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10.1. Introduction
La discrétisation des équations impose une très attentive utilisation des équations
d’ état, parce qu’on peut générer des erreurs de troncature qui, en certaines
conditions, peuvent conduire à l’instabilité numérique. On sait que la formule
d’intégration des équations différentielles ordinaires pour les inductivités et les
capacités, en utilisant la méthode de trapèzes est simple, convergente du point de
vue numérique et suffisamment précise pour des buts d’ingénierie. C’est la raison
qu’on a choisi cette méthode pour la discrétisation des équations de
fonctionnement associées aux éléments avec des paramètres concentrais.
Le traitement des éléments aux paramètres uniformément distribués est fait a
l’aide de la méthode des caractéristiques, ou la méthode de Bergeron, [10.2]. Il
signifie que R0 et G0, la résistance et respectivement la conductance linéique, sont
nulles, et que L0 et C0, l’inductivité et respectivement la capacité linéique, sont
indépendantes de la fréquence (ultérieur, le calcul va considérer leur variation
avec la fréquence).
Au moment t = 0- le system se trouve dans son état initial, qui est déterminé avec
des méthodes spécifiques aux régimes permanentes ou avec la méthode présentée
ici (en fonction de la situation concrète). Apres, on va calculer l’état du system
(les nœuds potentiellement indépendants) aux moments de temps t, 2t, 3t,...
jusqu’à tmax choisi.
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Chapitre 10 - LA METHODE DOMMEL
L0
- Zc - l'impédance caractéristique.
C0
v ( x, t ) Z c i ( x, t ) 2 f1 ( x v t ) (10.4)
et
v ( x, t ) Z c i ( x, t ) 2 f 2 ( x v t ) . (10.5)
Autrement dit, pour un observateur fictif, qui se déplace dans le sens éleveur de
l'axe x avec la vitesse v, la quantité x - vt est constante, donc aussi u + Zci est
constante.
Si l est la longueur de la ligne, il en résulte que la durée de propagation sur la
ligne est: = l/v. Pour les paires (0, t-) et (l, t), on déduit que x - vt = constant,
en résultant:
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Titlul lucrarii
Un rationnement similaire à celui dessous, fait pour une onde qui se propage dans
le sens décroissante de l’axe x, conduise aux relations:
1
i k , m (t ) v k (t ) J k (t ) , (10.9)
Zc
où:
1
J k (t ) v m (t ) i m,k (t ) . (10.10)
Zc
Du point de vue topologique, les nœuds auxquels la ligne est connectée ne sont
plus liés; l'état du nœud k se reflet dans le nœud m par l'intermède de la source
idéale de courent J m (t ) , après secondes.
Observation. Les relations (10.8) et (10.10) peuvent encore être écrites comme:
2
J m (t ) u k (t ) J k (t 2 ) ,
Zc
2
J k (t ) u m (t ) J m (t 2 ) .
Zc
En cette forme elles sont plus utile pour décrire la boucle de temps, au
temps que les formes (10.8) et (10.10), sont utiles pour la initialisation des
calculs dans la situation qu'on démarre avec des conditions initiales pas nulle
qui ne peuvent pas se calculer a l'aide du programme.
4
Chapitre 10 - LA METHODE DOMMEL
Cette facilitée se garde aussi pour la ligne électrique sans distorsions, pour
laquelle R0 / L0 = G0 / C0, ayant la différence que les relations (10.8) et (10.10)
deviennent:
1
J m (t ) exp R0 / L0 u k (t ) i k , m (t ) (10.11)
Zc
et, respectivement:
1
J k (t ) exp R0 / L0 u m (t ) i m, k (t ) . (10.12)
Zc
1 h 1
J k (t ) u m (t ) h im ,k (t )
2 Zc R / 4
(10.13)
1 h 1
u k (t ) h ik ,m (t )
2 Zc R / 4
et:
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Titlul lucrarii
1 h 1
J m (t ) u k (t ) h ik ,m (t )
2 Zc R / 4
(10.14)
1 h 1 Z R/4
u m (t ) h im ,k (t ) , h c
2 Zc R / 4 Zc R / 4
Cette aapproximation des pertes est acceptable tant que R/4 << Zc; c’est la
situation usuelle des lignes électriques aériennes aux paramètres calculés à la
fréquence de 50 Hz. Les résistances électriques des valeurs importantes apparent,
par exemple, dans le cas des régimes transitoires génères par des coups directes
Jk(t)
0 t
Fig.10.4 - Interpolation linéaire,
dans le cas n t , n naturel.
ou indirectes de la foudre.
On suppose, [10.3], que ce type d’approximation est applicable aux majorité des
cases, parce que les courbes de variation des intensités des courants dans les
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Chapitre 10 - LA METHODE DOMMEL
branches et des potentiels des nœuds sont, dans ces situations, plutôt nivelés que
avec des discontinuités. Il faut faire attention que, en divisant la ligne électrique
en beaucoup de tronçons de ligne sans pertes et si la durée de propagation de
chaque tronçon n’est pas un multiple entier du pas de calcul, les erreurs
inhérentes à l’interpolation linéaire se cumulent, au long de la propagation sur la
ligne.
1 1
u k (t ) i k , m (t ) u m (t ) i m ,k (t ) . (10. 15)
Zc Zc
1 1
J ( ) U k ( ) I k ,m ( ) U m ( ) I m ,k ( ) e j . (10.16)
Zc Zc
On suppose qu’on sait Um() et Im,k(de nœud m et que on veut calculer J()
de nœud k. En l’absence des erreurs d’interpolation, la relation (10.16) fournie la
réponse correcte. Si on utilise l’interpolation linéaire, alors on obtient:
1 j j
t t
1
J interp. ( ) U m ( ) I m ,k ( ) e 2 e 2 , (10.17)
Zc 2
t
J interp. J exact cos . (10.18)
2
Une autre méthode qui peut être appliqué est l’arrondissement de la durée de
propagation de la ligne comme un multiple entier du pas de calcul (surtout quand
on attend que le régime se présentait des tensions et/ou des courants ayant des
grandes pantes).
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Titlul lucrarii
Cette méthode donnera des résultats de plus proche de la réalité, que la durée de
propagation de la ligne est plus grande que le pas de calcul. Malheureusement,
elle est applicable seulement aux lignes électriques monophasées; les lignes
triphasées transposées – on verra ultérieurement - ont deux durées de propagation
modale et les lignes non-transposées, ont trois. Les auteurs ne savent pas des
démonstrations théoriques dont lesquelles se résultait qui est la méthode
appropriée pour chaque cas analysé.
L’utilisation d’un model simple, dans ces cases, est justifiée, parce que:
il est nécessaire d’analyser seulement la phase foudroyée; les tensions induites
dans les autres phase sont plus petites ;
les hypothèses considérées concernant le coup de la foudre sont discutables,
sans justifiant les modèles complexes, raffinés, pour la ligne;
le risque de contournement de l’isolement de postes électrique est le plus
grande pour les coups directes de la foudre dans la proximité des poste (vers
approximativement 2 km). En ces cases, les ondes de tension et de courent
modales, d’une ligne multiphasée, ne sont trop distorsionées et il n’y a pas des
décalages spatiaux importantes parmi elles. Il s’en justifie, ainsi, la
modélisation seulement de la phase foudroyée. On peut, aussi, faire abstraction
de la résistance du conducteur parce que, très probable, l’atténuation des ondes
sera déterminée par la décharge en couronne d’impulse et pas de la résistance
du conducteur.
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Chapitre 10 - LA METHODE DOMMEL
Les bobines de verrouillage sont, habituellement, négligées dans les analyses des
régimes de commutation, mais elles peut intervenir dans les études impliquant des
hautes fréquences. Les transformateurs de mesure du courent sont, elles aussi,
souvent négligés ou représentés seulement par la capacité d’impulse, a
l’exception des cases quand elles sont l’objet de l’étude (l’analyse des distorsions
du courent secondaire produit par la saturation du noyau magnétique).
Pour une bobine idéale, caractérisée par l’inductivité L, connectée entre les
nœuds k et m, on écrit la suivante équation de fonctionnement:
d ik ,m (t )
u k (t ) u m (t ) L . (10.19)
dt
L’équation ci dessous est intégrée entre le moment t- t, auquel l’état du system
est connu, et le moment t, caractérisé par un état inconnu. Il en résulte:
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Titlul lucrarii
u k ( y ) u m ( y )d y L ik ,m (t ) ik ,m (t t ) .
t
(10.20)
t t
1
ik , m (t ) u k (t ) u m (t ) J k , m (t t ) , (10.21)
RL
où:
1
J k , m (t t ) u k (t t ) u m (t t ) i k ,m (t t ) , (10.22)
RL
et:
2 L
RL . (10.23)
t
t
l L0 C0 C0
t 2
. (10.25)
2 4 L0 l 2
L0 2 L
Zc . (10.26)
C0 t
u k , m (t t ) Z c i k , m (t t ) 0 Z c i (t t / 2) . (10.27)
1 1
i k , m (t ) u k ,m (t ) u k , m (t t ) i k ,m (t t ) . (10.29)
Zc Zc
Mais uk,m(t) = uk(t) - um(t), uk et um sont considérées en rapport d’un certain point
de référence, soit il la terre; on observe maintenant, sans difficulté, que la relation
(10.29) est identique à la relation (10.21). Cette identité explique la stabilité
numérique de la solution obtenue, par la méthode des trapèzes, pour la bobine
idéale: la relation (10.29) est obtenue a l'aide de la solution exacte, pour la ligne
sans pertes. L’identité entre la solution obtenue par la méthode des trapèzes et
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Titlul lucrarii
celle obtenue exactement pour la ligne sans pertes conduite, [10.6], a la
conclusion que l’erreur impliquée est dépendante de la fréquence. On suppose
q’une bobine idéale, de l’inductivité L, est connecté en série avec un résisteur de
résistance R; le dipôle obtenu est alimente par une source idéale de tension
sinusoïdale, de fréquence f.
Pour le cas particulier de la ligne sans pertes, la relation (10.32) se transforme en:
tan t / 2
Z intr.sc. j L0 . (10.33)
t / 2
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