisième ligne tant le
nombre d’étiologie de NP est grand. Ce bilan pourra correspondre aux éléments du bilan de
deuxième ligne proposé et qui n’auraient pas été recherchés, toujours dans un contexte
compatible ou évocateur. Certains dosages pourront être répétés si les valeurs mesurées
Conclusion
Examen clinique et interrogatoire sont bien souvent suffisants pour retenir le diagnostic
étiologique d’une NP éventuellement complété d’un ENMG et d’un seul bilan biologique de
première ligne. C’est la gravité et/ou l’évolutivité de la neuropathie qui poussera le clinicien
ou le neurophysiologiste clinicien à rechercher des neuropathies plus rares mais le cas échéant
Points essentiels :
1. La neuropathie périphérique est un trouble couramment rencontré en pratique clinique.
1ère ligne sont le plus souvent suffisant pour établir le diagnostic étiologique d’une
neuropathie périphérique.
3. Drapeaux rouges cliniques et/ou ENMG indiqueront un bilan plus approfondi dans le
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Figures & tableaux
hypersensibilité à la pression ; duplication Charcot Marie Tooth de type 1A). TTR (analyse
signification indéterminée.
Dosage Pathologie
Transaminases Hépatite
glomérulaire
sédimentation maligne
TSH Hypothyroïdie
immunofixation hémopathie)
d’endémies)
Tableau II : drapeaux rouges cliniques et à l’électroneuromyogramme (ENMG).
Drapeaux rouges
Cliniques ENMG
aréflexie généralisée
asymétriques
Signes extra-neurologiques
Liens d’intérêts : TL déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt ; JPC déclare ne pas avoir de
Neuropathie périphérique
ENMG
Génétique : PMP22/TTR*
Biopsie de nerf**
ENMG
Génétique
Biopsie de nerf