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G. W. F. Hegel
Le Droit
naturel
T R A D UIT DE L'ALLEMAND
PRÉFACÉ ET ANNOTÉ
PAR AND R É K A A N
Gallimard
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Titre original :
UEBER DIE WISSENSCHAFTLICHEN
BEHANDLUNGSARTEN DES NATURRECHTS,
SEINE STELLE IN DER PRAKTISCIIEN PHILOSOPHIE
UND SEIN VERHAELTNIS ZU DEN POSITIVEN
RECHTS\VISSENSCIIAFTEN
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Chronologie des principaux textes de Hegel
avant la Phénoménologie
ÉDITIO N S
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52 Le Droit naturel
liiumsausgabe *.)
Nous avons rassemblé sous le nO 12 des textes qui
constituent trois volumes de l ' édition Lasson publiés
entre 1923 et 1932 sous les titres : Jenenser Logik, Meta
physih und Naturphilosophie, Jenaer Realphilosophie
1 et II.
( I l s'agit de manuscrits pour l'enseignement des années
1803-1806. Leur chroIlolo e n' est pas établie avec
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cerlitude. On tend à considérer aujourd'hui que la
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CONS I D É RAT IONS P R É L I M INA I RES
NOTES
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Ces remarqucs permettent donc de répondre à l'objection
tirée d e la situation actuelle des sciences par rapport à la
philosophie : u n e connaissance qui ne procède pas de l'idée
n 'est pas une science, mais une science n 'a pas besoin de
thématiser l'idée pour être vivifiée par elle comme par Bon
noyau essentiel. Ce n'est que dans la philosophie que cette
essence prend également la forme de l'idée.
2. Il vient d'être établi qu'une science n'est pas obligée
de fonder philosophiquement son principe pour appartenir
au domaino du savoir. De mÔme clle peut avoir recours
légitimement à l'intuition concrète sans perdre son afl1nité
, avec l'idée. Pour le comprcndre, il raut admettre une paro n t é
entre l ' i n tuition empirique et l'illtuition transcendantale
: (Diflerenz, éd. Lasson, p . 3 1 ) . Ce qu'elles ont de commun,
c'est que toutes deux atteignent l'être, la première avant,
la deuxième après la phase négative de destruction du fini
dans la conscience de l'opposition. Celte théorie du savoir
servira ici à expliquer les rapports assez compliqués de l'em
pirisme spontané et e n quelque sorte sauvage qui sera recon
n u , avec l'empirisme méthodologique qui sera condamné
(cf. p. 71-79 et p. 95-98) .
3. La nécessité qui assure la consistance d'une imago lui
est intél'ieure, par conséquent olle exprime sa liberté. Cela
est seulemcnt senti dans l'int.uition immédiate ; pour que
ce sentiment s'élève à la pensée, il Caut que cette nécessité
soit rattachée à une nécessité globale. Alors la liberté sera
complète (Diflerenz, p. 31 ) . Ce qui n'cst pas dit ici c'est que
celte libération ct cette intégration passent par la destruc
tion de l'individualité concrète immédiate. Cette continuité
entre intuition naturelle de la vie (Camille) , négation i n fi nie
(conflil� et guerres) , et intuition spirituelle (éthique 0\1 vic
d ' u n peuple) , est indiquée d 'u oe manière synthétique a u
début d u troisième paragraphe du Système d e l'élhiqlle :
Il Il faut que l'absolue identité de la nature soit recueillie
dans l'u nité d u concept absolu comme une essence claire ct
en même temps absolument riche (460) . Il C'est seulement
dans ct par la réalité éthique que l'intuition intellectuelle
appartient au réel (fi Î8t eine Reale Il) e n tant q u'opposée à
l'existence seulement idéale.
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3
6� Le Droit naturel
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PlIg/l 60.
70 Le Droit /lu/urel
C'('s t q u e n effet, il postule que ses principps for mels
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74 Le Droit naturel
• •
80 u Droit naturel
NOTES
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1. Malgré son caractère empirique cette méthode possède
une philosophie ; elle ne se contente pas de tâcher d'organi
ser selon des concepts chaque rapport en particulier mais de
les coordonner selon une unité absolue. On va voir que cette
tentative est incapable de concilier son naturalisme et son
providentialisme. Cet échec s'explique par l'absence de l'idée
spéculative de l'unité. C'est elle qui est désignée comme
Il nécessité simple et originaire Il par opposition à la nécessité
analytique formelle mentionnée au paragraphe précédent.
2. Cet examen du reflet de l'unité dans la science empiri
que va sc laire sous deux aspects, celui de la forme d'exposi
tion (p. 69-70) et celui du contenu des conceptions qui
rentrent dans cette forme (élat de nature, majcsté de
l'État, providence divine, p. 70 à 75). Selon le premier
point de vue, l'idée d'une unité qui ne laisse rien en dehors
d'eUe est aperçue par l'empirisme comme l'achèvement
d'une énumération. Ce qui est total c'est ce qui est complet.
Si Hegel compare la manière dont cette même idée totalité
se présente duns le formalisme, c'est qu'en fait il y a compé
nétration de celui-ci et de l'cmpirisme.
La totalité dans la science formelle est la conséquence
logique, dans l'expérience elle est intégralité mais en fait le
formalisme ne peut s'exercer que sur des données empruntées
à l'expérience et celle-ci concerne des rapports dont chacun
peut être traité logiquement, quoique le passage de l'un à
l'autre reste sans nécessité. Par suite « l'association de la
conséquence avcc l'achèvement de l'image li caractérise
aussi bien l'empirisme scientifique que le formalisme et les
distingue l'un et l'autre de l'exporience pure aussi bien que
de l 'idée spéculative. La comparaison entre l'empirisme et
l'intuition dans l'expérience vivante fera l'objet de la fin
du chapitre (p. 75 à 79t.
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à-dire en montrant la qualité comme limite. La prétention
acientifique ùe l 'empirisme l'amène à conférer l'unité
positive de l'absolu au concept. Or celui-ci n'est capable de
dire le réel qu'à travers la multiplicité d'uni tés qualitatives
qui se limitent réciproquement. C'est pourquoi l'expérience
réelle qui ne se soucie pas de cohérence logique n'est pas
concernée par cette critique ùe l'empirisme scientifique.
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que l'u nité prime, cette seconde liberté peut être ainsi
définie : pour la nature éthique, l e nécessaire existe bien,
mais il est posé négativement.
Si nous isolions ce côté de l'identité relative de la
nature éthi que au lieu de reconnaître pour son essence
l'absolue unité de l'indifférence et d e cette identité
relative, si nous nous en tenions à ce côté d u rapport et
de la nécessité, nous arriverions à ce point d e vue selon
lequel la raison pratique est définie par la causalité
absolue : sans doute elle est libre, ct la nécessité est posée
d'une manière négative, mais elle est quand même po·
sée, et c'est pourquoi cette liberté demeure dans la
difTérence. C'est l e rapport et l'identité relative q u i
demeurent essentiels et l'absolu e s t conçu comme absolu
négatif o u comme i n finité.
L' expression empirique ct populaire qui a donné tant
de crédit à cette représentation qui conçoit l a nature
morale sous son seul aspect d'identité relative, c'est que
le réel sous le nom de sensibilité, inclinations, désir
bas etc. (moment de la pure multiplicité du rapport)
et la raison (moment de la purc unité du rapport) ne
s'accordent pas (moment de l ' opposition entre un ct
multiple) ; la raison consiste alors ù vouloir d'après sa
spontanéité absolue, d'après son autonomie c t à limiter
et à dominer la sensibil i té (moment qui exprime que ce
rapport est spécifié par le primat de l'unité et la négation
du multiple). La réalité de cette représentation se fonde
sur la conscience empirique et sur l'expérience univer
sclle de chacun. Tout le monde trouve cn soi aussi
bien cette scission que cette unité pure de la raison pra
tique o u abstraction d u moi.
Il ne peut pas être question de contester ce point d e
vue ; en efTet il vient d ' être déterminé comme l e côté
de l'identité relative de l' être de l'infini dans l e fini.
Ce qu'il faut aflirmer, c'est que ce n'est pas le point de
vue absolu ; dans celui-ci on a montré que le rapport
s'avère n'être qu'un côté ; son isolement est donc quel
que chose d ' unilatéral j puisque l'éthique est quelque
chose d'absolu, ce point de vue n'est pas celui de la
moralité, mais celui dans lequel la moralité est absente.
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conti guïté dcs contraires Cil lin ccrde d ' actions SUCCI'S
sÎ\'es e t a i ns i le m ilieu où sc fait le contact, le point de
réd uctioll des o p posés out l' a i r de d is paraître p a rc e qu' 0 1 1
laisse dalls ce m i l i eu un vidc iIlusnil'e . .\Iais l ' l'xpédicllt
l'st vain. E n face d ' u ne h iérarchic rami fiée qui d escend
du pouvoir suprême aux dernières i n dividualités doi t
s' élever jusqu ' a u sommet une pyramide currespon
dante q u i équilihre l'ordre dcscend a ll t. Ainsi le tuut se
courberait en UII cercle où s' évanouirait l ' i m médiateté
du couluct. Les forces Cil tant qu'elles forment des
masses semicnt tenues à l'écart Ls unes des a u tres et des
organes intermédiaires ussurcraicnt cette d i fférence
fuctice. A ucun organe ne réagirai t immédiat c m ent sur
celui qui le lIleut (ce qui produ i t la réduction à l'équilibre)
mais toujours sur un autre. Cc serait de cette manière
(indireetc) q ue le premier tcrme a gimit sur le dernier et
inversemel l t. �Iais u n tel perpetuum mobile dont les parties
doivent se mettre à tourner chacune à leur tour attei n t
tout de s u i t e u n padait équilibre a u l i e u d e s e mouvoir et
devient un p arf a i t perpetllllm quietr/lll. E n effet, p ressi o ll
et résista l i ce, contrainte imposée et contrainte subie sont
complètement égules et se retrouvent également en oppo
sition i m médiate, produisant la même réd uction des
forces que dans la première représentation. L a p u re
quantité ne se laisse pas tromper par une telle médiation
qui n ' a p porte aucune d ifférence, n i vraie in finité, ni
forme. Elle reste comme auparavant une puissanee plei
nem ent lIIonolith ique et sans figUl'e. De cette manièl" �
il n'est pns possible d' exercer u n e contra i n te contre
la puissance pOlir qu'elle suit confurme au concept de
liberté u n iverselle. E n cfT" t, en rI" hurs d ' elle, on ne
peut déeouvrir aucun pouvoir et d n n s son sein, on ne
pcut poser aucune s é p aru tion .
A cause de cela on se r,:fugie dans une d i s t.inction
toute formelle. On concède que l'autorité réelle est une
et rassemblée dans l e gouvernement. �'l ais on lui oppose
l ' a u tori té possible et cette possib i l i té doit en tunt que
telle être capable de contraindre cette réalité. La volonté
commune dans cet t e deuxième existence privée rie force
doit a voir ('nll1pi' l f�nee pOlU' prononcer que l'aulul'ité a ét,\
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PI/ge 101
'1 . Ces sL't mots ont été rajoutés par l'éditeur Lasson. Nous
les conservons pour éviter une ellipse trop forte. Le sens est
dair : il s'agit d e l a conscience pure et de la conscience
réelle.
3. 1 b. p. 1 42.
l'age 102
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c'est l ' u l L i t é o u l ' i d éel qui prime et domine ' , une autre
fois, c'est le m ultiple ou le réel. C' est SOIIS Ic premier
aspect que le rap port est à proprement parler u n e figure
conc)'(\te " dans l'indifTél'ence. Ici l'inquiétude é ternelle
d u concept ou de l'infinité reste pour une part à l'in
térieur d e \' organisation même : ellc se consume elle-
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l' s
2. C tt e mention achève de préciser la tl i l i n e t i on des
scienccs pra l i q ues et do l 'élh irple absolue ,'s ! ) u is R ée au
chapitre p récéde n t ct la 80lu l ion qu 'clic apporte au pro
b l�me posé 1111 début. Les scienccs seulement pra t iqul's d u
r
droit e t d l' la m o a l e n c pl'UVCllt se soutenir e l les-mênles
qu'en r atl a chllllt l'i n fini, dont elles procèden t , à l'unité
positive e t cOJlcrète d'un peuple. La cOlliJaissa ncfl de cette
s
dernière idéc comme n at u re éthique absolue l'st. c u le capa
hIe tle cons l ituer une science philosophique 1.01 a l e , quoique
exprimant. l 'ahsolu sous u n de scs aspects, Il s('J l J L I " bien
que l e passagc par le détour d .. l 'i nfini ne soit l'c lldu néces
saire que par la na t u re d u problème choisi et l(tW l a connais
s
sance intuitive de l ' a b o l u soit logiquemenf anU-rieure a u
mOIne nt de l a contradictioJl e t de l'infini. L a dia lectique
Il'est pas encore u ni\'erse Ile.
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', . Quel 'Ille soit le choc que reçoit une conscience ratio
na listc de notrc tempR Il l a lecture de ce texte, il convient
de ne pas le rattacher aux théories romantiques de la guerre
q u i se manifestent déjà (Bonald, de Maistre) ct qui devaient
flourir à l a fin du siècle. I l convient de noter que depu is la
Hévolution rrançaise jllsque vers les années 70 l e conserva
tisme a été souvent associé à l'idée de pacification u niver
selle alors que la propagande révolutionnaire s'est souvent
incamée dans des idéologics bclliqueuses (cf. une intéres
sante conmll l uication inédite de l\I. d ' Ilondt au congrès
de Prague de la Société hégélienne internationale de
1966).
5. On continue à appliquer ici la méthode qui consiste à
conccvoir lu négativité de l'infi ni ù pari i ., de la positivité
absolue qll'cst la vie d'un pellple. Celle-ci, rappelons-le, est
l'unité de l'i ndilIérence et du rapport. S'il est dans la nature
de ce rapport de se dédoubler en rapport oi. l a négation du
d ivers e t du réel est absolue et en rapport où cette négation
est. limitée, nous comprenons en quel sens le premier est
représenté plU le peuple en état de guerre, le second par le
peuple en étal de paix . Dans cette seconde situation, la rela
tion entre les peuple� peut être considérée comme positive
si on la compare Il la Hituation de paix. C ' est p o u l'I l u o i le
mode de vic à prépondérance économique qui est cel u i des
peuples qui coexistent en paix pourra être appelé le côté de
la réalité. Mais ces qllalifications relatives ne doivcnt pas
nous égarer. Tout le domaine de l'éthique est celui d e la
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1. C'est avec le problème de la philosophie cri tique que
s'est trouvée en fait suspendue l'étude des rapports de la.
philo8ophie et de la science positive du droit (p. 57). C'est
à celte étude que l'on revient main te nant , fermant une s o rt e
de circuit.
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1. II est i ntéressant de comparer ce texte avec l'i n t ro
duction à la Phénoménologie (éd. HolTm., p. 66, trad. HyPI'"
l, p. (8) . Au pr('mier ahord, on a l'impression t1'un chang"
ment de vue. Ici la philosophie semble n'avoir pas besoin d ..
se justi fier C i l face de l'empirisme ; dans l'œuvre de 1 807,
elle doit conqu érir son droit dans u n devenir temporel. On
fera seulement deux rOlllal" I IHls : dallB la Phénoméllologie
d'une part, il n'cst pas besoin pOUl' la science de sc justifier
dès lors qu'elle a cossé d'être une figure do la conscience.
D 'u u !. l'e par\., dans notre nrticlc, le souci de montrer ln
condi tionnement historique ùc l'émergence dl' la sci '!I1cc n 8
cess!' de SI' manifcster.
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INT n O D U CTION. 5
C O N S I D É R AT I O N S P R É LIMINAIRES. 55
CHAPITRE 1 . 67
Préam bule. L a dil'ersité des concepts dans les
quels l'empirisme essa ie de formuler 80n contenu
ne peut seTl'ir de point de départ à une critique fon
damentale de cet empirisme, p. 67-68. - Critique
de l'unité méthodologique (intégralité et consé
quence) de l'empirisme pur ou formalisé, p . 69-
70. - L' unité orig inaire comme état de nature
ou comme nature h umaine, p. 70-72. -L'unité
comme totalité, p. 72-75. - Empirisme naif et
empirisme méthodologique, p. 75-79.
186 Le Droit naturel
ClIAPITIlK n. 85
Raison pratique et raison théorique du point
de vue de l'infini et de la raison formelle, p. 85-
88. - La nature physique et la nature morale
selon la philosophie de l' identité, p. 88-89. -
Conséq!!ences de l' isolement du point de vue de
l'infini, p. 89-90. - Critique de la morale kan
tienne, p. 90-97. - Conséquences pour le droit
naturel, p. 98-101. - Critique de la conception
fichtéenne de l' État, p. l01-105. - La vraie liberté
et l'affrontement de la mort, p. 105-109.
CHAPITRE I I I. 1 17
L'infini à l'intérieur de l'éthique absolue,p. 117.
- La pluralité des peuples et les deux aspects
de la négativité dans la paix et dans la guerre,
p. 118. - Le monde des besoins et de la produc
tion, p. 118-120. - LeDroit, p.120-123.-L'autre
aspect de l' infin ité. L'organique dans l'éthique,
p. 123-125. - La structure idéale de la cité, p. 125-
J30. - Tragédie et comédie comme représenta
tions dlt monde éthique, p. 130-134. - La religion
de la cité, p. 134-135. - L'éthique absolue comme
accomplissement de la nature, p. 135-139. - La
morale individuelle dans l'éthique a bsolue. Théo
rie de la vertu, p. 139-143.
CHAPITIlE IV. 162
La philosophie et le droit positif, p. 162-164.
Le rationnel et le réel. Inconsistance du point de
vue positif séparé, p. 164-167. - L'opinion et
la dialectique, p. 167-170. - Science et histoire,
p. 170-172. - Positivité et individ!talité, p. 172-
174. - Caractère relatif et historique pe la posi
tivité. MOlltesqu iell , p. 174-177. - Nécessité de
, la novation, p. 177-180. - Le modèle de l'éthique
absolue, p. 180-182.
DU MêME AUTEUR
MORCEAUX CHOISIS
CORRESPONDANCB, m
MORCEAUX CHOISIS, 1
MORCEAUX CHOISIS, II
Cet ouvrage
a été achevé d'imprimer
sur les presses de l'Imprimerie Bussière
à Saill/-Amalld (Cher), le 10 1972.
jallvier
Dépdt légal : le trimcs/re 1972.
N° d'éditiol' : 16312.
Imprimé ell Frallcc.
(1316)