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Mr VERDI Patrice

Objet : TA de NICE
C/O Mr VERDI Marcel
..
.. VICE DE PROCEDURE 34 rue rené dunan
.. DEMANDE DE DOMMAGES ET INTERETS 06150 CANNES LA BOCCA
.. 450 000 Euros JUSTIFIES
GSM : 06 62 75 73 47
.. FAX : 09 56 09 40 26

Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 16/10/08

Maître DUPOND-MORETTI Eric

27, rue Royale 5, Terrasse Ste Catherine 59800 LILLE Tél: 03.20.74.22.33 Fax: 03.20.31.21.76

Maître DUPOND-MORETTI,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous éclairer un peu mieux sur ma personnalité, car si les faits que je vous ai
dénoncé lors de mon précédent courrier sont absolument politiques et donc dangereux pour ceux qui les contestent, je
me considère toutefois comme l’un deux, non pas par quelques liens de caste ou autres mais par une volonté
résistante d’appartenir prochainement à ceux qui font ou défont les règles de la démocratie et les assurent avec
courage et dignité en marginalisant ma pensée de l’esprit grégaire de certains élus nationaux de la majorité et même
de l’opposition qui cautionnent une certaine forme d’autoritarisme convenu mais certainement pas convenable pour
les concitoyens. Consciente de mes capacités, l’administration dans sa grande lâcheté a décidé un jour de me livrer à
la meute, mais dans celle-ci où la lâcheté prévaut largement , je suis un loup dominant et ne serai jamais un agneau,
ni pour l’argent qu’ils vont me donner de toute façon , ni pour le pouvoir que je prendrai dans tous les cas. Je vous ai
fait part de problèmes politiques, judiciaires graves et presque invraisemblables, pourtant j’avais omis de vous
préciser que grâce à toutes ces années d’exclusion sociale, j’ai étudié en diagonale le code pénal, le CPP, le code
monétaire et financier, le code civil, le code de la justice administrative, le CSS, le CGI , et surtout l’ensemble des
décrets du JO qui pouvaient me concerner ainsi que les nombreuses jurisprudences liées à l’ensemble des tribunaux
contactés. De ce fait, la collaboration que je vous demande de bien vouloir m’accorder, est une simple élaboration des
faits car en pièce jointe je vous transmets le recours en annulation transmis au TA de NICE contre mon arrêté de
radiation par l'existence d'une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961
du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la
procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission. Ce délai est fixé à 15 jours au minimum or l’arrêté
émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR
envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14
Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre
2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret
précité. Ce vice de forme est incontournable et moi aussi, le juge des référés de la quatrième chambre du TA de NICE
a rejeté ma demande de suspension de l’arrêté précité en évoquant avec une partialité qui n’échappera à personne, le
fait qu’il n’y avait pas urgence et n’a donc en conséquence jamais parlé de ce vice de procédure afin de me pousser à
engager une action devant le conseil d’état qui aurait certainement cautionné sur la forme ce magistrat, ce que je n’ai
bien sur pas fait car je ne simplifie jamais la tâche des amis de mes ennemis. Depuis mon dernier courrier, les choses
semblent évoluer rapidement car j’ai avisé très rapidement avec mes réseaux, l’ensemble des TGI, des cours d’appel,
des associations de défense des enfants, les ministères concernés, mais aussi les préfectures, les députés de
l’opposition, les sénateurs, et certains médias qui tiennent désormais à avoir des informations complémentaires dans
cette misérable affaire concernant certaines pratiques barbouzades qui rappellent étrangement le SAC mis en place
par les nouveaux barons du gaullisme ; puis avisé par des amis discrets mais efficaces, j’apprends que Pierre
BROCHAND qui représentait la toute puissance policière et de renseignement de son frère pour service rendu à la
Nation a été mis sur la touche et son frère le suivra bientôt car je prévois déjà, un départ pour cause de santé. Tout le
monde pense que la coordination des services de renseignement par Monsieur BAJOLET est la conséquence de son
départ précipité, étant donné son âge, mais c’est faux, car pour rester à la piscine il faut savoir nager sans se mouiller
même pour la Famille. En ce qui me concerne, si nous convenons d’une association pour cette affaire qui est bouclée
et qui nécessite la présence d’un avocat car je demande 4500000 € de dommages et intérêts d’une façon très détaillée
dans un dossier exhaustif que je vous transmettrai ultérieurement si nous parvenons à un accord et qui remet en
cause sans ambiguïté l’impartialité de l’administration dans cette affaire mais aussi démontre par des documents
probants les conséquences morales, physiques, économiques et sociales supportées injustement par l’ensemble de ma
famille depuis 2001 et qui semblent d’ailleurs être la causalité du départ précipité de Monsieur VIAN, préfet des AM
me précisant dans son dernier courrier qu’il n’était pas compétent dans cette affaire et qu’il transmettait l’ensemble
de mes doléances au procureur de GRASSE en se dédouanant totalement ; en conclusion , si vous acceptez de
m’assister dans cette expérience, nous pourrons alors user de votre notoriété ainsi que de l’article 761-1 du code de la
justice administrative afin que vous décidiez de la somme payée par l’Etat que vous tenez à percevoir pour vos talents
de ténor incontestable du barreau.
Cordialement, VERDI P.
PJ : 1 ............................
EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM
17 octobre 2008
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