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PLACE DE LA LITTERATURE

-Un contexte didactique (n’est pas une reproduction du citoyen-lecteur).

En quoi la lecture en classe (ou pour la classe) ressemble à la lecture hors de la classe ?
Dans l’approche actionnelle on conçoit l’apprenant comme un usager de la langue qui fait au même temps des
actions sociales, et des activités d’apprentissage.
Avec l’approche communicative, on a essayé de reproduire le monde dans la classe. Ainsi, on espère que
l’apprenant soit un citoyen-lecteur bien éduqué. C’est-à-dire, qu’il lit comme il voit lire dans le monde réel, et qu’il
puisse parler de littérature comme il le voit faire à la télévision.
Cependant, avec l’approche actionnelle, on cherche que l’apprenant soit capable de prendre part à la planification
de la tâche, et qu’il puisse savoir pourquoi il va l’accomplir. Il ne s’agit plus de simuler des discussions ou débats
d’experts si l’apprenant n’en est pas un.
Il s’agit, donc, de lire pour : s’enrichir personnellement, s’ouvrir sur les autres cultures, découvrir le monde de
l’auteur, etc. Autrement dit, on ne nie jamais le CONTEXTE DIDACTIQUE.
-Reserve aux niveaux les plus avances (B2)
 Les textes littéraires ont été placés SEULEMENT sur les niveaux les plus avancés (B2), et restreints aux
œuvres contemporaines en prose.
Elles comprennent la plupart des textes littéraires et des romans populaires.

-Un processus dialogue de Co énonciation

La lecture, en tant qu’acte communicatif, est une co-construction de sens sous contrainte relationnelle entre un
scripteur et les récepteurs, le texte littéraire n’a pas de sens par lui-même. Le sens existe seulement quand il y a une
INTERACTION, ET UNE CO-CONSTRUCTION.

-Une dimension esthétique du langage

 La littérature est une dimension esthétique du langage. Ça veut dire que la littérature a un style particulier de
mettre en forme les mots, avec le but d’éveiller des émotions et des sentiments.

POSITIONNEMENT DIDACTIQUE

-Co-construction de sens sous contrainte relationnelle entre un scripteur et les récepteurs.


-Le sens né d’une interaction et d’une co-construction.

LE SENS EST CHERCHÉ DANS L’INTERACTION ENTRE AUTEUR, TEXTE ET LECTEUR.


L'existence d’une coopération interprétative est fondamentale (Soit entre lecteur et auteur idéal, lecteur-auteur empirique,
lecteur-lecteur)

-Il y a une œuvre littéraire s’il y a un acte dialogique.


 L’œuvre littéraire devient un objet seulement quand il y a un acte dialogique (une lecture). S’il n’y a pas
lecture, il n’y a pas un dialogue.

-Dévoilement et création.
 Ainsi, le lecteur devrait dévoiler et créer le sens et l’objet littéraire au même temps : “il dévoile en créant, et crée
par dévoilement”.

-Subjectivité et imagination

 Le lecteur n’est plus un observateur ou un analyste (selon une approche techniciste ou formaliste), il a la liberté
pour réhabiliter la subjectivité et dialoguer avec le texte.

Exemples : Les écrivains, lecture du logement (un homme qui arrive a Paris) et la transposer au contexte de
l’apprenant, fiche de lecture.

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