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Le couloir

Le film qu’on analysera ci-dessous est une métaphore de la route de la mort. Son fantastique
évident étude et présent les problèmes de l’homme réel, actuel, mais est camouflé dans le
quotidien.
Le titre contient cadre de l’action, un espace qui absorbe le magique, un portal pour passer dans
une nouvelle monde, une possible trajectoire du destin. Le protagoniste est placé entre deux
plans : un plan réel, la vie d’homme avant de travailler dans la boutique du senior, et le plan
irréel après d’avait entré dans la transe représenté par son travail, du garder les pièces plus
importantes du senior, assez dans une chaise. Il ne pouvait faire autre chose que garder
attentivement la porte. Les entrées et sorties répétées dans la transe représente sa préparation
pour son passé imminent dans une autre monde, dimension. Il devient un Charon qui attend son
tour dans un couloir qui le conduit dans sa nouvelle dimension, qui deviendra son monde après il
perdra son âme.
La transe représente le procès dans lequel l’homme arrive dans un état de lucidité supérieur.
Quand il trouve cette lucidité, il peut voir, finalement, le senior. C’est le stage finale de la
préparation, de trouver l’état de la lucidité près de la folie.
La chaise peut être considérée l’élément préparatoire pour la transe, l’élément introductoire. Le
sujet doit s’accommoder premièrement avec l’idée d’être assez dans une chaise sans pouvoir
faire rien, puis la transe est mise dans son inconscient.
Avant de l’arrive des voleurs on voit un homme jeune, mai après leurs partie l’homme est
devenu vieille. C’est le pas final de la transition. L’apparition des voleurs est la cherche des âmes
voles par le senior.
La voles des âmes est le procès dans lequel le senior garde son âme jeune, toujours en cherche
d’autres âmes pour les attraper.
Les statues blues dans le final du film son des corps sans âmes, restées entre la mort et la vie,
incapables de passer dans un monde ou autre.
La porte est la boîte de Pandore : quand elle est ouverte, l’homme voit que la chambre qu’il
garde est vide. La conscientisation de l’inutilité de son travaille lui donne la possibilité de
quitter son travail, mais est déjà plus tard. Il a été attrapé dans la toile d’araignée.
La boutique est le topo maléfique qui attire des naïves dans le jeu du destin, dans le jeu avec la
roulette russe. Si tu perds le jeu, tu donnes ton âme.
La conclusion qu’on a depuis de voir de film est que l’humanité vive avec le fantastique, le
supranaturel, mais sans le reconnaître. La limite entre la dimension réelle et la dimension irréelle
est si mince qu’on ne peut pas faire la différence entre elles et qu’on ne sait pas quand on passe
d’une dimension à l’autre.

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