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Resume de Dermato
Resume de Dermato
KOFI ANNAN
2018-2019
Apres avoir defini le zona decrivez les
formes cliniques
• Definition
• Le zona est une ganglioradiculite postérieure
aigue liée à la réactivation du VZV. Il se
caractérise par une éruption érythémato-
vésiculeuse unilatérale et hyperalgique
siégeant dans le territoire d’un dermatome.
ZONA
• Formes cliniques :
• Selon la topographie : tous les dermatomes peuvent
âtre atteints donnant autant de localisations :
• Zonas cervicaux : C1-C3 (zona cervico-occipital : nuque,
cuir chevelu, pavillon de l’oreille) ; C3-C4 (zona cervico-
sus-claviculaire) ; C4-C7 (zona cervico-brachial).
• Zona lombo-abdominal : atteinte de l’abdomen, région
inguinale et organes génitaux externes.
• Zona des membres : il peut s’accompagner de
paralysie des nerfs moteurs.
ZONA
•Formes cliniques :
• Selon la topographie : Zona des nerfs crâniens :
• Zona ophtalmique : le plus grave des zonas
céphaliques, traduit l’atteinte du ganglion de
Gasser.
• L’éruption intéresse le plus souvent le territoire
du frontal, du lacrymal et du nasal interne.
ZONA
• Formes cliniques :
• Selon la topographie : Zona des nerfs crâniens :
• Zona du ganglion géniculé : il intéresse les branches
sensitives du III. On note
des otalgies vives,
des adénopathies prétragiennes,
une agueusie des 2/3 de l’hémi-langue
et une éruption au niveau du conduit auditif externe,
du tympan et de la conque de l’oreille ;
s’y associe une paralysie des nerfs crâniens et une
paralysie faciales vers le 5e et 6e jour.
ZONA
• Formes cliniques :
• Selon la symptomatologie :
• Les formes compliquées (surtout chez
l’immunodéprimé)
• La forme récidivante
• La forme généralisée : grave et nécrotique,
s’observe chez les sujets immunodéprimés.
ZONA
• Formes cliniques :
• Selon le terrain
• La forme du sujet âgé
• La forme de l’immunodéprimé
• La forme de la femme enceinte
Decrire les signes cliniques de l’acné
vulgaire
Type de description : ACNE POLYMORPHE
JUVENILE
• Le diagnostic d'acné est avant tout clinique.
• Les lésions siègent préférentiellement sur la
face (90 %), mais aussi sur le dos (60 %), et sur
la poitrine (15 %).
• Elles débutent en général sur le front puis
gagnent le bas du visage, puis le thorax.
Type de description : ACNE POLYMORPHE
JUVENILE
• Le tableau clinique caractérisé par son
polymorphisme, associe :
- des lésions non inflammatoires
(rétentionnelles) : comédons fermés
(microkystes), ou comédon ouvert (point noir)
Type de description : ACNE POLYMORPHE
JUVENILE
- des lésions inflammatoires sont de couleur
rouge, à type de macules et surtout de
papules, de pustules et parfois de nodules. Les
nodules peuvent se fistuliser ou évoluer vers
la formation de granulomes ou de
macrokystes;
Type de description : ACNE POLYMORPHE
JUVENILE
- des cicatrices laissées parfois par les lésions
inflammatoires. Elles peuvent être pigmentées
ou leucodermiques, déprimées ou
hypertrophiques (voire chéloïdiennes surtout
sur la nuque, le dos et la poitrine, ainsi que sur
peau noire).
Type de description : ACNE POLYMORPHE
JUVENILE
- On distingue, selon la prédominance des
lésions,
l'acné comédonienne
l'acné papulopustuleuse.
Diagnostic differentiel entre l’eczema
de contact et la dermite d’irritation
Condylome genitaux: Traitements
buts moyens et indications
Traitement
4-1-But :
Détruire les lésions,
Rechercher des sujets contact pour la colposcopie
systématique.
Traitements locaux
•
• Cryothérapie (Azote liquide)
• Avantage ; simplicité, faible coût, répétition possible. Inconvénients : récidives
fréquentes, caractère douloureux des applications,
• Indication : lésions peu nombreuses.
• Acide trichloracétique : Toutes les 1-2 semaines peut donner de bon
résultats, mais très douloureuses et lente.
•
• Podophylline (10-30%), Podophyllotoxine (condyline) 0,5-10%. Une à 2
applications
• par semaine laisser 2-4 heures rincer abondamment
• Avantage : simplicité et rapidité, faible coût
• Inconvénients : irritation très fréquente, fort taux de récidive 30-40%
• Contre indiqué chez la femme en enceinte
Traitements locaux
Electrocoagulation
• Avantage : simplicité faible coût.
• Inconvénient : cicatrisation longue, récidives fréquentes
• Réservée aux lésions assez volumineuses
Laser CO2
• Avantage : rapidité, faible pourcentage de récidive, possible chez la femme
enceinte.
• Inconvénient : coût élevé, cicatrisation longue
• Réservé aux lésions étendues
Traitements généraux
• Isoprinosine 5cp/j, pendant 5 jours puis arrêt
10 jours (4-6 cures ou bien 2 cures par
trimestre).
B) Adénopathie:
- Pusieurs ganglions
- « préfet de l’aine entouré de ses
conseillés généraux » Ricord
- Indolore s, isolés les uns des autres
- Sans péri adénite, fermes , mobiles ,
roulant sous le doigt
C) Il n’ y a pas de signes généraux
Decrire les signes cliniques du psoriasis
vulgaire dans sa forme typique
• Critères majeurs
• Crières mineurs
• Critéres de United Kingdom Working Party
(atopie)
Critère obligatoire: dermatose prurigineuse ou
parent rapportant que l’enfant se gratte ou se
frotte
• + 3 ou plus des critères suivants
1- ATCD personnel de dermite plis flexion et/ ou
joue enfant<10ans
2-ATCD personnels d’asthme ou de rhinite
allergique ou ATCD atopie parent 1er degré
enfant<4ans
3- ATCD peau sèche généralisée au cours de la
dernière année
4-Eczéma des grands plis visible ou joues, front,
convexité membres enfant<4ans
5-Début signe cutané avant 2ans( critère
utilisable chez les plus de 4ans seulement)
Decrire les caracteristiques de l’agent
causal de la gale
• Ectoparasitose cutanée produite par un
acarien : Sarcoptes scabiei parasite humain
obligatoire qui se nourrit de cellules
épithéliales.
• Seule la femelle sarcopte est pathogène, elle creuse de
sillons intra épidermiques pour déposer ses œufs.
• -FORMES CLINIQUES
• Formes topographiques
• L’érysipèle de jambe
• L’érysipèle du visage.
1. Age
2. Sexe
3. Facteurs socio-économiques
4. Facteurs culturels
5. Facteurs biologiques
6. Facteurs comportementaux
Expliquer l’étiopathogénie de l’infecion à
VZV
• Le VZV est un virus enveloppé à ADN bicaténaire,
dermo-neurotrope, appartenant à la famille des
herpesviridae.
• Le virus pénètre dans l’organisme à travers les voies
respiratoires.
• Il s’en suit une brève virémie et il rejoint ensuite les
ganglions lymphatiques pour s’y multiplier, puis se
disséminer dans la gorge et la peau où il entraine
une dégénérescence ballonisante des cellules à
l’origine des éruptions vésiculeuses.
• La disparition des signes cliniques ne
correspond pas à l’élimination totale du virus
de l’organisme.
• A ce stade, le virus ‘’quitte’’ la peau en suivant
le trajet des nerfs et gagne les ganglions de la
moelle épinière où il demeure à l’état
silencieux.
• On parle de latence du virus.
• Parfois, à l’occasion d’un stress (fatigue, infection),
ou chez les personnes au système immunitaire
affaibli, le virus se réactive et devient virulent.
• Il migre de nouveau le long des nerfs jusqu’à la
peau pour déclencher une nouvelle éruption du
même type que la varicelle mais cette fois,
beaucoup plus localisé.
• Il s’agit d’un zona. L’immunité acquise après le
premier contact avec le VZV est définitive et
protège contre toute autre nouvelle contamination
par ce virus.
Décriver les signes cliniques de la forme
commune de la Varicelle chez l’enfant
- But
Lutter contre l’inflammation et calmer le
prurit
Permettre la réparation de l’épiderme
Prévenir les récidives
Supprimer le ou les allergènes responsables
• Moyens
• Locaux :
• Dermocorticoïdes (DC):
• Activité très forte :
• Propionate de clobétasol (Dermoval® crème)
• Dipropionate de bêtaméthasone dans
propylène glycol (Diprolène® crème et
pommade)
• Activité forte :
• Dipropionate de bêtaméthasone (Diprosone®
crème et pommade)
• Dipropionate de bêtaméthasone + acide
salicylique (Diprosalic® pommade et lotion ;
Betasalic® pommade)
• Butyrate d’hydrocortisone (Locoïd® crème,
crème épaisse, pommade et lotion
• Activité modérée :
• Désonide (Locapred®crème)
• Activité faible
• Acétate d’hydrocortisone (Hydrocort® Crème)
• Antiseptiques :
• Chlorhexidine, hexamidine (Cytéal®) en
solution: pour bains tièdes biquotidiennes
suivi d’un rinçage abondant
• Nitrate d’argent en solution aqueuse à 0,5% :
pour application locale 2 fois/jour
• Hypochlorite de sodium en solution aqueuse à
0,5% de chlore (Solution de Dakin®).
• Antibiotiques locaux :
• Acide fusidique (Fucidine®) crème ou
pommade: pour application biquotidienne
• Emollients :
• Vaseline officinale
• Dexeryl® crème
• Kératolytiques
• Vaseline salicylée de 5 à 20%
• Dipropionate de bêtaméthasone + acide
salicylique (Diprosalic® pommade et lotion ;
Betasalic® pommade)
• Généraux
• Antibiotiques anti-staphylococciques et
antistreptococciques
• Antihistaminiques sédatifs : Hydroxyzine
(Atarax®)
• Autres
• Eviction de l’allergène
Décrivez le tableau clinique de la gale
• 1. UN SEUL SIGNE SUBJECTIF IMPORTANT : LE
PRURIT
• • II est initialement localisé au niveau des
poignets et des régions génitales, épargnant le
visage.
• • II devient généralisé avec une nette
aggravation nocturne.
• • L'interrogatoire peut retrouver les mêmes
manifestations au sein de la famille.
•
. LES SIGNES OBJECTIFS
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