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MANAGEMENT

Yassir Azari (A1)

Au cours des dernières décennies, nous sommes devenus dépendants de la


technologie pour gérer notre vie quotidienne. Du réveil et de la vérification de votre
emploi du temps pour la journée à la commande d'une marchandise, la technologie
est là pour vous aider.
Il y a aussi de bonnes chances que la technologie joue un rôle important dans vos
responsabilités professionnelles quotidiennes. Même ceux qui travaillent en dehors
du secteur de la technologie comptent sur des technologies de l’information et de la
communication.
En raison du rôle titulaire de la technologie dans la vie quotidienne et de son rôle
encore plus important sur le lieu de travail, il existe un besoin accru d'une gestion
efficace de la technologie dans le monde commercial.
Le monde moderne a grandement bénéficié du développement technologique. Le
domaine des affaires n'est pas étranger aux technologies de l'information dans la
gestion des affaires. On peut bien attendre à être entouré des dernières technologies
dans notre carrière professionnelle. Les technologies et les outils commerciaux et de
l'information ne font pas que faire prospérer une entreprise, ils résolvent également
des problèmes opérationnels critiques et peuvent faire avancer l'organisation.
la pénétration des technologies de l’information et de la communication (TIC) du
travail et l’organisation de l’activité, ce qui a permis la charge de travail,
environnement de travail et les technologies de communication d’interagir pour
effacer les limites temporelles et spatiales de la relation à l’entreprise, cela a forcé les
eurocadres de lancer une réflexion à ce sujet en s’appuyant à la fois sur les apports
de chercheurs experts de ce domaine et sur l’expérience des représentants syndicaux
pour pouvoir avancer sur les questions données.
Le guide s’appuie sur les réflexions de responsables syndicaux de l’encadrement
européens recueillies lors d’une formation animée par des experts, il débute dans la
première partie par citer ses objectifs en commençant par une définition générale
concernant les TIC, ça évoque aussi les conditions de travail comme Intensification et
surcharge de travail, isolement des individus et l’usage détourné de ces outils, après,
il passe à mentionner l’effet des TICs sur la vie des cadres au niveau familial et au
niveau professionnel et comment il peuvent tirer profit de ces environnements, pour
les responsables syndicaux, ça concerne les marges de manœuvre et la consultation
des salariés. Pour la deuxième partie, elle se focalise sur les Incidences et problèmes
posés par ces technologies dans le travail et aussi hors de l’entreprise comme les
inégalités d’accès aux technologies selon les entreprises et les pays et les facteurs de
l’origine des changements technologiques et la mention des incidences multiples sur
l’activité et les salariés.
+Sans oublier les modalités de travail nouvelles ou différentes comme :
 Déploiement d’un travail « sans frontière », avec dilution des repères (les
barrières temporelles, les barrières géographiques, les barrières
organisationnelles)
 Des modes d’évaluation de l’activité et du salarié partiaux et partiels
+Les incidences sur les cadres et leurs activités (Des salariés de plus en plus isolés
dans leur travail/ Un travail qui se fragilise/ Débordement de la vie au travail sur la vie
personnelle/Un sentiment de dépossession de l’activité et de perte de responsabilité
pour certains salariés / Une autonomie et une responsabilisation accrues pour
d’autres)
+ Ils ont aussi parlé des cadres peu associés dans les choix et la mise en œuvre des
technologies comme les salariés les peu associés au développement des TICs et
l’obsolescence des compétences non prise en compte ni prise en charge par
l’organisation et les formations inadaptées et l’absence de soutien etc...
Dans la troisième partie qui se pose sous forme de la question suivante : « Dans ma
pratique professionnelle et/ou syndicale, que faire pour aborder et traiter les
problèmes liés au déploiement et à l’usage des TIC ? » les eurocadres se focalisent sur
les cinq grands thèmes qui sont portés par les bases de négociation et d’intervention
des représentants syndicaux quant à la gestion des projets technologiques et à
l’accompagnement des salariés :
 Obsolescence des compétences.
 L’intensification du travail.
 Le débordement du travail sur le hors travail.
 Le contrôle et l’évaluation de l’activité.
 L’accompagnement responsable des projets TIC.
Semblablement à la partie précédente, celle-ci se manifeste de la façon suivante : «
synthèse : À quels niveaux et sur quoi peuvent porter les revendications ?»
Elle se compose d’un tableau qui vise à synthétiser et élargir les pistes de
revendications proposées dans le document
 D’une part, par grandes thématiques : obsolescence des compétences,
contrôle des salariés, intensification du travail, débordement sur le hors
travail, et accompagnement responsable des projets TIC.
 D’autre part, selon les différents niveaux de négociation envisageable.
Tout simplement il prend chaque grande thématique de négociation et mis le
rapport entre elle et le niveau de revendication par organisation ou organisation :
et/ou secteur professionnel ou organisation, secteur et/ ou pays/Europe
Finalement, ils parlent dans l’annexe de la démarche et méthodes déployées et ils
donnent une liste des pays et syndicats participants pour bien réaliser cette
formation.
Dans l’autre fichier ils parlent des influences des technologies nomades sur le bien-
être et le stress au travail, ils commencent par un petit résumé et puis ils parlent dans
la deuxième partie des technologies nomades : entre bien-être et stress au travail et
spécifiquement de la notion de bien-être au travail et influence des technologies
nomades (De la santé mentale au bien-être au travail/ Influences des technologies
nomades sur le BET) puis ils passent au stress technologique ou technostress et
donnent un modèle « exigences professionnelles-ressources » et élabore dans la
troisième partie ils donnent une démarche qualitative exploratoire, quatrièmement,
ils nous montrent les résultats concernant l’influence duale des TN entre stress et
bien-être au niveau de l’intensifications du travail et amélioration des performances
et la déstandardisation des temps de travail dans un contexte d’addiction aux TN,
finalement, cette étude qualitative auprès des équipes commerciales du groupe La
Poste permet de comprendre l’influence de l’introduction de TN sur l’organisation et
les individus selon qu’ils les perçoivent comme une ressource ou une contrainte dans
leur travail quotidien. En particulier, il s’agissait de montrer si et comment une
nouvelle technologie nomade (en tant que ressource) pouvait améliorer le BET, et si
celle-ci pouvait en parallèle renforcer le stress technologique associé à ce nouvel
usage (TN en tant que contrainte, exigence professionnelle), ils montrent dans la
discussion l’influence des TN sur le BET et l’organisation et analyse par le modèle JD-R
« exigences professionnelles-ressources » et ça finit par une conclusion qui résume
tout ce qui a été mentionné dans les pages précédentes.

Le troisième document de 3 pages qui parle de « Comment la technologie change le


rôle des managers » par Gilles Ascione, Avanade propose une conclusion formelle de
Accenture qui insiste sur le point que maîtriser les outils technologiques ne suffira
pas. L’avantage ira aux managers ayant développé une véritable intelligence
émotionnelle et qui font bien tout ce que les ordinateurs ne savent pas faire : établir
et maintenir des relations interpersonnelles, motiver les gens et créer un lien
émotionnel avec eux, il parle aussi de la révolution managériale dans une entreprise
agile puisque le rôle du manager est double : il doit changer lui-même pour être à
l’aise avec les nouveaux outils et les modes de fonctionnement associés, et
accompagner ses équipes dans le changement.
Les défis se regroupe en trois thèmes :
 Construire et partager sa vision (s’interroger sur son rôle et ses
responsabilités, l’usage des outils digitaux dans un but managérial, être
capable de déléguer d’avantage)
 Nourrir le travail collaborative (les managers gèrent et à l’avenir seront
amenés à gérer des collaborateurs de plus en plus autonomes, qui échangent
des informations en temps réel, progressent et acquièrent des compétences
sans que cela passe par le manager)
 Gérer des relations et partenariats (la capacité d’anticiper et d’initier le
changement, de bâtir des réseaux et des partenariats, la volonté de
responsabiliser davantage ses collaborateurs, motiver, les récompenser et
développer leurs talents)
Les managers de demain se reposeront d’avantage sur leur capacité d’influence que
sur des méthodes directives et seront jugés sur leur créativité, leur capacité à
expérimenter et apprendre de leurs erreurs, à travailler en équipe et partager les
informations, à créer des alliances durables, démontrer leur leadership et
commencer par devenir acteurs de leur propre transformation pour que l’émergence
d’une nouvelle famille de managers digitaux, Le manager de demain sera plus coach
que chef.

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