ElecNum 1AE 2022 23 Partie 1

Electronique
numérique
Algèbre de Boole
Logique combinatoire
Les exercices pratiques
Logique séquentielle
Responsable du cours: Milka Uzunova 1AE 2022/2023

Définition
 Algebre de Bool – traite des fonction à variables binaires (deux valeurs) –
permet d’étudier les circuits logiques. Une valeur logique n’a que deux
états possibles: vrai (1) et faux (0).
 Mot Binaire
Un mot binaire est une séquence de symboles dans laquelle on ne
retrouve que deux symboles.
Ces deux symboles sont « 0 » et « 1 », ils sont appelés bits (BInary
digiT).
Exemple de mot binaire : 0110 0010 1110 1111 0001 0000
 Dans un mot :
 Le bit de rang le plus faible est appelé "LSB" (Least Significant Bit).
 Le bit de rang le plus fort est appelé "MSB" (Most Significant Bit).
Un mot s'écrit de gauche à droite avec le bit de poids le plus fort à gauche.
Responsable du cours: Milka Uzunova

Principe
BASES DE CODAGE
Décimale Hexadécimale Binaire naturel BCD
Écriture générale dans la base B :

(N)B = (an-1 … a2 a1 a0) = an-1 x Bn-1 +…+ a1 x B1 + a0 x B0
Écriture décimale :
(2265)10= 2 x 1000 + 2 x 100 + 6 x 10 + 5 x 1= 2 x 103 + 2 x 102 + 6 x 101 + 5 x 100
Écriture hexadécimale: codé sur une tranche de 4 bits (en vue de décodage et affichage)!
(F2A)16 = 15 * 162 + 2 * 161 + 10 * 160 = (3882)10
= (1111 0010 1010 )2 =2048+1024+512+256+8+2 = (3882)10
Écriture binaire naturel:
1100101 = 1* 26 + 1* 25 + 0* 24 + 0* 23 + 1* 22 + 0*21 + 1* 20
Écriture binaire codé décimale (BCD): codé sur une tranche de 4 bits
(1973)10 = (0 0 0 1) (1 0 0 1) (0 1 1 1) (0 0 1 1)
Responsable du cours: Milka Uzunova 1 9 7 3

Les bases
MOT : ensemble ordonné de bits (variables logiques) écrit

de gauche à droite avec le bit de poids fort (MSB : Most
Significant Bit) à gauche et le bit de poids faible (LSB : Least
Significant Bit) à droite.
Écriture décimale → binaire :

(2265)10 = 2 x 1000 + 2 x 100 + 6 x 10 + 5 x 1
= 2 x 103 + 2 x 102 + 6 x 101 + 5 x 100
MSB LSB
Écriture générale dans la base B :
(N)B = (an-1 … a2 a1 a0) = an-1 x Bn-1 +…+ a1 x B1 + a0 x B0
MSB LSB

Hexadécimal
Définition
Ce codage est non signé en base 16. Il y a
donc 16 symboles :
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 A B C D E F
 L’équivalent en binaire naturel est obtenu par une

tranche de 4 bits d’entré pour chacun des chiffres
hexadécimaux, en raison de leurs décodage et
affichage.
Exemple : C 8 A 3 = 1100 1000 1010 0011

Binaire/
Hexadécimal/ d c b a B16 B10
Décimale 0 0 0 0 0 0
0 0 0 1 1 1
Ce codage est non signé en base 16.
0 0 1 0 2 2
Il y a donc 16 symboles : 0 0 1 1 3 3
0 1 0 0 4 4
Exemple :
0 1 0 1 5 5
C 8 A 3 0 1 1 0 6 6
 C8A3 = 1100 1000 1010 0011 0 1 1 1 7 7
1 0 0 0 8 8
1 0 0 1 9 9
1 0 1 0 A 10
1 0 1 1 B 11
1 1 0 0 C 12
(C8A3)16 = 12 * 163 +8* 162 + 10 * 161 + 3* 160
1 1 0 1 D 13
1 1 1 0 E 14
1 1 1 1 F 15
Transcodage
Hexadécimal – décimal : le principe est le même

que celui énoncé pour une base B :
(N)B = (an-1…a2 a1 a0) = an-1 x Bn-1 +…+ a1 x B1 + a0 x B0
(C8A3)16 =
12 x 163 + 8 x 162 + 10 x 161 + 3 x 160 = 51363
(1100 1000 1010 0011)2 =

1x215+1x214+1x211+1x27+1x25+1x21+1x20 = 51363

B. C. D.
Cette représentation est non signée et chaque chiffre du
code décimal est transcrit en binaire naturel sur 4 bits. Le
tout est ensuite concaténé pour donner le codage en
BCD, en raison de leurs décodage et affichage:
Exemple : 1973 = 0 0 0 1 1 0 0 1 0 1 1 1 0 0 1 1
1 9 7 3
 En BCD, le nombre de bits utilisés sera impérativement

un multiple de 4.
 Un mot de 4n bits permet de créer 10n combinaisons
possibles (mot de 16 bits = codage de 0000 à 9999).

B. C. D.
Le B.C.D. doit être impérativement sur 4 bits

d’entré, car on représente le Binaire Codé
Décimale (BCD), où l’affichage des chiffres
décimale (unités, dizaines, centaines, milliers etc.)
se fait sur des afficheurs 7 segments, dont le reçu
d’information au niveau de l’afficheur est binaire,
mais le résultats est lue comme chiffre décimale.
1973 = 0 0 0 1 1 0 0 1 0 1 1 1 0 0 1 1
1 9 7 3
milliers centaines dizaines unités
B. C. D.
1973 = 0 0 0 1 1 0 0 1 0 1 1 1 0 0 1 1
1 9 7 3
milliers centaines dizaines unités

Transcodage
Décimal – binaire : méthode par divisions successives (division par 2)
Dans le cas d'une division par 2:
- si le dividende est pair, le reste binaire sera 0,
- si le dividende est impair, le reste binaire sera 1.
Divisez chaque nouveau quotient par deux et inscrivez le reste à droite de
chaque dividende. Arrêtez-vous lorsque le quotient est 0
20
21
22
23
24
25
26
27
1*27 +0*26 + 0*25 +1*24 +1*23 + 1*22 +0*21 + 0*20 = 128+16+8+4 = 156

Transcodage Exercices
20
21
22
23
24
25 26
26 25 24 23 22 21 20
1 0 0 1 1 0 1
Le nombre en base 10 est 26 + 23 + 22 + 20 = 64 + 8 + 4 + 1 = 77

Logique combinatoire
Principe
Table de vérité
Opérateurs logiques
Propriétés et Théorèmes (Forme algébrique)
Les formes technologiques
Construction de la table de vérité à partir
d’une équation
Simplification
Les logigrammes

Principe
Ei
Système Sj
combinatoire
La logique numérique est basée sur

l’algèbre de Boole

Définitions
État logique (binaire ou discret)
Élément nul : valeur binaire 0 (faux, non, bas, ouvert, éteint, vide)
Élément unité : valeur binaire 1 (vrai, oui, haut, fermé, allumé, plein)
Variable logique (bit : BInary digiT)
Grandeur représentée par un symbole (lettre ou signe) qui peut prendre 2
états logiques dans le cadre de l’algèbre de Boole.
Fonction logique
Fonction représentée par des groupes de variables reliés par des
opérateurs logiques, qui ne peut prendre que 2 états logiques 0 (point
faux) ou 1 (point vrai) en logique positive.
système binaire :
variable logique fonction logique

I L
ouvert, fermé éteint, allumé

Représentation des
variables et fonctions
logiques
Algébrique (forme littérale) :
Équation, proposition, expression
Formes technologiques
Formes canoniques
Graphique :
Table de vérité
Tableau de Karnaugh
[Diagramme d’Euler ou de Venn (théorie des ensembles)]
Temporelle :
Chronogramme
Symbolique :
Logigramme
Numérique (écriture condensée)

Table de vérité
Soit F, une fonction de n variables. La table de

vérité de F est un tableau de n+1 colonnes et 2n
lignes dans lequel apparaissent toutes les
combinaisons d’entrées associées à la valeur
correspondante de la fonction.
I L
0 0 Point faux
I L
ouvert éteinte

Table de vérité
Soit F, une fonction de n variables. La table de

vérité de F est un tableau de n+1 colonnes et 2n
lignes dans lequel apparaissent toutes les
combinaisons d’entrées associées à la valeur
correspondante de la fonction.
I L
0 0 Point faux
I L 1 1 Point vrai
fermé allumée

Fonctions logiques
La manipulation des valeurs logiques repose sur 3
fonction logique de base:
• ET – A et B
• OU – A ou B
• NON A
Une fonction logique est le résultat de la combinaison

d’une ou plusieurs variables logiques reliées entre elles
par des opérations logiques :

Convention d’écriture
de la table de vérité
Les variables a, b, et c c b a f(c,b,a) f(c,b,a) est une fonction
représente un mot binaire 0 0 0 0 1 logique de 3 variables
Ordre binaire naturel

(c b a)2 1 0 0 1 0
2 0 1 0 0 Points vrais
3 0 1 1 1
4 1 0 0 1
5 1 0 1 1 Points faux
6 1 1 0 0
7 1 1 1 0
(N)10 est l’équivalent décimal du mot (c b a)2 avec :

(N)10 = 22xc + 21xb +20xa (codage binaire) où :
- a représente le bit le moins significatif (LSB) ou bit de poids faible et
- c représente le bit le plus significatif (MSB) ou bit de poids fort
Exemple : (1 0 1)2 = 22 x 1 + 21 x 0 + 20 ´ 1 = 4+0+1 = (5)10

Opérateurs d’une
variable
fonction nulle : f(x) = 0.  fonction unité : f(x) = 1.
table de vérité : table de vérité :
x f(x) x f(x)
0 0 0 1
1 0 1 1
 OUI : fonction identité : f(x) = x.

système binaire :
x f(x)
table de vérité : symbole :

x f(x) 1
0 0
1 1 norme CEI norme IEEE

Opérateurs logiques
Non
opérateurs de bases de l’algèbre de Boole :
NON ou PAS (NOT) : fonction complément.
degrés de priorité décroissant
C’est une fonction f d’une variable x telle que :
f(x) = x
système binaire :
x f(x)

x f(x) 1
0 1
1 0 norme CEI norme IEEE

Et (And)
Produit logique. C’est une fonction f de plusieurs variables
équivalente à l’intersection en théorie des ensembles. Elle prend la
valeur 1 si toutes les variables sont simultanément égales à 1.
Soient x et y, deux variables booléennes, f(x,y) s’écrit:
f(x,y) = x  y = x  y
système binaire :
Interrupteurs
branchés en série x y f(x,y)

x y f(x,y)
0 0 0 &
0 1 0
1 0 0 norme CEI norme IEEE
1 1 1

Ou (inclusif) Or
Somme logique (produel). C’est une fonction f de plusieurs
variables équivalente à l’union en théorie des ensembles. Elle
prend la valeur 1 si au moins une variable est égale à 1. Soient x
et y, deux variables booléennes, f(x,y) s’écrit :
f(x,y) = x  y = x  y
système binaire :
Interrupteurs x
branchés en parallèle
y f(x,y)
x y f(x,y)
0 0 0 ≥1
0 1 1
1 1 1

Non Et (Nand)
Elle prend la valeur 1 si au moins une variable est égale à 0. C’est
un opérateur complet car il permet de réaliser les trois opérateurs de
base de l’algèbre de Boole. Soient x et y, deux variables booléennes,
f(x,y) s’écrit :
f(x,y) = x  y

x y xy f(x,y)
0 0 0 1 &
0 1 0 1
1 0 0 1 norme CEI norme IEEE
1 1 1 0

Non Ou (Nor)
Elle prend la valeur 1 si toutes les variables sont simultanément
égales à 0. C’est aussi un opérateur complet. Soient x et y, deux
variables booléennes, f(x,y) s’écrit :
f(x,y) = x  y

x y xy f(x,y)
0 0 0 1 ≥1
0 1 1 0
1 1 1 0

Ou Exclusif (Xor)
Elle prend la valeur 1 si et seulement si le nombre de variables

égales à 1 est impair. Soient x et y, deux variables booléennes, f(x,y)
s’écrit :
f(x,y) = x  y = xy  xy
système binaire :
y x f(x,y)

x y f(x,y)
0 0 0 =1
0 1 1
1 1 0

Coïncidence ou
identité (Et inclusif )
Elle prend la valeur 1 si si et seulement si le nombre de variables
égales à 1 est pair. Soient x et y, deux variables booléennes, f(x,y) s’écrit
:
f(x,y) = x  y = xy  xy
système binaire :
x y f(x,y)

x y xy f(x,y)
0 0 0 1 =1
0 1 1 0
1 1 0 1

Règles (propriétés) de
l’algèbre de Boole
Lois ET OU Lois ET OU
Identité 1.A = A 0+A = A Nullité 0.A = 0 1+A = 1
(A.B).C (A+B)+C
Associativité Commutativité A.B = B.A A+B = B+A
=A.(B.C) =A+(B+C)
A.(B+C) = A.B + A.C
Distributivité A.(B.C)=(A.B)(A.C) Idempotence A.A = A A+A = A
A+ (B+C)=(A+B)+(A+C)
Absorption
Inversion A.(A+B) = A A+A.B = A
(1)
Absorption Loi de
(2) De Morgan

Propriétés et
Théorèmes (1)
identité (élément neutre) :A 0 A0 A 1 A1

0 0 0 0 1 0
A0=A 1 0 1 1 1 1
A1=A
A A A
involution : 0 1 0
A=A 1 0 1
complémentarité : A A AA A A AA

AA=1 0 1 1 0 1 0
AA=0 1 0 1 1 0 0

Propriétés et
Théorèmes (2)
A B AB BA A B AB BA
commutativité : 0 0 0 0 0 0 0 0
AB=BA 0 1 1 1 0 1 1
0 1
0
AB=BA 1 0 1 1 1 0 1
0 1
0
1 1 1 1 1 1 1 1
A B C BC A(BC) AB (AB)C A B C BC A(BC) AB (AB)C

associativité : 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
A  (B  C) = (A  B)  C 0 0 1 1 1 0 1 0 0 1 0 0 0 0
A  (B  C) = (A  B)  C 0 1 0 1 1 1 1 0 1 0 0 0 0 0
0 1 1 1 1 1 1 0 1 1 1 0 0 0
1 0 0 0 1 1 1 1 0 0 0 0 0 0
1 0 1 1 1 1 1 1 0 1 0 0 0 0
1 1 0 1 1 1 1 1 1 0 0 0 1 0
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

Propriétés et
Théorèmes (3)
distributivité :
ET sur OU : A  (B  C) = (A  B)  (A  C) = AB  AC
OU sur ET : A  (BC) = (A  B)  (A  C)
A B C BC A(BC) AB AC ABAC A B C BC A(BC) AB AC (AB)(AC)
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 1 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 1 0
0 1 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0 0 1 0 0
0 1 1 1 0 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1
1 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 1 1 1 1
1 0 1 1 1 0 1 1 1 0 1 0 1 1 1 1
1 1 0 1 1 1 0 1 1 1 0 0 1 1 1 1
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

Propriétés et
Théorèmes (4)
idempotence (pas d’exposant ou de coefficient) :
AA=A A A AA A A AA
AA=A 0 0 0 0 0 0
1 1 1 1 1 1
 élément absorbant : A 0 A0 A 1 A1

0 0 0 0 1 1
A  0 = 0
1 0 0 1 1 1
A  1 = 1
 absorption : A B AB A(AB) A B AB A(AB)

0 0 0 0 0 0 0 0
 A  (A  B) = A
0 1 1 0 0 1 0 0
 A  (A  B) = A 1 0 1 1 1 0 0 1
 Démontrer algébriquement 1 1 1 1 1 1 1 1
ces deux relations

Propriétés et Théorèmes (5)
A B AB AB A B AB
0 0 0 1 1 1 1
 De Morgan : 0 1 1 0 1 0 0
 AB=AB 1 0 1 0 0 1 0
 AB=AB 1 1 1 0 0 0 0
A B AB AB A B AB

0 0 0 1 1 1 1
0 1 0 1 1 0 1
1 0 0 1 0 1 1
1 1 1 0 0 0 0
 EXEMPLES: autre identité à démontrer algébriquement :

 AB  AB = B (propriété 1)
 (A  B)  (A  B) = B(A+A)=B (propriété 2)
 A  AB = A  B (propriété 3)
 A  (A  B) = AB (propriété 4)

Table à 2 variables
Table des fonctions f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
logiques f à 2 f1(x,y) 0 0 0 1 xy
f2(x,y) 0 0 1 0 xy
variables x et y. f3(x,y) 0 0 1 1 x
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
Écrivez pour chaque f5(x,y) 0 1 0 1 y
ligne l’équation de la f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
la fonction réalisée. f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
f10(x,y) 1 0 1 0 y
f11(x,y) 1 0 1 1 xy
f12(x,y) 1 1 0 0 x
f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
f15(x,y) 1 1 1 1 1
Les formes
technologiques

Les formes
technologiques

Les formes
technologiques

f0(x,y)=0 f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f0(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 0 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 0
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 0
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f1(x,y)=x.y f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f0(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 0 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 0 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 0 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
f2(x,y)=xy f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f2(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 0 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 0
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 1
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f3(x,y)=x f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f3(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 0 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 0 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 1 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
f4(x,y)=xy f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f4(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 0 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 1
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 0
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f5(x,y)=y f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f5(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 0 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 1 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 0 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
f6(x,y)=x  y f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f6(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 0 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 1
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 1
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f7(x,y)=x+y f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f5(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 0 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 1 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 1 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
f8(x,y)=x + y f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f6(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 1 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 0
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 0
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f9(x,y)=x  y f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f5(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 1 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 0 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 0 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
f10(x,y)= y f0(x,y)
(0,0) (0,1) (1,0) (1,1)
0 0 0 0
f
0
x y f6(x,y) f1(x,y) 0 0 0 1 xy
0 0 1 f2(x,y) 0 0 1 0 xy
f3(x,y) 0 0 1 1 x
0 1 0
f4(x,y) 0 1 0 0 xy
1 0 1
f5(x,y) 0 1 0 1 y
1 1 0 f6(x,y) 0 1 1 0 xy
f7(x,y) 0 1 1 1 xy
f11(x,y)=x + y f8(x,y) 1 0 0 0 xy
f9(x,y) 1 0 0 1 xy
x y f5(x,y) f10(x,y) 1 0 1 0 y
0 0 1 f11(x,y) 1 0 1 1 xy
0 1 0 f12(x,y) 1 1 0 0 x
1 0 1 f13(x,y) 1 1 0 1 xy
f14(x,y) 1 1 1 0 xy
1 1 1
f15(x,y) 1 1 1 1 1
Propriétés et
Théorèmes (6)

Portes logiques
table de vérité :
Ou Exclusif (Xor) x y f(x,y)
0 0 0
0 1 1
f(x,y) = x  y = xy  xy 1 0 1
1 1 0
Et inclusif table de vérité :

x y xy f(x,y)
f(x,y) = x  y = xy  xy 0 0 0 1
0 1 1 0
f(x,y) = x  y = x.y+x.y
1 0 1 0
Selon De Morgane:
1 1 0 1
f(x,y) = (x.y).(x.y)= (x+y).(x+y)=
f(x,y) = (x+y).(x+y)=x.x+x.y+y.x +y y =x y+y. x
0 0

Portes logiques
table de vérité :
NON ET (NAND) x y xy f(x,y)
0 0 0 1
f(x,y) = x  y 0 1 0 1
f(x,y) = x  y +x . y + x . y = x (y + y) + x . y 1 0 0 1
1 1 1 0
f(x,y) =x + x . y = x + y = x  y
table de vérité :
NON OU (NOR) x y xy f(x,y)
0 0 0 1
f(x,y) = x  y
0 1 1 0
1 0 1 0
f(x,y) = x . y = x + y 1 1 1 0
Démontrer algébriquement et trouver la table de vérité:

xy=xy; x+x.y=x+y;

Remarques
 Dans la définition des opérateurs ET et OU, NON ET et

XOR nous avons juste donner la définition de base
avec deux variables logiques
 L’opérateur logique ET peut réaliser le produit de
plusieurs variables logiques – ex. A.B.C.D
 L’opérateur logique OU peut réaliser la somme de

plusieurs variables logiques – ex. A+B+C+D

Précédence des
opérateurs (priorité
des opérateurs)
 Pour évaluer une expression logique (fonction logique)
 On commence par évaluer les sous expression
entres les parenthèses
 Puis le complément NON
 En suite le produit logique ET
 Enfin la somme logique OU
Exemple :
F(A,B,C)= (A.B).(C+B)+A.B.C
Si on veut calculer F(0,1,1), alors:
F(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ (0.1.1) = (0).(1)+0.0.1=1.1+0.0.1=1+0=1

Précédence des
des opérateurs)
Exemple :
F(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = (0).(1)+0.0.1=1.1+0.0.1=1+0=1
Trouver la table de vérité de cette fonction F(A,B,C) ?

Pour trouver la table de vérité, il faut trouver la valeur de F(A,B,C)
pour chaque combinaison de A,B et C
Il y a 3 variable -> 8 combinaisons

Précédence des
F(A,B,C)= (A.B).(C+B)+A.B.C des opérateurs)
F0(0,0,0)= (0.0).(0+0)+ 0.0.0 = 0
F1(0,0,1)= (0.0).(1+0)+ 0.0.1 = 1
F2(0,1,0)= (0.1).(0+1)+ 0.1.0 =1(0+1)+0= 1
F3(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = (0).(1)+0.0.1=1.1+0.0.1=1+0=1
F4(1,0,0)= (1.0).(0+0)+ 1.0.0 = 0
F5(1,0,1)= (1.0).(1+0)+ 1.0.1 = 1
F6(1,1,0)= (1.1).(0+1)+ 1.1.0 = 0
F7(1,1,1)= (1.1).(1+1)+ 1.1.1 = 0

Précédence des
F0(0,0,0)= (0.0).(0+0)+ 0.0.0 = 0
A B C F(A,B,C)
F1(0,0,1)= (0.0).(1+0)+ 0.0.1 = 1
0 0 0 0 F0(0,0,0)
F2(0,1,0)= (0.1).(0+1)+ 0.1.0 = 1 0 0 1 1 F1(0,0,1)
0 1 0 1 F2(0,1,0)
F3(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = 1
0 1 1 1 F3(0,1,1)
F4(1,0,0)= (1.0).(0+0)+ 1.0.0 = 0 1 0 0 0 F4(1,0,0)
1 0 1 1 F5(1,0,1)
F5(1,0,1)= (1.0).(1+0)+ 1.0.1 = 1
1 1 0 0 F6(1,1,0)
F6(1,1,0)= (1.1).(0+1)+ 1.1.0 = 0 1 1 1 0 F7(1,1,1)
F7(1,1,1)= (1.1).(1+1)+ 1.1.1 = 0

Les formes
technologiques

Les formes
technologiques

Les formes
technologiques

Les formes
technologiques
 première forme : somme de monômes (produits de
littéraux). C’est une forme disjonctive.
Exemple : F(A,B,C) = AB  AC  AB
 deuxième forme : produit de monaux (somme de
littéraux). C’est une forme conjonctive.
Exemple : F(A,B,C) = (A  B).(A  C).(A  B)
 formes technologiques associées : elles s’obtiennent
d’après le théorème d’involution et celui de De Morgan.

Les formes normales
ou canoniques
 une fonction logique est sous forme canonique si
chaque termes (monômes et monaux) contient toutes
les variables. C’est aussi une forme technologique.

Simplification des
fonctions logiques
 L’objectif de la simplification d’une fonction logique est
 de réduire le nombre de termes dans la fonction
 De déduire le nombre de variables dans un terme
 Cela afin de réduire le nombre de portes logiques

utilisées et de réduire le coût du circuit
 Plusieurs méthodes existent pour la simplification:
 Méthode algébrique
 Méthode graphiques (tableau de karnaugh)
 Méthodes programmables

Méthode algébrique
 Le principe consiste à appliquer les règles de l’algèbre

de Boole afin d’éliminer des variables ou des termes
Exemple de règles :
A.B+A.B = A
A+A.B=A I. Règle – regrouper les
A+A.B =A+B termes à l’aide des règles
(A+B)(A+B)=A
A.(A+B)=A+AB=A
A.(A+B)=AB

I. Règle - regrouper les termes à l’aide
des règles
Exemple
A.B.C+A.B.C + A.B.C.D = A.B(C+C)+ A.B.C.D =
=AB+ A.B.C.D = A.(B+B(C.D))=A(B+(C.D)) = A.B+A.C.D
II. Règle – rajouter un terme déjà existant

à une expression
Exemple
A.B.C+A.B.C + A.B.C + A.B.C
= A.B.C+A.B.C + A.B.C + A.B.C + A.B.C + A.B.C =
B.C A.C A.B

III. Règle – il est possible de
supprimer un terme en plus
qui est déjà dans la réunion
des autres termes
Exemple
A.B+B.C + A.C= A.B+B.C + A.C(B+B)
=AB+ B.C+A.C.B+A.B.C = A.B(1+C)+B.C(1+A)= A.B + B.C
Exemple en utilisant la forme conjonctive du terme en plus

(A+B).(B+C).(A+C) = (A+B).(B+C).(A+C+ B.B)
= (A+B).(B+C).(A+C+ B).(A+C+B)
= (A+B).(A+C+ B).(B+C).(A+C+B)
(A+B) (B+C)

IV. Règle – simplification de la
forme canonique ayant le
nombre de termes minimum
Exemple
A.B.C+A.B.C + A.C= A.B (C+C) +A.C = AB +A C
Démontrer la proposition suivante

A.B+B.C + A.C + A.B.C+ A.B.C + A.B.C = A+B+C

Extraction d’une
équation (1)
Extraction d’une équation logique à partir de la
table de vérité :
a b c f(a,b,c) Points vrais : Forme normale disjonctive :

0 0 0 1 F(0,0,0) = 1 = a b c Elle ne comprend que les min termes
0 0 1 0 F(0,1,1) = 1 = a b c pour lesquels la valeur particulière
0 1 0 0 F(1,0,0) = 1 = a b c de la fonction est égale à 1 (points
0 1 1 1 F(1,0,1) = 1 = a b c vrais).
Le nombre de termes de la réunion
1 0 0 1
est égale au nombre de 1 de la
1 0 1 1
fonction figurant dans la table de
1 1 0 0 vérité.
1 1 1 0
f(a,b,c) = abc  abc  abc  abc

Extraction d’une
équation (2)
Extraction d’une équation logique à partir de la
table de vérité :
a b c f(a,b,c) Points faux : Forme normale conjonctive :

0 0 0 1 F(0,0,1) = 0 = abc Elle ne comprend que les max
0 0 1 0 F(0,1,0) = 0 = abc termes pour lesquels la valeur
0 1 0 0 F(1,1,0) = 0 = abc particulière de la fonction est égale à
0 1 1 1 F(1,1,1) = 0 = abc 0 (points faux).
Le nombre de termes de la réunion
1 0 0 1
est égale au nombre de 0 de la
1 0 1 1
fonction figurant dans la table de
1 1 0 0 vérité.
1 1 1 0
f(a,b,c) = (abc)(abc)(abc)(abc)

Vérification de l’égalité
des 2 méthodes
Forme disjonctive
table de vérité :
x y f(x,y) f ( x, y) = x y  xy
0 0 0
0 1 0
1 0 1 Forme conjonctive
1 1 1
f ( x, y) = ( x  y).( x  y)

Vérification de l’égalité
des 2 méthodes
Forme disjonctive Forme conjonctive
f ( x, y) = x y  xy f ( x, y) = ( x  y).( x  y)
f ( x, y) = xx  xy  x y  y y
f ( x, y) = x( y  y)
f ( x, y) = x  xy  x y 0
1
f ( x, y) = x(1  y  y)
f ( x, y) = x f ( x, y) = x 1

Exemple
a b c f(a,b,c)f(a,b,c)
bc
F(a,b) = a  bc 0 0 0 0 0
0 0 1 0 0
3 variables a, b et c
0 1 0 0 0
 F(a,b) = a  bc 0 1 1 1 1
 F(a,b) = abc  abc 1 0 0 0
1 1
 F(a,b) = abc  a(bc) 1 0 1 0
1 1
 F(a,b) = abc  ab  ac 1 1 0 0
1 1
1 1 1 1
0 0
 F(a,b) = abc  ab  ac
 F(a,b) = abc  ab(cc)  ac(bb)
 F(a,b) = abc  abc  abc  abc  abc
 F(a,b) = abc  abc  abc  abc

Construction de la table de
vérité à partir d’une
équation
Compter le nombre de différentes variables dans l’équation
et créer la table de vérité.
1ère méthode : pour chacune des combinaisons de la table de vérité,
évaluer l’équation et reporter le résultat dans la table.
2ème méthode : mettre l’équation sous une forme technologique et pour
chacun des termes de la forme choisie, reporter les 1 ou les 0 dans les
cases correspondantes de la table de vérité (plusieurs reports par
terme).
3ème méthode : mettre l’équation sous une forme canonique et pour
chacun des termes de la forme choisie, reporter les 1 ou les 0 dans les
cases correspondantes de la table de vérité (un seul report par terme).

Précédence des
des opérateurs)
Exemple :
F(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = (0).(1)+0.0.1=1.1+0.0.1=1+0=1

Pour trouver la table de vérité, il faut trouver la valeur de F(A,B,C)
pour chaque combinaison de A,B et C
Il y a 3 variable -> 8 combinaisons

Précédence des
F0(0,0,0)= (0.0).(0+0)+ 0.0.0 = 0
F1(0,0,1)= (0.0).(1+0)+ 0.0.1 = 1
F2(0,1,0)= (0.1).(0+1)+ 0.1.0 =1(0+1)+0= 1
F3(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = (0).(1)+0.0.1=1.1+0.0.1=1+0=1
F4(1,0,0)= (1.0).(0+0)+ 1.0.0 = 0
F5(1,0,1)= (1.0).(1+0)+ 1.0.1 = 1
F6(1,1,0)= (1.1).(0+1)+ 1.1.0 = 0
F7(1,1,1)= (1.1).(1+1)+ 1.1.1 = 0

Précédence des
F0(0,0,0)= (0.0).(0+0)+ 0.0.0 = 0
A B C F(A,B,C)
F1(0,0,1)= (0.0).(1+0)+ 0.0.1 = 1
0 0 0 0 F0(0,0,0)
F2(0,1,0)= (0.1).(0+1)+ 0.1.0 = 1 0 0 1 1 F1(0,0,1)
0 1 0 1 F2(0,1,0)
F3(0,1,1)= (0.1).(1+1)+ 0.1.1 = 1
0 1 1 1 F3(0,1,1)
F4(1,0,0)= (1.0).(0+0)+ 1.0.0 = 0 1 0 0 0 F4(1,0,0)
1 0 1 1 F5(1,0,1)
F5(1,0,1)= (1.0).(1+0)+ 1.0.1 = 1
1 1 0 0 F6(1,1,0)
F6(1,1,0)= (1.1).(0+1)+ 1.1.0 = 0 1 1 1 0 F7(1,1,1)
F7(1,1,1)= (1.1).(1+1)+ 1.1.1 = 0

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Responsable du cours: Milka Uzunova 1AE 2022/2023

Responsable du cours: Milka Uzunova

Décimale Hexadécimale Binaire naturel BCD

Écriture générale dans la base B :

Responsable du cours: Milka Uzunova 1 9 7 3

MOT : ensemble ordonné de bits (variables logiques) écrit

Écriture décimale → binaire :

Responsable du cours: Milka Uzunova

 L’équivalent en binaire naturel est obtenu par une

Responsable du cours: Milka Uzunova

Hexadécimal – décimal : le principe est le même

(1100 1000 1010 0011)2 =

Responsable du cours: Milka Uzunova

 En BCD, le nombre de bits utilisés sera impérativement

Responsable du cours: Milka Uzunova

Le B.C.D. doit être impérativement sur 4 bits

Responsable du cours: Milka Uzunova

Responsable du cours: Milka Uzunova

Le nombre en base 10 est 26 + 23 + 22 + 20 = 64 + 8 + 4 + 1 = 77

Responsable du cours: Milka Uzunova

Responsable du cours: Milka Uzunova

La logique numérique est basée sur

Responsable du cours: Milka Uzunova

variable logique fonction logique

Responsable du cours: Milka Uzunova

Responsable du cours: Milka Uzunova

Soit F, une fonction de n variables. La table de

Responsable du cours: Milka Uzunova

Soit F, une fonction de n variables. La table de

Responsable du cours: Milka Uzunova

Une fonction logique est le résultat de la combinaison

Responsable du cours: Milka Uzunova

Ordre binaire naturel

(N)10 est l’équivalent décimal du mot (c b a)2 avec :

Responsable du cours: Milka Uzunova

 OUI : fonction identité : f(x) = x.

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

C’est une fonction f d’une variable x telle que :

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

Responsable du cours: Milka Uzunova

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

Elle prend la valeur 1 si et seulement si le nombre de variables

table de vérité : symbole :

Responsable du cours: Milka Uzunova

f(x,y) = x  y = xy  xy

table de vérité : symbole :

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Identité 1.A = A 0+A = A Nullité 0.A = 0 1+A = 1

Responsable du cours: Milka Uzunova

identité (élément neutre) :A 0 A0 A 1 A1

complémentarité : A A AA A A AA

Responsable du cours: Milka Uzunova

A B C BC A(BC) AB (AB)C A B C BC A(BC) AB (AB)C

Responsable du cours: Milka Uzunova

Responsable du cours: Milka Uzunova