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‫اﻟﺪار اﻟﺒﻴﻀﺎء‬- ‫ﻛﻠﻴﺔ اﻟﻌﻠﻮم اﻟﻘﺎﻧﻮﻧﻴﺔ و اﻻﻗﺘﺼﺎدﻳﺔ و اﻻﺟﺘﻤﺎﻋﻴﺔ ﻋﻴﻦ اﻟﺸﻖ‬

Faculté des Sciences Juridiques Économiques et Sociales


Ain Chock - Casablanca

Mémoire de fin d’études

En vue de l’obtention de la licence fondamentale


Filière : Sciences Economiques & Gestion

Sous l’ouvrage :

L’économie politique du XXIE Siècle :


De la valeur- capital à la valeur- travail

Élaboré par :

Soukaina RAGOUBA

Sous la direction :

Pr DAAMOUCH Enseignant-chercheur la faculté des


Sciences juridiques, économiquesEt
sociales d’Ain-Chock Casablanca

Année Universitaire : 2023/2024


DÉDICACES

À mes très chers parents, pour leur soutiens, leur sacrifices depuis notre enfance, qui ne cessent de
me donner plus de courage et de force pour les rendre encore fier de nous. Merci pour toutes les
valeurs que vous m’aviez appris c’est grâce à vous je serais là maintenant, je suis fière d’avoir des
parents comme vous.

Aucun mot n’exprimera l’amour que je vous porte et votre valeur dans ma vie. J’espère que je sois au
niveau de vos attentes et pouvoir achever tout ce que vous espérez de moi. Ce travail est le fruit de
votre sacrifice.

Que dieu le tout puissant vous accorde santé, longue vie et bonheur.

À nos chers ami(e)s, pour leurs précieux conseils et recommandations tout au long de notre parcours
universitaires. Notre lien d’amitié ne nous a jamais trahis et continue à nous réunir dans la joie
comme dans le malheur.
Que dieu nous garde toujours soudés et l’un pour l’autre.

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REMERCIEMENTS

La réalisation de ce mémoire à été possible grâce au concours de plusieurs personnes à qui je voudrais
témoigner toute ma reconnaissance.

J’exprime mon immense reconnaissance à Mr. DAAMOUCH, pour son encadrement, son partage, et
pour le temps consacrer pour m’aider à produire un mémoire solide, pertinent et rigoureux tant d’un
point de vue scientifique que professionnel.

Je marque particulièrement ma gratitude à l’ensemble du corps administratif et professoral de la


faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Ain chock-Casablanca pour nous avoir
offert une formation solide et enrichissante.

J’exprime toute ma reconnaissance aux différents personnes qui m’ont aidé, de prés ou de loin, par
leur conseils et leur soutien, ainsi que les personnes que j’ai eu l’opportunité d’interviewer pour leur
gentillesse, leurs savoirs et leur temps lors de la réalisation de ce modeste travail.

Que toutes ces personnes trouvent ici l’expression de ma profonde gratitude.

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L’économie politique du XXIe siècle
De la valeur- capital à la valeur- travail

INTRODUCTION :

L’ouvrage explore l'évolution de la théorie économique depuis les années 1980, en se concentrant sur
la montée en puissance de ce que l'on appelle aujourd'hui la "théorie économique standard" ou
"néolibérale".

Cette approche a été initiée par des économistes tels que Milton Friedman et Friedrich Hayek, qui ont
cherché à construire une physique sociale et à découvrir les lois naturelles de l'économie. Ils ont
proposé une arithmétique politique qui affirmait que le libre marché pouvait résoudre pratiquement
toutes les difficultés économiques. Cette approche a connu un succès croissant dans les années 1980,
avec l'arrivée au pouvoir de politiciens tels que Ronald Reagan aux États-Unis et Margaret Thatcher
au Royaume-Uni. Les politiques néolibérales ont été mises en œuvre dans de nombreux pays,
notamment la privatisation des entreprises publiques, la déréglementation des marchés financiers et la
réduction des dépenses publiques.

Cependant, cette approche a également suscité des critiques importantes. Certains économistes ont
remis en question les hypothèses fondamentales de la théorie économique standard, notamment l'idée
selon laquelle les marchés sont toujours efficaces et autorégulateurs. D'autres ont souligné les
conséquences sociales négatives des politiques néolibérales, telles que l'augmentation des inégalités et
la précarisation de l'emploi.

L’ouvrage explore également les alternatives proposées à la théorie économique standard. Certains
économistes ont cherché à développer une approche plus pluraliste, qui intègre des perspectives issues
d'autres disciplines telles que la sociologie et la psychologie. D'autres ont proposé des alternatives
plus radicales, telles que l'économie écologique ou l'économie féministe. En fin de compte,
l'importance de remettre en question les hypothèses fondamentales de la théorie économique standard
et de développer des approches plus pluralistes et critiques. Il souligne également l'importance de
considérer les conséquences sociales et environnementales des politiques économiques, plutôt que de
se concentrer uniquement sur les résultats économiques à court terme.

Également la question de la profession des économistes et de son rôle dans l'évolution de la théorie
économique. Il souligne que, malgré les critiques croissantes adressées à la théorie économique
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standard, la profession des économistes a été relativement lente à réagir. Les décennies 1970 et 1980
ont été marquées par un aveuglement généralisé, alors que l'idée d'une cohabitation possible entre les
différentes traditions économiques était encore présente dans le monde académique.

Ainsi que les différentes branches de la science économique néolibérale, qui se divisent en deux
groupes principaux : les fondamentalistes, qui se concentrent sur l'équilibre général et l'optimum
social, et ceux qui s'intéressent davantage aux phénomènes de concurrence et aux structures de
marché. Cependant, il souligne que cette division ne doit pas faire trop illusion, car ces différents
courants partagent une vision commune du monde.

Ce qu’on va voir maintenant c’est l'évolution de la théorie économique depuis les années 1980 et
souligne l'importance de remettre en question les hypothèses fondamentales de cette approche. Il met
en évidence les critiques adressées à la théorie économique standard ainsi que les alternatives
proposées par certains économistes, Ainsi que l'importance d'une approche plus pluraliste et critique
pour comprendre les conséquences sociales et environnementales des politiques économiques on se
basant sur la valeur, le travail, capital et la monnaie.

L'auteur explique que la théorie économique standard repose sur des hypothèses simplificatrices qui
ne reflètent pas toujours la réalité. Par exemple, elle suppose souvent que les individus sont rationnels
et qu'ils prennent des décisions en fonction de leur intérêt personnel. Cependant, cette approche ne
tient pas compte des influences sociales, culturelles ou psychologiques qui peuvent affecter le
comportement humain.

L'auteur explique que la théorie économique standard repose sur des hypothèses simplificatrices qui
ne reflètent pas toujours la réalité. Par exemple, elle suppose souvent que les individus sont rationnels
et qu'ils prennent des décisions en fonction de leur intérêt personnel. Cependant, cette approche ne
tient pas compte des influences sociales, culturelles ou psychologiques qui peuvent affecter le
comportement humain.
L'auteur aborde ensuite une voie passionnante pour décrire ce qu'il appelle lui-même les «
métamorphoses du capital ». Cette voie consiste à explorer comment le capital se transforme au fil du
temps, en passant par différentes formes telles que le capital industriel, financier ou humain. Cette
approche permet de mieux comprendre comment les inégalités économiques se créent et se
perpétuent.
Ainsi qu’il explique ensuite que certains économistes ont proposé des alternatives à la théorie

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économique standard. Par exemple, l'économie comportementale prend en compte les influences
sociales et psychologiques sur le comportement humain. L'économie écologique, quant à elle, cherche
à intégrer les questions environnementales dans l'analyse économique.

Ensuite la théorie quantitative de la monnaie, qui a été relancée par Milton Friedman dans les années
1970. Cette théorie soutient que la quantité de monnaie en circulation est le principal déterminant de
l'inflation. Cependant, cette approche a également été critiquée pour son manque d'attention aux
facteurs réels qui influencent l'inflation.

L'auteur explique que la période des Trente Glorieuses a été une période d'inspiration essentiellement
keynésienne, où l'État jouait un rôle important dans l'économie. Cependant, à partir des années 1970,
la théorie keynésienne a perdu de son influence au profit du monétarisme et du courant de la synthèse
néoclassique. Le développement des marchés financiers trouve sa justification dans cette doctrine.
Ainsi que l'importance d'une approche plus pluraliste et critique pour comprendre les conséquences
sociales et environnementales des politiques économiques. Il explique que cela implique de remettre
en question les hypothèses fondamentales de la théorie économique standard et d'intégrer des
perspectives alternatives telles que l'économie comportementale ou écologique, ainsi que l'économie
est une discipline en constante évolution et qu'il est important de continuer à explorer de nouvelles
perspectives pour mieux comprendre les défis économiques contemporains. Il encourage les lecteurs à
adopter une approche critique et pluraliste pour contribuer à cette évolution continue.

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Première partie : La valeur- capital, épicentre de la multi-crise du système :
CHAPITRE 1 : La valeur- capital et son cycle organique :

Ce chapitre explore le concept de la valeur-capital et son absence dans la littérature économique. Dont
lequel il explique pourquoi ce paradoxe existe et comment les différentes théories de la valeur-travail
ont influencé notre compréhension des systèmes économiques. Donc dans cette partie on va répondre
à 3 questions majeures à savoir :
• Pourquoi la valeur-capital est-elle absente de la littérature économique, à part dans les
travaux de Marx ?

• Comment les différentes théories de la valeur-travail ont-elles influencé notre


compréhension des systèmes économiques ?

• En quoi la compréhension de la valeur-capital peut-elle aider à résoudre la multi-crise


du système ?

Cette partie explore le concept de la valeur-capital et son absence dans la littérature économique, à
l'exception des travaux de Marx. Il examine également comment les différentes théories de la valeur-
travail ont influencé notre compréhension des systèmes économiques.
Dans un premier lieu, ce chapitre se concentre sur la valeur-capital en tant qu'épicentre de la multi-
crise du système. Il explique comment le concept de valeur-travail a été au cœur de l'économie
politique depuis ses origines et demeure toujours très débattu, tandis que celui de valeur-capital est
paradoxalement absent de toute la littérature économique.

Cet habillage mathématique sophistiqué est en réalité une tenue de camouflage destinée à masquer les
intérêts réels qui sont en jeu : mettre en avant la réalité du rôle du capital et des profits qui en
découlent n’est en effet pas sans risque pour cette théorie.

Dans un deuxième lieu, les différentes théories de la valeur-travail et leur influence sur notre
compréhension des systèmes économiques. Il examine comment ces théories ont cherché à
comprendre le fonctionnement des systèmes économiques en partant du rôle fondamental qu'elles
accordent au travail dans les processus de production des biens et des services, et finalement dans la
formation de leurs prix, Ainsi que les différentes théories ont toutes cherché à comprendre le
fonctionnement des systèmes économiques en partant du rôle fondamental qu'elles accordent au

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travail dans les processus de production des biens et des services, et finalement dans la formation de
leurs prix.
Dans une troisième lieu, une nouvelle approche pour comprendre le cycle organique de la valeur-
capital. Elle utilise un graphique pour décrire et comprendre les différentes figures de la firme
capitaliste contemporaine. La combinatoire des formes fonctionnelles et des formes
organisationnelles de la valeur-capital conduit alors à une description du cycle organique de la valeur-
capital. Cette nouvelle approche permet de mieux comprendre les processus économiques
contemporains et d'identifier les défis auxquels ils sont confrontés.

Sans oublier comment le cycle organique de la valeur-capital peut être utilisé pour comprendre les
crises économiques contemporaines. Il examine comment ce cycle peut être utilisé pour identifier les
causes profondes des crises économiques et proposer des solutions durables. Cette approche permet
de mieux comprendre les processus économiques contemporains et d'identifier les défis auxquels ils
sont confrontés.

D’une manière générale, cette partie explique comment une meilleure compréhension de la valeur-
capital peut aider à construire un système économique plus juste et plus durable. Il souligne
l'importance de reconnaître le rôle central du capital dans notre système économique et propose des
pistes pour une nouvelle théorie de la valeur-capital qui prend en compte cette réalité. Ainsi que cette
nouvelle théorie doit être basée sur une compréhension plus profonde des processus économiques
contemporains et sur une analyse critique des modèles existants.
Ce chapitre commence par présenter les trois formes fonctionnelles de la valeur-capital : le capital-
argent, le capital-marchandise et le capital productif. La valeur-capital est une valeur qui se met
perpétuellement en valeur, c'est-à-dire qu'elle est constamment en mouvement et se transforme au fil
du temps.

Ensuite, il explique comment ces formes fonctionnelles se transforment les unes dans les autres selon
un enchaînement précis. Trois cycles de la valeur-capital sont distingués : le cycle du capital-argent
(A...A'), le cycle du capital-marchandise (M'...M) et le cycle du capital productif (P...P' ou P'').
Le cycle du capital-argent correspond à l'étape où l'argent est investi pour acheter des marchandises
qui seront ensuite vendues avec profit. Le cycle du capital-marchandise correspond à l'étape où les
marchandises sont vendues pour obtenir de l'argent qui sera réinvesti dans de nouvelles marchandises.
Ainsi que, le cycle du capital productif correspond à l'étape où l'argent est investi dans des moyens de
production pour produire de nouvelles marchandises.

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Ces cycles peuvent être représentés sous forme de figures : la figure du cycle du capital-argent est
généralement utilisée pour figer à un moment donné les grandeurs de la valeur-capital mobilisées au
cours d'un ensemble, tandis que la figure du cycle du capital-marchandise est plutôt utilisée pour une
approche diachronique sur une année.

Ainsi que la question de la reproduction simple et de la reproduction élargie. La reproduction simple


correspond à l'étape où le profit est utilisé pour acheter des biens de consommation, tandis que la
reproduction élargie correspond à l'étape où le profit est converti en nouveaux moyens de production
et en une nouvelle force de travail.

En résumé, ce chapitre aborde la valeur-capital et son cycle organique explique les différentes formes
fonctionnelles de la valeur-capital, comment elles se transforment les unes dans les autres selon un
enchaînement précis, et comment ces cycles peuvent être représentés sous forme de figures. Le
document aborde également la question de la reproduction simple et de la reproduction élargie, qui
sont deux étapes importantes dans le processus de valorisation du capital.

En outre, le chapitre souligne que chaque forme fonctionnelle de la valeur-capital a besoin d'un
support organisé pour accomplir sa fonction et son cycle. Pour comprendre les formes parfois
complexes de cette organisation, le chapitre mobilise un soutien graphique en deux étapes. La
première consiste à décrire les formes organisationnelles dans leur contenu le plus épuré possible.
Enfin, le chapitre explique que la production capitaliste se caractérise par sa continuité, ce qui
suppose que chaque cycle de la valeur-capital se poursuit de lui-même, dans une relative autonomie.
Par conséquent, le capital individuel se trouve - au même moment - dans tous ses stades et dans toutes
les formes fonctionnelles correspondantes.

En somme, ce chapitre fournit une analyse approfondie du concept clé qu'est la valeur-capital et
explique comment elle se met perpétuellement en valeur à travers ses différentes formes
fonctionnelles et cycles. Il fournit également des informations sur l'organisation nécessaire pour
accomplir ces cycles et sur l'importance de la continuité dans la production capitaliste.
Donc pour résumer, ce chapitre explore sur la valeur-capital et son cycle organique explique les
différentes formes fonctionnelles de la valeur-capital, comment elles se transforment les unes dans les
autres selon un enchaînement précis, et comment ces cycles peuvent être représentés sous forme de
figures. Le chapitre aborde également la question de la reproduction simple et de la reproduction

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élargie, qui sont deux étapes importantes dans le processus de valorisation du capital.
En somme, ce chapitre fournit une analyse approfondie du concept clé qu'est la valeur-capital et
explique comment elle se met perpétuellement en valeur à travers ses différentes formes
fonctionnelles et cycles.

Chapitre 2 : Valeur- capital et valeur actionnariale :

Ce chapitre est approfondie son contenu sur des formes organisationnelles de la valeur-capital et
explore les rapports de propriété qui y sont attachés. Voici trois questions que vous pourriez vous
poser en lisant ce document :
• Comment les rapports de propriété influencent-ils les relations actionnariales ?

• Quels sont les instruments juridico-économiques incontournables pour comprendre ces


relations ?
• Comment la création de valeur pour l'actionnaire est-elle liée au cycle du capital-argent
?

Ce chapitre explore les formes organisationnelles de la valeur-capital et les rapports de propriété qui y
sont attachés. Il explique que les rapports de propriété internes, tels que les filiales d'une entreprise,
sont des vecteurs de pouvoir actionnarial qui permettent à la gouvernance de la firme de créer et
maintenir l'architecture des formes organisationnelles de la valeur-capital. Ces rapports dessinent la
frontière aval de la firme.

Le document aborde également le nouveau système de retraite aux États-Unis, dans lequel les futurs
retraités d'une entreprise versent des cotisations centralisées dans un trust. Ce système ne garantit pas
à l'avance quelle sera la fraction des revenus qui sera versée au moment de la retraite, contrairement
aux systèmes DB. Cependant, ce nouveau système a pu se mettre en place grâce à des
encouragements fiscaux substantiels et à la perspective de rendements plus importants.

En outre, toute firme capitaliste est dominée par la nécessité de reconduire périodiquement le cycle du
capital-argent : faire de l'argent avec de l'argent. Cette forme de valeur-capital a pour appui
organisationnel un espace monétaire et financier doté d'une structure particulière configurée par des
rapports de propriété déterminés. Le chapitre se concentre sur une démarche progressive allant du
plus simple au plus complexe pour comprendre ces relations actionnariales et les instruments juridico-

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économiques incontournables pour y parveni
Ainsi que les rapports de propriété internes deviennent indispensables lorsque la diversification des
activités de la firme capitaliste devient importante. Il distingue quatre architectures fondamentales de
la firme capitaliste, dont les deux premières (la firme monoproduit et la firme multibranche) ne font
pas appel en général à des rapports de propriété internes, sauf en cas d'activité à l'étranger. Les deux
dernières architectures (la firme multidivisionnelle et la firme par holding) font appel à des rapports
de propriété internes pour maintenir leur structure organisationnelle.

Le chapitre aborde également les clauses d'inaliénabilité et d'exclusion de sortie qui visent à renforcer
le pouvoir de certains actionnaires. Ces clauses ont pour effet d'empêcher certains actionnaires de
vendre leurs actions ou de sortir du capital social, ce qui renforce le pouvoir des autres actionnaires.
La création de valeur pour l'actionnaire consiste à maximiser le rendement des capitaux investis dans
l'entreprise. Cette maximisation passe par une gestion rigoureuse des coûts et une optimisation du
rendement financier. Le cycle du capital-argent est donc un élément clé dans cette stratégie, car il
permet à l'entreprise d'investir dans des projets rentables et d'en retirer un rendement financier
supérieur.

Egalement, les rapports de propriété internes sont des vecteurs de pouvoir actionnarial qui permettent
à la gouvernance de la firme de créer et de maintenir l'architecture des formes organisationnelles de la
valeur-capital. Ces rapports ont pour caractéristique de dessiner la frontière aval de la firme. Le
document explique que les rapports de propriété internes sont indispensables lorsque la diversification
des activités devient importante.

Le système de retraite aux États-Unis, dans lequel les futurs retraités d'une entreprise versent des
cotisations centralisées dans un trust. Ce système ne garantit pas à l'avance quelle sera la fraction des
revenus qui sera versée au moment de la retraite, contrairement aux systèmes DB. Cependant, ce
nouveau système a pu se mettre en place grâce à des encouragements fiscaux substantiels et à la
perspective de rendements plus importants.

Enfin, le chapitre explique que toute firme capitaliste est dominée par la nécessité de reconduire
périodiquement le cycle du capital-argent : faire de l'argent avec de l'argent. Cette forme de valeur-
capital a pour appui organisationnel un espace monétaire et financier doté d'une structure particulière
configurée par des rapports de propriété déterminés. Le chapitre se concentre sur une démarche
progressive allant du plus simple au plus complexe pour comprendre ces relations actionnariales et les

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instruments juridico-économiques incontournables pour y parvenir.
Sans oublier les clauses d'inaliénabilité et d'exclusion de sortie qui visent à renforcer le pouvoir de
certains actionnaires. Ces clauses ont pour effet d'empêcher certains actionnaires de vendre leurs
actions ou de sortir du capital social, ce qui renforce le pouvoir des autres actionnaires.
La création de valeur pour l'actionnaire consiste à maximiser le rendement des capitaux investis dans
l'entreprise. Cette maximisation passe par une gestion rigoureuse des coûts et une optimisation du
rendement financier. Le cycle du capital-argent est donc un élément clé dans cette stratégie, car il
permet à l'entreprise d'investir dans des projets rentables et d'en retirer un rendement financier
supérieur.
Enfin, les rapports de propriété internes sont des vecteurs de pouvoir actionnarial qui permettent à la
gouvernance de la firme de créer et maintenir l'architecture des formes organisationnelles de la
valeur-capital. Ces rapports ont pour caractéristique de dessiner la frontière aval de la firme.
Pour résumer, ce chapitre explore les formes organisationnelles de la valeur-capital et les rapports de
propriété qui y sont attachés. Il aborde également le système de retraite aux États-Unis, les clauses
d'inaliénabilité et d'exclusion de sortie, ainsi que la création de valeur pour l'actionnaire. Le chapitre
souligne que les rapports de propriété internes sont des vecteurs de pouvoir actionnarial qui
permettent à la gouvernance de la firme de créer et maintenir l'architecture des formes
organisationnelles de la valeur-capital. Ces rapports ont pour caractéristique de dessiner la frontière
aval de la firme.

CHAPITRE 3 Valeur- capital et finance globalisée :

Ce chapitre s’intéresse sur la valeur, le capital et la finance globalisée il explore les changements
fondamentaux qui ont affecté l'environnement financier de la valeur-capital, en particulier la
globalisation des marchés monétaires et financiers. Voici trois questions pour vous aider à mieux
comprendre ce chapitre :
• Quels sont les effets de la globalisation financière sur la valeur-capital ?
• Comment la financiarisation du procès d'auto-valorisation du capital a-t-elle modifié la
nature et les buts de la firme capitaliste ?
• Quels sont les facteurs qui ont contribué à la libéralisation de la sphère financière dans
les années 1990 ?

Le chapitre commence par expliquer que les couvertures ou produits financiers dérivés peuvent être
utilisés pour dissimuler des pratiques spéculatives avides qui ont contribué à l'instabilité financière
mondiale depuis les années 1990. Il met en garde contre les pratiques spéculatives avides et souligne
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l'impact considérable de la globalisation financière sur l'économie réelle et les firmes. Ce dernier
souligne également que l'instabilité financière mondiale depuis les années 1990 a eu des
conséquences importantes, notamment un effet foudroyant sur les finances publiques, l'impossibilité
de casser l'oligopole bancaire de peur de provoquer un nouveau séisme mondial, une monnaie
privatisée bridant par voie de conséquence les politiques budgétaires et des pratiques d'optimisation
fiscale.
Ainsi que la finance s'est globalisée à partir du milieu des années 1990 à la suite d'un processus de
libéralisation de la sphère financière qui aura duré environ un quart de siècle. L'impact de cette
globalisation financière est considérable sur l'économie réelle et, par conséquent, sur les firmes. Les
deux prix fondamentaux de la finance et de la monnaie, le taux de change et le taux d'intérêt, sont
devenus des prix de marché, créant pour le monde des firmes une incertitude radicale quant à leur
évolution.
Dans un monde où la finance a globalisé ses activités, la firme industrielle fait figure de dominée
tandis que les acteurs financiers sont en position de dominants. Il souligne également que la
globalisation financière a créé une incertitude radicale quant à l'évolution des prix fondamentaux de la
finance et de la monnaie, rendant difficile pour les entreprises de planifier à long terme.

En outre, les conséquences de l'instabilité financière mondiale depuis les années 1990 ont eu un
impact considérable sur l'économie réelle et la société dans son ensemble. Il met en garde contre les
pratiques spéculatives avides et souligne l'importance de réglementer les marchés financiers pour
éviter de nouvelles crises. Ainsi que la globalisation financière a créé une concurrence accrue entre
les entreprises, ce qui peut être bénéfique pour les consommateurs mais peut également entraîner des
pressions sur les salaires et les conditions de travail.

La globalisation financière a également eu un impact sur la gouvernance d'entreprise, en encourageant


une approche plus axée sur l'actionnariat et en mettant davantage l'accent sur la maximisation des
profits à court terme. Il explique que cette approche peut être préjudiciable à long terme pour les
entreprises et la société dans son ensemble.

Et également un impact sur le rôle des banques centrales, qui ont dû s'adapter à un environnement
financier mondialisé. Il souligne que les banques centrales ont joué un rôle important dans la gestion
de l'instabilité financière mondiale depuis les années 1990, mais qu'il est important de veiller à ce
qu'elles restent indépendantes et ne soient pas soumises aux pressions politiques ou économiques.
En somme, ce chapitre fournit une analyse approfondie des changements fondamentaux qui ont

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affecté l'environnement financier de la valeur-capital. Il met en garde contre les pratiques spéculatives
avides et souligne l'impact considérable de la globalisation financière sur l'économie réelle et les
firmes. Il explique comment la globalisation financière a créé une incertitude radicale quant à
l'évolution des prix fondamentaux de la finance et de la monnaie, rendant difficile pour les entreprises
de planifier à long terme. Enfin, ce chapitre met en garde contre les conséquences de l'instabilité
financière mondiale depuis les années 1990, notamment sur les finances publiques, l'oligopole
bancaire, la monnaie privatisée et les pratiques d'optimisation fiscale. Il souligne également
l'importance de réglementer les marchés financiers pour éviter de nouvelles crises et protéger
l'économie réelle contre le risque de contagion financière.

En outre, il explique comment la globalisation financière a eu un impact sur la gouvernance


d'entreprise, le rôle des banques centrales et la concurrence entre les entreprises. En somme, ce
chapitre fournit une analyse complète des enjeux liés à la globalisation financière et met en évidence
les défis auxquels sont confrontées les entreprises et la société dans son ensemble.
Sans oublier également l'importance de trouver un équilibre entre la libéralisation des marchés
financiers et la réglementation nécessaire pour protéger l'économie réelle. Il explique que la
globalisation financière a créé une concurrence accrue entre les entreprises, ce qui peut être bénéfique
pour les consommateurs mais peut également entraîner des pressions sur les salaires et les conditions
de travail. Ainsi que la mise en garde contre le risque de dérives spéculatives et souligne l'importance
d'une gouvernance d'entreprise responsable axée sur le long terme plutôt que sur la maximisation des
profits à court terme.

Le chapitre explique également que la globalisation financière a eu un impact sur les pays en
développement, qui ont été confrontés à des défis particuliers en matière de réglementation financière
et de gestion des flux de capitaux. Il souligne que les pays en développement ont besoin d'un
environnement financier stable et prévisible pour attirer les investissements étrangers et favoriser leur
développement économique. Le chapitre met également en garde contre le risque de crises financières
dans les pays en développement, qui peuvent avoir des conséquences dévastatrices sur les populations
locales. En somme, ce chapitre fournit une analyse approfondie des enjeux liés à la globalisation
financière et souligne l'importance d'une réglementation financière responsable pour protéger
l'économie réelle et favoriser le développement économique durable.

Pour résumer ce chapitre, Ce chapitre fournit une analyse approfondie des enjeux liés à la
globalisation financière. Il souligne l'impact considérable de la globalisation financière sur l'économie

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réelle et les firmes, ainsi que les risques de dérives spéculatives et de contagion financière. Le
chapitre met en garde contre les conséquences de l'instabilité financière mondiale depuis les années
1990, notamment sur les finances publiques, l'oligopole bancaire, la monnaie privatisée et les
pratiques d'optimisation fiscale. Il explique également comment la globalisation financière a eu un
impact sur la gouvernance d'entreprise, le rôle des banques centrales et la concurrence entre les
entreprises. En somme, ce chapitre souligne l'importance d'une réglementation financière responsable
pour protéger l'économie réelle et favoriser le développement économique durable.

Deuxième partie :
La valeur- travail, cœur de la refondation d’un système

CHAPITRE 4 : Refonder le travail :

Ce chapitre explore la refondation du travail comme cœur de la refonte de notre système économique.
Ce dernier va découvrir comment passer d'une économie basée sur la valorisation du capital à une
économie qui valorise le travail. Voici trois questions pour nous aider à explorer ce chapitre:
• Quelles sont les limites de l'économie actuelle basée sur la valorisation du capital ?
• Comment peut-on passer d'un système économique basé sur la valorisation de la valeur-
capital à un système économique fondé sur la valorisation de la valeur-travail ?
• Quels sont les principes qui doivent guider la refondation de nos systèmes économiques à
partir de la refondation du travail ?

Le chapitre explore la refondation du travail comme cœur de la refonte de notre système économique,
qui commence par présentent l'idée générale du document et expliquent que nos systèmes
économiques actuels sont fondés sur la valorisation d'une valeur capital financiarisée, dans un
contexte de globalisation croissante de l'économie mondiale. Les chapitres précédents ont montré les
limites de cette évolution et le danger imminent d'un nouvel effondrement économique et financier.
Ensuite, il explore comment passer d'un système économique basé sur la valorisation de la valeur-
capital à un système économique fondé sur la valorisation de la valeur-travail. Il présente une théorie
stylisée qui met en lumière les logiques de fond d'un système économique qui place la valeur-capital
au fondement de son fonctionnement et de son organisation. Cette théorie permet d'ouvrir la réflexion
sur l'alternative souhaitable pour arrêter les dérives mortifères de nos systèmes économiques.
La théorie stylisée présentée dans ce chapitre montre que le système économique actuel est dominé
par le cycle du capital-argent, avec une concurrence et une mobilité des capitaux qui tendent à
égaliser les taux de profit sur l'ensemble des activités. Cela entraîne des transferts de valeur (c'est-à-
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dire du sur-travail) entre les différentes branches de l'économie. Cette situation est problématique car
elle ne valorise pas suffisamment le travail en tant que tel.
Pour remédier à cette situation, le document propose de refonder le travail en tant que valeur centrale
de notre système économique. Cela implique de repenser la gouvernance des entreprises pour qu'elle
soit plus démocratique et participative, avec une meilleure répartition des richesses créées par le
travail. Le document propose également de repenser la formation professionnelle pour qu'elle soit
plus adaptée aux besoins du marché du travail et pour qu'elle permette aux travailleurs de développer
leurs compétences tout au long de leur vie.
En somme, chapitre explore comment repenser notre système économique en met le travail au centre
des préoccupations plutôt que le capital financier. Il propose une réflexion sur les principes qui
doivent guider la refondation de nos systèmes économiques à partir de la refondation du travail. Le
document souligne également l'importance de prendre en compte les enjeux environnementaux et
sociaux dans cette réflexion.
En conclusion, ce chapitre propose une vision alternative pour repenser notre système économique en
mettant le travail au centre des préoccupations. Il montre les limites du système actuel basé sur la
valorisation de la valeur-capital et propose des pistes pour une refondation du travail qui permettrait
une meilleure valorisation du travail en tant que tel.

CHAPITRE 5
Refonder la monnaie :
Ce chapitre explore la question monétaire dans une économie basée sur la valeur-travail ! Il évoque
des réflexions sur les fonctions de la monnaie, ainsi que des pistes pour refonder notre système
économique. Voici trois questions que nous pourrions poser en lisant ce dchapitre:

Quelles sont les dérives actuelles de l'économie mondiale qui mettent la question monétaire au
centre de ses dysfonctionnements ?
Comment la monnaie peut-elle être utilisée pour valoriser le travail dans notre système
économique ?
Quelles sont les pratiques monétaires souhaitables pour une économie basée sur la valeur-
travail ?

Ce chapitre explore la question monétaire dans une économie basée sur la valeur-travail. Les
premières pages soulignent l'importance centrale de la question monétaire dans un système
économique basé sur la valeur-capital ou sur la valeur-travail. Les fonctions générales que la monnaie

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est censée remplir dans un système économique sont discutées, ainsi que les pratiques monétaires
souhaitables pour une économie qui valorise le travail.
Il aborde également les dérives actuelles de l'économie mondiale qui mettent la question monétaire au
centre de ses dysfonctionnements. Il propose des pistes pour refonder notre système économique en
explorant les principales fonctions que la monnaie est censée remplir, telles que l'unité de compte, la
réserve de valeur et l'extinction de dettes.

Le chapitre évoque aussi le rôle essentiel des transactions réalisées en monnaie comme mode de
validation du travail social. Toutefois, il souligne également les autres fonctions plus délicates à
aborder que l'on peut y associer. . Le chapitre ne fournit pas de solutions concrètes pour refonder
notre système économique, mais propose plutôt une réflexion approfondie sur les questions
monétaires dans une économie basée sur la valeur-travail.
Le document souligne que la monnaie ne doit pas être considérée comme un simple voile neutre et
exogène jeté sur l'activité économique, mais plutôt comme un élément central de notre système
économique. Il pose la question de savoir comment aborder le problème monétaire pour trouver le
chemin d'une transition indispensable vers une économie qui valorise le travail.

Le chapitre explore également les différentes pratiques monétaires souhaitables pour une économie
basée sur la valeur-travail, telles que l'utilisation de monnaies locales, la création d'une banque
centrale publique ou encore l'instauration d'un revenu de base inconditionnel.
En somme, ce chapitre offre une réflexion approfondie sur les questions monétaires dans une
économie basée sur la valeur-travail. Bien qu'il ne fournisse pas de solutions concrètes pour refonder
notre système économique, il propose des pistes intéressantes pour repenser notre relation à la
monnaie et pour construire une économie plus juste et plus équitable.

Pour conclure, ce chapitre explore la question monétaire dans une économie basée sur la valeur-
travail. Il propose des pistes pour refonder notre système économique en explorant les principales
fonctions que la monnaie est censée remplir, ainsi que les pratiques monétaires souhaitables pour une
économie qui valorise le travail. Le chapitre souligne également l'importance de la libéralisation
nécessaire de la sphère financière et des services publics, ainsi que les dérives actuelles de l'économie
mondiale qui mettent la question monétaire au centre de ses dysfonctionnements. Enfin, il évoque le
rôle essentiel des transactions réalisées en monnaie comme mode de validation du travail social.

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CHAPITRE 6
Refonder la démocratie

Ce chapitre explore sur la refonte de la démocratie, qui vas présenter une nouvelle approche de
l'économie politique qui prend en compte les forces politiques et les institutions économiques. Voici
trois questions que nous pourrions poser en lisant ce chapitre :

• Comment la nouvelle économie politique peut-elle contribuer à une meilleure


distribution des revenus ?
• En quoi la séparabilité du système économique par rapport au système social est-elle une
hypothèse à réfuter ?
• Comment la montée des nationalismes peut-elle être liée à la crise de la démocratie dans
les pays occidentaux ?

Le chapitre explique que la nouvelle économie politique doit prendre en compte les forces
politiques et les institutions économiques pour améliorer la distribution des revenus. Selon
Alberto Alesina, il est important de comprendre comment les forces politiques affectent les choix
des politiques économiques, notamment dans la distribution des revenus et les politiques de
redistribution.
Il affirme que l'hypothèse de la séparabilité du système économique par rapport au système social
doit être réfutée. Il est important de considérer que le système économique est lié au système
social et politique, et qu'il ne peut pas être séparé de ces derniers.
Ce chapitre, ne contient pas d'informations directes sur la montée des nationalismes et sa relation
avec la crise de la démocratie dans les pays occidentaux. Cependant, il souligne que le
conservatisme des institutions et des pratiques politiques au niveau national et international peut
empêcher une refondation de la démocratie qui prendrait en compte les initiatives locales
innovantes en matière d'économie du partage, d'économie circulaire, d'économie verte ou
d'économie de la fonctionnalité.
Ainsi qu’il souligne également que la refondation de la démocratie doit s'attaquer aux difficultés
liées à la finance et au monde du travail. Pour ce qui est de la finance, le document propose une
reformulation de la question monétaire pour reconstruire un espace démocratique qui irait du local
au global. En ce qui concerne le monde du travail, le document pointe les pratiques démocratiques
qui permettraient de valoriser un travail créatif dans la sphère productive.

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Enfin, le chapitre souligne que les exigences de rentabilité financière dans les pays développés
ont conduit à une souffrance accrue au travail, à la peur du chômage et à une précarité croissante.
Le développement de ces problèmes peut être considéré comme un signe que des limites ont été
atteintes et que les protections antérieures sont progressivement démantelées au nom de la
compétitivité. Le document pose donc la question de savoir quel besoin le système économique
peut bien correspondre lorsqu'il se double de stress et d'un management par la peur.

Pour résumer, Le chapitre propose une nouvelle approche de l'économie politique qui prend en
compte les forces politiques et les institutions économiques pour améliorer la distribution des
revenus. Il souligne également que la refondation de la démocratie doit s'attaquer aux difficultés
liées à la finance et au monde du travail. Le chapitre pointe également les problèmes liés à la
rentabilité financière dans les pays développés, qui ont conduit à une souffrance accrue au travail
et à une précarité croissante.
Point de vue :

Selon mon point de vue personnel, la transition de la valeur du capital à la valeur du travail dans
l'économie du XXIe siècle est nécessaire et positif. Cela implique de reconnaître la contribution
des individus à l'économie et de promouvoir des conditions de travail justes. Cette transition
favorise également une économie durable, mais elle nécessite des changements structurels et une
collaboration entre les gouvernements, les entreprises et la société civile pour créer une économie
plus équitable où le travail est valorisé.

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