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CORRECTION UE1 DECEMBRE 2018

Question 1 : BE
A. Faux Nombre de nucléons= nombre de neutrons+ nombre de proton= 6+6=12.
B. VRAI. Le bloc p comprend les atomes ns2np1 6, ici 1s2 2s2 2p2 donc cet atome fait bien parti
du bloc p.
C. Faux 1s22s22p2, elles possèdent 2 électrons.
D. Pour calculer la masse d’un atome il suffit donc de multiplier son nombre de nucléons (A) par
la masse d’un nucléon (soit 1,67 x 10-27 kg) : 12x1,67x10-27=2,004x10-27.
E. VRAI. Silicium : 1s2 2s2 2p6 3s2 3p2, même configuration électronique externe donc même
famille.

Question 2 : B
A. Faux car : Fe3+=1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s0 3d5. Il n’y a aucun électron apparié dans ses orbitales d.
B. VRAI car Fe2+=1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s0 3d6
C. Faux Fe2+ =(Ar) 4s0 3d6
D. Faux Fe3+ = (Ar) 4s0 3d5
E. Faux. Les électrons de cœur sont ceux qui peuplent les orbitales internes. Pour un élément
donné, ils correspondent à la configuration du gaz rare qui précède cet élément dans la
classification. On symbolise la configuration des électrons de cœur par le symbole du gaz rare
entre parenthèses, ici (Ar) par conséquent il y a 18 électrons de cœur.

Question 3 : C, D
A. Faux, ces deux molécules sont apolaires :
- Le composé A présente deux groupements ayant des moments dipolaires mais ces deux
groupements exercent leurs effets en sens opposés la somme des moments dipolaire
est nulle.
- Pour le composé B, il présente également deux groupements ayant un moment
dipolaire, mais puisqu'ils exercent leurs effets en sens opposé, la somme des moments
dipolaire dans la molécule est nulle.
B. Faux, cf rep A
C. VRAI, puisque l'atome de chlore attire les électrons et que le groupement méthyle est
donneur, alors les moments dipolaires s'exercent dans le même sens donc ils s'additionnent.
La somme des moments dipolaire du composé C n'étant pas nulle, il est donc polaire.
D. VRAI
- Pour le composé D, deux groupements méthyles exercent un effet donneur, puisqu'ils
n'exercent pas leurs effets en sens opposés, alors la somme des moments dipolaires
n'est pas nulle. Il s'agit d'un composé polaire
- Pour le composé E, les deux atomes de chlore exercent un effet attracteur, la somme
des moments dipolaires n'est pas nulle.
Le moment dipolaire du groupement méthyle étant beaucoup moins important que
celui du chlore, alors le composé E présente un moment dipolaire plus important que
celui du composé D.
E. Faux, cf D.

Tutorat PACES Amiens 1


Question 4 : CE
A. Faux,
- N présente 3 électrons libres dans sa couche de valence et un doublet non liant, la
formation de NCl3 est donc possible.
- En revanche, F (Z=9) a pour configuration électronique 1s² 2s² 2p5 donc présente 7
électrons dans sa couche de valence, organisés en 3 doublets non liants et 1 électron
libre. Puisque F appartient à la 2ème période, il respecte la règle de l'octet. La molécule
FCl3 ne peut donc pas se former.
B. Faux,
- Dans la molécule AlCl3, l'atome Al présente une conformation sp2 car Al possède 3
électrons dans sa couche de valence et une lacune électronique. Les moments dipolaires
des atomes de chlores s'annulent car la molécule formée est plane, elle est apolaire.

- Dans la molécule NCl3, N se lie au 3 Cl mais il présente également un doublet non liant,
il présente donc une conformation sp3, ainsi les moments dipolaires des trois atomes de
chlore ne s'annulent pas et NCl3 est une molécule polaire.

C. VRAI, Si X = Se, puisque Se (Z=34) alors il possède une configuration électronique 1s² 2s² 2p6
3s² 3p6 4s² 3d10 4p4. Ainsi il présente 6 électrons sur sa couche de valence mais puisqu'il
n'appartient pas aux deux premières périodes, il ne respecte pas forcément la règle de
l'octet. Ainsi Se peut acquérir une configuration sp3d2 et pourra donc former les molécules
SeCl2, SeCl4 et SeCl6.
D. Faux, Si X=P (Z=15) alors il présente une configuration électronique 1s² 2s² 2p6 3s² 3p3, il
possède donc 5 électrons dans sa couche de valence, les molécules PCl3 et PCl5 pourront
donc être formées. En revanche, la configuration sp3d2 ne permet que de lier 6 atomes ou
groupes d'atome à l'atome central donc PCl7 ne pourra pas se former.

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E. VRAI, Pour évaluer la force du caractère ionique partiel, on prend en compte les différences
d'électronégativité entre les deux atomes impliqués dans la liaison. Comme Na et Cl ont des
électronégativités éloignées (respectivement 0,93 et 3,16), la différence d'électronégativité
est plus importante que pour la liaison H-Cl (respectivement 2,2 et 3,16) La liaison Na-Cl
présente donc un caractère ionique partiel (proportionnel à l’électronégativité) plus
important que la liaison H-Cl.

Question 5 : B
A. Faux. Dans cette molécule C possède une conformation sp, la molécule
formée est donc plane et la somme des moments dipolaires et nulle.
CO2 est apolaire.
B. VRAI. Dans SF4, S de configuration électronique 1s² 2s² 2p6 3s² 3p4 donc
possède 6 électrons dans sa couche de valence, il va donc rester un
doublet non liant, l'atome S acquiert donc une conformation sp3d. Les
moments dipolaires ne s'annulent pas et la molécule est polaire
C. Faux, Dans XeF2,
Xe (Z=54) possède une configuration électronique 1s² 2s² 2p6 3s² 3p6
4s² 3d10 4p6 5s² 4d10 5p6. Il possède donc 8 électrons sur sa couche de
valence, s'il est lié à deux atomes F, alors il possède 3 doublets non liants.
Sa conformation est donc sp3d et les deux atomes sont situés à l'opposé
l'un de l'autre tandis que les doublets non liants se répartissent dans un
plan horizontal, la somme des moments dipolaires et donc nulle.
D. Faux, Dans XeF4, Xe ne possède plus que deux doublets. Xe acquière alors une
conformation sp3d2 et les atomes 4 atomes se répartissent dans le même
plan, ainsi la somme des moments dipolaires est nulle.
E. Faux, Dans SO3, la conformation du S est sp2 ainsi la molécule est plane et les
moments dipolaires des liaisons S-O s'annulent.

Question 6 : CE
A. Faux
B. Faux
C. VRAI
Ici il suffit d’appliquer la loi de Hess :
Equation 1 : C2H4 + 3O2 2CO2 + 2H20 avec ∆cH1° = - 1411 kJ.mol-1
Equation 2 : C2H4Cl2 + 3O2 2CO2 + 2H2O + Cl2 avec ∆cH2° = - 1534 kJ.mol-1
Or C2H4 + Cl2 C2H4Cl2 équivaut à :
Equation 1 – Equation 2 = - 1411 – (-1534) = 123 kJ.mol-1

C2H4 + 3O2 2CO2 + 2H2O ∆cH1° = - 1411 kJ.mol-1


+ 2CO2 + 2H2O + Cl2 C2H4Cl2 + 3O2 + -∆cH2° = 1534 kJ.mol-1
= C2H4 + Cl2 C2H4Cl2 = 123 kJ.mol-1

D. Faux
E. VRAI

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L’enthalpie standard de formation de C2H4 : à partir des éléments simples qui le compose pris dans
leur état standard :
2C(s) + 2H2(g) -> C2H4(g)

En utilisant la loi de Hess et les données de l’énoncé :


∆cH1°
C2H4 + 3O2 2CO2 + 2 H2O
∆fHC2H4°
2∆fHCO2° + 2∆fHH2O°

2C(s) + 2H2(s) + 3 O2

Ainsi en suivant le sens des flèches et selon la loi de Hess : ∆fHC2H4°= ∆cH1° - (2∆fHCO2° + 2∆fHH2O°)
Or l’énonce ne nous donne pas ∆fHCO2° et ∆fHH2O° il n’est donc pas possible de calculer ∆fHC2H4°.

Question 7 : C
Attention, augmenter de 1°C ≠ Augmenter d’1 Kelvin.
A. Faux. Le joule est une unité de mesure de chaleur ou d’énergie.
B. Faux. La capacité calorifique massique est la quantité de chaleur requise pour augmenter d’1
Kelvin la température d’une unité de masse d’une substance. Son unité est en J.kg-1.K-1
C. VRAI. La calorie représente la quantité d’énergie nécessaire pour élever la température d’1g
d’eau liquide de 1°C.
D. Faux. La capacité calorifique molaire est la quantité d’énergie (chaleur) apportée afin
d’élever d’une unité la température (Kelvin) d’une MOLE d’une substance. Son unité est en
J.mol-1.K-1
E. Faux. La chaleur de sublimation (ou enthalpie de sublimation) est l’énergie (quantité de
chaleur) nécessaire pour qu’un corps passe de l’état solide à l’état gazeux à température
constante et pression constante.

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Question 8 : AD

Question 9 : BCE

Question 10 : ??

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Question 11 : B et D
A. Faux, ce composé est achiral car il présente un plan de symétrie.
B. Vrai
C. Faux
D. Vrai,
D'après la méthode du tutorat, on sait que "cis" = paire et que 1+3 = 4 → paire ce qui donne
le couple pair/pair. Ainsi, on sait que les deux conformations chaises que ce cyclohexane
pourra adopter sont soit avec les deux groupements méthyle en position axiale ou soit avec
les deux groupements méthyle en position équatoriale.
On sait que lors les groupements sont situés en position équatoriale, la molécule est plus
stable.
E. Faux

Question 12 : C et E

Si l'on classe ces composés par ordre d'acidité croissante, on retrouvait


Le Para-méthylphénol comme acide le moins fort car sont groupement hydroxyle
attire les électrons en dehors du cycle par l'effet -I du groupement OH mais ce même
groupement exerce également un effet mésomère donneur. De plus le para-
méthylphénol est moins acide que le phénol car le groupement méthyle à tendance
à "rendre" des électrons à la molécule ce qui la stabilise.
Le Phénol
Le Para-nitrophénol : acide le plus fort. En effet les électrons du cycle sont
délocalisés jusque dans le groupement nitro par effet mésomère attracteur.

A. Faux, le Para-méthylphénol est donc l'acide le plus faible de ces trois acides.
B. Faux, le Para-nitrophénol est en effet l'acide le plus fort mais cela n'est pas du à l'atome
d'oxygène du groupement hydroxyle mais à l'atome d'oxygène du groupement nitro qui
accueillera 3 doublets non liants.
C. Vrai
D. Faux
E. Vrai, la base conjuguée la plus forte correspond à celle qui est conjuguée à l'acide le plus
faible, il s'agit donc du Para-méthylphénol.

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Question 13 : ADE
A. Vrai : c'est une définition du cours, durant le mécanisme SN2 il y a une attaque du
nucléophile sur le centre électrophile par le côté opposé du groupe partant qui produit une
inversion de Walden c'est a dire une inversion de configuration R->S par exemple selon si le
nucléophile et le groupe partant on le même ordre de priorité.
B. Faux : on observe une racémisation dans le mécanisme SN1.
C. Faux : La vitesse d'un mécanisme SN2 dépend de la concentration en halogénure d'alkyle
MAIS aussi de la concentration en nucléophile.
D. Vrai : définition du cours : la vitesse de réaction ne dépend que de la concentration en
halogénure d'alkyle.
E. Vrai : c'est le cas du mécanisme SN2.

Question 14 : ADE
A. Vrai car l'halogénure se situe sur un carbone qui est relié qu'a 2 autres carbones donc c'est
bien un halogénure d'alkyle secondaire et le méthylate de sodium NaOCH3 est bien une base
forte.
B. Faux car l'halogénure se situe sur un carbone qui est relié qu'a 2 autres carbones donc c'est
bien un halogénure d'alkyle secondaire.
C. Faux car le méthylate de sodium NaOCH3 est bien une base forte.
D. Vrai dans le tableau simplificatif Halo IIaire + Base forte = E2
E. Vrai car dans le mécanisme E2 seuls les protons situés en anti sur le groupe partant sont
éliminés, donc on forme bien ces trois alcènes avec une dominance pour le (E)-pent-2-ène
car il est l'un des alcènes le plus substitués ( règle de Zaïtsev) et parmi les 2 stéréoisomère du
pent-2-ène c'est celui où les interactions stériques sont minimales .

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Question 15 : A(B ?)CDE

Soit le 1-éthylcyclohex-1-ène
C2H5

A. VRAI : les deux substituants les plus prioritaires sont du même côté de la double liaison
B. VRAI mais pas totalement sûr
C. VRAI : on obtient le 1-hydroxy-1éthylcyclohexane

Ethyl

D. VRAI : on obtient un mélange de 1-éthylcyclohexane qui sont énantiomères car ces


molécules sont images l’une de l’autre dans un miroir mais non superposables

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Ethyl

E. VRAI : on obtient un seul composé l’acide-1- oxo-octanoïque car c’est un cycle donc la
coupure de la double liaison ne donne qu’une seule molécule avec les deux fonctions

Question 16 : BCD
A. FAUX il s’agit d’une réaction de déshydratation
B. VRAI
C. VRAI
D. VRAI
E. FAUX, il s’agit d’une addition nucléophile

Question 17 : D
A. FAUX, on ne peut pas justement
B. FAUX, il s’agit du chlorure de méthyl car on note l’apparition de seulement un seul carbone
sur la molécule de base
C. FAUX, c’est un alcène de configuration Z
D. VRAI
E. ?

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Question 18 : BE

Question 19 : BCE

Question 20 : ABD
A. VRAI
B. VRAI
C. FAUX, molécule d’acétone
D. VRAI, définition d’une réaction de crotonisation
E. FAUX, c’est la règle de Zaïtsev

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Question 21 : ACD
On regarde dans un premier temps le radical pour déterminer la classe de l’acide aminé. Ici, on voit
des cycles dans le radical : il s’agit d’un acide aminé aromatique (Trp, Phe ou Tyr). On repère le noyau
indole caractéristique du Trp.
A. VRAI, le Tryptophane fait partie des acides aminés indispensables (pour rappel : Ile, Phe, Val,
Met, Leu, Trp, Lys, Thr).
B. FAUX, chez l’homme comme chez tous les eucaryotes, les acides aminés sont présents sous
forme de stéréoisomère L.
C. VRAI, les acides aminés aromatiques absorbent les rayonnements de 280 nm donc dans l’UV.
D. VRAI, tous les acides aminés ont au moins deux groupes ionisables : ils sont amphotères.
E. FAUX, il s’agit d’un acide aminé aromatique.

Question 22 : AD
A. VRAI, voir cours.
B. FAUX, elles sont produites par décarboxylation.
C. FAUX, la transamination conduit au Glutamate.
D. VRAI, voir cours.
E. FAUX, l’urée est synthétisée dans le foie.

Question 23 : BD
A. FAUX, elle définit la structure secondaire.
B. VRAI, dans les acides aminés associés aux hélices α il y a une grande quantité d’AA
hydrophobes qui interagissent et participent donc à la stabilité de celles-ci.
C. FAUX, les liaisons hydrogène se font à 4 AA de distance.
D. VRAI, voir cours.
E. FAUX, c’est le cas des feuillets β.

Question 24 : ABCE
A. VRAI, c'est un petit peptide de 76 AA.
B. VRAI, plus de 4 ubiquitines orientent la cible vers le protéasome.
C. VRAI, voir cours.
D. FAUX, la séquence signal permet l’adressage du précurseur vers le réticulum endoplasmique
ou il deviendra pro-enzyme. Il faudra ensuite une activation par l’entérokinase ou la trypsine
elle-même pour passe de trypsinogène inactif à trypsine active.
E. VRAI, la trypsine hydrolyse la liaison peptidique du coté C-terminal des AA chargés
positivement.

Question 25 : ABE
A. VRAI, des protéines comme l’albumine, la transferrine ou l’haptoglobine.
B. VRAI, voir cours.
C. FAUX, c’est le facteur de purification qui est défini en calculant l’enrichissement par rapport à
la source initiale.
D. FAUX, elles sont dénaturées par Sodium Dodecyl Sulfate + β-mercaptoéthanol+ chaleur (5
min à 95°C)
E. VRAI, la 1ère dimension de cette électrophorèse utilise l’isofocalisation.

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Question 26 : ABE
A. VRAI, l’oxydation concerne les doubles liaisons (donc les acides gras insaturés) et se fait par
le biais d’espèces activées de l’oxygène.
B. VRAI, c’est bien l’isomère trans qui a une température de fusion supérieure à l’isomère cis.
C. FAUX, en effet les triglycérides sont retrouvés dans les adipocytes, cependant on les tourne
sous forme de gouttelettes lipidiques (donc dans le cytoplasme) et non au niveau de la
membrane plasmique.
D. FAUX, la température des acides gras insaturés est faible
E. VRAI, l’homme n’est pas capable de créer des doubles liaisons vers l’extrémité CH3, donc si
on part d’un oméga 6, on aura une double liaison entre le carbone 6 et le carbone 7, on
pourra seulement rajouter des doubles liaisons vers l’extrémité COOH, qui ne changera pas la
famille de l’acide gras (exemple : acide linoléique [C18 : 2, n-6] donne l’acide gamma)

Question 27: BD
A. FAUX, le DHA possède 22 carbones et a pour formule C22:3∆4,7,10,13,16,19.
B. VRAI, la première insaturation se trouve entre les carbones 3 et 4 : la numérotation avec ⍵X
(n-X) commence à partir du CH3.
C. FAUX, il s’agit de l’acide α-linoléique, il a pour formule C18:3∆9,12,15 : la numérotation avec ∆
commence à partir du COOH.
D. VRAI, voir cours.
E. FAUX, c’est l’acide linoléique qui est un précurseur de l’acide arachidonique qui font partie
de la famille des ⍵6. L’acide α-linoléique fait partir de la famille des ⍵3, il ne peut pas
biosynthétiser des ⍵6.

Question 28 : AC
A. VRAI, le noyau pyrane avec un O dans le cycle ainsi que les deux chaînes latérales sont
caractéristiques des thromboxanes.
B. FAUX, la phospholipase A2 est bien impliquée mais ce sont les cyclooxygénases (COX) et non
les lipoxygénases (LOX) qui sont impliqués.
C. VRAI, la PLA2 agit sur le carbone 2 du glycérol pour libérer un acide gras qui est souvent
l’acide arachidonique. Elle libère aussi un lysophospholipide.
D. FAUX, le glycérol est bien le constituant de base des phospholipides mais on ne le retrouve
pas au niveau du cholestérol.
E. FAUX, au niveau du tissu adipeux blanc on a une production d’ATP mais pas de chaleur. C’est
au niveau du tissu adipeux brun qu’il y a une production de chaleur (thermogénèse)

Question 29 : BCE
A. FAUX, les diphosphatidylglycérols sont bien appelés cardiolipides mais ils ne jouent pas un
rôle dans la production du surfactant (c’est le cas des phosphatidylcholines). Ils jouent un
rôle dans la membrane interne des mitochondries.
B. VRAI, on parle de DHA ou acide cervonique car abondant dans le cerveau.
C. VRAI, voir cours.

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D. FAUX, ces deux glycérophospholipides sont chargés négativement à pH physiologique.
E. VRAI, on retrouve ces trois classes dans les membranes biologiques.

Question 30 : BCD
A. FAUX, il s’agit d’un glycosphingolipide.
B. VRAI, voir cours.
C. VRAI, certains glycosphingolipides permettent des liaisons spécifiques à certaines bactéries.
D. VRAI, voir cours.
E. FAUX, les esters de cholestérol sont des formes hydrophobes, ils sont donc au coeur des
lipoprotéines. C’est le cholestérol libre que l’on trouve dans la zone périphérique.

Question 31 : AC
A. VRAI
B. Faux : Ce sont des hexoses car ils ont 6 carbones.
C. VRAI, ils ont tous les deux 6 carbones.
D. Faux : Ils sont épimères en carbone 4.
E. Faux : ce sont des épimères.

Question 32 : ABE
La molécule A est l’ -D-glucopyranose, la molécule B de l’ -D-galactopyranose et la molécule C un -
D-fructofuranose
A. VRAI : Ils possèdent la même formule brute & fonction réductrice.
B. VRAI : même formule brute et elles ne sont pas énantiomères.
C. Faux : l’énantiomère du D-glucose est le L-glucose.
D. Faux : L’amidon se forme uniquement de glucose.
E. VRAI : Les oses simples sont réducteurs.

Question 33 : BE
A. Faux : l’étape catalysée par l’hexokinase ou la glucokinase est la première étape de la
glycolyse qui est une phosphorylation du glucose au niveau du carbone 6 afin de former le
glucose-6-phosphate : ce n’est pas une carboxylation.
B. VRAI
C. Faux : ces deux hormones contrôlent la glycémie mais ce ne sont pas les « seules »
hormones
D. Faux : l’ATP inhibe la phosphofructokinase et la pyruvate kinase : deux enzymes de la
glycolyse. L’ATP exerce un rétrocontrôle négatif sur la glycolyse et donc celle-ci est inhibée
dans les hépatocytes riches en ATP (glycémie )
E. VRAI

Question 34 : ACE
A. VRAI
B. FAUX, elle est activée par l’ATP
C. VRAI, elle l’inhibe
D. FAUX, elle l’inhibe
E. VRAI

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Question 35 : AB
A. VRAI
B. VRAI, contournées par 4 enzymes, pyruvate carboxylase, PEP carboxykinase, fructose 1,6
biphosphatase et la glucose 6 phosphatase.
C. FAUX, il y a aussi des étapes mitochondriales et dans le réticulum endoplasmique.
D. FAUX, l’oxaloacétate est formé au sein de la mitochondrie.
E. FAUX, 90 % de la néoglucogénèse a lieu dans le foie.

Question 36 : BCE
A. Faux. Ce sont des liaisons riches en énergie apportant l’énergie nécessaire aux réactions
endergoniques pour la synthèse de molécule.
B. Vrai, par exemple ATP + Créatine
C. Vrai, il produit NADH et FADH2
D. Faux. La condensation entre l’Acétyl-CoA et l’oxaloacétate est une réaction irréversible car
fortement exergonique. Ainsi le cycle de Krebs ne synthétise pas l’Acétyl-CoA.
E. Vrai.

Question 37 : BD
A. Faux. Les coenzymes réduits ont 3 origines : cycle de Krebs, B-oxydation et la glycolyse.
B. Vrai.
C. Faux. Par exemple, lorsque le complexe I capte 2
électrons, ce sont 4 protons qui passent de la matrice
vers l’espace intermembranaire. De plus, le complexe II
n’est pas une pompe à protons et ne permet donc pas
d’en faire passer vers l’espace intermembranaire.
D. Vrai. Il intervient dans la formation du fumarate dans le
cycle de Krebs
E. Faux. Le glycogène est un polysaccharide ramifié.

Question 38 : DE
A. - ?
B. - ?
C. - ?
D. Vrai
E. Vrai : Il y a 2 oxydation de NADPH,H+ à chaque tour de cycle de synthèse d’un acide
gras.

Question 39 : ABE
A. Vrai
B. Vrai
C. FAUX : Elle n’est pas nécessaire à la dégradation des acides gras
D. FAUX : LA voie des pentoses phosphate permet de produire du NADPH, H+
E. Vrai

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Question 40 : CD
A. FAUX : c’est la cétolyse qui se déroule dans les tissus extra-hépatiques
B. FAUX : Ce sont l’Acétoacétate, le -hydroxybutyrate et l’acétone
C. Vrai
D. Vrai
E. FAUX : Lors d’un jeûne prolongé, la lipolyse ainsi que la cétogenèse augmente.

Question 41 : A
A. Vrai : Voir cours.
B. Faux : Intersection de la droite avec l’axe des abscisses = - 1/Km. Pour A : -1/Km = -1. Km = -
1/-1 = 1 x 10-4 mol/L.
C. Faux : Intersection de la droite avec l’axe des ordonnées = 1/Vmax. Pour A : 1/Vmax = 0,1.
Vmax = 1/0,1 = 10 x 10-6 mol. min-1. L-1 = 10 µmol. min-1. L-1 (Or UI = µmol. min-1) = 10 UI/L.
D. Faux : Pour A : Km = 1 x 10-4 mol/L. Pour B : -1/Km = -5. Km = -1/-5 = 0,2 x 10-4 mol/L. Donc 1
> 0,2, donc Km A > Km B et l'affinité est inversement proportionnelle au Km donc Aff A < Aff
B.
E. Faux : Pour A : Km = 1 x 10-4 mol/L et Vmax = 10 UI/L. Pour B : Km = 0,2 x 10-4 mol/L et Vmax
= 1/0,5 = 2 x 10-6 mol. min-1. L-1 = 2UI/L. L’inhibiteur diminue le Km et augmente l’affinité.
L’inhibiteur diminue la Vmax. C’est donc un inhibiteur anti-compétitif.

Question 42 : ABCE
A. VRAI car plus la concentration en substrat augmente plus la vitesse augmente également
avec une valeur seuil pour la vitesse en plateau qui correspond à la Vmax= 60 micromoles/L
B. VRAI car on obtient 60 micromoles/L dès cette concentration
%&'(∗*+,-./'.
C. VRAI, ici la formule utilisée est 𝑉𝑖 = 0&1*+,-./'. Valeur cherchée
Les valeurs utilisées :
-Vi = 12*10^-6 mol/min
-Vmax= 60*10^-6 mol/L
- Substrat = 1,3*10^-5 mol/L

%2 %&'(∗* %&'(∗*
= (produit en croix) 𝑉𝑚𝑎𝑥 ∗ 𝑆 = 𝑉𝑖 ∗ 𝐾𝑚 + 𝑆 − 𝑆 = 𝐾𝑚
3 0&1* %2

60 ∗ 10>? ∗ 1,3 ∗ 10>B


− 1,3 ∗ 10>B = (5 ∗ 1,3 ∗ 10>B ) − 1,3 ∗ 10>B
12 ∗ 10>?

6,5 ∗ 10>B − 1,3 ∗ 10>B = (6,5 − 1,3) ∗ 10>B

Km = 5,2. 10^-5 mol.L

D. FAUX, La quantité d’enzyme n’influence pas le Km !! Autrement dit, peut importe le nombre
d’enzyme, celles-ci feront toujours leur travail avec la même « envie » ou la même
« affinité ». Cependant s’il y a plus d’enzyme la réaction ira plus vite (exemple imagé : pour
porter quelqu’un il est plus facile de le faire à plusieurs que seul, en groupe on va plus vite !).
E. VRAI, Cf correction précédente.
Question 43 : ABE
A. VRAI, composée d’une base azotée et d’un pentose ( nucléoSide comme Sucre)

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B. VRAI
C. FAUX, c’est un fructose
D. FAUX, c’est une liaison N-osidique
E. VRAI

Question 44 (on demande les réponses FAUSSES) : BC


A. FAUX
B. VRAI, ce sont des virus à ARN
C. VRAI, elle est initiée sur un site unique chez les procaryotes
D. FAUX
E. FAUX

Question 45 (on demande les réponses FAUSSES) : AD


A. VRAI, il a un sens 3’-5’
B. FAUX
C. FAUX
D. VRAI, le chapeau/la coiffe dérive de la 7-méthylguanosine , or la guanosine est une base
purique!
E. FAUX

Question 46 : ABC
A. VRAI
B. VRAI, phenylalanine —> leucine
C. VRAI
D. FAUX, c’est une mutation par transition car c’est un échange entre une adénine et une guanine
qui font partie de la même famille
E. FAUX, ça modifie la structure du peptide

Question 47 : BE
A. FAUX, il a altération d’une cytosine donc une base azotée, qui plus est une désamination,
c’est donc le Système BER (Base Excision Repair)
B. VRAI, c’est son rôle
C. FAUX, c’est le Mismatch Repair
D. FAUX, il peut exister des erreurs dans la correction du mésappariement de ce fait, une
recopie fidèle n’est pas toujours réalisée.
E. VRAI

Question 48 : AC
A. VRAI, elle est dite hétérochromatine et se retrouve en péri-nucléaire.

Tutorat PACES Amiens 16


B. FAUX, un nucléosome contient 8 histones = octamère dont 2 dimères et 1 tétramère
C. VRAI, attention pas les bases azotées, est indépendant de la séquence d’ADN
D. FAUX, c’est le rôle des ribosomes
E. FAUX, tout est vrai sauf le résidu cible qui est de la Lysine. Arginine est (et aussi Lysine) pour
la méthylation/démethylation des histones.

Question 49 : BE
A. FAUX, agit en POST transcriptionnel
B. VRAI, entre 90 et 200 nt
C. FAUX, le gène à l’origine de l’ARN interférent n’est pas un gène codant, de ce fait son ARN
(qui deviendra interférent par maturation via DROSHA et DICER) ne traduira pas de
protéines.
D. FAUX, codant et non codant
E. VRAI, les SiRNA utilise introduction d’un ARN double brin, et les ShRNA utilise
l’introduction d’un ADN simple brin transcrit en ARN (et mature en interférant)

Question 50 : AB
A. VRAI
B. VRAI
C. FAUX, elle est réalisée à partir de 2 amorces pour encadrer la séquence
D. FAUX, il faut une matrice d’ADN
E. FAUX, les 3 étapes sont : dénaturation à 95° puis hybridation à 55-60° et enfin extension à 70°.

Tutorat PACES Amiens 17

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