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Il faut télécharger le fichier des paquets (qu’on veut : est ce que son nom est
donné ou il faut le connaître d’après le logiciel demandé ??) sur internet sous
Fedora (après être téléchargé on vérifier le chemin de ce fichier : par quelle
cmd ??)
Le paquet
On appelle paquet (ou parfois paquetage, en anglais package) une archive (fichier compressé)
comprenant les fichiers informatiques, les informations et procédures nécessaires à l'installation
d'un logiciel sur un système d'exploitation au sein d'un agrégat logiciel, en s'assurant de la
cohérence fonctionnelle du système ainsi modifié.
RPM Package Manager
On peut interroger un paquetage installé de la même manière avec : rpm -qil paquetage
Liste tous les fichiers de chaque paquetage (pratique pour rechercher un fichier particulier) rpm -qa
--filesbypkg
Note
Il est possible de combiner ces différentes options. Il est également très pratique de combiner
l’interrogation avec grep si on veut savoir si un paquet précis est installé
NB :
-q -> interrogation
-i -> texte décrivant le paquetage
-l -> liste les fichiers du paquetage
-p -> pour interroger un fichier.rpm et non pas un paquetage installé
Remarque : il est conseiller d’utiliser yum pour la suppression d’un paquet car
rpm peut avoir d’effet néfaste.
Pour supprimer un paquet en utilisant rpm : rpm –e package
Du faite que rpm peut poser des problèmes au court de l’installation des
logiciels ,on utilise Yum.
Configuration de yum
/etc/yum.conf (la commande pour configurer yum)
Désinstallation de paquetages
Mise à jour :
du paquetage nom_logiciel : # yum update nom_logiciel
Liste
des paquetages installés sur les systèmes : # yum list installed
Une fois YUM configuré, je ne peux que vous conseiller de mettre à jour tout votre système via la
commande (toujours en root) :
# yum update
Si c'est la première fois que vous mettez votre système à jour (avec modération) sur une
installation toute fraîche de Fedora, lancez la commande
Attention toutefois, le haut débit est indispensable pour réaliser les mises à jour du système car la
quantité de paquets à mettre à jour est conséquente !
Bien sûr, ceci n'est pas très pratique si l'on ne connaît pas très bien le nom du paquet. Heureusement
pour vous, YUM accepte le caractère joker * (étoile). Ce caractère joker fonctionne également avec
les autres commandes. Remarque : il est nécessaire d'« échapper » le joker en plaçant le
caractère \ devant celui-ci ou bien en sécurisant toute la chaine de caractère avec les guillemets.
Exemple :
ou
Pour une mise à jour sélective :on met à jour seulement ce paquet
Ceci est surtout pratique pour mettre à jour votre système sans mettre à jour votre noyau si avez de
modules que vous ne voulez pas réinstaller à chaque fois ou pour une autre raison :
Ce sont les principales commandes disponibles avec YUM mais il en existe de nombreuses autres
que vous pouvez découvrir en tapant simplement
# yum help
C. Installation des logiciels en mode console par
compilation des sources (tarball)
Les types d'archives couramment utilisées sur les systèmes Linux et Unix sont tar , tar.gz et
tar.bz2 . Notez que tar.gz et tar.bz2 sont tout simplement gzip -ped et bzip(2)-
ped tar archives, respectivement. Travailler avec ces fichiers est très simple grâce à
l'utilisation de GNU tar utilitaire, qui est inclus dans le cadre des paquetages de base de
distributions modernes.
Sous les systèmes GNU-Linux, les outils permettant de créer des archives compressées sont
généralement installés par défaut sur la plupart des distributions.*
Dans la plupart des cas, la transmission de fichiers se fait dans des formats compressés,
particulièrement pour le téléchargement de programmes à compiler, souvent disponible en
format .gz .tgz (ou .tar.gz, c’est équivalent) et parfois .bz2
Les principaux programmes utilisés pour la gestion des archives sont les suivants :
tar (tape archive files) : Permet de créer un fichier archive qui va contenir l’ensemble des fichiers
demandé, sans compression.
gzip : Permet de compresser les fichiers au format gzip (.gzip ou .gz)
gunzip : Permet de décompresser les fichiers de type .gzip ou .gz
bzip2 : Permet de compresser les fichiers au format .bz2 ou .bzip2
bunzip2 : Permet de décompresser les fichiers de type .bz2 ou .bzip2
Remarque : Lorsqu’on télécharge un logiciel comme tarball (gz ou bz2) ie on veut qu’il se télécharge
sous format compressée.
Sous Linux, on va principalement utiliser « tar » pour créer l’archive de base, puis compresser celle-ci
avec un outil au choix. L’atout principal de la commande « tar » est de maintenir les attributs
complets des fichiers (équivalent des ACL sous Windows), permettant ainsi, lors de l’extraction, de
retrouver une arborescence identique à l’originale, dans sur le contenu que les attributs
(propriétaire, groupe, droits d’accès, de modification et d’exécution).
Les options utilisées signifient :
-c Créer une nouvelle archive
-v Afficher le détail du traitement en court (mode verbeux)
-f Créer l’archive dans le fichier défini (par opposition à un périphérique lecteur de bande « tape »).
EXP
Pour l’exemple, nous partons du dossier /home, dans lequel nous avons un dossier « toto » avec
quelques fichiers.
On va donc créer une archive du home de toto appelée « home_toto.tar », afin de la restaurer
ultérieurement :
Commandes :
1 cd /home
1 gzip home_toto.tar
1 cd /home
Tout simplement. Il en est de même pour l’utilisation de bzip2, mais au lieu de « -z », on va utiliser « -
j », comme ceci :
1 cd /home
1 cd /home
Exp
Sur http://www.snort.org/, téléchargez pcre-6.4.tar.gz ou la dernière version que vous
trouverez.
$]# cd pcre-6.4
$]# ./configure
$]# make
Cette commande ne supprime pas le fichier .tar, mais elle place des copies de son contenu dans le
répertoire de travail en cours.
Important
Le site officiel de PostgreSQL (ftp.postgresql.org) regroupe l'ensemble des archives nécessaires.
Lorsque l'application est décompressée, il faut dans un premier temps lancer le script d'auto-
configuration :
cd postgresql-7.0
./configure
Le script d'auto-configuration possède des paramètres optionnels :
--prefix=répertoire permettant de définir un répertoire d'installation personnalisé (par défaut il s'agit
de/usr/local/pgsql) un répertoire partagé dédié aux sources (/usr/src/postgres par exemple)
la racine d'installation par défaut est sans doute /usr/local/
--with-perl permettant d'installer l'interface Perl ainsi que les extensions Perl de Postgres
--with-tcl permettant d'installer l'interface Tcl ainsi que les extensions Tcl de Postgres
Il suffit ensuite de compiler les sources de PostgreSQL :
make
et enfin de procéder à l'installation :
make install
Après l'installation de PostgreSQL, la première opération à effectuer consiste à initialiser la base de
données grâce à un script se lançant avec la commande suivante :
initdb
TP1
Les premières questions
dans /etc/passwd chaque utilisateur possède un groupe par défaut, précisé par
son identifiant gid dans ce fichier
Structure de /etc/passwd
Ce fichier comprend 7 champs, séparés par le symbole « : »
1. nom de connexion
2. ancienne place du mot de passe crypté
3. numéro d'utilisateur uid, sa valeur est le véritable identifiant pour le
système Linux; l'uid de root est 0, le système attribut conventionnellement
un uid à partir de 500 aux comptes créés.
4. numéro de groupe gid, dans lequel se touve l'utilisateur par défaut;
le gid de root est 0, des groupes d'utilisateurs au delà de 500
5. nom complet, il peut être suivi d'une liste de renseignements personnels
6. rép. personnel (c'est également le rép. de connexion)
7. shell, interprétateur de commandes (son chemin par défaut /bin/bash)
Structure de /etc/group
Ce fichier comprend 4 champs, séparés par le symbole :
1. nom du groupe
2. x pour remplacer un mot de passe non attribué maintenant
3. numéro de groupe, c-à-d l'identifiant gid
4. la liste des membres du groupe
loginname:password:lcdate:mindays:maxdays:ndays1:ndays2:expiration:reserved
Pour une gestion sous interface graphique, voir le chapitre sur le nouvel
outil linuxconf