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3° Trimestre 2016 5 timestre 2036/ wn 1,4.% trimer zs act. 2015-tept.2016/ Depuis le 1* janvier 2017, ls 25 000 wn 0,4% oe sonacept sens itn oct. 2014-sept. 2015 débitants de tobac tron: vent vendre que des paquets neutres Toujous tébrle, indice c'activté des petites entre: de cigarettes. Sans graphismes agui: prises n’ervegistre aucun mouvement de reprise au Ccheurs ri signes dines, mais avec troiiéme timestre 2016, Si le produit intérieur brut es averlssements sorities percutants {P18 en volume se redtesse modérément (+ 0.2%, imprimés en gros sur les emballages. 5 0165 -0.1 % au deuniéme timeste). le barométre Mesure phare de laloi Santé adoptée iB de l'économie de proximité, hi, aecentue legére- en novembre 2015, cette banalisation 5 ment son fléchissement par ropport au ‘rimestre du paquet vise réduke lattractivité précédent :- 1.4% (conte - 1.2% tros mois plus 10). du tobac, surtout auprés des jeunes. Dans le méme temps, selon INSEE. les dépenses de Le gouvernement nsommation des ménages stagnent, malgré un rnuer de 10 %, en dx ans, le taux de \éger rebond dans les sevices (+ 0.4%, apres fumeuss en France. le nouveou dkpostsoricule autour de et tandis quieles reculent dns les biens Pour les buralstes, dont le chitire es pincipaux: moderristion des (oprés +0.13).Les achats de biensfabriqués reculent CFatfores envegistre une havsse de établiserents, flet de sécurté pour es 1.2% apres +0.2%), notamment ceux pour féqut 3.5 % au trosiéme timeste 2016, cette bucalstes les plus rages et house de pement du logement [6.1 58) aprés deux imestres mesure est d'aberd vécue comme un loremise nette surla vente de tabac. de trés Vive croissance [+ 7.3 % au premier imeste véttable casse-18te. "On va avoir une - La subvention modemisation : c'est et + 3.4 % au deusiéme|. En revanche. la consom- muttipicotion des risques Grereurs. On une aide financiére incitatve, & hav sque de se rerowver 8 devor idler teur de 25 % des dépenses engagées i pour néme dons ka moderation de 'éiabmse- hose, Ceest une wie difficulé dans ment, dans fa kite d'un plafond de mation almentate progresse de 0.9 % (apres 0.6%). le temps de travail pour fave la - f note geston cu quokcert. dclacl!10000€ su une pte de Sons cee Girivécemenent. Poscol Monfedon, Lee de tgculé":1 Fog une BT 2016/9 T2015 présente Ia Conéderofon des remise compensatove pour foie buralises, € Fre 0,8% le protecole d'accord signé en Ele est destinée aux buralistes instal novembre demier avec le gouverne- és dans les départements frontaies ment vise justernent & compenser les et en dlificuité [dont le mon Contraintes supplémentaites qui pésentivecisons tabac est inféieur de 5% sr les débitants de tabac. Le texte par rapport 6 2012). Siinsctt dans Io droite fone des flo - Lah Contrals d'avenir précédents, tout en vente fabac : elle vse & maint 3,5% mettantl'accentsurunmellewcbioge atiractvité du métier aupres des EAE des cides et une ing moder. fulus buo -4,7% risation du réseau. Concretement, ment de 69 % en 2016 6 8% en 202 Info. face aux a dy marché du taba ROMNEY AN t des AOE use de Jo remise nette sur ka PNT possant progressive- KO ETT Taux d’accroissement du chiffre d’affaires 3™ trimestre 2016 / 3 trimestre 2015 Parcs et jardins -40% —— -4,0% ONO Carrosserie automobile “11% 0.9% Auto, vente et reparation 08% Moto vente et réparation 7.6% AR: HOTELLERIE. RESTAURATION: Hotel-Restaurant 02% — 0,6% Htellerie de plein aie 09% Restauration 09% cate 04% PN ‘Couverture “29% 3.596 Maconnerie -3,6.% Electrcité -3,0% Plomberie-Chautfage-Sanitaire = 4,6 96 Platrerie-Staff-Décoration 12% Menuiserie = 40% Carrelage-faience -09% Peinture batiment -3,2% Terrassements-Travaux publics -5,2.% PTT Parfumerie ~2,4% 0.8% Coiffure 09% Esthétique 11% ON TNTENT Charcuterie 00% Boulangerie Patisserie o9% = 17% Patisserie 01% ‘Alimentation générale 03% Fruits et Légumes 5,0% Boucherie-Charcuterie 01% Poissonnerie-Primeurs 3.8% Vins, spitueu, bosons dverses 0,5 % Cremerie -1,6.% 3™ trimestre 2016 / 3™ trimestre 2015 Librairie-papeterie-presse 17% 1% Atiles sport, pche et chasse 3,6.% Tabac-journaux-jeux 35% ‘Studio photographique -10,8.% Commerce-réparation oes scooters. 2,5 % Jouets et jeux -3,4% TAO Kecvoménager-TV-Hfl 21% = 3,3% Magosins de brcolage 7.2% Rearste “0: Vata vere encefuioae 3.3% toenistoie “39% Mable “35% Merceretingeietsine —-19% -6,5% Vesper evans laa Pritt porter “eae ae ings Reinet m es orca eae Hovogere Bjouterie np Pharmacie -0,4% -0,4% Opti lunetre 238% SERVICES: este ree SoS write de netyage = 48% eats ta ops ee one Taxis-Ambulances 33% -0,3% areata aC TS Saison Laos pour les détaillants en fruits et legumes! Ay troisiéme timestre erregisirent fa plus confondues : + “alimentaire, o 16, les détaillants en fruits et legumes housse d'activté, toutes professions cord | Dans le commerce de détail 3c les polssonniers (+ 3.8 %. ils sont les seuls & dans un mauvais pas Lere ls6s dons la vente au détoll de chaus- sures sont controntés & un effondrement de leurs ventes ou Irolsiéme timestre 2016 :- 11,9 %. C'est, apres les professionnels de 'omeublement (- 13,5 %). la plus forte baisse d'octivité de la période, tous secteurs confondus. Cette mauvaise performance Pouvoir s‘enorgueilir G'une hausse aussi franche de leurs ventes. Portés por une demande soutenue en fruits et legumes frois de qualité, is profitent aussi du godt renouvelé des consom- mateurs pour les productions locales francaises. s‘explique principalement par intensification de la. pression concurrentielle exercée por les autres acteurs du marché sur les détailants tracitionnels: sites de vente en ligne, magasins dTenseignes. rayons chaussures des chaines de pr ttre des magasins de sport dirigeants de TPE Niveau d'information des entrepreneurs individuels, perception de la qualité de leur couverture de base, souscription de contrats complémentaires, attentes de services supplémentaires. Lienquéte de la FCGA décrypte les comportements des petites entreprises en matiére de protection sociale. Lo plupart des drigeants de petites entreprises interogés (67.2%) esiment étre mal informés en ce qui concere leur couverture drossutance maladie obigatoie. Une proportion importante qui lustre le grand deficit information qui persste autour de la auestion de la protection sociale des entrepreneus individu Missions de l'organisme, nature des droits ouverts, mode de calcul es cotisations, droits annexes ou encore versement des prestations tous ces sujets demeurent flous dans esprit de la mojerté des orisans et commergants questionnés. Qu'l s'agisse de créateurs récemment offliés ou de drigeants rattachés depuis longtemps au régime de protection sociale des indépendants hesedevoat ones eS Aart copie | 475 Les droits liés au régime obligatoire Niveau 9 A Niveau 8 MIND 5 Niveou 7 SD 1. Niveau 6 ND 1% Neco. 5 ST 25% Nveu 4 I 119% Nive 3 SN 112% Neu? (HT 45x Niveau La souscription d'un contrat complémentaire La mojotité des entrepreneurs sondés déclorent avoir souscrit un contrat complémentaire pour oméloter les garanties offertes par le régime de base en matiére de maladie, invataité ou retraite. Dans la plupart des cas (63.4 %}, is souhaitent d'abord bénéficier Tune meileure couverture des fais de santé : pharrnacie, optique, dentate... ls sont moins nombreux & penser aux conséquences d'un arrét de travail sur le niveau de leurs revenus en cos de motadie ou d'eccident (56,5 2). Enfin, malgré une fiscailté ovan- tageuse, i ne sont que 56.7 % & avoir opté pour un disposi de retraite complémentaie, i La comparaison avec la protection des salariés (oh os TT 5 Arrét de travail en cas de maternité 1eeK Arrét de travail en cas I 12.0% accident / maladie C'est la question des différents modes de gestion de la relation ‘avec l'orgonisme qui artive en téte des préoccupations des crtisons et commercants questionnés. En premier lieu (30.47 5%), Is sounaiteraient pouvo'r joindre plus facilement leur organise Conventionné par téiéphone : temps dTattente, cisponibilté des teléconselless, horaires d'ouverture du service... Pus d'un quart d'entre eux (25,95 %) réclament aussi un meilleur accuell de proximité, avec des structures locales dédiées pour y effectuer leurs démarches, Dans une proportion similaie (24.12 %). les digeants de TPE apprécieraient également de pouvoir accompli leurs formalités en igne. Lorsqu‘on leur demande sis estment que leur couverture maladie obigatore est comparable & celle dont bénéficient les sais, las Gigeants de pelites entreprises intermogés répondent massivement or la négative. Pourtent, en réaité, la protection est quasiment identique dans les deux cas. Ains, Is ne sont que 18.9 % & aifimer ve la prise en charge d'un anét de travail pour matemité est Comporable, que I'on soit soloié ov indépendant. s sont encore moins nombreux (12.0 %) & penser qu'un arrét de travail en cos GFeccident ov maladie ouvre droit aux mémes prestations. Sevie la. question des tras de santé génére une réponse un peu plus nuancée puisque 55.4 % d'entre eux déclarent que le niveau de prise en charge est Equivalent entre salerés et non saloriés Les services attendus de l'organisme conventionné Aon et, 0% (eon ccc) AL 726% og teense A 545 Accel hog 2007 Accueil de proxiniré IN 2595 Formaltés en igne (I 24125 LObservatoire de la Petite Entreprise (OPE) : Globalement, les crtisans et les commercants sont-lls bien informés de leurs droits és au régime obligatoire d'assurance maladie ? Quels ‘enselgnements tirez-vous des résultats de lenquéle FCGA sur ce premier point ? Bruno IONEL-MARIE : Dans leur ensemble, on constate que les chefs d'entreprise estiment étre mal informés de leurs hots en termes de couverture sociale obligato'e. Un créateur d'entreprise était souvent auparavant salarié. ll ne se souciait pas de sa protection sociale. C'est son ‘employeur qui souscrivait des contrals, souvent obligatoires, Pour permetire a ses collaborateurs de bénéficier d'une protection sociole compléte. Que ce soit en frais de soins, mais aussi en prévoyance, pour faire face & un arrét de travail suite @ une maladie ov & un accident. Le professionnel indé- Pendant bénéfice d'une couverture de base sensiblement équivalente & celle du salarié, moisil doit bdtir une protection sociale complémentaire en fonction de sa situation profes: sionnelle et personnelle. La Ram sefforce de sensibilser les chefs d'entreprise sur leur couverture. ‘OPE : Quel est le comportement des dirigeants de TPE en matiére de contrat complémentaire ? Quelles sont les princi- pales raisons qui les conduisent & en souscrire un ? Bruno LIONEL-MARIE : Les drigeants de TPE pensent, en profit, @ leur couverture complémentaire santé, fais de soins. C'est PoUTqUOI, ils sont tres mojoritaiement couverts & travers Ia souscription d'un contrat complémentaire santé. Enrevanche, la mojotité des chefs d'entreprise ne bénéficient as de contrat prévoyance courant un arrét dactivité suite & une maladie, un accident ou, pite, une incapacité d' exer Cer [invaiicité} ov le décés. ls pensent plus naturelement aux {ais engendrés parla vsite chezle médecin, a 'achat d'une aire de lunettes ou & des soins dentaires ; mais is n'ont pos toujours connaissance de la facon dont is sont couverls en cas danét d' activité Méthodologie Bruno LIONEL-MARIE Responsable national du développement de la Ram, 1® organisme conventionné du Régime social des indépendants ‘OPE : Comment les artisans-commercants percoivent-ils la couverture maladie obligatoire dont bénéficient les salariés (por rapport & leur propre situation) ? Que vous inspire cette Perception ? Bruno LIONEL-MARIE : Les solatiés ont une perception globaie de leur protection sociale, tant en ce qui conceme la partie obligatoire que la partie complémentaire. ls bénéficient ‘obligatorement d'un contrat complémentaite santé sousert par leur employeur et, souvent, d'un contrat prévoyance en cas damét de travail invalidté et décés. AUS il est frequent dentendie que les solaiés bénéficient d'une meileure couver- ture que les indépendant, alors que la couverture de base est ‘quasiment identique en ce qui conceme la maladie tant en prestations en espéces au'en nature. Aussi le chef d'entreprise ‘estime fs souvent qu'lla une couverture d'un niveau inférieut ‘OPE : Quels sont les principaux services qu'attendent les entre- preneurs de proximilé de la part de Vorganisme conventionné ‘qui rembourse leurs frais de santé obligatoke ? Ces alfentes ‘ous semblent-elles correspondre & de viales priorités 7 Bruno IONEL-MARIE : A travers ces chiffres, on constate que les chets d'entreprise recherchent, avant toutes choses, des services leur permettant de simpler et de facilter la gestion ‘quotidienne de leur assurance maladie. travers, essentiel lement, la possibilté d'échanger avec leur organisme conventionné que ce soit par téléphone, en face & face, ou ‘au ravers de services en igne. Pour répondire & ces attentes, la Ram propose depuis de nombreuses années un accvell éléphonique du lundi au vendredi de 8h & 19h et également le samedi matin de 8h30 6 12h, A la Ram, le chef d'entreprise bénéficie de consells en échangeant avec un téléconseller. En paralléle, i est proposé aux assurés, via un compte en ligne, d'accéder & leurs informations personnelles, de visualser leurs remboursements, de faire des demandes (attestations, carte Vitale, carte européenne d'assurance maladie, changement de RIB... et de suivre leurs demandes en cours. Partenariat Co-éaiteut: FCGA 2,100 Meixonoe 75017 PARS -wwwfegatk / BCE- <0, avenue Pare Mendés France - 75201 PARS Cacox 13- RCS Pare N* 479 455 042 ‘wow banquepopuloke» Directeur de a publication: vos ARNON + Diecteur de redaction: Fiéderic CHENOT » Rédactlon en che: Nose: NEGROUCHE *Maquete: Ve design + Impression: IMPRIMERIEJULEN + Crédl photos: Nossor NEGROUCHE RAM » rage 28054 oxomolares» Péodietérimestiola + Che :octous économiques, crganisations proessonneles et consules, colectiviés Temonaies, rese profesionasle, économique et france, nationcle ot regione « NP ISSN :1432.1014

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