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Essai D'exploitation de La Couche 0
Essai D'exploitation de La Couche 0
couche 0
Réalisé par:
IMANE CHAOUQI
Et encadré par:
M. BENEDDI RACHID de l’OCP
Pr. Ettaki Mohammed de la FPK
Dédicaces 4
Remerciements 5
Introduction 6
1. Introduction 8
2. Historique 9
3. Sigle et logo 9
4. Statut juridique 10
5. Missions du groupe 10
6. Filiales 11
1. Introduction 11
4. Phosphatogenèse 12
1. Reconnaissance du gisement 17
2. La prospection 18
3. Le rôle du prospecteur 19
2. Merah Hrach 26
1. Description 34
2. Echantillonnage 36
3. Carte d’iso-valeurs 37
4. Synthèse 42
3. Dépenses d’exploitation 48
4. Synthèse 48
Conclusion 49
Références 50
Annexes 51
J
'ai l'honneur d'adresser mes remerciements les plus sincères à tous
ceux et celles qui m'ont aidé à passer cette période de stage à la
Direction Extraction MEA dans des conditions très favorables et
propices à une insertion rapide dans le milieu du travail, notamment:
1.Introduction
Un des leaders mondiaux sur le marché du phosphate et ses dérivés, l’Office
Chérifien des Phosphates (OCP) opère sur les cinq continents et dispose des
plus importantes réserves de phosphate au monde.
Cette place a permis au Groupe OCP de conquérir le marché international et
de dominer le volume des importations mondiales du phosphate et de ses
dérivés, comme le montre la carte suivante:
2.Historique
3.Sigle et logo :
3.1 Sigle :
Office : Etablissement semi-public agissant comme une entreprise privée,
mais dont le Directeur Général et le Conseil d’administration sont désignés par
le Gouvernement.
Chérifien : Vient de « Chérif ». Par extension, Il est devenu synonyme de
Marocain.
Phosphate: l’activité principale de l’OCP est l’extraction du phosphate.
3.2 Logo :
Le Logo du Groupe OCP symbolise une dent de requin. Cette figure est
reproduite 5 fois à l’identique rappelant, d’une part, l’étoile à 5 branches du
drapeau national et, d’autre part, les destinations des produits de l’entreprise
vers les 5 continents. L’ensemble est inscrit dans un cercle autour duquel sont
disposés 2 épées croisées en arc de cercle, symboles de fertilité et de croissance.
4.Statut juridique :
Le groupe OCP est un établissement public, honoré de la personnalité civile,
et dispose d'une autonomie financière absolue, et ses filiales acquièrent la forme
de sociétés anonymes, ainsi comme l'indique l'article premier du Dahir 1-60-
178, le groupe OCP est mis sous tutelle administrative du ministère de
l'économie nationale.
En 2008, l'OCP est transformé en une société anonyme.
5.Missions du Groupe :
6.Filiales du groupe :
Après ce bref aperçu sur le Groupe OCP, il est temps de voir les phosphates
comme minéraux exploités par ce Groupe de renommée internationale.
1. Introduction
Le phosphate est recherché pour le phosphore qu’il contient. Désigné en
chimie par la lettre P, il constitue un élément essentiel des cellules vivantes de
L’home. Chez les animaux, il apparaît dans les os et les dents. Chez les
végétaux, c’est lui qui véhicule l’énergie produite par photosynthèse et
contribue à développer les racines de la plante, à faciliter son alimentation et la
rendre plus résistance face aux maladies. Le phosphate joue par la suite un rôle
dans la productivité agricole, et du même coup dans l’alimentation de l’homme.
Quels sont donc les caractéristiques chimiques du phosphate ?
2. Caractéristiques chimiques du phosphate :
L’ion phosphate ou ortho-phosphate est un cation poly-atomique de formule
chimique brute P2O5 et de masse moléculaire 94.97 daltons. Il se présente sous
la forme d’un tétraèdre dont les sommets sont formés par les quatre atomes
d’oxygène encadrant un atome de phosphore.
4. Phosphatogenèse
On distingue trois théories principales:
4.1 Théorie Biolitique :
Elle se limite à l’intervention des organismes qui se fossilisent lorsque les
conditions deviennent insupportables.
4.2 Théorie Abiolitique:
1. La reconnaissance du gisement :
La reconnaissance des gisements phosphatés passe par les étapes suivantes :
1ère Etape:
- Collecte des données géologiques à partir des tranchées naturelles et des
puits locaux ;
- Etablissement d’une carte géologique pour avoir une idée générale sur la
répartition latérale des étages géologiques pour mieux connaître et
cerner le champ d’étude.
2ème Etape :
- Exploration des zones vierges à l’aide des puits locaux en établissant des
coupes géologiques ;
- Réalisation d’un échantillonnage préliminaire, afin d’établir une
caractérisation chimique restreinte des niveaux phosphatés ;
- Cartographie des affleurements de la série phosphatée.
3ème Etape :
- Réalisation des campagnes de fonçage des puits. Ce travail est contrôlé
par le géologue qui veille sur la réalisation des puits selon les normes
adoptées.
- Reconnaissance systématique à une maille lâche (2-8km).
- Etablissement des coupes des puits.
- Dessin des coupes sur calque.
- Interprétation des coupes des puits réalisés en délimitant tous les niveaux
phosphatés et leurs intercalaires.
- Envoi des échantillons au laboratoire et réception des résultats.
- Caractérisation chimique restreinte à partir des résultats reçus.
- Détermination des affleurements des niveaux phosphatés à partir des
nouvelles données.
- Identification des structures et des pendages de la série phosphatée pour
savoir l’allure et la structure de cette dernière.
- Estimation des réserves phosphatées.
- Etude géologique à une maille large (1km) selon les mêmes étapes
décrites dans la phase de reconnaissance précédente. Les résultats de
cette étude sont enregistrés dans un rapport géologique qui contient entre
autres tous les documents et les commentaires élaborés durant l’étude.
- Situation et limites du domaine étudié.
- Niveaux géologiques identifiés.
- Etude statistique de la série phosphatée.
- Faciès rencontrés.
- Structure et recouvrement des niveaux de la série phosphatée.
- Histogramme, graphiques, cartes d’iso-valeurs….etc.
- Commentaires et recommandations.
4ème Etape:
3. Le rôle du prospecteur :
On met les échantillons dans des petits sacs qui portent des informations sur
l’échantillon, à savoir:
L’intitulé de la sortie et de la piste où on a échantillonné,
Le nom et l’épaisseur de la couche à échantillonner,
Les coordonnés x, y et z.
Le schéma suivant montre les différentes interactions du prospecteur avec les
autres opérateurs:
1.2 Zonage
Remarque :
Autres faits caractérisant le bassin des Ouled Abdoun.
1.3 Cadre géologique
Le phosphate des Ouled Abdoun constitue le terme final d’une couverture
sédimentaire allant de l’infracénomanien au Lutécien supérieure.
Le substratum mésétien, qui supporte cette série est formé de terrains
paléozoïques plissés et faillés qui affleurent dans le Massif central au Nord et
les Rhamna au Sud.
l’infracénomanien rouge est composé de conglomérats, de grés ou
d’argile.
Le Cénomano- Turonien est formé essentiellement de marno-calcaire.
Le sénonien (Maastrichtien exclu) est constitué principalement de marne
et de marno-calcaire. L’absence de fossiles stratigraphiques ne permet pas
la distinction du coniacien, du santonien et du campanien, seul le
Maastrichtien phosphaté est distingué.
La série phosphatée débute au Maastrichtien par des dépôts phosphatés
relativement très marneux et se termine au Lutétien par une dalle calcaire.
2.Merah Hrach
1.1 Situation géographique :
Le gisement de M.E.A se trouve à 24 km au sud-est de la ville de
Khouribga et au nord de la ville de Fekih ben Saleh, il est traversé par la route
nationale N° 133.
Il est subdivisé en 5 zones principales, dont quatre sont en cours
d’exploitation :
Zone centrale Sud (En cours d’exploitation).
Extension zone centrale Nord (En cours d’exploitation).
Ghar Maati (En cours d’exploitation).
Recette 7(En cours d’exploitation).
Extension zone centrale Sud (En projet).
Le sillon B
Il est formé par un phosphate grossier meuble coprolithique, d’environ 1 m
de puissance, et de qualité qui dépasse 73% BPL.
Intercalaire B/A
Il est formé de :
- Calcaire phosphaté coprolithique à silex phosphaté, d’environ 70 cm de
puissance.
- Marne tendre, calcareuse ou siliceuse par place, d’environ 90 cm de
puissance.
Le sillon A
Il formé par un phosphate grossier à coprolithes dans sa partie inférieure et
d’un phosphate marneux à calcifié dans sa partie supérieure. Il est d’environ 70
cm de puissance, et de 66 à 70 % BPL de qualité (variation latérale de faciès).
Intercalaire A / C0
Il est formé de :
- Calcaire phosphaté à gros silex phosphaté, à la base, d’environ 80 cm de
puissance.
-
La couche C0.
Elle est formée par un phosphate marneux calcifié, d’environ 80 cm de
puissance, et de qualité très faible (n’est pas exploitée à M.E.A).
Intercalaire C0/C0’.
Il est formé de :
- Calcaire phosphaté marneux, d’environ 60 cm de puissance.
- Marne tendre à plastique, renfermant des silex de type « ménilites,
d’environ 80 de puissance.
La couche C0’
Elle est formée de phosphate marneux, renfermant des silex en néoformation
vers le toit, d’environ 40 cm de puissance, et de qualité très variable de 60 à 68
% BPL.
Dalle à nodules
Elle est formée par calcaire marneux, et de marne plastique à nodules de
silex, d’environ 40 cm de puissance.
La couche 1
Elle est formée de :
- Couche 1 supérieure : formée d’un phosphate meuble, limitée en haut et en
bas par deux rangés de rognons de silex, elle est d’environ 1m de puissance,
et de qualité variable de 65 à 76 % BPL. (Variation latérale de faciès).
- Couche 1 médiane : formée par un phosphate marneux, calcareuse au
milieu, et se sépare de la couche 1 inférieure par des marnes plastiques, elle
est d’environ 40 à 50 cm de puissance, et de qualité faible ne dépassant pas
65% BPL.
- Couche 1 inférieure : Elle est formée par un phosphate grossier meuble,
d’environ 0,50 à 1, 20 m de puissance, et de qualité haute teneur normale
entre 71,5 et 73 % BPL.
Intercalaire C1/C2.
Il est formé par une dalle calcaire coprolithique, d’environ 1,2 à 1,6 m de
puissance.
La couche 2.
Elle est formée de :
- Couche 2 A : (C2 supérieure formé par un phosphate meuble, marneux à
consolidé dans sa partie supérieure, d’environ 2.3 à 3m de puissance, et de
qualité faible entre 63 et 65% BPL.
- Dalle à cardita : formée par un calcaire phosphaté à cardita coquandi,
d’environ 30 à 60 cm de puissance.
- Couche 2B : (C2 inférieure) formée par un phosphate grossier meuble,
d’environ 0.8 à 1.2 m de puissance, et de qualité entre 68 à 71% BPL.
Intercalaire C2/C3
Il est formé de :
La couche 3.
Elle est formée de :
- Couche 3A : (C3 supérieure) formée par un phosphate marneux jaunâtre
séparé au milieu par un liseré de marne plastique, elle est d’environ 2.10 m
de puissance, de qualité faible.
- Intercalaire C3 /C3B : formé de premier niveau à bon-bed d’environ 20 cm
de puissance, et de marne légèrement phosphaté d’environ 40cm de
puissance.
- Couche 3B : (C3 inférieure) formée par un phosphate marneux grossier
fossilifère à la base, d’environ 2.3 m de puissance, de qualité faible, et qui
repose sur le 2ème niveau à bon-bed qui marque le début de la série
phosphatée.
1.3.1 : Foration
Le transport vers les trémies d’épierrage et criblage est assuré par des
camions de capacité de 110 t et de 170 t.
1.3.6 l’Epierrage-criblage et la mise en stock:
2. Echantillonnage
Dans la partie C2-C3, on a pris 8 échantillons numérotés de 533 à 540 selon
la méthode suivante :
Nettoyage du mur du niveau phosphaté à échantillonner.
Grattage sur toute sa puissance avant d’échantillonner.
Mesure de la puissance à échantillonner.
Prélèvement de l’échantillon sur la totalité de la puissance du niveau.
Quartage de l’échantillon prélevé.
Etiquette qui doit porter les renseignements suivants :
o Date ;
o Panneau ;
o Tranchée ;
o Case ;
o Nom de la couche ;
o Puissance de la couche ;
o Numéro d’ordre de l’échantillon.
3. Cartes d’iso-valeurs
3.1 Les cartes d’iso-puissances :
Elles sont réalisées dans le but de :
- Déterminer la variation des puissances par zone et par couche.
- Faciliter la lecture des changements de puissance.
Pour notre cas, la carte d’iso-puissances et les données résultantes étaient
comme suit :
100
100 91.78
90 80.32
80
70 59.50
60
50 Fréquence en %
Fréquence cumulée en %
40 31.16 28,33
30 20,82
18,56
20 12.51 12.51 11,45
8.21
10
0
0,4-0,7 0,7-0,8 0,8-0,9 0,9-1 1-1,1 1,1-1,5
Min 0,40
Max 1,55
Moyenne 0,8
Ecart type 0,23
Interprétation:
D’après la carte d’iso-puissances réalisée, le modèle 3D et le diagramme
établi, on constate que les puissances les plus dominantes sont celles comprises
entre 0.7 et 1m, alors qu’on trouve des puissances plus faibles entre 0.4 et 0.7 m
qui caractérisent la partie sud et nord de la carte, ainsi que des valeurs plus
élevées moins fréquentes qui caractérisent surtout la partie Est de la carte.
Ces puissances correspondent à une valeur moyenne de 0.8 m avec un écart
type de 0.23 qui signifie que la couche est homogène de point de vue puissance.
3.2 Les cartes d’iso-teneurs :
Elles ont pour but de :
- Déterminer la variation des teneurs par zone et par couche.
- Montrer la répartition des teneurs sur la zone
Pour notre cas, la carte d’iso-teneurs et son modèle 3D réalisé étaient comme
suit :
100
100 92,13
90
77,19
80
70
60
47,40
50 Fréquence en %
Fréquence cumulée en %
40 30,92 29,78
30
16,50 14,93
20 14,09
7,86
10 2,40 2,40
0
47-53 53-55 55-57 57-59 59-61 61-69
Min 47,89
Max 70,05
Moyenne 61,52
Ecart type 4,11
Interprétation:
Selon les schémas ci-dessus, on remarque que les teneurs les plus
dominantes sont celles comprises entre 55 et 59 BPL, alors qu’on trouve des
teneurs moins importantes entre 47 et 55 BPL qui caractérisent la partie ouest
de la carte avec des petites traces dans la totalité de la carte, et n’oublions pas
les teneurs élevées qui sont réparties dans la partie sud avec des traces à la
partie nord.
Ces teneurs correspondent à une valeur moyenne de 61,5 BPL avec un écart
type de 4,11.
4. Synthèse
D’après les données ci-dessus on peut avancer que la couche 0 peut être
exploitable de point de vue géologique, vu sa teneur qui est de l’ordre de 61,5
BPL et qui correspond à une basse teneur normale supérieure à celle de la
couche 3 qui ne dépasse pas 55,48 BPL et vu le granoclassement de cette
couche, la partie inférieure est éventuellement plus riche par rapport à celle
supérieure. Mais le mélange de différentes parties va nous donner une asse
teneur normale.
48.61
50 44.13
45
40
35
30
25 Series1
20
15 7.26
10
5
0
NC TBT BT
Les résultats ci-dessus montrent que 48% des réserves de la couche 0 dans
cette zone qui sont estimés à 3 758 000 m3 sont de très basse teneur alors que 7
% des réserves sont de basse teneur et 44% restent non conformes.
Heures
Vol. pl Vol.Rem Machin Type de
Niveau cas RDT HM Rendement de
(103 m3) (103 m3) e camion
marche
Fi
gure 26 : la couche 0 après le sautage
3. Dépenses d’exploitation
En se basant sur le même projet d’exploitation, on a pu calculer les
dépenses d’exploitation de la couche 0 énumérés au tableau suivant :
Bibliographie
- Les archives du bureau des Plans et Méthodes de Merah Hrach ;
- Manuel de géologie des phosphates ;
- Ancien rapports de stage ;
Sites internet :
- www.ocpgroup.ma;
- Rapports annuels de l’OCP ;
- Google : recherche sur les phosphates au Maroc.
Foration
Stade Opératoire Engins1 Volume HM1 Taux Fact. Dépenses
Aménagement. Plate Forme D9 27 735 132 4 697 1 664,03 7 816 629
Foration SKF 6 161 777 3 209 1 359,29 4 362 312
SAUTAGE
Stade Opératoire U.O Taux Fact. Dépenses
AMMONIX 8 720 299 7,00 61 042 090
CORDEAU 1 744 060 1,78 3 104 426
R.R 17 435 14,02 244 439
D.E.I 429 17,55 7 529
TOTAL 64 398 484
COUT A LA TONNE 7,20
Enlèvement Stériles
Stade Opératoire Engins Volume HM Taux Fact. Dépenses
Aménagement. Plate Forme D9 20 229 481 38 234 1 664,03 63 622 054
Enlèvement Primaire+DEBL D11 4 092 692 13 909 1 967,62 27 367 556
Enlèvement Prédécapage D11 1 682 280 7 647 1 967,62 15 045 883
Enlèvement B/A D11 706 569 3 212 1 967,62 6 319 373
Enlèvement A/C0' D11 103 032 572 1 967,62 1 126 268
Enlèvement C1/C2 D11 947 162 5 920 1 967,62 11 647 871
Enlèvement C2/C3 D11 540 521 3 378 1 967,62 6 647 135
Enlèvement PRIMAIRE M 7900 4 799 520 5 999 2 890,11 17 338 902
Enlèvement A/C0' 195M 3 229 048 10 091 2 376,23 23 978 016
Enlèvement A/C0' KOM 1 760 850 4 759 3 150,94 14 995 508
Enlèvement C1/C2 S_T STR 240000 9,00 2 160 000
Enlèvement C2/C3 S_T STR 1519967 9,00 13 679 703
DEBLAIS 9W 799 920 4 000 2 376,23 9 503 976
B/A S_T STR 649466 9,00 5 845 198
TOTAL 219 277 443
COUT A LA TONNE 24,52
DEFRUITAGE
Stade Opératoire Engins volume HM Taux Fact. Dépenses
Améngt+Gerbage D9 15 049 820 47 270 1 664,03 78 658 047
Défruitage SA CH 283 596 810 5 104,52 4 136 057
Défruitage SA S_T PH 228 104 15,00 3 421 557
A/C0' 0
C1/C2 D11 947162 5920 592
C1/C2 S_T STR 240000 240000 1333
C2/C3 D11 540521 3378 338
C2/C3 S_T STR 840000 840000 4667
SB CH 255378 730 190T_PH 2322 730
SA CH 283596 810 190T_PH 2578 810
C0'+DN CH 590707 1688 190T_PH 5370 1688
C1G L9250 2003829 4771 190T_PH 18217 4771
C2 SUP L944 1178639 3929 190T_PH 10715 3929