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Rapport de service communautaire

Cette année pour mon bénévolat j’ai fait de l’aide-animation, j’ai aidé dans les tournois

de balle-molle et j’ai passé la guignolée. J’ai aimé faire de l’aide-animation, car j’adore

travailler avec les enfants et cette tâche ma permis de joindre l’utile à l’agréable. Par

contre le seul désavantage que j’ai trouvé dans cette activité, c’est que, étant donné que je

fessai du bénévolat de huit heures le matin à quatre heures de l’après-midi, cinq jours

semaine, le soir j’étais très fatiguée. Lorsque j’ai participé a la réalisation du tournoi de

balle-molle, j’ai vraiment eu du plaisir parce j’étais avec amis et je m’entendais bien avec

les autres bénévoles. Par conte, comme le tournoi de balle-molle était en juillet, il faisait

très chaud. Lorsque j’ai fait la guignolée, j’étais encore avec une de mes amies.

Malheureusement, il fessait très froid cette journée et nous avions froid malgré nos

nombreuses couches de vêtements. Dans le futur je pense que je recommencerai toutes

ces activités parce que, sauf quelques petits détails, j’ai adoré faire ces activités et jamais

je n’ai regretté de les avoir faits.

Premièrement, lorsque j’ai fait de l’aide-animation, j’ai appris comment m’occuper d’un

groupe de 12 jeunes de 10-12 ans, pendant une journée. Au début c’était facile j’avais un

moniteur qui prenait plus les devants, mais plus la semaine avançait plus le moniteur me

laissait de l’autonomie. Le plus dur a été lorsqu’il a plu et que nous étions au domaine

vert, on ne pouvait faire aucune activité. Il a fallu improviser des activités et j’ai appris

qu’on pouvait amuser des jeunes avec peu de chose. Dans le futur cela va surement
m’aider. De plus, pour le tournoi de balle-molle, j’ai pu réaliser tout le travail et

l’organisation que nécessitait un tournoi de balle-molle.

Ensuite, l’activité qui m’a le plus fait réfléchir aux besoins de ma communauté c’est la

guignolée. J’ai pu constater à quel point j’étais chanceuse de vivre dans une maison et de

manger trois repas par jour. Je me suis rendu compte que ce n’est pas toujours le cas de

plusieurs personnes. Cela m’a fait réfléchir sur la pauvreté et j’en suis venue à la

conclusion qu’on devrait faire plus qu’une simple guignolée pour les aider. Je crois qu’on

devrait les aider tout le long de l’année. Je me suis aussi rendu compte que certaines

personnes sont très généreuses tandis que d'autres ne le sont pas du tout.

Finalement, j’ai développé ma communication et mon altruiste lors de mon bénévolat.

Ma communication parce que lorsque j’ai fait de l’aide-animation j’ai su transmettre mes

idées aux jeunes et aux autres moniteurs et cela très clairement. J’ai très bien collaboré

avec les autres animateurs et aides-animateurs du camp. Ensuite, j’ai fait preuve

d’altruiste lors de la guignolée parce que j’ai éprouvé de l’empathie pour les gens plus

démine que moi. J’accordais une grande importance à ma tâche et j’ai œuvré à

l’amélioration de la condition de ceux-ci.

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