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COURS P Ère A 2021-2022-1
COURS P Ère A 2021-2022-1
Compétences visées : à la fin de cette leçon, l’élève doit être capable d’installer et utiliser une
imprimante, un scanner et un vidéo projecteur.
Un périphérique : est tout dispositif permettant les échanges de données entre l’ordinateur et
son environnement.
2. Types de périphériques.
Les périphériques d’entrée : qui permettent d’introduire les données dans l’unité centrale.
Ex: Souris; clavier; scanner; webcam; lecteur de code barre…
Les périphériques de sortie : qui permettent de restituer à l’utilisateur le résultat du
traitement de l’unité centrale. Ex: imprimante ; écran; vidéoprojecteur…
Les périphériques mixtes (entrée-sortie) : qui permettent les échanges de données dans les
deux sens. Ex: modem; graveur; lecteur de disquette; écran tactile…
A ces périphériques, on peut ajouter les périphériques de stockage qui contrairement aux
précédents ne permettent pas la communication entre l’unité centrale et l’utilisateur mais
permettent de conserver les données hors de l’unité centrale. Ex : CD-ROM (CD-R
(recordable), CD-RW (rewritable)) ; clé USB ; disquette ; blu-ray…
C’est une machine permettant d’obtenir un document sur papier à partir d’un document
numérique. Quelques caractéristiques sont :la vitesse d’impression, la résolution, la mémoire
embarquée, le format de papier.
b. Installation et utilisation
2. Le scanner.
a. Présentation.
Le scanner permet de numériser un document papier. Il est aussi appelé numériseur. On distingue
les types de scanners suivants : le scanner plat, le scanner à défilement, le scanner à main, …
Un scanner est caractérisé par :la résolution, le format de document, la vitesse de numérisation.
b. Installation et utilisation.
Après installation, l’utilisation est relativement simple : soulevez le volet du scanner. Placez la
partie du document à numériser contre la vitre et refermez le capot. Revenez dans le groupe de
programmes du scanner (via Démarrer/Programmes) et cliquez sur le gestionnaire de
numérisation. Vous êtes prêt à démarrer la numérisation.
3. Le vidéoprojecteur.
a. Présentation.
Un vidéoprojecteur est un appareil de projection conçu pour reproduire une source vidéo dite
vidéogramme ou informatique, sur un écran séparé ou sur une surface murale blanche.
b. Installation et utilisation.
Pour vérifier que votre vidéoprojecteur est bien détecté, utilisez les paramètres d'affichage de
votre ordinateur.
Leçon 2 : Les unités de stockage.
Compétences visées :
Les unités de stockage sont des dispositifs permettant de conserver de grandes quantités de
données. Du point de vue unité centrale, on distingue les unités de stockage interne (disque dur
interne) et les unités de stockage externe (aussi appelés périphériques de stockage).
Afin de pouvoir transporter partout des données informatiques de façon sécurisée, on a créé les
supports amovibles, qui sont des périphériques de stockage de masse conçus pour être retirés de
l’ordinateur sans avoir à l’éteindre.
NB : pour une bonne utilisation de son support amovible, il faut toujours fermer tous les
programmes et fichiers ouvert à partir du support ensuite l’éjecter avant de le déconnecter.
Le formatage consiste à organiser les pistes et secteurs d’un disque, de façon à y autoriser les
opérations de lecture/écriture selon un format donné.
Disque dur tout neuf (le formatage est la première opération à réaliser)
Besoin de supprimer tous les logiciels, données et le SE de façon à obtenir un espace
vierge
Ordinateur lent ou qui plante
Présence des virus,
Modifier le partitionnement
2. Processus de formatage.
Une partition est une région du disque dur dans laquelle le système d’exploitation peut gérer les
informations de manière séparée.
Partition (2ème définition) : est un sous-ensemble d’un disque dur découpé virtuellement en
unités logiques.
2. Processus de partitionnement.
Le partitionnement peut se faire au moment du formatage d’un disque, ou en procédant comme
suit :
Graver les données : est le processus permettant de mettre différents types de données sur un
disque optique.
2. Processus de gravure.
Insérer un CD-ROM ou DVD-ROM vierge dans le graveur de votre ordinateur. Au bout
de quelques instants, une fenêtre exécution automatique apparaît.
Sélectionnez alors « graver les fichiers sur un disque ».
Dans la boite de dialogue qui s’affiche, nommez votre disque et sélectionnez « Avec un
lecteur de CD/DVD » puis cliquez sur « Suivant ».
Une fenêtre de l’explorateur s’ouvre alors, vous permettant de naviguer jusqu’au dossier
du disque dur contenant les fichiers à graver.
Sélectionnez-les ensuite à la souris et cliquez sur « graver ».
Les fichiers sont alors copiés dans la mémoire temporaire et un message « Des fichiers sont en
attente de gravure » apparaît dans la zone de notification de tâches. Cliquez dessus pour faire
apparaître la fenêtre d’attente.
Cliquez alors sur « Graver sur disque ». Validez alors le nom de votre disque, réglez la
vitesse de gravure si cela vous est proposé et cliquez sur « Suivant ».
La gravure se lance immédiatement, avec une indication du temps restant. Lorsque c’est terminé,
le graveur s’ouvre automatiquement pour vous permettre de récupérer votre disque.
NB : les logiciels de gravure (comme Nero, CD Burner XP, …) proposent parfois des options de
gravure supplémentaires.
Chapitre 2 : Sécurité informatique
Compétences visées :
Sécurité informatique : C’est l’ensemble des moyens mis en œuvre pour réduire la vulnérabilité
d’un système informatique contre les menaces accidentelles ou intentionnelles auxquelles il peut
être confronté.
La disponibilité : L'information sur le système doit être toujours disponible aux personnes
autorisées.
La confidentialité : L'information sur le système ne doit être diffusée qu’aux personnes
autorisées.
L’Intégrité : L'information sur le système ne doit pouvoir être modifiée que par les
personnes autorisées
L’authentification : seules les personnes ont accès aux ressources
3. La mise sur pied d’une politique de sécurité informatique.
D’une manière générale, pour définir une politique de sécurité informatique, on peut procéder
comme suit :
Effectuer une analyse des risques : parce qu’il n’est pas possible de se protéger que
contre les risques que l’on ne connait, il convient pour chaque entreprise d’évaluer les
risques.
Établir une politique de sécurité : une fois l’analyse des risques effectuée, la politique de
sécurité est mise en place.
Mettre en œuvre des techniques de sécurisation : leur rôle est d’assurer la disponibilité,
l’intégrité, la confidentialité et dans certains cas, la pérennité de l’information dans les
systèmes d’information.
Compétences visées :
La gestion des comptes utilisateurs permet de contrôler les accès au système informatique.
Chaque utilisateur aura donc un login qui va permettre de l’identifier dans le système. La
création des comptes offre aux utilisateurs la possibilité de créer des sessions de travail
indépendantes. Ces sessions peuvent être protégées par des mots de passes. On distingue trois
types de compte sous Windows :
Les comptes administrateur.
Les comptes limités.
Le compte invité.
N.B : Un login est un mot qui permet d’identifier un utilisateur dans un système, il est
généralement associé à un mot de passe.
2. La compression.
Elle consiste à diminuer la taille d’un fichier ou d’un dossier sur une unité de stockage grâce à un
système d’encodage qui par conséquent rend le document inattaquable par des virus.
Compétences visées :
I. Formules simples.
Ces données numériques sont manipulées dans des tableaux appelés feuilles de calcul, où sont
remplis des formules constituée des valeurs, des références de cellules. Ex : =B4 + 5/ =D3*E7
Opérateur Signification
Opérateurs arithmétique
+ Addition
- Soustraction
* Multiplication
/ Division
^ Puissance
Opérateurs de comparaison
< Inférieur
> Supérieur
<= Inférieur ou égal
>= Supérieur ou égal
= Egal
<> Différent
Opérateur de texte
& (et commercial) Concaténation
2. Exemples de fonctions.
Comme exemples de fonctions :
Compétences visées :
Insérer un graphique dans une feuille de calcul.
Définir une zone d’impression d’une feuille de calcul.
2. Insérer un graphique.
La génération des graphiques est entièrement gérée par le groupe de commandes «
Graphique » de l’onglet « Insertion », pour créer un graphique, on commence par sélectionner les
données sur lesquelles se basera le graphique et on déroule les types de graphique et on clique
sur le type de graphique souhaité. En insérant un graphique, trois onglets supplémentaires
s’affichent :
L’onglet création : qui permet de gérer un certain nombre de critères comme la
disposition ou encore la couleur de différents éléments ;
L’onglet disposition : qui permet de personnaliser les légendes, les étiquettes de
données, l’apparence des titres, la nature des quadrillages …
L’onglet Mis en forme : qui permet par exemple de modifier aisément les couleurs des
formes présentes dans le graphique ou encore de les enrichir d’un effet d’ombré…
Après avoir créé un graphique il est possible de manipuler pratiquement n’importe quel élément
du graphique ou d’ajouter des éléments.
II. Impression.
L’impression d’une feuille de calcul implique la mise en page de celle-ci. Il s’agit en
général de définir les marges et l’orientation de la feuille. La feuille de calcul étant faite avant
tout pour calculer, ce qui est affiché ne sera pas exactement ce qui sera imprimé. Pour régler les
paramètres d’impression, il est très fortement conseillé de passer par l’aperçu avant impression
qui vous donnera un affichage de la feuille telle qu’elle sera imprimée.
Pour rendre un document présentable sur un support papier, on peut utiliser les opérations de
mise en page suivantes :
L’orientation : on peut afficher en portrait ou en paysage
La correction de la marge
Les sauts de page
Mettre les graphiques en arrière-plan
Sélectionner la zone de données à imprimer
Choisir la taille du papier et la qualité d’impression,
La définition En-tête/Pied de page : elle permet d’ajouter du texte en haut et en bas de
chaque page, soit à partir d’un format présélectionné soit à partir d’un format
personnalisé.
Chapitre 4 : Production d’une présentation.
Une présentation assistée par ordinateur (PréAO) est un support visuel, se présentant sous la
forme d’un diaporama comportant entre autres : des images, des textes, des animations de textes,
des animations d’images, des sons, des vidéos etc.
Un diaporama est une succession d’images fixes sur un support informatique, accompagnée ou
non d’un commentaire ou d’une illustration sonore.
Une diapositive est la page d’un document de présentation ou d’un diaporama. Elle peut
contenir des images, sons, textes, vidéos, formes géométriques, extraits d’autres documents,
d’autres objets encore.
La création d’une diapositive se fait à travers un certain nombre de logiciels dit logiciels de
présentation assistée par ordinateur, dont les plus répandus sont :
Microsoft PowerPoint (suite Microsoft Office),
OpenOffice.org Impress (suite OpenOffice.org),
Keynote (suite Iwork),
Google Presentations (suite Google Docs).
Les éléments standards communs à plusieurs logiciels de présentation assistée par ordinateur
sont :
La barre de titre : Elle affiche le nom du logiciel, du document de présentation et des
boutons de manipulation de la fenêtre.
La barre des menus ou ruban : Celle-ci contient un ensemble de menus dont les plus
fréquents sont :
La barre d’outils : c’est une barre réunissant toute une série d’icônes représentant des
outils. Ces outils définissent les fonctionnalités de base du logiciel, en particulier pour la
création et l’édition des objets.
La barre règle permet de positionner les objets des diapositives de façon précise
La zone de travail.
La barre d’etat
La création d’une diapositive simple se fait soit en cliquant sur l’icône de diapositive de la barre
d’outils, soit en passant par le menu Insertion. Et le principe reste le même pour la création de
nouvelles diapositives.
1. Animation d’objets.
L’animation permet d’affecter des mouvements aux objets d’une diapositive. Ces animations
peuvent avoir pour but, soit de simuler un déplacement ou le fonctionnement d’un mécanisme,
soit de captiver l’attention du public. Pour réaliser une animation, la fonctionnalité la plus
appropriée est l’animation personnalisée du menu diaporama. Les animations sont classées en
quatre categories :
Compétences visées :
Algorithme : est la description précise des étapes finies de résolution d’un problème précis.
1. L’en-tête.
Il permet d’identifier l’algorithme en lui donnant un nom précédé du mot clé algorithme.
2. La partie déclarative.
C’est la liste exhaustive des objets, grandeurs utilisés et manipulés dans le corps de l’algorithme.
Elle est placée en dessous de l’en-tête.
3. Le corps de l’algorithme.
Dans cette partie de l’algorithme sont placées les tâches (instructions, opérations) à exécuter. Il
commence par le mot clé « début » et se termine par « fin ».
La variable est un objet dont la valeur peut être modifiée au cours de l’exécution de l’algorithme.
Elle est déclarée avec le mot clé var ou variable et pour syntaxe: Var Nom_Variable : [type] .
2. La constante.
Une constante est un objet dont la valeur ne peut pas être modifiée au cours de l’exécution de
l’algorithme.
Elle est déclarée avec le mot clé Const ou constante et pour syntaxe:
NB : un objet (de la partie déclarative) est caractérisé par : son identificateur, son type et sa
nature.
Cette instruction permet de stocker temporairement le résultat d’une « opération » dans une
variable ou d’affecter une valeur à une variable. Syntaxe : nom_de_la_variable valeur
à affecter ;
Ex : L’instruction suivant affecte la valeur 2 à la variable number : number 2.
NB : la valeur à affecter et la variable doivent être de même type
2. L’instruction d’affichage.
3. L’instruction de lecture.
Les types sont une des caractéristiques des objets (constantes, variables) utilisées dans l’écriture
d’un algorithme. On distingue cinq types de base:
L’entier: Ex: 6 7; 100
Le réel: Ex: 67 ; 4.23578 ; -567.08 ;
Le booléen : il ne peut prendre que deux états Vrai ou Faux
Le caractère : Notation. ‘a’ ; ‘A’ ; ‘*’ ; ‘Z’ ; ‘7’ ; ‘!’ ;
La chaîne de caractères : Notation ‘électronique’ ; ‘premiere’ ;
2. Notion d’organigramme
C’est une représentation graphique de l’algorithme utilisant des symboles normalisés.
Compétences visées :
I. Définitions
Une structure de contrôle est une structure qui permet d’exécuter un bloc d’instructions
lorsqu’un ensemble de conditions est réalisé.
Un bloc d’instructions est un ensemble d’instructions qui doivent être exécutées ensemble.
Elles se caractérisent par une suite d‘actions à exécuter successivement dans l‘ordre
énoncé. Une structure séquentielle peut donc se présenter de la manière suivante :
Début
Instruction 1
....
Instruction N
FinAlgo
Dans cette structure, la sortie de la boucle d‘itération s‘effectue lorsque le nombre souhaité de
répétition est atteint. La structure de cette boucle est la suivante:
Chapitre 6 : Programmation HTML.
Compétences visées :
I. Notion de HTML
1. Definitions
Il s'agit d'un langage permettant de réaliser un site web et permettant de décrire la mise en page
d’une page web statique.
Un site web est un ensemble de pages web liés par des liens permettant à un visiteur d‘aller
d‘une page à l‘autre.
Il est important de noter que pour la création d’une page web, nous avons besoin des outils tel
que :
Les éditeurs : un éditeur de texte est un programme dédié à l‘écriture du code HTML. Les
éditeurs permettant d’éditer les codes source HTML sont par exemple blocnotes,
Wordpad, Notepad, simple text.
NB : Après l’écriture d’un fichier html, nous devons enregistrer le fichier avec l’extension .html.
Un navigateur est un programme qui permet de surfer sur le net et d'afficher sur un écran
les pages web. Il existe plusieurs marques et types de navigateurs différents dont les plus
connus sont : Netscape, Internet Explorer, Opéra, Mozilla Firefox etc.
Une balise est une commande pour le navigateur. Les balises sont des « mots » prédéfinis inclus
entre les signes « < » et « > ». Elles fonctionnent le plus souvent par paire (balise « ouvrante », et
« fermante »,). Ex <em>Stanley</em>.
On distingue :
Un attribut se trouve à l’intérieur d’une balise et donne des informations plus précises sur la
balise. Les attributs ne sont pas obligatoires mais certaines balises ne sont utiles qu’avec une ou
plusieurs. Les attributs s’utilisent en fonction de nos besoins. Voici quelques exemples de leur
utilisation :
Pour définir la taille et la police du texte : <font size=’’2’’ face=’’Arial> :texte de taille 2 en
police Arial
Pour définir la taille et la couleur du texte : <font size=’’3’’ color=’’BLUE’’> texte </font>
Pour définir la couleur des liens d’une page : <body link=’’#0FFF59’’> … </body>
NB : lorsqu’un attribut est utilisé dans la balise <BODY> il s’applique à tout la page.
Bleu #0000FF ; Vert #00FF00 ; Blanc #FFFFFF ; Violet #8000FF ; Rouge #FF0000 ;
Jaune #FFFF00 ; Gris clair #C0C0C0 ; Noir #000000
Leçon 11: Insérer les objets dans une page HTML.
Compétences visées :
Insérer un tableau
Insérer des images et du sons
L’insertion d’un tableau dans une page HTML doit respecter les quelques règles suivantes :
Border : qui permet de définir les bordures d’un tableau. Il est possible donner l’épaisseur
de la bordure par « <table border=’’5’’> »;
Height : qui permet d’indiquer la hauteur du tableau (ex : height="34%") ;
Width : qui définit la largeur du tableau (ex : width="52%") ;
Cellpadding : donne un effet centré aux textes contenu dans le tableau (ex :
cellpadding="5") ;
Bgcolor : donne la couleur de font (ex : bgcolor="aqua") ;
Bordercolor : donne la couleur de la bordure (ex : bordercolor="red) ;
NB : pour fusionner les cellules on utilise les attributs suivants dans les balises <td>
Rowspan : pour fusionner les cellules dans une même colonne (ex : rowspan="2") ;
Colspan : pour fusionner les cellules dans une même ligne (ex : colspan="3") ;
II. Liens hypertextes, images et sons dans un document html.
1. Insertion des liens hypertextes.
Un lien est un texte ou une image cliquable dans une page web permettant d’atteindre une
autre page web ou un autre endroit de la même page. Pour insérer un lien dans une page web, on
utilise la balise <a href= ’’URL’’>……</a> où l’attribut href permet d’indiquer l’adresse ou
l’URL (Uniform Ressource Locator) de la page qui sera affichée après avoir cliqué sur le lien.
Pour ce qui est du lien qui amène à une autre page, on utilise les codes comme suit :
La balise permettant d‘insérer une image dans une page web est <img />. Cette balise
doit être accompagnée de 2 attributs obligatoires :
Deux autres attributs sont importants. Ils permettent de redimensionner une image. Il s’agit de :
width : pour définir la largeur de l’image
Ex: soit à insérer l‘image Pall1.jpg dans une page web, l‘instruction est la suivante :
Compétences visées :
Définir formulaire
Insérer un formulaire dans une page web
Cette partie peut être une zone de texte, un élément d’option ou un bouton.
I. Définitions.
Un formulaire est un objet écrit en html présentant des champs permettant d’entrer des
informations.
La balise < form>…</form> est celle qui permet d’insérer un formulaire. Les éléments d’un
formulaire sont insérés en générale à l’aide de la balise < input type=valeur_type name=nom>
(l’attribut « type » est obligatoire et sert à spécifier quel type de champ on veut insérer).
Puisque le formulaire est fait pour être envoyer, nous devons insérer 2 attributs importants à la
balise <form> tel que : on va faire face à deux principaux problèmes :
L’attribut « method » : qui indique le moyen d’envoi des données. Il existe à cet effet
deux moyens d’envoyer des données sur le web.
o Method=’’get ‘’ : moins utilisé car se limite à 255 caractères ;
o Method=’’post’’ : la plus utilisé car on peut entrer un grand nombre
d’information.
L’attribut « action » : qui est l’adresse de la page ou du programme qui va traiter les
informations.
Pour insérer une zone de texte monoligne, on utilise le tag <input/>. Cette balise peut contenir
plusieurs attributs dont les plus importants sont :
« name » qui permet de donner un nom à la zone de texte (ce nom ne s’affiche pas).
« type » qui définit le type de données qui doit être saisir dans la zone de texte.
</form>
Pour insérer une zone de texte multilignes, on utilise les balises <textarea>… </textarea>.
L’attribut name est également très important ici. Les attributs « rows » et « cols » de la balise
<textarea> permettent de donner respectivement le nombre de lignes et de colonnes.
Contrairement aux cases à cocher, qui permettent de faire plusieurs choix, les zones d’options
permettent de faire un et un seul choix parmi une liste de possibilité.
iii. Les listes déroulantes.
Une liste déroulante est une manière plus élégante de faire un choix parmi plusieurs possibilités.
Les boutons sont très importants car ils nous permettent de valider nos actions. Ils se créent avec
la balise <input>. On distingue :
Le bouton d’envoi qui déclenche l’envoi du formulaire. L’attribut « type » utiliser ici
prend la valeur « submit ». On peut lui ajouter l’attribut « value » pour changer le texte à
l’intérieur du bouton.
Le bouton de remise à zéro: qui permet de remettre à zéro automatiquement toutes les valeurs du
formulaire. Ici la valeur de l’attribut « type » est « reset »
Compétences visées :
Le terme infographie a été formé en 1974, à partir des mots : informatique et graphisme.
C’est la réalisation des graphismes à l’aide de l’ordinateur.
Un infographe est une personne qui conçoit et ou traite sur ordinateur une œuvre ou un
document multimédia. Il met en place plusieurs éléments tels que : du texte, des photos, des
images, des vidéo de façon à obtenir un résultat cohérent et présentable.
Le graphisme désigne l’activité qui consiste à créer, choisir et utiliser les éléments graphiques
pour élaborer un objet de communication ou de culture.
Le multimédia est l’ensemble des techniques et des produits dérivés qui présentent
l’information sous forme combinée de texte, de sons, d’images, d’animations et de vidéo.
La numérisation est la conversion ou le passage des informations d'un support (texte, image,
audio, vidéo) en données numériques (manipulable par un ordinateur).
L‘infographie est utilisé dans tous les domaines de la société. On l’applique notamment :
Dans le domaine de la publicité : Pour la conception des panneaux publicitaires (entreprises,
écoles, églises, salons de coiffure, hôpitaux, pharmacies, ...), des logos des organisations.
En architecture : pour représenter des bâtiments avec tous leurs détails ; on peut visionner ces
bâtiments avec n'importe quel point de vue.
Dans le domaine de la création d’applications web, permet de créer des images animées et des
boutons.
Dans le domaine du cinéma, l‘infographie est à la base de la création des effets spéciaux, des
bandes dessinées, des mondes futuristes et des interfaces imaginaires.
La liste du matériel utilisé en Infographie n’est pas exhaustive, il varie en fonction des
utilisations.
2. Les logiciels.
Les logiciels d’infographies sont spécifiés soient pour la mise en page, soit pour le dessin
(bitmap ou vectoriel)
Les logiciels de mise en page sont ceux qui réalisent le traitement de texte, la conception
des graphiques et toute la présentation visuelle de l’œuvre.
On distingue 2 principaux types de logiciels : les logiciels de dessin bitmap traitant des images
constituées de pixels (images matricielles) et les logiciels de dessin vectoriel traitant des images
qui sont des représentations d’entités géométriques (images vectorielles).
Leçon 14 : Outils d’un logiciel d’infographie
Compétences visées :
Photoshop dispose d’une barre de menus, d’une palette d’outils, des fenêtres de
navigations/Infos, couleur/Nuancier/Style, Historique/scripts et Calques/couches/tracés.
Les outils de Photoshop sont regroupés dans la palette d’outils. Ces outils sont rassemblés par
catégories d’opérations : Sélection, correction, Insertion, Peinture, Zoom et modification arrière-
plan.
Chapitre 8 : Les fichiers images, sons et vidéos.
Compétences visées :
L’appellation « image numérique » désigne toute image (dessin, icône, photographie…) acquise,
créée, traitée et stockée sous forme binaire. Ces images sont de deux types et ont des
caractéristiques diverses. Elles peuvent également être acquises suivant plusieurs sources.
Il existe deux types d’images : les images vectorielles et les images matricielles (ou bitmap)
Il s'agit d’une image constituée d'un ensemble de points appelés pixels, chacun de ces points
possédant une ou plusieurs valeurs décrivant sa couleur. Contrairement à une image vectorielle,
une transformation géométrique d'une image bitmap entraine une perte de sa qualité
2. Images vectorielles
Ce sont des images constituées uniquement d'entités géométriques. Il est possible de lui
appliquer facilement des transformations géométriques (zoom, étirement...), sans risque de perte
de la qualité d'image.
RM : Il est possible d’effectuer de nombreuses opérations sur les images tel que :
Redimensionner, Recadrer, pivoter, capturer.
II. Quelques formats d’image.
Un format d’image est une représentation informatique de l’image associée à des informations
sur la façon dont l’image est codée.
2. La résolution de l’image
La résolution est un rapport entre la taille de l'image et sa définition. Elle correspond à la densité
de Pixels Par Pouces (PPP). La notion de résolution est utile surtout pour l'impression, on
conseille en général une résolution de 300 PPP pour un tirage de qualité. Pour l'affichage à
l'écran, seule la définition est importante.
3. La profondeur de l’image
La profondeur de couleur représente le nombre de bits utilisés par l'ordinateur pour rendre les
nuances de couleurs.
4. Le poids de l’image
Le poids de l'image s'exprime généralement en Méga Octets (Mo). Plus une image a une grande
taille, une haute résolution, une profondeur de couleur élevée et un faible taux de compression,
plus elle est lourde inversement. Ainsi pour réduire le poids d'une image on applique une
compression (en enregistrant dans un format de type JPG).
La résolution est le nombre de pixels par pouce. Elle s’exprime en dpi (dots per inch), en ppi
(points per inch) ou en ppp (points par pouce). Ces trois unités sont équivalentes.
Ou
La définition d’une image est le nombre de pixels contenus dans l’image. C'est le nombre de
pixels d'une image en largeur multiplié par le nombre de pixels en hauteur.
Par exemple 1024x768 signifient que l'image fait 1024 pixels de large sur 768 pixels de haut.
Pour calculer la taille d’une image, il suffit de multiplier le nombre total de pixels par la
profondeur du codage de la couleur. Elle s’exprime en octet.
Les images peuvent être acquises par des convertisseurs analogique-numérique situés dans des
dispositifs comme : les scanners, les appareils photo ou les caméscopes numériques.
Elles peuvent aussi être créées directement par des programmes informatiques comme Paint,
Photoshop, etc.
Leçon 16 : Fichiers sons et vidéos
Compétences visées :
I. Notion de son
1. Définition et caractéristique du son
Le son est une onde produite par la vibration mécanique d'un support fluide ou solide et
propagée grâce à l'élasticité du milieu environnant sous forme d’ondes longitudinales.
Comme tout phénomène vibratoire, le son peut être analysé comme un signal qui varie dans le
temps. Les caractéristiques essentielles sont l'amplitude et la fréquence.
L’amplitude :la première caractéristique d'un son est son amplitude. Appelée aussi
intensité ou volume sonore, c'est l'expression de la pression de l'air qui se mesure en
décibels (dB). 0 dB correspond au minimum que l'oreille humaine puisse percevoir
(seuil d'audibilité).
Fréquence : exprimée en Hertz (Hz), est le nombre de répétition d'une période par
seconde. Plus elle est élevée et plus le son paraîtra « aigu », à l'inverse, il paraîtra «
grave ».
Actuellement, les séquences sonores peuvent êtes produites et enregistrées suivant deux
méthodes différentes. Elles donnent naissance à des sons monophoniques et stéréophoniques.
Un format de fichier audio est un format de données utilisé en informatique pour stocker
des sons, (de la musique, des voix, etc.) sous forme numérique. De nombreux standards existent ;
certains s'appliquent à la production, au stockage et à la diffusion, d'autres (ceux qui utilisent des
algorithmes de compression de données ou de débit), sont destinés, en principe, uniquement à la
diffusion. Actuellement, le format le plus utilisé est de loin le mp3, suivi du wma, et de l'aac.
Une vidéo regroupe l’ensemble des techniques permettant l’enregistrement ainsi que la
restitution d’images animées, accompagnées ou non de son, sur un support électronique et non de
type photochimique. Les vidéos sont constituées de deux parties : une partie sonore et une
partie vidéo (image). Ces deux parties sont synchronisées.
Pour acquérir une image on peut utiliser les appareils suivants : Une caméra numérique
Téléphone portable (Android), Webcam.
Il est possible de réaliser un montage vidéo à travers les logiciels tel que : Windows Movie
Maker, Photorécit 3, etc.
Chapitre 9 : Les réseaux sociaux.
Compétences visées :
I. Définition
Un réseau social est un groupe de personnes et d’organisations reliées entre elles par des
échanges sociaux qu’elles entretiennent.
Il faut dire que les réseaux sociaux jouent un rôle important dans la vie quotidienne et
voici quelques atouts :
Face aux informations : Ne pas publier une information sans avoir vérifier la véracité
de celle-ci. Ainsi, toute information provenant d’une source doit être vérifiée. Ne pas
publier les informations qui heurtent la sensibilité des autres. Les contenus choquants
(les cadavres), les images et/ou vidéos intiment, les messages incitant la révolte ne
doivent pas être publiés.
Faces aux utilisateurs : Se méfier légitimement, même de ses amis. Certains
utilisateurs mal intentionnés peuvent usurper l’identité de vos amis pour soutirer des
informations vous concernant.
1.Définition
Un groupe est une entité qui sert à rassembler les personnes autour d’un thème, un sujet
ou des préoccupations communes.
Le groupe peut comprendre les membres de la famille, une communauté, les collègues de
professions…
Les plates formes permettant de créer des groupes sont : WhatsApp, Facebook, Linkedin,
Télégram.
Inviter à rejoindre :si vous êtes l'admin d'un groupe, vous pouvez inviter des gens à
rejoindre votre groupe en partageant un lien avec eux.
Retirer des participants du groupe
Chapitre 10 : Le Cloud et la virtualisation.
Compétences visées:
Le Cloud computing est un système qui permet d’accéder à des ressources et services
informatiques qui sont situés quelque part, à travers internet.
On peut y avoir accès gratuitement, comme c'est le cas avec le Webmail ou sur abonnement,
avec un niveau de service garanti.
2. Caractéristiques
1. Avantages
Le coût : les couts liés à l’achat du matériel, des logiciels et de configurations sont
réduits presque zéros ;
Mise à l’échelle mondiale : c’est la capacité de mettre en œuvre la quantité de
ressources au moment nécessaire et là ou elles sont nécessaires ;
Performance : puissance de calcul de mise, matériel et logiciel toujours mise à niveau ;
Sécurité : données, infrastructures et logiciels sécurisés par un mécanisme de sécurité
mise sur place par le fournisseur ;
Fiabilité : récupération des données en tout lieu à toute heure et la continuité des
activités en tout lieu.
2. Inconvénients
Le Cloud est basé principalement sur le Web, ce qui est contraignant car une interruption
de la connexion internet ou une mauvaise qualité du réseau impactera fortement sur l’utilisation
des services du Cloud computing. Le problème de sécurité des données qui transitent peuvent
aussi être mentionné.
Tous les clouds ne sont pas identiques et aucun type de Cloud computing ne convient à
tout le monde. Selon le type de déploiement on distingue trois types :
Cloud public : détenu par un fournisseur qui propose des ressources et services aux
clients ;
Cloud privé : ensemble d’infrastructures utilisées de façon exclusive par une entreprise
ou une organisation ;
Cloud Hybride : combine les deux types précédents.
Parmi les fournisseurs de service de Cloud Computing nous avons : Amazon avec son
service AWS (Amazon Web Services), Microsoft avec Microsoft Azur, Google ….
La plupart des services de Cloud computing peuvent être classés en quatre grandes
catégories :
Compétences visées:
1. définitions
Son objectif premier est de réduire les coûts matériels des machines puisqu’elle permet
d’installer plusieurs SE sur la même machine ou serveur.
2. principe de la virtualisation
1. Avantages
Diminution du nombre de machines physiques. Ce qui entraine :
Diminution des coûts matériels
Réduction des espaces pour les machines physiques
Diminution de la consommation électrique
Réduction le temps et le coût souvent élevés consacrés à l’administration des serveurs
Augmentation de la disponibilité des serveurs avec une reprise d’activité plus rapide que
pour une machine physique
2. Inconvénients
Elle nécessite beaucoup d’expérience et de planification pour mettre sur pieds des
serveurs virtuels
La gestion des données énormes entre les différents disques durs sur le serveur
Si la machine hôte tombe en panne tout le système est paralysé.
Virtualisation d’OS : Le système est virtualisé à partir de l’OS Nous avons : virtualisation
de serveurs, virtualisation de postes de travail ; Virtual desktop infrastructure(VDI).
Virtualisation d’application (les applications sont virtualisé à partir de l’OS) :
Virtualisation de sessions, virtualisation par bulles applicatives ou par isolation.
Il existe plusieurs logiciels de virtualisation sur le marché, parmi lesquels nous pouvons
citer :
Windows Virtual PC
VMware Station
VirtualBox
Parallels Desktop for MAC
3. L’hyperviseur
Hyperviseur type 1 ou natif ou (bare metal) : C’est un logiciel qui s’installe et s’exécute
directement sur le hardware.
Hyperviseur type 2 ou (Host metal) : C’est un logiciel qui s’exécute à l’intérieur d’un
autre SE (OS hôte).