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Le Prophte dit, attribuant ces paroles Dieu : Quiconque offense un ami Moi, Je lui dclare la guerre.

re. Il n'est d'offrande plus agrable Moi que l'accomplissement par Mon serviteur des obligations que Je lui ai assignes. Mon serviteur, s'il persvre dans les actes surrogatoires (facultatifs), finira par mriter Mon amour. Quand Je l'aurai aim, Je deviendrai son oue avec laquelle il entend, sa puissance de vision avec laquelle il peroit le monde, sa main avec laquelle il agit et son pied avec lequel il marche. S'il M'invoque Je lui rpondrai, s'il se rfugie en Moi Je serai son protecteur. Je n'hsite en rien de ce que Je veux faire sinon reprendre l'me de Mon serviteur ; lui n'aime pas mourir et Moi Je n'aime pas qu'il soit contrari .

Il dit : Cest celui dont la vue vous rappelle Dieu, dont les paroles ajoutent votre science et dont les actes vous rappellent lau-del . O croyants, craignez Dieu et soyez avec les vridiques 9 :119

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