Chocolat ou vanille ? bonbons ou chewing gum ?

cache-cache ou « tue
la » ?
Etant petits , ce genre de questions nous rendait l’esprit confus, troublé
mais juste pour une fraction de seconde, car juste après, on décide et on
assume. Nos décisions étaient basées sur notre gout, nos désirs, nos moy-
ens, mais la plupart du temps , elles étaient prises au hasard.ces petites
décisions qui construisent aujourd’hui notre personnalité.

C’est comme cela qu’on a appris à décider étant petits, mais en grandis-
sant, la phase qui précède la décision dure beaucoup plus qu’une fraction
de seconde, certes les questions sont plus difficiles, mais malheureuse-
ment nombreux sont ceux qui mettent beaucoup de temps pour réfléchir
,pour à la fin laisser leur choix au hasard ;mais rares sont ceux qui assu-
ment les conséquences de leur décision.

Albert Einstein disait : « si j’avais une heure pour résoudre un problème

dont ma vie dépend, je passerais 45 minutes à l’analiser, 10 minutes pour
en faire la revue critique et 5 minutes à le résoudre ».

Etant étudiants, on affronte toujours ces « yes or no questions » :tu

veux aller par cous ou par train ?,tu vas assister à ce cours ou pas ?tu veux
faire siq ou bien si ?
Cette dernière question , pour les deuxième année constitue une intersec-
tion dans leur cursus, on va essayer, dans ce numéro, de donner le plus
d’informations possibles sur les deux spécialités, éclaircir un peu les deux
routes et voir où elles mènent vraiment.

BERRAZOUANE Nassima.
Club ESI.NET
Club Scientifique de l’ESI

Ces étudiants, nos aînés

Hotmail, un succès chaud, chaud, chaud!

La journée OPEN Source

JEESI’09
La finale d’Imagine Cup ‘09

SIQ ou SI !

L’architecte -Réseau
Les cartes à puce
Bee, Linux à l’algérienne

Quelques livres à lire ou à relire

UNE JOURNEE TYPE DANS LA VIE D’UN INISTE ...

Configurer la reconnaissance vocale de Windows Vista

Club ESI.NET
Par: K.samia

ESI.NET ça vous dis quelque chose ? Vous

avez surement du entendre parler de Microsoft
.NET qui est un Framework (Un ensemble de
bibliothèques, d’outils et de conventions permet-
tant le développement d’applications) conçu par
Microsoft pour rendre ses applications porta-
bles, et plus facilement accessibles sur Internet quelques uns de leurs objectifs :
• Proposer des projets de développement.
ESI.NET a vu le jour le Mercredi 15 Avril 2009, lors
• Animer des conférences.
d’une conférence qui s’est donné dans un amphithéâtre
• Organiser des ateliers de formations.
de l’ESI partageant la scène avec les membres du CSE
• Participer à des concours in-
(Club Scientifique de l’ESI), et dont les animateurs étai-
ternationaux (ex : Imagine Cup).
ent très agréables, et l’ambiance très sympathique, et qui
Et pour cela c’est essentiellement les étudiants qui dev-
ont notamment parlé des activités, objectifs, et moyens
ront en mettre du leur car ce club est crée par les étudi-
de l’ESI.NET, et qui ont trouvé face a eux, un public très
ants, et surtout et par-dessus tout pour les étudiants.
intéressé et en même temps très agréablement surpris,
Un des premières initiatives d’ESI.NET sera d’organiser
cela surement du au fait que ce soit la 1ére manifestation
le Microsoft Install Festival 09 en collaboration avec
dans le genre, bien sûr en parallèle avec le CSE.
Microsoft Algérie du 16 au 18 Mai 2009 à l’ESI.
Cette conférnce a eu un réel impact sur les étudiants, et
Microsoft Install Festival 09, un événement très spécial
cela se consta te au nombre élevé d’inscriptions au club,
en soi, d’une part pour son activité qui consistera à in-
et a l’écho vraiment positif et favorable du a cette initia-
staller des logiciels Microsoft originaux sous licences.
tive ce qui est très encourageant, en gros cela promet une
Microsoft propose une large gamme de produits comme:
bonne continuation et le club espère avoir le maximum
Windows XP Professional SP2, Windows Vis-
de personnes a ses cotés.
ta Business Edition, Visual Studio Pro 2008 …etc.
ESI.NET est donc un club informatique (comme vous
Et bien d’autres produits qui feront le bon-
vous en doutez) qui a été crée pour réunir les étudiants
heur des étudiants de l’ESI et le point incontourn-
de l’Ecole Nationale Supérieure d’Informatique (EX :
able de cette initiative, tenez vous bien, est que
INI) autour des nouvelles technologies informatiques de
l’installation de tous ces produits est GRAUITE !
Microsoft, pour l’échange des idées, des points de vues,
D’autre part l’aspect festival, cet événement se déroulera
discuter, débattre, et par-dessus tout s’amuser !
dans une ambiance festive, amicale, chaleureuse, ce sera
ESI.NET est donc destiné aux étudiants qui souhaitent
une expérience à partager, non pas seulement installer
partager et approfondir leurs connaissances des outils et
des programmes sur des ordinateurs, mais aussi discuter,
langages Microsoft comme :
rigoler, faire de nouvelles connaissances au sein même du
Microsoft Visual Studio, C # (C Sharp), ASP.net…, et
travail, se faire de nouveaux amis, et s’amuser le plus pos-
bien d’autres produits.
sible pendant ces journées car c’est plus une expérience
Et ceci grâce a des conférences et des rencontres organ-
de vie qui va nous réunir, et non pas un simple travail .
isées au sein de l’ESI (prochainement Microsoft Student
Ceci dit si vous avez du talent, de la volonté, des idées et un
Festival), et aussi a des ateliers de travail sur lesquels les
potentiel, le club a besoin de vous pour évoluer, plus vous
membres travaillent activement pour essayer de mettre ça
serez nombreux et plus les défis à relever seront énormes,
sur pied le plutôt possible.
et dites vous bien que le club vise les sommets, et il n y ar-
A travers ces activités le club espère contribuer à créer
rivera pas sans votre aide, et votre soutien. Comme le dit le
une certaine émulation, une certaine motivation chez les
proverbe «il faut viser la lune pour atterrir parmi les étoiles ».
étudiants ce qui mènera à révéler le potentiel qu’on a au Soyez nombreux a vous inscrire, les débuts sont toujours dif-
sein de notre école. ficiles je vous l’accorde, mais dites vous qu’une fois cette étape
Les objectifs d’ESI.NET sont réellement variés mais à la passée, le reste ne sera qu’une partie de plaisir, ne restez pas
hauteur des aspirants, le club vise à accroitre la visibilité dans votre coin à attendre que les autres viennent vers vous,
de l’ESI dans le domaine des nouvelles technologies Mi- allez vers les autres, ESI.NET est la les bras grands ouverts.
crosoft au niveau non pas seulement national mais aussi “A l’ESI!”
mondial,
Club Scientifique de l’ESI
Par: MERZOUG FODIL

Le club scientifique de l’école nationale supérieure

d’informatique Cs-Esi est une association apolitique,
non syndical, et à but non lucratif, des étudiants de l’ESI.
Le club a été fondé grâce à l’initiative de quelques
étudiants ambitieux, dans le but d’enrichir et de
partager les connaissances entre étudiants de l’ESI.

Afin de concrétiser cela, le CSE a décidé de lancer La section formation prévoit aussi à l’avenir
différentes activités qui vont certainement rendre la vie de passer les frontières de l’ESI en proposant
estudiantine au niveau de l’Esi plus agréable et aider ses services aux étudiants des autres écoles
à la découverte des nouveaux talents, et surtout per- et universités et notamment aux lycéens.
mettre de créer une sorte de société où les mots travail
collaboratif et entraide sont les mots-clés et où l’on Section des organisations des conférences:
développe ses connaissances tout en prenant du plaisir. Comme son nom l’indique cette section a pour rôle
l’organisation des conférences destinées aux étu-
diants de l’Esi, elle prend aussi en charge la projec-
Organisation du club: tion des documentaires scientifiques et autres re-
portages qui touchent au monde de l’informatique.
Les membres ont jugé utile de créer des sections au
sein du club pour prendre en charge les différents Section des organisations des compétitions:
types d’activités que prévoit de lancer le CSE; Ses principaux objectifs sont les suivants : or-
L’organisation interne du club est définie comme suit: ganiser une compétition de développement (pro-
grammation) à l’échelle nationale, organiser des
Section développement:: compétitions scientifiques interuniversitaires,…
Développeurs en herbe ici vous allez trouver vo- Cette section se charge aussi de
tre bonheur, cette section s’intéresse à tous les pro- l’organisation des tournois tels que ; un tour-
jets conçus par les étudiants, des applications web noi de jeu d’échecs, jeux électroniques, etc
à la programmation orientée objet en passant par
le développement des systèmes d’informations… Section Esi Mag:
tous vos travaux seront pris en considération. Se compose d’une équipe d’étudiants débordant
D’ailleurs l’équipe de développement a récem- de vivacité et de créativité qui est la pour couvrir
ment lancer le projet Esi-Lib qui consiste en la tout évènement en relation avec la vie estudian-
création d’une bibliothèque regroupant tous les tine aussi bien internes qu’externes à l’Esi, et qui
projets (codes sources) réalisés par les étudiants traquent les nouvelles du monde de l’informatique
dans le cadre de leurs formations d’ingénieurs. afin de présenter le magazine mensuel de l’Esi
“Esi Mag” par les étudiants et pour les étudiants
Section formation:
Cette section est composée d’étudiants compétents Section Esi Press:
qui se chargeront d’initier et former d’autres étudi- Cette section est le contact direct entre le club sci-
ants dans diverses domaines, tels que : la maitrise entifique et les étudiants, en effet elle est la pour
des technologies MICROSOFT (une équipe de for- informer les étudiants de toutes les activités pré-
mateurs en “.NET” est déjà présente dans l’équipe) vues par le Cse et ceci par l’affichage du plan-
ou encore des formations dans différents langages de ning de ces évènements et aussi par la gestion et
programmation tels que: JAVA, C#, SQL, PHP … etc la mise à jour du site du club www.cs-esi.com.
Ces étudiants, nos aînés ...
L’Algérie s’embrasait.
La guerre avait déjà commencé.
La mort avait déjà semé sa graine sous la terre fertile
de notre pays,
Irriguée par notre sang et gorgée de nos espoirs …
La mort avait déjà fauché la vie de nos frères, de nos
sœurs ;
De nos pères, de nos mères ; de nos enfants.
Le colon a déjà décidé de notre asservissement.
Cela dure déjà depuis plus d’un siècle.
Sous le soleil et le feu, nos villages brûlaient…
Brûlaient aussi les chairs des cadavres de paysans, de
vieillards, de femmes et d’enfants. Sans distinction.
D’animaux, aussi.
La ville, elle, continuait à vivre des quotidiens loin de
la folie des bombes.
Les accrochages, c’était pour les « Djebels » où se
nichaient les « fellaghas ». Les administrations fonc-
tionnaient comme en métropole.
Dans une paix … quasi-totale.
L’insouciance régnait sous les éclats de rires des en-
fants européens.
Ils jouaient dans les cours d’écoles et des parcs avois-
inants.
Leurs parents, d’un pas pressé, rejoignaient leur tra-
vail…
Et les ménagères accompagnées de « fatma » s’en al-
laient vers le marché.
Des couffins pleins et lourds chargeaient le dos frag-
iles des « yaouled ».
Les étudiants s’ennuyaient sur les bancs
d’amphithéâtres et de salles de cours.
Le week-end, on dansait dans les cafés-bars, des sons
du « juke-box ».
Autour de verres d’apéritifs, on discutait de démocra-
tie, de liberté, de fraternité, d’égalité.
L’université était calme et sereine.
Menacées, qu’elles étaient ces nobles valeurs, par les
attentats terroristes des fellaghas de la veille dans les
faubourgs éloignés.
Ce matin, à l’aube, dans la cours de la prison « Bar-
berousse », on a exécuté deux terroristes qui me-
naçaient notre paisible ville. Mohamed ZABANA et
Abdelkader FERRADJ qu’ils s’appelaient.
M. Mohammed BELLAL, enseignant à l’ESI (ex-INI)
« Des ratons d’indigènes qui veulent instaurer
l’anarchie à Alger…… Dans notre blanche Alger ».
«Avec un diplôme en plus, nous ne fer-
ons pas de meilleurs cadavres».
Quelques universitaires et lycéens algériens ont
créé en juillet de l’année dernière, l’Union Géné-
rale des Etudiants Musulmans Algériens (UGEMA).
Ils ont décidé d’être les frères d’armes de leurs aînés.
Ils ont décidé de sacrifier leurs études et leur ave-
nir pour une cause noble et juste : l’Indépendance
de leur pays, de leur terre, de leur peuple.
La grève générale des étudiants le 19 Mai 1956.
Le mouvement estudiantin algér-
ien est né. Pour une Algérie indépendante
Pour une Université algérienne.
La lettre de ZABANA à ses parents
Mes chers parents, ma chère mère,
« Je vous écris sans savoir si cette lettre sera la dern-
ière et cela, Dieu seul le sait. Si je subis un mal-
heur quel qu’il soit, ne désespérez pas de la miséri-
corde de Dieu car la mort pour la cause de Dieu est
une vie qui n’a pas de fin, et la mort pour la patrie
n’est qu’un devoir. Vous avez accompli votre de-
voir puisque vous avez sacrifié l’être le plus cher
pour vous. Ne me pleurez pas et soyez fiers de moi.
Enfin, recevez les salutations d’un fils et d’un frère qui
vous a toujours aimés et que vous avez toujours aimé.
Ce sont peut-être là les plus belles salutations que vous
recevez de ma part, à toi ma mère et à toi mon père
ainsi qu’à Nora, El Houari, Halima, El Habib, Fatma,
Kheïra, Salah, Dinya et à toi, mon cher frère Abdelkad-
er ainsi qu’à tous ceux qui partageront votre peine.
Allah est Le Plus Grand et IL EST SEUL à être équitable.
Votre fils et frère qui vous aime de tout son cœur.
Hmida [*]
[*] Hmida : surnom affectueux d’Ahmed Zabana
Hotmail, un succès chaud, chaud, chaud!
Par: Guemdani ahlem,
L’incroyable audace d’un jeune Indien, créa- (Sélection 2/2001)
teur du premier courrier électronique gratuit.
Coup de chance ou de génie?

Source d’innombrables histoires de petits Poucets

devenus milliardaires, le seul nom de Silicon Val-
ley enflamme l’esprit de nombreux jeunes qui, un
beau jour, lâchent tout pour s’inviter à la fête de
cet Eldorado. Parmi eux, des milliers d’Indiens,
en quête de la version XXIe siècle du rêve améric-
ain. Voici l’histoire de l’un d’eux. Elle commence
non pas à Ellis Island, par où transitaient des mil-
lions d’immigrants à l’époque de la ruée vers
l’or, mais dans un aéroport de Los Angeles … Chaque matin, Sabeer racontait une nouvelle his-
toire à Jack Smith. Il était toujours question de
Sabeer Bhatia atterrit à l’aéroport international
quelqu’un qui avait revendu des millions de dol-
de Los Angeles le 23 septembre 1988, à 18 heures. Le
lars la société dans laquelle il avait su faire fruc-
vol en provenance de Bangalore avait duré vingt-deux
tifier sa bonne idée. «Jack! Pourquoi est-on là à
heures et il mourait de faim. L’Institut de technolo-
perdre notre temps?» disait-il. Son ami avait une
gie de Californie, qui lui avait octroyé une bourse, lui
femme et deux enfants à nourrir, mais Sabeer
avait envoyé une note avec ces simples mots: «Prenez
Bhatia a fini par l’avoir à l’usure: »Etant don-
une navette pour le campus. » Mais Sabeer ignorait
né les énormes possibilités qui fourmillent ici,
ce qu’était une navette. Il avait dix-neuf ans, environ
si on échoue, c’est qu’on est vraiment nuls! »
2 000 francs en poche, et ne connaissait absolument
Ils sont tombés d’accord: Sabeer dirigerait
personne en Amérique. Son intention? Décrocher des
l’affaire et Jack Smith concevrait la technolo-
diplômes, puis regagner son pays pour y trouver du
gie. Restait à créer l’entreprise. Les deux com-
travail, probablement comme ingénieur. Sa vie était
pères débordaient d’idées qu’ils rêvaient de se
censée suivre le parcours modeste tracé par sa mère,
communiquer par courrier électronique. Mais si
directrice de banque, et son père, chef de service min-
leurs patrons captaient les messages et les ac-
istère de la Défense. L’Inde est un pays si bureaucra-
cusaient de travailler sur des projet personnels?
tique que des enfants comme Sabeer y grandissent,
Un jour de décembre 1995, en rentrant chez lui au
persuadés qu’ils ne pourront jamais créer une société.
volant de sa voiture, Jack a eu une illumination:
A moins d’être un surhomme. Quatre ans plus tard, à
des courriers électroniques gratuits, accessibles de
la fin de ses études à l’université Stanford, Sabeer a
manière anonyme et sur l’ensemble du réseau Inter-
eu l’occasion de participer à des déjeuners informels
net! Il a aussitôt appelé Sabeer de son téléphone de
où étaient invités des patrons comme ceux de Sun
voiture. A peine avait-il prononcé une phrase que
Microsystems et d’Apple. Leur message était toujo-
le jeune Indien s’est écrié: «Oh! bon sang! Éteins
urs le même: »Vous pouvez y arriver, vous aussi. »
ce portable et rappelle-moi sur une ligne plus sûre,
de chez toi! » Un quart d’heure plus tard, les deux
Une fois son diplôme en poche, Sabeer Bhatia ne vou-
amis avaient le cerveau en ébullition. Ils étaient to-
lait plus rentrer au pays. Avec son ami Jack Smith, il
talement à l’unisson et, au cours de la conversation,
a déniché un emploi d’ingénieur en programmation
une idée en amenait sans cesse une autre. Dans son
chez Apple Computer. Peu après, il a commencé à être
petit appartement, Sabeer a veillé toute la nuit afin
convié aux cocktails d’un groupe de patrons d’origine
de rédiger le projet d’entreprise … sur la plaque
indienne à Silicon Valley. Il a rencontré beaucoup de
de verre recouvrant la table de sa salle à manger!
compatriotes plus âgés à qui la réussite avait souri.
Le lendemain matin, devant sa mine hagarde, son patron lui
a dit: «Vous devriez faire un peu moins la fête, Sabeer! »
Le jeune homme s’est contenté de hocher la tête, tant qu’il
craignait de laisser échapper son idée s’il ouvrait la bouche.
Il lui fallait 300 000 dollars (plus de 2 millions de francs)
afin de mettre au point une version opérationnelle de son
programme. Armé de son document et d’un second projet
(concernant une banque de données personnelle installée
sur Internet), il a fait le tour de dix-neuf sociétés de capital-
risque, c’est-à-dire acceptant de financer des entreprises en
échange d’une participation au capital. Hélas! sans succès.

Il a encore rencontré Steve Jurvetson, de la société Draper

Fisher Jurvetson. Celui-ci s’est montré intéressé, mais les
prévisions de chiffres d’affaires envisagées par Sabeer (la
croissance de la future société promettait d’être la plus rap-
ide de l’histoire!) le laissaient sceptique. Il les a écartées
d’emblée, mais Sabeer a insisté: «Vous croyez que nous
n’y parviendrons pas? » En échange de son avance de 300
000 dollars, la société a réclamé une participation de 30 %
dans l’affaire. Le jeune Indien a proposé 15 %. Les négo-
ciations semblaient vouées à l’impasse. Pourtant, Fish- Lorsque Sabeer est revenu voir Doug Carlisle pour
er Jurvetson a accepté le lendemain de se limiter à 15%. lui dire: «D’accord, maintenant , nous avons besoin
de votre argent», Hotmail comptait cent mille abonné
Alors, Sabeer et Jack ont quitté leur emploi chez Ap- et était évalué à 18 millions de dollars. La société
ple Computer et ont ouvert un minuscule bureau à Fre- s’est mise à adresser des informations et divers mes-
mont, en Californie. Sabeer a persuadé quinze employées sages Internet aux «boîtes à lettres» de ses abonnés.
de se passer de salaire en échange d’options sur l’achat Si cette méthode n’avait rien d’inédit, la manière
d’actions de la société. En juin, les fonds ont commencé dont affluait l’argent, elle, était nouvelle. Les four-
à se tarir, mais il ne restait qu’un mois pour lancer le pro-nisseurs de contenu ont commencé par dire: »Hé, si
jet. Doug Carlisle, un autre financier de capital-risque, vous voulez diffuser nos informations gratuite-ment,
s’intéressait à l’affaire et était prêt à y investir. Sabeer vous feriez mieux de payer! » Mais Sabeer voulait
a pourtant compris que, si son ami et lui parvenaient au contraire que ce soit eux qui paient Hotmail pour
d’abord à lancer leur service, ils conserveraient davantage avoir le privilège d’y publier leur production. Assez
le contrôle de la société qu’ils avaient créée. Il a persuadécurieuse-ment, les sociétés concernées ont accepté
une banque de leur accorder un prêt de 100 000 dollars. ses conditions! Chaque matin, Jack surfait sur Inter-
net afin d’y débusquer d’éventuels concurrents. Le
Le 4 juillet 1996, jour de la fête nationale aux Etats Unis, premier n’a fait son apparition que six mois plus tard.
Sabeer Bhatia et Jack Smith créaient leur société, bap-
tisée Hotmail. Cette date anniversaire de la déclaration En décembre 1997, Sabeer et son ami Scott Weiss ont
d’indépendance leur paraissait tout indiquée, car ils étaient assisté à une conférence de Jerry Yang, cofondateur
convaincus que leur courrier électronique gratuit constituait du moteur de recherche Yahoo! sur Internet. Celui-ci
un formidable instrument populaire. A l’époque, pratique- a parlé surtout de ce qu’il est convenu d’appeler, dans
ment tous les propriétaires d’ordinateurs étaient déjà abon- la stratégie Internet, l’»avantage du premier inter-
nés à un service de courrier électronique. Mais, avec Hot- venant». C’est-à-dire le bénéfice inestimable d’être
mail, plus besoin de posséder un ordinateur: on pouvait se quelque temps au centre de l’attention générale.
connecter depuis un McDonald de Prague ou un cybercafé
de Taipei. Le matin du lancement, chacun des deux amis Jerry Yang a expliqué que Yahoo! existait depuis
s’est accroché à la ceinture un «beeper» programmé pour trois mois lorsqu’il avait repéré son premier con-
afficher automatiquement le nombre des nouveaux abonnés, current. Grâce à cette avance, estimait-il, la so-
heure par heure. Les premiers utilisateurs ont déniché le ciété était devenue à ce jour le numéro un des mo-
serveur Hotmail tout seuls et l’ont fait savoir à leurs amis par teurs de recherche sur Internet. Sabeer ouvrait de
courrier électronique. Cent connections la première heure, grands yeux en prenant conscience de ce que cela
deux cents la deuxième, deux cent cinquante la troisième. signifiait. Il avait toujours craint que Hot-mail
L’idée était si novatrice que 80% des nouveaux inscrits n’ait été un jour imité. Avec vingt-cinq employés
ont déclaré avoir appris l’existence du serveur par un ami. seulement, son entreprise était encore minuscule.

Lorsqu’ils allaient frapper à la porte des sociétés de capital-
risque, on leur objectait toujours la même chose: «Qu’est-
ce qui empêche Microsoft de copier le concept et de vous
manger tout crus au déjeuner? » Et, à mesure qu’ils édifiai-
ent le système, leurs amis hochaient la tête avec un petit
sourire narquois, pour la même raison: «Cela revient à
pédaler sur un tricycle devant les phares d’un 35-tonnes!
» Tout en écoutant Jerry Yang, Sabeer s’est penché vers
Scott Weiss et a chuchoté: «On a six mois d’avance
sur notre marché. On va les écrabouiller, ces gars-là!»
Au cours de l’automne 1997, Microsoft a délégué une pe-
tite armée afin de négocier le rachat de leur affaire. Six cad-
res du géant de l’informatique ont déboulé dans la salle de
conférence des conseillers juridiques de Hotmail. Le chiffre
qu’ils ont proposé à Sabeer lui aurait permis d’empocher
plusieurs dizaines de millions de dollars. Mais celui-ci a
refusé, et les négociateurs ont quitté les lieux en claquant la
porte. Une semaine plus tard, ils revenaient à la charge. Ils
ont récidivé chaque semaine pendant les deux mois suivants.
Sur leur demande, Sabeer a rendu visite à Bill Gates, fon-
dateur de Microsoft. Au cours de leur entretien, Bill lui a
posé des questions. «Mais elles concernaient des points
de stratégie tout à fait normaux. » se souvient aujourd’hui
le jeune Indien. «Et j’ai alors compris que Bill Gates
n’était pas un surhomme, mais un type comme moi.»
Fort de cette certitude, il a repris confiance. Une minisond-
age auprès de ses investisseurs lui a permis de savoir
quel prix ils pouvaient espérer. A 200 millions de dol-
lars, l’estimation de Doug Carlisle était la plus faible.
En privé, et ne plaisantant qu’à moitié, Sabeer avait
dit qu’il voulait 1 milliard de dollars. Il a donc con-
testé le chiffre de Carlisle: »Vous ne pensez pas que
nous pouvons obtenir davantage? » Son interlocu-
teur s’est mis à rire et a expliqué:»Sabeer, si jamais
vous atteignez mon estimation, je fais couler votre
statue grandeur nature dans le bronze pour décorer
mon entrée! » Sabeer est retourné chez Microsoft
et a demandé 1 demi-milliard de dollars. «Vous
êtes fou! » se sont récrié les négociateurs. La ten-
sion devenait palpable à me-sure que montaient les
enchères: 200 millions de dollars, 250 millions, 300
millions! Mais Sabeer avait obtenu carte blanche
de son conseil d’administration et de son équipe
de direction. Il est resté inébranlable: pas de vente.
Lorsque ses interlocuteurs ont proposé 350 millions
de dollars, la majorité de l’équipe de direction de
Hot-mail s’est déclaré favorable à un accord. «Je
n’ai jamais eu aussi peur de ma vie que le jour où
j’ai dit non à cette offre», a reconnu aujourd’hui
Sabeer. «Tout le monde m’avait prévenu: si tu fais
tout foirer, ça te retombera dessus! » Le 31 décembre
1997, un accord a été enfin annoncé. Hotmail avait
été échangé contre 2 769 148 actions Microsoft.
Soit, au cours de l’époque, la somme faramineuse
de 400 millions de dollars (2,8 milliards de francs)!
Doug Carlisle a tenu parole. Il a passé commande
d’un buste en bronze à un artiste de Los Ange-
les. Mais Sabeer s’y est opposé, sa mère ayant dé-
claré que, en Inde, seuls de grands hommes tels
que Gandhi pouvaient recevoir pareil honneur.
Lorsque Hotmail est devenu une subdivision de
Web Essentials, elle-même filiale de Micro-soft,
il a conservé la direction générale. A l’époque,
Hotmail comptait cent quarante-quatre employés.
Huit mois à peine après l’annonce du rachat, les
400 millions de dollars déboursés par Microsoft
paraissent déjà une bonne affaire: entre-temps,
le nombre d’utilisateurs de Hotmail avait plus
que doublé. Avec 22 millions de comptes e-mail
en activité, la société voyait affluer les nouveaux
abonnés au rythme quotidien de 125 000. Grâce
à Sabeer, la croissance de la clientèle avait été
la plus rapide de l’histoire des médias: actuelle-
ment, Hotmail compte 67 millions d’utilisateurs!
Coup de chance ou de génie?
«Il n’y a qu’à Silicon Valley que deux gaillards de
vingt-sept ans pouvaient obtenir 300 000 dollars
d’individus qu’ils venaient à peine de rencontrer. Deux
gaillards de vingt-sept ans sans aucune expérience –
ni des produits de consommation, ni de la création
d’entreprise, ni de la direction du personnel, ni même
des logiciels. Notre unique trésor, c’était une idée.»
Bee, Linux à l’algérienne
Par: CHAIB Ismail

Très bonne nouvelle pour l’open source et sur-

tout pour toute l’Algérie. Nous parlions dans notre
dernier numéro de notre souhait de voir une distri-
bution linux complètement algérienne, notre sou-
hait s’est exhaussé!

Bee est un système d’exploitation open-source, incluant tous les logiciels nécessaires à
l’utilisation d’un PC : navigateur internet, messagerie, suite bureautique, lecteurs multimédi-
as, jeux, etc. Il s’agit d’une distribution linux qui permet aussi de faire tourner ses application
et jeux Windows et qui inclus l’édition en langue arabe et amazigh mais surtout, Bee nous
offre la possibilité de se connecter à internet en “out of the box”.

Développé par la société Inodev, start-up algérien qui n’arrête pas de nous surprendre, et
basé sur Fedora, mais prévoyant de migrer très prochainement vers une version fait maison
avec Bee Entreprise, L’abeille, qui compte prés de 40.000 téléchargements, monte en flèche
et à déjà fait son entrée sur le fameux DistroWatch.com

Bee a besoin de vos encouragements et surtout a besoin que vous l’essayer son adoption et
garantie dans les 24 heures.

Télécharger le gratuitement ici : http://bee.ineodev.org/fr/telechargements

 La journée Open Source
Par: Guemdani Ahlem,

Dans le cadre des activités du CSE, une journée con-

sacrée au thème de l’open source a été organisée le lun-
di 27 avril 2009,dans la salle de conférences de l’ESI .

Au cour de cette journée les professeurs Mr Hidouci, Mme Yahiaoui et Mr Amrouche ont
animé 3 conférences qui avaient respectivement pour thèmes :
- Linux à l’université
- La téléphonie over IP (TOIP) sous linux
- La virtualisation des systèmes d’exploitation
Pour la première conférence, Mr Hidouci a expliqué les raisons qui font que linux devrait être
utilisé au sein de l’université.
Pour la deuxième conférence, Mme Yahiaou à présenter le domaine de la téléphonie over IP
sous linux particulièrement sur sa définition, son évolution, ses caractéristiques et ses com-
posants.
Pour la troisième conférence Mr Amrouche à aborder le domaine de la virtualisation des
systèmes d’exploitations en expliquant son principe, qui est de faire tourner plusieurs OS en
même temps sur la même machine.

L’assistance peut nombreuse certe,a suivi avec beaucoup d’intérêt les thèmes développés au
cours de cette journée ; des interventions ont été enregistrées.
 Par: BECHKIT Walid & AIT MENGUELLAT Hassina

L’INI, ancien CERI et actuellement ESI, la Grande Ecole

d’Informatique a toujours accordé une place de marque aux événements sci-
entifiques contribuant à l’émergence de nouvelles approches innovantes.

Cet intérêt, l’école le concrétise en or-
ganisant JEESI09, une manifestation sci-
entifique au niveau national, ouverte aux
graduant et post-graduant, leur offrant ainsi
l’opportunité de voir leur travaux évalués par
un comité de lecture constitué de profession-
nels du métier ; aussi bien enseignants au
sein même de l’ESI qu’enseignants d’autres
universités algériennes et même étrangères.
Le déroulement de cette première édi-
tion de JEESI coïncide avec la Journée
nationale de l’Etudiant qui se trouve être
également le jour du quarantième an-
niversaire de la fondation de l’école.
Des dizaines d’articles, de différentes prov-
enances sont soumis à évaluation. Ces derni-
ers sont classés par thèmes, incluant ainsi les
systèmes embarqués, réseaux et systèmes
distribués, les systèmes d’information et bas-
es de données, l’intelligence artificielle… et
sont ensuite orientés vers le comité de lecture
pour étude et évaluation. Une fois le choix
effectué par les membres du jury, et selon un
système de notation prédéfini, les meilleurs
articles seront publiés dans la revue scien-
tifique RIST éditée par le CERIST. Tout au
long de la journée, les articles retenus seront
présentés soit en communication orale par
leurs auteurs ou bien sous forme de poster.
Les chiffres enregistrés pour cette première
édition sont encourageants : ainsi donc, 82
articles ont été reçus, représentant ainsi les
universités d’Oran, de Mascara, d’Annaba,
de Batna, de Tlemcen et bien d’autres et des
écoles supérieures comme l’ESI et l’EMP.
13 de ces articles ont été retenus pour des
présentations orales et 19 pour des posters.
Il est à noter que la majorité des papiers re-
tenus concernent des travaux de Magister
59.75%, suivent alors ceux des graduant
et des doctorants et proviennent essentiel-
lement de l’université d’Oran (23.08% des
présentations orales et 15.79% des post-
er), suivie de l’ESI (15.38% des présen-
tations orales et 15.79% des posters).
Cette manifestation scientifique, organ-
isée par les étudiants de l’ESI, approuvé
par la direction et sponsorisée par …., se
veut être une opportunité pour les étudi-
ants de graduation et de post-graduation
de faire connaître leurs travaux. C’est
le pas qu’accomplit la nouvelle généra-
tion de l’INI constituant l’élite des étudi-
ants algériens pour assurer la pérennité du
statut de l’école et donnant ainsi l’exemple
à tous leurs confrères à travers le pays.
La finale d’Imagine Cup ‘09

Le mardi 13/05/2009, l’université de

Boumerdes a accueilli la finale nation-
ale du concours Imagine Cup pour dé-
terminer l’équipe qui représentera
l’Algérie à la grande finale qui aura lieu
en Egypte pendant le mois du Juillet.

Imagine Cup est une sorte de championnats

du monde du numérique organisés par Micro-
soft, une compétition internationale exclusivement
réservé aux étudiants et lycéens du monde entier.
Cette compétition regroupe une petite dizaine
de catégories rangées dans trois grands thèmes :
“Digital Arts“, “Technology Solution” et “Skills“.
Et cette année (2009), Le Caire (Égypte) ac-
cueillera la 7ème édition de l’Imagine Cup.
Imagine Cup En quelques chiffres :
• 220.000 étudiants inscrits au niveau mondial,
• 100 pays participants.
Chaque année un thème anime l’Imagine
Cup. En 2006 le thème était la santé, en
2007 l’éducation, l’année dernière (en 2008)
l’environnement. Cette année et pendant les tr-
ois ans à venir, le thème est bien plus large :
“Imaginez un monde où la technologie nous aide à
répondre aux enjeux les plus cruciaux de notre société“.
La thématique est alignée sur les huit Objec-
tifs du Développement du Millénaire (O.N.U.)
Les étudiants de l’ESI ont fortement participé à cette
compétition. après une phase de pré élimination huit
équipes ont était choisit pour la finale dont cinq de l’ESI.
Les critères de la sélection des dossiers en phase
éliminatoire étaient essentiellement la défini-
tion du problème adressé, l’adhérence avec la
thématique, l’innovation, l’impact, l’efficacité
et la complexité des solutions retenues.
Les équipes Microserfs , Technolo-
gies Geeks , et ImagINI ont remarquable-
ment présenté l’ESI dans cette compétition.
Les idées des projets étaient particulièrement
originales, ce qui reflète l’esprit innovant et créatif
de nos collègues.
ImagINI Team avec son projet Gaia, a obtenu
la note maximale lors de la phase éliminatoire.
L’objectif du projet Gaia est l’amélioration du don
en ligne par la création d’un module intégrable, sur
n’importe quelle site de e-commerce ou de vente en
ligne.
L’équipe microserfs à participé avec le projet Lo-
custGis, l’idée était simple et efficace et touchait
au cœur du thème de la compétition.
L’équipe Techcologies Geeks finaliste pour la
deuxième fois consécutive a participé avec le projet
VertiLab. Le but du projet VirtiLab est de permet-
tre au pays émergeants d’utiliser les ressources des
pays développé a faible coup cela ce fait a travers
les joueurs « Xbox » qui laissent leur consolent «
Xbox » sous tentions après avoir terminé de jouer et
qui vont participer au cloud qui effectue les calculs
envoyé par les pays émergeants.
 Pour la deuxième fois consécutives, les Inistes
(Esistes) perdent le trophée d’imagine Cup Al-
gérie. Dommage pour l’ESI et bon courage pour les
prochaines équipes qui souhaitent participer a im-
agine Cup 2010, on espère bien que la prochaine
finale d’Imagine Cup Algerie se déroulera à
l’ESI et qu’une équipe de notre école l’emportera.

La journée c’était très bien passé, à part de

légers problèmes techniques dans l’organisation.

La compétition était très serrée, les étudi-

ants ont brillamment présenté leur idées certains
d’entre eux ont même finalisé leur réalisation et
démontrer l’application durant la présentation.

Evotech s’est illustrée avec son projet: Educa- Microserfs Team

tion provider, qui vise à permettre un meilleur accès
au savoir aux enfants privés d’éducation primaire.
L’équipe Evotech est composée de deux étudiants
en M1 Informatique à l’USTHB. A noter l’absence
de l’équipe WEINNOVATE (le lycée de boumerdés)

Evotech c’est emparait de la première place,

l’équipe Microserfs en deuxième place et
l’équipe Technologies Geeks en troisième place.
Classement de la finale algérienne était comme suit
2009:

1.Evotech education Provider

2. Microserfs
3. Technology geeks
4 . imagini, team forza, dream team, civ. risers.
 SIQ ou SI ?

On est souvent confrontés a des choix dans notre vie qui dé-
terminent d’une façon plus au moins décisive notre avenir, et cela dès no-
tre jeune âge. Certains ne se creusent pas trop la tête et dés qu’ils se font
une idée ils y tiennent, d’autres réfléchissent et analysent minutieusement
avant de choisir, c’est le cas dans pas longtemps pour les étudiants qui sont
les plus concernés par cet article, les deuxièmes années tronc commun.

En effet, pour la plupart- il y a deux ans-
ils étaient en face d’un choix, quelle spécial-
ité choisir !, y’en à pour qui le choix été fait
d’avance pas besoin de discuter et d’autres qui
ont réfléchit, finalement vous êtes tous à l’ESI
et en face d’un nouveau choix, Système infor-
matique (SIQ) ou Système d’information (SI) ?
La majorité des étudiant se font une fausse idée
ou sont mal informés de ce que sont les spé-
cialités SIQ et SI, on se fait une idée que SIQ
c’est le hard, le matériel, les composants, et SI
c’est la gestion, l’entreprise et même l’argent.
On est mal informés car la plupart des étudiants
s’informent chez ceux qui sont juste au dessus
c’est-à-dire les troisièmes années et avec tout
le respect que je doit à ces étudiants je leur dis
qu’on ne peut pas juger un travail avant qu’il
soit terminé et sans voir ce qui arrive, l’image
qu’ont les premières années de l’informatique
n’est pas celle des quatrièmes. Nous aussi on
est passé par cette étape ou la plupart la pren-
nent comme une petite guéguerre entre deux
clans, chacun supporte sa spécialité et pour
certains ils y vont avec cette idée dans la suite
sans chercher dans le fond ou est la différence ?
 On est mal informés car la plupart des
étudiants s’informent chez ceux qui sont
juste au dessus c’est-à-dire les troisièmes
années et avec tout le respect que je doit à
ces étudiants je leur dis qu’on ne peut pas
juger un travail avant qu’il soit terminé et
sans voir ce qui arrive, l’image qu’ont les
premières années de l’informatique n’est
pas celle des quatrièmes. Nous aussi on
est passé par cette étape ou la plupart la
prennent comme une petite guéguerre en-
tre deux clans, chacun supporte sa spéci-
alité et pour certains ils y vont avec cette
idée dans la suite sans chercher dans le
fond ou est la différence ?, et la question
qu’on doit se poser : est-ce l’image qu’ont
avait de l’informatique avant de rentrer à
l’ESI ? Et ce, après deux ans d’expérience.
On va exposer une vue globale de la différence
entre ces deux spécialités après que les 3 ans
qu’elles durent sont sur le point de se terminer.
D’abord les spécialités sont faites par des
modules qu’on étudie, et pas seulement avec
leur nom, vous pouvez aller vérifier que sur
les 2 ans de pédagogie qu’elles durent elles
se partagent beaucoup de modules com-
muns ! Voici un tableau qui récapitule les
modules étudiés dans les deux spécialités.
3 ème SIQ 3 ème SI
Electronique Méthodes de conceptions
des systèmes d’information
Structure machine Gestion
Théorie des langages File d’attente et simulation
Télétraitement (réseaux) Base de données
Système d’exploitation Système d’exploitation
Analyse numérique Analyse numérique
Recherche opérationnel Recherche opérationnel
Anglais Anglais
4 ème SIQ 4 ème SI
Compilation Méthodes de conceptions
des systèmes d’information
Système d’exploitation Gestion
Architecture des ordinateurs Organisation
Automatique Recherche opérationnel
File d’attente et simulation Télétraitement (réseaux)
Base de données Analyse de données
Analyse de données
Méthode de conception Méthode de conception
et de construction
et de construction des
programmes
On peut remarquer que sur les 16 mod-
ules que les SIQ, et les 15 que les SI dev-
ront à accomplir, 9 sont communs !!!
Donc on se dit que les spécialités se font sur
les 7 modules des SIQ et les 6 des SI, est-ce
indispensable pour l’une ou l’autre spécial-
ité de se passer de ces modules pour mettre
au point un informaticien digne de ce nom ?
Nous allons d’abord éclaircir quelques dé-
tails mal interprétés par les étudiants sur
ces spécialités qui ne sont pas communes.
On remarque que d’une vue global que
les spécialités SIQ nous font penser au
matériel et celles de SI à l’entreprise, et ce
qui fait qu’on a ces idées qui sont prop-
agé sur la réputation des deux spécialités.
En vérité, les modules SIQ sont plus orientés
logiciels de ce matériel que le matériel en lui-
même, mis à part électronique qui est destiné
a nous donner une vue globale sur comment
ça marche, les autres modules(auto, archi,
strm…) sont plus destinés à la programma-
tion de processus destinés a des système em-
barqués et non au matériel en lui-même,
c’est une fausse idée de croire qu’on peut
en quelques cours maitriser ce que d’autres
étudient en spécialité pendant 5 ans !!!
 Même cas de figure coté SI, ou on a
l’impression qu’on maitrise le coté en-
treprise, ce n’est non plus pas avec
quelques heures de cours qu’on mai-
trise ce que d’autre font en 4 ans !!!
A vrai dire les 2 spécialités présentent
des modules importants, on ne peut nier
l’importance de la conception pour les
SIQ qui est une étape très importante
pour chaque projet, c’est la même chose
pour l’organisation de ces projets dont
on a de bons conseils de la part du pro-
fesseur qui donne ce module. Et que dire
des modules comme Théorie des langag-
es et Compilation et système pour les 4
èmes années pour les SI, on remarque ce-
tte importance une fois en 5 ème année.
On s’entête souvent a dire que ce n’est
pas pareil et que c’est diamétralement
différent, mais une fois qu’on voit vrai-
ment le contenu avec ce qu’on a besoin
en pratique et dès le projet de fin d’étude
(PFE), on se rend compte qu’on a besoin
d’une grande partie de ces modules.
Au final, vous pouvez demander au 5 SIQ,
la majorité d’entre eux ont fait une étude
conceptuelle de la même manière que les
SI, et les deux on dû se documenter surtout
sur UML car faut le dire : on n’étudie que
les bases dans notre cursus, les SIQ ont dû
se documenter plus que les Si dans ce reg-
istre bien sur pour arriver au niveau. Même
son de cloche coté 5 SI ou bon nombre
d’entre eux ont besoin des threads et des
expressions régulières dont les langages
de programmations ont intégré des bib-
liothèques complètes et les SI ont dû se
documenter plus que les SIQ dans ce cas.
Pour les 3 èmes années qui n’ont pas compris
au début ont peut être compris pourquoi j’avais
dit qu’on ne juge un travail qu’à la fin, SIQ ou SI
non seulement étudient une majorité de modules
communs, mais aussi les modules qui ne le sont
pas une fois en 5 ème année et dans le monde
du travail, et cet état de fait c’est seulement
ceux qui se sont intéressés au travail des autres
qui l’ont remarqué, ceux qui se sont concentrés
que sur leur travail et qui sont assez nombreux
restent sur leur idée classique sur SIQ et SI .
Pour terminer, on dira que dans le système ac-
tuel, les deux spécialités ne donnent que des
concepts de base, et ne permettent pas une vraie
spécialisation, un informaticien sérieux se voit
utiliser ce qu’on apprend dans les deux spéci-
alités en général, ce qui pousse ceux en fin de
cursus et qui se sont intéressés aux travaux des
autres à dire en rigolant que la différence en-
tre SIQ et SI est le Q, la preuve étant donnée
au concours d’entrée en magistère ou beaucoup
d’étudiants réussissent pour les deux spécial-
ités à la fois pourtant les épreuves principales
portent sur des modules pas communs, et plus
étonnant encore des étudiants SI réussissent
l’épreuve SIQ et pas celle de SI et vis versa,
des étudiant SIQ réussissent l’épreuve SI et pas
celle de SIQ !!! , concernant le travail, là aussi
ce n’est pas les SI qui travaillent et les SIQ qui
font recherche, on vous demandera pas est-ce
que vous êtes SIQ ou SI mais qu’est-ce que vous
savez faire, un étudiant sérieux et qui travaille
en dehors de ces cours pour s’améliorer sur un
domaine qu’il maitrise trouvera du travail facile-
ment INCHA ALLAH. Cet état de fait même s’il
n’a pas été dévoilé existe vraiment, sinon pour-
quoi une nouvelle organisation dans deux ans,
si ce n’est une formation plus approfondi sur
ce qui existe plus que de nouvelles spécialités.
 Même cas de figure coté SI, ou on a
l’impression qu’on maitrise le coté en-
treprise, ce n’est non plus pas avec
quelques heures de cours qu’on mai-
trise ce que d’autre font en 4 ans !!!
A vrai dire les 2 spécialités présentent
des modules importants, on ne peut nier
l’importance de la conception pour les
SIQ qui est une étape très importante
pour chaque projet, c’est la même chose
pour l’organisation de ces projets dont
on a de bons conseils de la part du pro-
fesseur qui donne ce module. Et que dire
des modules comme Théorie des langag-
es et Compilation et système pour les 4
èmes années pour les SI, on remarque ce-
tte importance une fois en 5 ème année.
On s’entête souvent a dire que ce n’est
pas pareil et que c’est diamétralement
différent, mais une fois qu’on voit vrai-
ment le contenu avec ce qu’on a besoin
en pratique et dès le projet de fin d’étude
(PFE), on se rend compte qu’on a besoin
d’une grande partie de ces modules.
Au final, vous pouvez demander au 5 SIQ,
la majorité d’entre eux ont fait une étude
conceptuelle de la même manière que les
SI, et les deux on dû se documenter surtout
sur UML car faut le dire : on n’étudie que
les bases dans notre cursus, les SIQ ont dû
se documenter plus que les Si dans ce reg-
istre bien sur pour arriver au niveau. Même
son de cloche coté 5 SI ou bon nombre
d’entre eux ont besoin des threads et des
expressions régulières dont les langages
de programmations ont intégré des bib-
liothèques complètes et les SI ont dû se
documenter plus que les SIQ dans ce cas.
Même cas de figure coté SI, ou on a
l’impression qu’on maitrise le coté en-
treprise, ce n’est non plus pas avec
quelques heures de cours qu’on mai-
trise ce que d’autre font en 4 ans !!!
A vrai dire les 2 spécialités présentent
des modules importants, on ne peut nier
l’importance de la conception pour les
SIQ qui est une étape très importante
pour chaque projet, c’est la même chose
pour l’organisation de ces projets dont
on a de bons conseils de la part du pro-
fesseur qui donne ce module. Et que dire
des modules comme Théorie des langag-
es et Compilation et système pour les 4
èmes années pour les SI, on remarque ce-
tte importance une fois en 5 ème année.
On s’entête souvent a dire que ce n’est
pas pareil et que c’est diamétralement
différent, mais une fois qu’on voit vrai-
ment le contenu avec ce qu’on a besoin
en pratique et dès le projet de fin d’étude
(PFE), on se rend compte qu’on a besoin
d’une grande partie de ces modules.
Au final, vous pouvez demander au 5 SIQ,
la majorité d’entre eux ont fait une étude
conceptuelle de la même manière que les
SI, et les deux on dû se documenter surtout
sur UML car faut le dire : on n’étudie que
les bases dans notre cursus, les SIQ ont dû
se documenter plus que les Si dans ce reg-
istre bien sur pour arriver au niveau. Même
son de cloche coté 5 SI ou bon nombre
d’entre eux ont besoin des threads et des
expressions régulières dont les langages
de programmations ont intégré des bib-
liothèques complètes et les SI ont dû se
documenter plus que les SIQ dans ce cas.
et vous les 2I qu’en pensez vous ?? Outre le fait que les 2I aient énormément
de logique,il reste malgré tout la seconde
on demande souvent aux 3I ,aux per- catégorie d’etudiants :les Indécis et mal-
sonnes ayant fini leurs etudes ce qu’ils gré la fin d’année qui approche à grands
pensent du choix de spécialité .Mais pas ,leur choix n’est toujours pas fait
penchons nous plutot sur les 2I , c’est les seules reponses obtenues étaient des “au-
pourtant eux les principaux concernés : cune idée “ ,” j’assure mon année puis c’est
L’avis des 2I est partagé en 2 catégories: simple “, “ça dépend de ma note de systeme !”
les personnes sures de leurs choix et cette En tout cas pour cette catégorie d’indécis et meme
catégorie là se partage la encore en 2 classes : pour les autres ,plusieurs conférences prévues à
Les futurs SIQ: alors “pourquoi SIQ?” cet effet là sont prévues pour la journée du 19 mai
-”je ne m’en sortais pas du tout donc un conseil assistez vous verrez !!
en economie l’an dernier ,et la ges-
tion et tout c’est pas du tout mon truc “
ou encore
-”c’est le domaine qui m’interesse
le plus ! je suis tres attiré(e) par tout
ce qui est en rapport avec la recher-
che dans le domaine informatique “
-”je m’interesse plus au coté hard
qu’au coté soft de l’informatique “
-”moi , je ferais SIQ parceque le
cousin de l’oncle à ma mére a fait Conseil : priez la prière ‘’Istikhara’’ avant de vous
décider.
SIQ et il n’a pas regretté ?!!?! “
-”mon pote fait SIQ ,alors c’est mon
pote donc je fais SIQ logique non ! “
Les futurs SI :”pourquoi SI ?”
-”j’ai complétement raté mon exa-
men d’electronique l’an dernier !! ‘
-”pourquoi SI ? et bien parceque c’est ce
qui est le plus demandé en ce moment !! “
-” il parait que ce n’est pas tres chargé en
comparaison aux SIQ donc SI pour moi !! “
-”je trouve que les modules étudiés en
SI sont plus interessants et plus attrayants
, surtout dans la conception web et tout ...”
-”mon binome fait SI ,et j’ai besoin
de mon binome donc je fais SI “
l’ARCHITECTE -RESEAU
Par: HARTANI Nassim

On ne peut pas dire qu’ingénieur

en informatique soit un métier en soit,
c’est plutôt une fonction générale
comprenant des métiers divers et var-
iés. Nous allons découvrir l’un de ces
métiers : le métier d’architecte-réseau.

Activité:
L’architecte-réseau a la charge de concevoir un réseau pour le compte d’entreprises,
de sociétés ou d’administrations publiques. Pour cela il doit définir les besoins
d’échanges entre les différents acteurs, déterminer les composants matéri-
els et logiciels qui répondront au mieux à ces besoins, et enfin superviser la réalisation du
réseau qui permettra aux utilisateurs d’échanger des informations d’un ordinateur à l’autre.
Les principaux recruteurs pour ce poste sont les SSII pronon-
cées (S-S-2-I) pour société de services en ingénierie informatique.
Traditionnellement ses principaux secteurs d’activités sont le conseil, l’audit et l’expertise,
il sera le plus souvent amené à analyser le réseau existant avant d’effectuer des choix tech-
niques et de proposer des solutions, en tenant compte des contraintes techniques et budgétaires.

Evolution de carrière :
Après de nombreuses expériences professionnelles, il peut espérer devenir directeur des sys-
tèmes d’informations (IT Manager).

Qualités requises:
Maîtriser l’évolution perpétuelle des technologies propres aux réseaux. Le nombre important
de ses interlocuteurs nécessite aussi de bonnes capacités relationnelles, il doit savoir adapter son
discours a ses différents interlocuteurs : techniciens, clients… pour bien se faire comprendre.
Les cartes à puce :
Une carte à puce est une carte plas-
tique qui intègre un circuit électronique ca-
pable de manipuler (stocker, calculer, etc.)
des informations de façon sécurisée. C’est
en quelque sorte un ordinateur portable
résistant aux altérations. Il s’agit donc bien
d’une carte intelligente (smart card comme
on l’appelle dans les pays anglo-saxons) et
non d’une simple carte à piste magnétique
puisqu’elle embarque un circuit logique.
La mémoire non-volatile dans une carte
à puce est sa ressource la plus précieuse.
Elle peut être utilisée pour enregistrer des
clés secrètes et des certificats digitaux.
Quelques cartes à puce ont des coproc-
esseurs cryptographiques séparés (crypto
processeur) qui supportent des algorithmes
de cryptage tels que RSA, AEC, et DES.
Dés cartes plastiques aux Java cards
La première utilisation grand publique des
cartes plastiques était pendant les années 50
aux états unis. Ce fût des cartes fabriquées en
PVC synthétique ce qui permettait de pro-
duire des cartes à faible coût qui soient plus
résistantes et plus adaptées à l’utilisation quo-
tidienne que le carton ou le papier. Cepend-
ant leur utilisation était limitée à une classe
restreinte de personnes -seulement quelques hô-
tels et restaurants acceptaient ce type de cartes.
L’introduction de Visa et MasterCard dans le
domaine des cartes a permis une évolution
rapide du domaine et la prolifération des cartes
de crédit aux états unis et en Europe d’abord,
le reste du monde quelques années plus tard.
Par: Khalfaoui Said
Les premières cartes de crédit sont
alors apparues sous les formats suivants :
• Les cartes embossées : elles con-
tenaient une partie publique pour le nom de
l’utilisateur et une partie embossée lue par ma-
chine qui contenait les informations privées
sur la carte. Ce type de carte avait un point fai-
ble majeur qui consistait au manque de sécu-
rité et à la nécessité d’une intervention humaine
pour la vérification de l’intégrité des données
sur la carte ainsi que l’identité de son porteur.
• Les cartes à bande magnétique : elles
sont apparues au début des années 60 pour ré-
soudre les problèmes de sécurité et de fiabil-
ité des cartes embossées. Ces cartes avaient
en plus une bande magnétique qui servait au
stockage des données numériques. Le principal
point faible des cartes magnétiques embossées
était qu’il suffisait d’avoir l’équipement
nécessaire pour pouvoir lire, effacer et réécr-
ire des données sur la carte. Cela exigeait
l’utilisation de techniques de sécurité addi-
tionnelles tels que le stockage des codes PIN
sur les terminaux et l’utilisation de quelques
algorithmes de cryptographie statique.
 Le développement de la technologie des semi
conducteurs rendait possible de mettre sur un cir-
cuit des mémoires et un ou plusieurs processeurs
sur une petite surface de quelques millimètres.
Le développement de l’industrie du logiciel a
permis la réalisation des systèmes d’exploitation
et de plateforme de programmation qui support-
ent plusieurs applications sur la même carte.
La technologie java card, apparue en 1997,
permet l’exécution des programmes de
haut niveau écrits en Java . Elle domine
de nos jours le marché de la carte à puce .
Avantages d’utilisation de la carte à puce
Les cartes à puces sont largement utilisées
dans plusieurs domaines de la vie quotidienne.
Elles ont remplacé les cartes magnétiques dans
de nombreux domaines. Cela est du aux avan-
tages offerts liés spécialement à la sécurité et
à la simplicité d’utilisation. Ces principaux
avantages sont résumés par les points suivants :
• Coût : une carte à puce basique coûte
de 2 à 10 dollars. Ce coût peut augmenter
pour des cartes à fonctionnalité plus com-
plexe et avec une plus grande capacité.
• Fiabilité : une carte qui vérifie les
critères du standard ISO doivent réus-
sir un ensemble de testes de flexibil-
ité, de charge concentrée, d’humidité, de
température, d’électricité statique, etc.
• La détection des erreurs: la carte à
puce, grâce à son système d’exploitation, a la
capacité de détecter certaines erreurs de com-
mande et de retourner le message adéquat.
• Sécurité: les cartes à puce sont for-
tement sécurisées. Elles sont difficiles à re-
produire. De plus, l’information stockée sur
la puce est difficilement altérable. La pos-
sibilité d’implémenter des algorithmes de
cryptographie rend le niveau de sécurité in-
comparable à celui d’une carte magnétique.
Domaines d’utilisation :Les cartes à puce
sont de plus en plus utilisées dans plus-
ieurs secteurs économiques et sociaux déjà
en cour de croissance quasi exponentielle :
GSM/Mobiles :Le marché du GSM compte
plus d’un milliard d’abonnées qui utilise la carte
à puce les SIM sont utilisées pour s’authentifier
aux réseaux téléphoniques GSM et stock-
er les données des utilisateurs sur les puces.
Payement Bancaire : Le secteur banquier
était un des premiers utilisateurs de la carte à
puce a cause de son besoin de sécurité élevé,
le marché des cartes de payement compte plus
de 150 millions de porteurs de carte à puce.
Les applications E-governement :
Les cartes a puce sont aussi utilisés
pour s’authentifier chez les adminis-
trations publiques les cartes de santé,
d’identité et les permis de conduire sont
des exemples typiques d’utilisation
Sécurité et réseaux :De plus en plus de PC
sont équipés de lecteurs de carte ,le marché
du PC compte plus d’un million de PC
équipé de lecteur carte a puce, les servic-
es d’accès au réseaux internet et la Tv uti-
lise de plus en plus les cartes a puce pour
s’authentifier et bénéficier de ces services
,plus de 80 millions d’utilisateurs utilise
des « Set box Tv » (lecteurs de carte a puce)
pour l’authentification aux services Tv.
L’utilisation des cartes à puces en Algérie :
Initialement utilisé par l’industrie de la télé-
communication ( les puces SIM) ,les cartes
à puces sont de plus en plus utilisé dans
d’autres services. Grâce aux efforts de mod-
ernisation et de sécurisation des administra-
tions et services publics mené en algérie plu-
sieurs services « card based » sont apparus.
Chiffa est un projet lancé en Semptembre
2007 qui consistait a emmètre des cartes à
puces pour les assurés de la CNAS pour lutter
contre les fraudes et améliorer la qualité des
services.Une carte « Chiffa » la carte à puce de
chaque assuré social comportera tous les élé-
ments d’identification de dernier et ses ayants
droits ainsi que la validité de leurs droits au
regard de la sécurité sociale, ainsi que toutes
les informations d’ordre médico-administra-
tif permettant une meilleure prise en charge
de l’assuré et un meilleur suivi des dossiers
Quelque 6 millions de cartes à puce Al-
gerie Poste ont était confectionnées, 5,8
millions ont été distribuées pour assur-
er des services de paiement électroniques
sécurisé au abonnées de Algerie Poste .
L’entreprise HB technologies ,leader du do-
maine des cartes à puce en Algérie, assure
l’activation et la personnalisation des cartes.
Quelques livres à lire ou à relire :
Par: I.Melissa & K.Malek
Si comme nous ,vous vous ennuyez pen-
dant ces longues journées d’été ou la cha-
leur ne nous laisse pas mettre le nez de-
hors et quand vos yeux sont trop bouffis
pour avoir passé la moitié de la nuit et une
bonne partie de la journée devant votre or-
dinateur ,voici un autre passe temps qui
emplira quelque peu vos heures creuses
:La lecture !! Voici donc quelques ouvrages
que nous vous recommandons vivement...
Tout d’abord et pour que la gente féminine
soit satisfaite voici une collection de ro-
mans à l’eau de rose mais pas aussi niais
qu’ils n’y paraissent pour vous divertir :
Cousine K de Yasmina Khadra
L’Amour, la fantasia: Assia Djebar
L’Alternative du diable: Frederick Forsyth
Reprenons maintenant avec des livres qui
;nous en sommes surs ; plairont à tout le
monde ,plongés dans l’intrigue la plus totale
,ces livres ont la particularité d’être passion-
nants à un tel point que les lâcher relève de
l’exploit ou que votre mère vous demande
d’aller faire la vaisselle ou de ranger votre
chambre !! Ou bien sûr que votre meilleur(e)
ami(e)vient tout juste de se connecter sur
MSN, car malgré le fait de ne pas être devant
votre ordinateur, comme nous (je l’espère)
vous êtes toujours hors ligne (au cas où !!)
, enfin bref, revenons à nos moutons, c’est-
à-dire les livres, ces livres là sont faits pour
vous, vous qui êtes à la soif d’énigmes
étranges à résoudre, de suspens insoutenable :
Yasmina Khadra - Le Dingue au Bistouri
charles dickens : le mystere d’edwine drood
agatha christie - l’affaire prothéro
les mains sales :jean paul sartre
Par contre cette sélection là relève plus
des romans classiques, nous le savons bien, le
classique résonne un peu avec barbant .Et non
!! En voici un bon contre exemple (rien à voir
avec les maths je vous rassure !) qui va vous
faire changer d’avis nous en sommes certains :
Candide de Voltaire qui relève même de
la philosophie ! avec sa phrase célebre :
‘Tout est bien dans le meilleur des mondes ‘
les grandes espérances; charles dickens
nina ( EMILE ZOLA)
l’argent (EMILE ZOLA)
les caractères ( LA BRUYERE)
paulo coellho - véronica décide de mourir
Cette dernière section relève des person-
nes’ khchanes ‘ , ‘harbines’!! comme on le
dit dans le langage courant ! ces bouquins
relèvent de la philosophie ,et oui comme
quoi les cours de terminale et bien ce n’était
pas aussi nul que ça ,c’était même très très
intéressant malgré le fait qu’ils aient été as-
similés à de longues et interminables séances
d’écriture ,bref la philosophie requière cer-
tains pré-requis ,une très bonne compréhen-
sion des mots et de leur profonde signification
,enfin on ne vous conseillera pas de débuter
sur du PASCAL car même des expérimentés
le redoutent ,mais encore un contre exemple ,
la philosophie peut avoir un caractère
très attrayant si on s’y prend de la bonne
manière ,et la bonne manière c’est la
liste de livres que nous vous proposons :

Comment affronter la mort ? - Françoise

DASTUR
Les confessions/ (j.j.Rousseau)
l’avare ( Molière )
le discour de la méthode ( Décartes)
les reveries du promeneur solitaire (
J.J.Ro usseau )

Et enfin , j’aimerais vous parler d’un livre

qui ,à première vue parait très bizarre voir
même drôle car il parle d’animaux qui se bat-
tent pour leur liberté ,ce livre là s’intitule ‘LA
FERME DES ANIMAUX’ du célèbre George
Orwell (1984 un livre magnifique mais pour
un débutant dans le domaine ça peut atten-
dre un peu ) bref ce livre parle comme son
nom l’indique d’animaux d’une ferme qui
,après révolte, se débarrassent du tyran qui
les exploitent à longueur de journée et qui
se trouve être le propriétaire de cette ferme
,mais petit à petit la dictature se dessine dans
les rangs de ces animaux qui étaient censés
être égaux .après quelques pages de lecture si
vous vous retrouvez dans les propos d’Orwell
vous connaitrez votre statut dans la société
et vous découvrirez que l’homme n’est et ne
peut être libre ceci est une fatalité ,mais bon
cela reste un avis personnel, à méditer …

Et voilà ,si à la fin de l’été vous avez jeté un

coup d’œil à quelques uns de ces livres alors es-
pérons qu’ils vous aient plu et qu’ils vous aient
fait passer une bonne partie de l’été pour bien
débuter une nouvelle rentrée à l’ESI qui sera
nous l’espérons meilleure que la précédente !!!
 UNE JOURNEE TYPE DANS LA VIE D’UN INISTE ...
Par: I.Melissa

06h00 Mais il a froid ,beaucoup plus froid qu’en

-”déja 6h ,non c’est pas vrai j’ai l’impression
de n’avoir pas dormi ,allez encore 10min
ça ne me fera pas de mal ,en plus de cela
je vais m’habiller rapidement et le tour est joué “
-”Mince 6h30 c’est pas vrai la poisse ,allez vite “
vite lavé ,habillé ,Mohamed a faim tres faim
mais pas le temps ,sinon il va rater le cous ,et
s’il rate le cous ,et bien s’en est fini pour lui
(bon j’exagére mais il va galérer ça c’est sur !!)
06h55
deja dehors, et malgré la pluie qui
n’a cessé de battre toute la nuit ,mo-
hamed avance dans la pénombre .
07h00 il est devant l’arret de bus avec
plusieurs dizaines d’étudiants qui attendent
le cous qui comme d’habitude arrivera à
l’heure ou la circulation le lui permettra
sortant de chez lui ,un phenomene etrange
qu’il a appris à gérer avec le temps !
Puis il traverse la fameuse allée “Boul-
evard of broken Dreams “ elle est telle-
ment longue qu’on a le temps de repens-
er à tous les evenements importants qui
nous ont marqué durant toute notre vie !
08h22
il arrive du coté de l’amphi 5 et là il
aperçoit ses amis ,pas le temps pour la
discussion , il est déja 08h30 sa mon-
tre sonne c’est l’heure d’aller etudier :
10h00 et un TD plus tard , il retrouve ses
amis devant l’affichage ,l’endroit priv-
ilégié des inistes qui y font tout sauf
lire l’affichage ,encore un phénoméne
etrange qui n’appartient qu’aux inistes .

07h10
tres bien, le cous est là ,allons-y pour la
bousculade ,mais trop fatigué pour avoir
travaillé sur son TP toute la nuit ,il dé-
cide d’abandonner l’affaire ,le trajet as-
sis ce ne sera pas pour aujourd’hui !
08h05 et apres les affres de la circulation
sur l’autoroute le voilà enfin arrivé pres
de Oued Smar ,la mosquée se dessine au
loin ,l’heure des négociations a commencé
-” vous m’arretez à Oued Smar “de-
mande mohamed au chauffeur
-”NON, lui répond froidement le chauffeur .
-S’il vous plait j’ai un examen aujourd’hui !!
-Bon d’accord ,mets toi devant la porte !
-Merci beaucoup
Depuis le début de l’année Moham-
ed profite de la mémoire défaillante
du chauffeur,car si l’on suivait ses dir-
es ,alors c’est tous les jours examen .
08h15
le voilà arrivé à la porte de l’ESI ,et tout à
coup un sentiment etrange l’envahit (tout
comme tous les étudiants d’ailleurs),il se
sent chez lui ,comme une seconde mai-
son ou seul les étudiants avaient la clé.
10h15
le prof est deja dans l’amphi ,ses 5min
de retard quotidiennes sont dépassées ,en
avant pour un cours dans l’amphi 2 ,et cet
amphi 2 il a une particularité tres éner-
vante : en hiver lorsqu’il fait froid à se ge-
ler les os alors l’amphi 2 amplifie ce froid
on se croit tout droit débarqués au pole
nord ! et en été quand il fait tres tres
chaud et bien le meme phénomene se ré-
pete ,2x plus de chaleur ça devient meme
! insoutenable ! mais que pouvons nous
faire , c’est ce qui fait le charme de l’ESI
11h28
! le ventre de mohamed commence à
gargouiller ,le cours annonce sa fin ,mais
le prof ne lache rien ,il n’est pas encore
l’heure le temps meme d’entamer un nou-
veau chapitre ,mais mohamed a faim tres
faim,il se rappelle le petit dejeuner raté ,mais
que faire ??il patiente tant bien que mal.
11h30
Là c’est pas mohamed qui a faim ,c’est tout
l’amphi. Et la ,il ya LA technique pour ar-
rêter le cours : LA TECHNIQUE DU STY-
LO ! :cette technique consiste à faire du
bruit avec tous les stylos possible ,et le
bruit est amplifié grâce aux 200 étudiants
présents .A ce moment là ,le prof na plus le
choix !il est face à 200 etudiants affamés
,mais il reussit à gratter encore 5min …
11h35
enfin un peu d’air ,il était temps . Les etudi-
ants se dirigent instinctivement vers la sortie
en quete de nourriture !Mohamed a l’habitude
de manger à la cantine ,une tres longue chaine
l’attend quotidiennement pour enfin attein-
dre l’intérieur .Mais aujourd’hui Mohamed
est fatigué ,rappelons qu’il a passé la nuit à
façonner son TP ,donc aujourd’hui ce sera
dejeuner à Oued Smar !!et là il a le choix
entre plusieurs ‘PIZZERIA’ (si on peut les
appeler comme ça ) Mais enfin de compte
,qu’il aille à tel ou tel endroit ça ne change
rien ,le gout reste le même ,la seule chose à
espérer c’est de s’en sortir indemne et de ne
pas attraper d’intoxication en fin de journée !
12h30
Mohamed a fini de déjeuner, c’est l’heure de
la promenade !l’heure de faire tout le tour
de l’INI avec ses amis le temps de raconter
tout ce qu’il lui est arrivé depuis la veille .
13h00
ça reprend, encore un autre TD, mais géné-
ralement bien réveillés cette séance là se pas-
se plutôt bien, donc mohamed fournit plus
d’efforts que la matinée complète ,il se sent
bien ,à l’aise ,il a meme l’impression d’etre
à jour dans la majorité des cours , quelle
douce sensation ,mais est-elle vraie ? nul ne
sait ,seul l’examen le dira !Bref, revenons
plutôt à mohamed ,au tableau depuis 10min
il résoud avec une certaine aisance l’exercice
demandé dont il a pris le soin de bien prépar-
er la veille ,mais le professeur,non content
des résultats corrects trouvés par mohamed
,,se met à lui poser toutes sortes de ques-
tions du cours ou en rapport avec l’exo ,
Mohamed tente en vain de répondre
a certaines questions mais pris de pa-
nique , il bafouille et le professeur lui de-
mande de se rassoir .Alors là , la bonne
humeur du départ et la sensation de bien
etre qu’il avait disparait peu à peu pour
n’etre qu’un beau et lointain souvenir !!
14h30 enfin délivré du TD ,il entame une petite
promenade très courte à la quete aux nouvelles ,ou à
quelconque affichage qui concernerait son groupe ou
sa section ,mais encore la le pelerinage est de courte
durée ,un cours dans l’amphi 6 l’attend dans 10min .
14h40 le cours démarre .Depuis le début de l’année
,mohamed s’est toujours interdit de s’asseoir aux
premiéres rangées ,la visibilité étant la meme ,il
ne voit donc aucun interet à venir se bousculer aux
premières places ,mais tres vite Mohamed fatigue ,il
tente malgré tout de rester concentrer mais que faire
? il est claqué ,exténué meme s’il n’a pratiqué au-
cune activité sportive ou intellectuelle intense .Ce
qui le pousse meme à se demander si ce n’était pas
l’amphi qui pratiquerait une certaine pression sur
les étudiants les poussant à s’endormir peu à peu .
Mais pas le temps de s’endormir ,le cours bat son
plein mais mohamed est préoccupé par un autre prob-
leme :atteindra t-il le cous qui démarre de bab ezz-
ouar à 16h30 ,y sera-t-il à temps ? telle est la question
qu’il se pose en voyant 16h approcher .Il se met donc
à calculer le temps qu’il prendra pour y arriver : si par
chance il sort à 16h du cours ,et qu’il met 5min pour
arriver à la porte de l’école (3min s’il courait)puis en-
core 8min environ pour arriver au rond point ;il sera
donc 16h13 ;puis si par chance il trouve un bus tout
de suite ,il y sera en 15min maximum ,donc à 16h28 il
sera devant le cous : Le tour est joué ! et comme prévu
Mohamed y est arrivé à tant ,ses calculs étaient justes
,il y est !ENFIN, Ne cherchant même plus de place as-
sise ,il se contente de fourrer son cartable quelque part
,bien s’agripper à un endroit qui le protégera de toute
secousse ,il au long périple qui l’attend pour rejoindre
son chez lui , essayant de relativiser face à la situation
,se disant que si comme ses amis ,il résidait en cité
,il n’aurait pas la chance de rejoindre son chez lui , il
s’aperçoit donc que sa vie n’est pas aussi mal que ça
,routinière peut être mais agréable .Alors il ferme les
yeux et pense à ce que sera demain peut être différera
t’il d’aujourd’hui ,nul ne sait seul l’avenir le dira .
 Configurer la reconnaissance vocale de Windows Vista:
Par: Merzoug Fodil

La configuration de la  Une fois la configuration  Comme pour la configuration 

reconnaissance vocale de  achevée, vous êtes prêts pour  du microphone, windows met 
windows vista comprend deux  la 2ème étape  qui est: créer un  à votre disposition un assistant 
  étapes: profil de voix. spécial afin de créer un profil 
de voix, celui‐ci est appelé : 
La 1ère consiste en la    Qu'est‐ce qu'un profil de voix?
apprentissage de la voix pour  
configuration du microphone 
Un profil de voix inclue des    la connaissance vocale.
(à noter que les "micro‐
informations sur votre manière 
casque" sont mieux adaptés   
de parler:  si vous avez un 
pour la reconnaissance vocale 
accent, comment vous  Tout ceci va être maintenant 
que les micros de bureau 
prononcez certains mots…etc,  détaillé dans la suite de 
parcequ'ils bloquent les sons 
il inclue aussi des informations    l'article:
extérieurs). Pour le faire, on va 
sur votre environnement 
utiliser l'assistant de 
comme par exemple la 
configuration du micro.  
détection des "sons de 
  bureau"  usuels 

  Confuguration du microphone

  1 Dans le panneau de 
configuration cliquez sur 
  1
Options d'ergonomie
 

 
 
 

 
2 Choisissez l'option 
  configurer un microphone 
2
 
dans options de 
reconnaissance vocale
 

 
3 Suivez les instructions de 
l'assistant pour la suite de 
3
la configuration
 Créer un profil de voix

 
1
 

  1 Dans Options d'egronomie
cliquez sur options de 
 
reconnaissance vocale
 

 
 
 

 
2 Cliquez sur entrainer votre 
  ordinateur à mieux vous 
  comprendre

2  

   

3 3 Suivez les instructions de 
l'assistant

Tuyeau

Vous pouvez configurer plusieurs profils de voix si vous êtes nombreux à 
utiliser un même PC, comme ça l'ordinateur n'aura pas trop de mal à 
reconnaitre chaque voix différente. 

Pour le faire allez dans Panneau de configuration/options 
d'ergonomie/options de reconnaissance vocale, puis cliquez sur options de 
reconnaissance vocale avancées (en haut à gauche), une boite de dialogue 
apparait ou vous pouvez saisir votre nom et configurer votre propre profil 
de voix 
 Maintenant que vous avez créé  Ce dernier vous éclaircira sur la  Après avoir suivi le didacticiel, 
un profil de voix, entamons la  meilleure façon d'utiliser la  il ne vous reste plus qu'à lancer 
 
dernière étape avant de  reconnaissance vocale en vous  la reconnaissance vocale 
pouvoir par la suite profiter 
  apprenant comment contrôler  depuis le menu démarrer et 
pleinement des services  votre ordinateur avec votre  c'est à vous de jouer; et croyez 
 
qu'offrent la reconnaissance  voix à l'aide des différentes  moi quand on l'essaye on peut 
vocale de Vista, cette étape est 
  commandes qu'inclue ce    plus s'en passer.
suivre le didacticiel de  service
 
  reconnaissance vocale.
 
Dans ce qui suit vous trouverez 
  plus de détails sur ce qui a été 
 
dit ci‐dessus :

  Suivre le didacticiel de 
reconnaissance vocale
 

 
1 1 Dans Options 
 
d'egronomie/options de 
 
reconnaissance vocale 
  cliquez sur démarrer le 
didacticiel de 
 
reconnaissance vocale
 

 
 
 

  2 Windows lance le tutoriel 
2   (didacticiel) de 
reconnaissance vocale.
 
Suivez les instructions 
 
pour terminer votre 
configuration  

 
   Lancer la reconnaissance vocale

  1 Cliquer sur:
 
‐ menu démarrer
 
‐ accessoires
 
‐ options d'ergonomie
 
‐ reconnaissance vocale de 
1  
windows
 

 
2 La fenêtre de la 
2  
reconnaissance vocale 
  s'ouvre

 
3
 

3 Exemple d'utilisation de la 
reconnaissance vocale 
(dicter du texte sur bloc‐
note)

Tuyeau

En plus de la dictée de texte sur bloc‐note ou wordpad, on peut utiliser la 
reconnaissance vocale de plusieurs manières différentes. 

A titre d'exemple vous pouvez lancer Internet Explorer en disant "ouvrir 
internet explorer" au lieu de cliquer sur son icône 

Pour connaitre toutes les commandes de la reconnaissance vocale vous 
pouvez voir sur les fichiers d'aide de vista