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Sous le thème :
L’intention entrepreneuriale
Élaboré par :
Ayman AMADOU
Salma KAIDI
Sous la direction :
Pr Sara YASSINE
Au cours des dernières décennies, l'esprit d'entreprise a été reconnu comme un facteur
déterminant de la croissance économique. Entre autres, de nombreux chercheurs
(Braunerhjelm, Acs, Audretsch, & Carlsson, 20 1 0 ; Toma, Grigore, & Marinescu 20 1 4 ;
Kritikos, 20 1 4) ont consacré une attention considérable à la relation entre l'esprit d'entreprise
et la croissance économique.
En général, tandis que d'autres chercheurs (Almeida Couto, Borges Tiagio, Vieira, & Fortuna,
2006 ; Lages & Montgomery, 2004 ; Zahra, Sapienza, & Davidsson, 2006) ont décrit et
examiné la relation entre l'entrepreneuriat et la croissance économique. Le thème de l'intensité
entrepreneurial et de la croissance économique a été de plus en plus discuté dans la recherche
universitaire (Lages & Montgomery, 2004). De plus en plus discuté dans la recherche
universitaire (Bilkey & Tesar, 1997 ; Gonzalez-Pemia & Pena-Legazkue, 2006),
(Hessels & van Stel, 2009). Hessels et van Stel (2001) ont également étudié le lien entre la
prévalence de l'esprit d'entreprise dans un pays et son taux de croissance économique. Hessels
et van Stel (2011) se sont concentrés sur le niveau national et ont utilisé un échantillon de 34
pays au cours de la période de 2002 à 2010, en se basant sur les données de l'OCDE.
Leurs résultats montrent une relation positive entre l'activité entrepreneuriale et le taux de
croissance d'une économie.
À ma connaissance, aucune étude antérieure n'a analysé la mesure des programmes ou des
formations en entrepreneuriat, parmi des variables personnelles et contextuelles, agissent sur
l'intention entrepreneuriale des jeunes diplômés. La présente étude contribue à la littérature
existante en analysant cette question avec un échantillon de données de 50 étudiant(e)s (50
étudiant(e) de l’université Hassan II Casablanca).
Problématique :
Quels sont les facteurs qui sont de nature à accentuer vocable « intention »
entrepreneuriale chez les jeunes diplômés ?
• Quels sont les facteurs qui sont de nature à accentuer cette intention chez les
jeunes diplômés ?
La présentation de cette recherche s’articule en deux parties. La première partie est consacrée
à l’instauration du cadre théorique de la recherche. Cette partie a cherchée à la délimitation de
notre objet de recherche. Elle porte sur la place de l’intention entrepreneuriale et vise à définir
précisément le champ d’investigation de notre travail, soit la définition de l’entrepreneuriat et
de l’entrepreneur que nous retenons, ainsi que l’enseignement de l’entrepreneuriat
Alors que le deuxième chapitre concernera la méthodologie de recherche utilisée dans le cadre
de ce mémoire. Il s’agit d’un questionnaire, et en outre, nous allons présenter le questionnaire
établi et son mode d’administration et notre terrain d’étude.
Par ailleurs, Les résultats de ce travail seront présentés, interprétés et discutés dans le dernier
chapitre.
Afin de poursuivre ses différentes étapes, nous allons bien garder dans la tête la
problématique pour récolter des données pertinentes et ainsi tenter de répondre mieux à la
question suivante :
« Quels sont les facteurs qui sont de nature à accentuer vocable « intention »
entrepreneuriale chez les jeunes diplômés »
SOMMAIRE
L'intention entrepreneuriale est un concept qui a pris de l'ampleur ces dernières années.
Il s'agit d'une activité économique qui consiste à créer une entreprise ou à développer une
idée novatrice. Le cadrage conceptuel de l'entrepreneurial est donc l'étude des différentes
théories et modèles qui permettent de comprendre et d'expliquer les comportements
entrepreneuriaux.
L'entrepreneuriat est devenu un choix de carrière populaire pour les jeunes diplômés.
Cependant, l'intention entrepreneuriale peut être influencée par divers facteurs. Parmi les
facteurs qui accentuent l’intention entrepreneuriale chez les jeunes diplômés et leur
importance dans le développement économique sont :
-L'éducation et la formation
Une éducation et une formation appropriées peuvent jouer un rôle important dans
l'accentuation de l'intention entrepreneuriale chez les jeunes diplômés. Les programmes
d'études qui mettent l'accent sur l'entrepreneuriat et les compétences en affaires peuvent
aider les étudiants à acquérir les connaissances nécessaires pour démarrer et gérer une
entreprise.
De plus, les stages et les programmes de mentorat offerts par les entreprises peuvent fournir
aux étudiants une expérience pratique dans le monde des affaires et les aider à développer
leurs compétences en leadership et en gestion d'entreprise.
L'entrepreneuriat est un domaine qui a gagné en popularité ces dernières années. Les
entrepreneurs sont souvent considérés comme des individus créatifs et innovants qui ont la
capacité de transformer des idées en succès commerciaux.
Cependant, l'entrepreneuriat peut être difficile et risqué. Pour réussir, il faut avoir une
forte motivation et une grande intensité. Dans ce cadre théorique, nous allons explorer le
lien entre l'intensité et l’entrepreneuriat.
-Définition de l'intensité
L'intensité peut être définie comme la mesure de l'effort et de l'énergie qu'une personne
investit dans une activité donnée. Dans le contexte de l'entrepreneuriat, cela signifie que les
entrepreneurs doivent être prêts à travailler dur et à faire des sacrifices pour réussir.
L'intensité peut également être liée à la passion et à la persévérance. Les entrepreneurs
doivent être passionnés par leur entreprise et être prêts à persévérer malgré les obstacles et les
échecs.
1. Définition :
“La notion de méthodologie, en tant qu’ensemble de règles et de démarches adoptées pour
conduire une recherche, si importante dans l’histoire de la structuration des disciplines
scientifiques, est cruciale”. (de Mourat et al., (2015).
Autrement dit, la méthodologie de recherche peut être définie étant l'ensemble des démarches
et étapes à suivre afin de construire un travail de recherche pertinent et pour parvenir à une ou
plusieurs conclusions concernant un domaine bien déterminé.
2. . Les approches de méthodologie de recherche :
Le choix de la méthodologie de recherche reste sine qua non dans un projet de recherche. Il
s’agit de choisir l’approche la plus adaptée à la question de recherche. Le choix
méthodologique peut être divisé en deux grandes approches : quantitative et qualitative.
Comme indiqué par SUKAMOLSEN (2010), les chercheurs utilisent souvent l’approche
quantitative lorsqu'ils veulent tester une hypothèse ou avoir une étude quantitative de quelque
chose (répondre à la question combien)1.
Dans certains cas, il est nécessaire d'utiliser des approches mixtes. Si le chercheur veut
combiner à la fois l’approche quantitative et méthodes qualitatives, la méthodologie utilisée
sera une approche de méthode mixte.
Notre projet de recherche essaie de répondre à la problématique suivante : Quels sont les
facteurs qui sont de nature à accentuer vocable « intention » entrepreneuriale chez les
jeunes diplômés ?
Dans ce travail, nous allons essayer de trouver l’ensemble des éléments, motivations et
facteurs qui peuvent pousser les jeunes diplômés à choisir l’entrepreneuriat et non pas le
monde de salariat.
Théoriquement, si nous désirons répondre à la question comment ou pourquoi, et si nous
souhaitons comprendre la motivation d’un échantillon pour choisir une décision et non pas
une autre, l’approche qualitative reste la plus adaptée à ce genre de recherche.
1
Sukamolsen. (2010). Fundamentals of quantitative research. Language Institute, Chulalongkorn University,
Bangkok, Thailand.
2
Creswell, J. (2003). Research design: Qualitative, quantitative, and mixed methods approaches. Thousand
Oaks, Calif: Sage Publications
Comme nous avons déjà précisé, l’approche qualitative implique la collecte et l'analyse de
données non numériques (par exemple, texte, vidéo ou audio) pour comprendre des concepts,
des opinions ou des expériences. Il peut être utilisé pour recueillir des informations
approfondies sur un problème ou générer de nouvelles idées de recherche.
I. Les enquêtes :
1. Définition :
Aussi appelé “étude de terrain” ou "Field investigation ». L’enquête de terrain permet au chercheur
d’étudier son sujet dans son environnement naturel pour mieux le comprendre. L’enquête de terrain
est une méthode de collecte de données plutôt qualitative pour laquelle le chercheur doit se rendre sur
le terrain et mener ses recherches dans le cadre quotidien du sujet étudié, tel qu’une salle de classe ou
une entreprise.
À travers diverses techniques, l’enquête de terrain permet de récolter des données informatives utiles
qui doivent aider l’enquêteur à répondre à sa problématique et vérifier ses hypothèses.
• Observation : l'analyse d'une situation à travers l'observation des réactions et des
comportements des personnes enquêtées.
• Entretien (directif, semi directif ou non directif) : une rencontre entre l'enquêteur et l'enquêté
pour répondre à certaines questions liées à un domaine ou un sujet précis.
• Le focus group : aussi appelé “groupe de discussion”, est une technique qui peut s’effectuer
sur le terrain et consiste pour l’enquêteur, à regrouper une dizaine d’individus pour discuter
autour d’un sujet.
Notre projet de recherche essaie de répondre à la problématique suivante : Quels sont les
facteurs qui sont de nature à accentuer vocable « intention » entrepreneuriale chez les jeunes
diplômés ?
Dans ce travail, nous allons essayer de trouver l’ensemble des éléments, motivations et
facteurs qui peuvent pousser les jeunes diplômés à choisir l’entrepreneuriat et non pas le
monde de salariat.
Pratiquement, la technique la plus adéquate avec notre travail de recherche reste les entretiens
directifs. L'entretien structuré ou directif est un entretien suivant une série de questions. Dans
les entretiens directifs, l’intervieweur énumère les questions à l'avance, et peut même lister et
noter les réponses possibles pour la pertinence.
Chapitre 3 : Présentation et description des résultats
D’après cette figure, on observe tout d’abord que 77,4% des répondants sont féminins, alors que le
reste qui représente 22,6% sont masculins.
Ce graphique définie la classe d’âges des répondants, on constate que 73.3% des répondants sont âgés
de 20 à 25 ans ce qui fait, ils sont les plus sur-représentés dans l’échantillon. Cependant 26.7% sont
âgés de 18 à 20 ans sont légèrement sous-représentés dans l’échantillon.
On observe que la majorité des répondants qui ont une licence fondamentale ont une filière gestion et économie
et gestion, alors que pour les masters on voir qu’il y a le MASTER CCA, le MASTER AUDIT ET CONCROLE
DE GESTION, la MASTER EN MANAGEMENT. On note qu’ils ont étudier soit dans FSJES AC ou ENCG
CASA.
Dans cette figure on observe que la majorité des répondants sont des licenciés représentant 78,8%, en 2eme lieu
il y a des DUT représentant 18,2%, et pour le reste sont des masters et ingénieur représentant successivement
9,1% et 3%.
Cette figure révèle que parmi les répondants, 32,3% ont répondu "oui" et 67,7% ont répondu "non".
Cela indique qu'une majorité significative de 67,7% des personnes interrogées ne sont pas membres
d'une association, tandis que 32,3% des répondants ont indiqué qu'ils sont membres d'au moins une
association.
Cette répartition suggère qu'une partie non négligeable des répondants sont impliqués dans des
associations, ce qui peut indiquer un intérêt et une participation active dans des activités associatives.
Pour les personnes disant oui, on observe que la plupart (25%) on participe en tant que vise président,
alors que le reste on participe en tant que membre actif, membre du bureau et président qui ont 18,8%
chacun.
Ce graphique présente le niveau d’expérience professionnelle des répondants de ce fait, il se répartie :
Pour la catégorie de stage : la majorité des répondants sont soit on une expérience inférieure à 6 mois
ou qui n’ont jamais fait un stage dans un entreprise ou cabinet
Pour la catégorie de salarié dans une entreprise privée : on observe qu’il y a presque 7 personnes
qui ont une expérience inférieure a 6 moins o 4 personnes qui ont une expérience entre 1 et 2 ans, et 3
personnes qui ont plus de 2 ans.
Pour la catégorie de fonctionnaire dans l’administration publique : on regarde qu’il y a 4
personnes qui ont une expérience entre 1 et 2 ans, et 3 personnes qui ont une expérience inférieure à 6
mois.
On remarque que la plupart des répondants n’ont jamais font des stages ou travaillent dans une
entreprise privée ou publique vu qu’ils sont encours de poursuivre leurs études universitaires.
Cette figure représente l’avis des répondants sur la notion de l’entrepreneuriat, on remarque 48,4% ont
la définie comme étant la création d’une nouvelle entreprise et 16,1% ont la représenté par le
développement d’un nouveau produit, et 12,9% ont disant que c’est une participation à des actions
social et un lancement de nouveaux projet alors que l’entrepreneuriat on peut la définie
L’entrepreneuriat recouvre les activités qui concourent à la formation et la croissance d'une entreprise,
dont la conséquence première est la création de valeur.
On observe dans ce graphique que 54,8% des répondants n’ont pas des parents qui travaillent pour leur
propre compte, c’est-à-dire sont soit des fonctionnaires dans une administrations publiques soit salariés
dans une entreprise privée. Et 45,2% ont des parents qui travaillent indépendamment.
On observe dans ce graphique que 33,3% des répondants n’ont pas des proches qui travaillent pour
leur propre compte, c’est-à-dire sont soit des fonctionnaires dans une administrations publiques soit
salariés dans une entreprise privée. Et 66,7% ont des proches qui travaillent indépendamment.
Ce graphique présente le niveau d’attractivité des répondants envers l’emploi dans le future, de ce fait,
il se répartie comme suit :
Des personnes qui cherchent un emploi dans une entreprise privée : on observe que la plupart sont
peu attractive pour cet emploi et aussi il y a des personnes qui sont même pas du tout attractive.
Des personnes qui cherchent un emploi dans l’administration publique : on regarde que la plupart
sont attractive pour la fonctionne publique, il y a également des gens qui sont peu et assez attractive et
aussi il y a des personnes qui sont même pas du tout attractive aux emplois publics.
Des personnes qui cherchent de travailler pour son propre compte : on observe que la plupart sont
très attractive pour créer leurs propres entreprises et aussi il y a des personnes qui sont même pas du
tout attractive et aussi peu attractive pour cette idée.
En générale, les répondants ont une vision sur le long terme, soit travailler dans une entreprise privée
pour collecter un capital et puis faire ses propres entreprises, où bien travailler dans une administration
publique chose qu’ils ont à trouver attractive. Et généralement les répondants veulent créer leurs
propres entreprises.
On remarque dans ce graphique que 32,3% des répondants n’ont jamais pensé à créer une entreprise
ou cherché sur le sujet. Et 67,7% ont déjà l’idée de créer leurs propres entreprises dont ils ont une
vision dans le future la créer.
On regard dans ce graphique que 77,4% des répondants n’ont jamais participé à la création d’une
entreprise, c’est-à-dire qui ont aucune idée comment on peut créer une entreprise. Et 22,6% ont déjà
participer dans la création d’une entreprise.
Ce graphique montre le niveau de probabilité des répondants pour posséder une entreprise, de ce fait,
ils ont pensé comme suit :
Au cours de l’année prochaine : 10 personnes veulent posséder une entreprise dans l’année qui suit
et les autres ne pensent pas de la faire.
Au cours des cinq prochaines années : la majorité ont une idée de posséder une entreprise avec une
probabilité qui varié entre forte et très fortes.
Dans 5 ans et plus : plus que 15 personnes représentant la majorité des répondants vise à posséder une
entreprise dans 5 ans et plus.
Alors généralement les personnes sont intéressées à posséder leurs projets dans la longue durée vu
qu’ils sont encore jeunes et n’ont pas assez d’expérience dans le domaine.
Les répondants pensent que tous ces motivations sont nécessaires pour réussir à créer un bon projet et
une bonne entreprise sauf le goût de prise de risque, vu que généralement l’être humain peur de prenez
des responsabilités et des risques. Alors parmi les principales motivations on trouve : Le gain
financier, Le développement de nouveaux projets, La gestion libre de son temps, La créativité,
Permettre la création d'activités économiques et des emplois, Connaître une évolution de ses
perspectives de carrières. Tous ces motivations sont cruciales pour pousser à créer une entreprise.
De notre part, on pense que parmi les principales motivations pour créer une entreprise il y a :
De notre part, on voir que parmi les freins à la création d'entreprise comprennent les risques financiers,
le manque de ressources et de compétences, les réglementations et la bureaucratie, la peur de l'échec,
ainsi que la pression sociale et familiale. Ces facteurs peuvent dissuader les entrepreneurs potentiels de
se lancer en raison des investissements financiers importants, du besoin de compétences variées, des
formalités administratives complexes, de l'incertitude quant au succès, des attentes sociales et des
obligations familiales. De plus, l'accès limité aux marchés et à la clientèle peut également constituer un
obstacle à la création d'entreprise. Malgré ces défis, de nombreux entrepreneurs parviennent à
surmonter ces freins et à créer des entreprises prospères.
41,4% des étudiants pensent que le principal facteur qui permet de posséder une entreprise c’est une
opportunité d’affaire, et 37,9% trouve que c’est le capital et le financement qui est le facteurs clé pour
réussir d’être une entrepreneure est posséder une entreprise, ainsi que 17,2% disent que
l’accompagnement pour la création et la gestion qui faire la différence, et 13,8% pensent qu’il faut
trouver un bon associé pour réussir le projet.
46,4% des répondants ont suivi des cours en entrepreneuriat dans leurs cursus universitaire, alors que
17,9% on suivi des cours en dehors de leurs université c’est-à-dire ils ont fait une formation à
l’extérieure, et 39,3% ont jamais de la chance de suivre des cours en entrepreneuriat que soit à
l’intérieure ou à l’extérieure de leurs établissement.
On observe dans ce graphique que 67,9% des répondants ont déjà entendu parler de l’entrepreneuriat
donc ils ont déjà creusé sur ce sujet et ils veulent d’être des entrepreneurs un jour. Et 32,1% ont jamais
entendu parler de ça. Même s’il y a déjà un module dans le semestre 5 sur l’entrepreneuriat.
On observe dans ce graphique que 17,9% des répondants pensent que les cours étudient dans leur
cursus universitaire n’est pas aident pour acquérir des connaissances personnelles sur le monde des
affaires. Alors que 85,7% ont une vision contraire.
Dans cette figure on voir que 85,7% des répondants pensent qu’il est intéressant d’informer les
étudiants sur les possibilités et les étapes pour être un entrepreneur. Alors que 17,9% trouve que c’est
inutile.
Dans cette figure on voir que 65,5% des répondants ne savent pas qu’il existe une structure
d’accompagnement des jeunes dans pour la création des entreprises. Alors que 34,5% ont déjà l’idée
de cette centre entrepreneuriale.
59,3% des répondants pensent que leurs établissements encouragent les étudiants et les soutiens pour
créer leurs propres projets d’avenir grâce au centre d’accompagnement entrepreneuriale. Alors que
40,7% trouvent que leurs établissements n’ont pas le temps pour ces trucs.
On observe dans ce graphique que 78,6% des répondants pensent qu’il est très intéressé de faire une
formation sur la création des entreprises pour que les étudiants finissent leurs parcours universitaires et
ont déjà une idée comment pouvant il créer une entreprise et être une entrepreneure. Alors que 21,4%
ont une vision contraire, c’est-à-dire que n’est nécessaire de faire cette formation.
82,8% des répondants sont intéressés à suivre des cours entrepreneuriales et 17,2% n’ont pas l’idée de
suivre des cours dans ce sens.
Conclusion
La création d'une entreprise est un processus complexe qui implique la mise en place d'une nouvelle
entité commerciale. Les étapes typiques de création d'entreprise comprennent la planification, la
recherche de marché, l'élaboration d'un modèle commercial, la recherche de financement,
l'enregistrement légal, le développement d'un produit ou d'un service, le lancement et la croissance de
l'entreprise. La création d'une entreprise peut offrir des avantages tels que l'indépendance, la possibilité
de poursuivre sa passion, des opportunités financières et un meilleur équilibre entre travail et vie
personnelle.
Cependant, cela comporte également des défis, notamment les risques financiers, les contraintes
réglementaires, le manque de ressources et la pression sociale. Malgré ces défis, de nombreux
entrepreneurs réussissent à créer des entreprises prospères en surmontant ces obstacles et en saisissant
les opportunités.
Conclusion générale
Annexes