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13 : Dispositions diverses du Code de commerce (art.

L651-1 et L651-2 (comblement passif), L653-


1 à L653-11 (faillite personnelle), L811-1 (administrateur judiciaire), R123-92 et seq. (contrôle et
formalités d’inscription au RCS, radiation, numéros SIRET et SIRENE)

Chapitre Ier : De la responsabilité pour insuffisance d’actif.


Article L651-1
Les dispositions du présent chapitre sont applicables aux dirigeants d’une personne morale de droit privé
soumise à une procédure collective, ainsi qu’aux personnes physiques représentants permanents de ces
dirigeants personnes morales et aux entrepreneurs individuels à responsabilité limitée.
Article L651-2
Lorsque la liquidation judiciaire d’une personne morale fait apparaître une insuffisance d’actif, le
tribunal peut, en cas de faute de gestion ayant contribué à cette insuffisance d’actif, décider que le
montant de cette insuffisance d’actif sera supporté, en tout ou en partie, par tous les dirigeants de droit
ou de fait, ou par certains d’entre eux, ayant contribué à la faute de gestion. En cas de pluralité de
dirigeants, le tribunal peut, par décision motivée, les déclarer solidairement responsables. Toutefois,
en cas de simple négligence du dirigeant de droit ou de fait dans la gestion de la société, sa
responsabilité au titre de l’insuffisance d’actif ne peut être engagée.
Lorsque la liquidation judiciaire a été ouverte ou prononcée à raison de l’activité d’un entrepreneur
individuel à responsabilité limitée à laquelle un patrimoine est affecté, le tribunal peut, dans les mêmes
conditions, condamner cet entrepreneur à payer tout ou partie de l’insuffisance d’actif. La somme mise
à sa charge s’impute sur son patrimoine non affecté.
L’action se prescrit par trois ans à compter du jugement qui prononce la liquidation judiciaire.
Les sommes versées par les dirigeants ou l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée entrent
dans le patrimoine du débiteur. Elles sont réparties au marc le franc entre tous les créanciers. Les
dirigeants ou l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée ne peuvent pas participer aux
répartitions à concurrence des sommes au versement desquelles ils ont été condamnés.
Chapitre III : De la faillite personnelle et des autres mesures
d’interdiction. Article L653-1
I.-Lorsqu’une procédure de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire est ouverte, les
dispositions du présent chapitre sont applicables :
1° Aux personnes physiques exerçant une activité commerciale ou artisanale, aux agriculteurs et à
toute autre personne physique exerçant une activité professionnelle indépendante y compris une
profession libérale soumise à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est protégé ;
2° Aux personnes physiques, dirigeants de droit ou de fait de personnes morales ;
3° Aux personnes physiques, représentants permanents de personnes morales, dirigeants des
personnes morales définies au 2°.
Ces mêmes dispositions ne sont pas applicables aux personnes physiques ou dirigeants de personne
morale, exerçant une activité professionnelle indépendante et, à ce titre, soumises à des règles
disciplinaires.
II.-Les actions prévues par le présent chapitre se prescrivent par trois ans à compter du jugement qui
prononce l’ouverture de la procédure mentionnée au I. Toutefois, la prescription de l’action prévue à
l’article L. 653-6 ne court qu’à compter de la date à laquelle la décision rendue en application de
l’article L. 651-2 a acquis force de chose jugée.
Article L653-2
La faillite personnelle emporte interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler, directement ou
indirectement, toute entreprise commerciale ou artisanale, toute exploitation agricole ou toute
entreprise ayant toute autre activité indépendante et toute personne morale.
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Article L653-8
Dans les cas prévus aux articles L. 653-3 à L. 653-6, le tribunal peut prononcer, à la place de la faillite
personnelle, l’interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler, directement ou indirectement,
soit toute entreprise commerciale ou artisanale, toute exploitation agricole et toute personne morale,
soit une ou plusieurs de celles-ci.
L’interdiction mentionnée au premier alinéa peut également être prononcée à l’encontre de toute
personne mentionnée à l’article L. 653-1 qui, de mauvaise foi, n’aura pas remis au mandataire
judiciaire, à l’administrateur ou au liquidateur les renseignements qu’il est tenu de lui communiquer
en application de l’article L. 622-6 dans le mois suivant le jugement d’ouverture ou qui aura,
sciemment, manqué à l’obligation d’information prévue par le second alinéa de l’article L. 622-22.
Elle peut également être prononcée à l’encontre de toute personne mentionnée à l’article L. 653-1 qui
a omis sciemment de demander l’ouverture d’une procédure de redressement ou de liquidation
judiciaire dans le délai de quarante-cinq jours à compter de la cessation des paiements, sans avoir, par
ailleurs, demandé l’ouverture d’une procédure de conciliation.
Article L653-9
Le droit de vote des dirigeants frappés de la faillite personnelle ou de l’interdiction prévue à l’article
L. 653-8 est exercé dans les assemblées des personnes morales soumises à une procédure de
redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire par un mandataire désigné par le tribunal à cet
effet, à la requête de l’administrateur, du liquidateur ou du commissaire à l’exécution du plan.
Le tribunal peut enjoindre à ces dirigeants ou à certains d’entre eux, de céder leurs actions ou parts
sociales dans la personne morale ou ordonner leur cession forcée par les soins d’un mandataire de
justice, au besoin après expertise. Le produit de la vente est affecté au paiement de la part des dettes
sociales dans le cas où ces dettes ont été mises à la charge des dirigeants.
Article L653-10
Le tribunal qui prononce la faillite personnelle peut prononcer l’incapacité d’exercer une fonction
publique élective. L’incapacité est prononcée pour une durée égale à celle de la faillite personnelle,
dans la limite de cinq ans. Lorsque la décision est devenue définitive, le ministère public notifie à
l’intéressé l’incapacité, qui produit effet à compter de la date de cette notification.
Article L653-11
Lorsque le tribunal prononce la faillite personnelle ou l’interdiction prévue à l’article L. 653-8, il fixe la
durée de la mesure, qui ne peut être supérieure à quinze ans. Il peut ordonner l’exécution provisoire de sa
décision. Les déchéances, les interdictions et l’incapacité d’exercer une fonction publique élective cessent
de plein droit au terme fixé, sans qu’il y ait lieu au prononcé d’un jugement.
Le jugement de clôture pour extinction du passif, y compris après exécution d’une condamnation
prononcée à son encontre en application de l’article L. 651-2, rétablit le débiteur personne physique
ou les dirigeants de la personne morale dans tous leurs droits. Il les dispense ou relève de toutes les
déchéances, interdictions et incapacité d’exercer une fonction publique élective.
L’intéressé peut demander au tribunal de le relever, en tout ou partie, des déchéances et interdictions
et de l’incapacité d’exercer une fonction publique élective s’il a apporté une contribution suffisante
au paiement du passif.
Lorsqu’il a fait l’objet de l’interdiction prévue à l’article L. 653-8, il peut en être relevé s’il présente
toutes garanties démontrant sa capacité à diriger ou contrôler l’une ou plusieurs des entreprises ou
personnes visées par le même article.
Lorsqu’il y a relèvement total des déchéances et interdictions et de l’incapacité, la décision du tribunal
emporte réhabilitation.

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Article L811-1 (administrateurs judiciaires)
Les administrateurs judiciaires sont les mandataires, personnes physiques ou morales, chargés par
décision de justice d’administrer les biens d’autrui ou d’exercer des fonctions d’assistance ou de
surveillance dans la gestion de ces biens.
Les tâches que comporte l’exécution de leur mandat incombent personnellement aux administrateurs
judiciaires désignés par le tribunal. Ils peuvent toutefois déléguer tout ou partie de ces tâches à un
administrateur judiciaire salarié, sous leur responsabilité. Ils peuvent, en outre, lorsque le bon
déroulement de la procédure le requiert et sur autorisation motivée du président du tribunal, confier
sous leur responsabilité à des tiers une partie de ces tâches.
Lorsque les administrateurs judiciaires confient à des tiers des tâches qui relèvent de la mission que
leur a confiée le tribunal, ils les rétribuent sur la rémunération qu’ils perçoivent.
Sous-paragraphe 2 : Du contrôle et de l’enregistrement des
demandes. Article R123-92
Le dépôt de toute demande d’inscription, qu’elle concerne l’immatriculation, la modification ou la
radiation, est mentionné par le greffier dans un registre d’arrivée indiquant la date d’arrivée ou de
dépôt au greffe, la nature de la demande, les nom, nom d’usage, pseudonyme, prénoms et raison
sociale ou dénomination du demandeur.
Mention de la suite donnée y est faite ultérieurement par le greffier.
Article R123-93
Lorsque le dossier de demande d’immatriculation est complet, le greffier, saisi en application du
deuxième alinéa de l’article R. 123-5, délivre gratuitement le récépissé de dépôt de dossier de création
d’entreprise institué par l’article L. 123-9-1, dans les conditions prévues aux articles R. 123-10 et R.
123-11.
Article R123-94
Le greffier, sous sa responsabilité, s’assure de la régularité de la demande.
Article R123-95
Il vérifie que les énonciations sont conformes aux dispositions législatives et réglementaires,
correspondent aux pièces justificatives et actes déposés en annexe et sont compatibles, dans le cas
d’une demande de modification ou de radiation, avec l’état du dossier.
Il vérifie en outre que la constitution ou les modifications statutaires des sociétés commerciales sont
conformes aux dispositions législatives et réglementaires qui les régissent.
Le greffier vérifie également que la personne physique tenue à l’immatriculation au registre ou, s’il
s’agit d’une personne morale, son représentant légal n’est pas inscrit au fichier national mentionné à
l’article L. 128-1.
La vérification par le greffier de l’existence des déclaration, autorisation, titre ou diplôme requis par
la réglementation applicable pour l’exercice de l’activité n’est effectuée que si les conditions
d’exercice doivent être remplies personnellement par la personne tenue à l’immatriculation ou par
l’une des personnes mentionnées au registre en application de la présente section.
Article R123-96
Lorsque la réglementation particulière à l’activité exercée prévoit que la déclaration ou la demande
d’autorisation est effectuée après l’immatriculation au registre, la pièce justificative est fournie par la
personne concernée au greffe dans les quinze jours de sa délivrance par l’autorité compétente, sauf
dispositions particulières prévoyant l’information directe du greffe par cette autorité. Faute pour la
personne concernée de respecter ce délai, le greffier procède comme il est dit au deuxième alinéa de
l’article R. 123-100.

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Article R123-97
Le greffier procède à l’inscription dans le délai d’un jour franc ouvrable après réception de la demande.
Toutefois, lorsque le dossier est incomplet, il réclame dans ce délai les renseignements ou pièces
manquants qui sont fournis dans un délai de quinze jours à compter de cette réclamation. A la réception
de ces renseignements ou pièces, le greffier procède à l’immatriculation dans le délai mentionné au
premier alinéa.
A défaut de régularisation de la demande dans les conditions indiquées ci-dessus ou lorsque le greffier
estime que la demande n’est pas conforme aux dispositions applicables, le greffier prend une décision
de refus d’inscription qu’il doit, dans le délai mentionné au premier alinéa, soit remettre au demandeur
contre récépissé, soit adresser à celui-ci par lettre recommandée avec demande d’avis de réception. La
décision de refus est motivée. Dans le même délai, le greffier informe, par voie électronique, l’Institut
national de la statistique et des études économiques de ce refus d’inscription.
Lorsque la complexité du dossier exige un examen particulier de celui-ci, le greffier avise le déclarant,
dans le délai prévu au premier alinéa et par lettre motivée, que l’inscription sera faite ou que la décision
de refus d’inscription sera remise ou notifiée au demandeur dans le délai de cinq jours francs ouvrables
après réception de la demande.
Les notifications adressées par le greffier mentionnent la possibilité pour le demandeur de former les
recours prévus, selon les cas, par les articles R. 123-139 à R. 123-142 et R. 123-143 à R. 123-149 et
en précisent les modalités.
Faute par le greffier de respecter les délais qui lui sont impartis par le présent article, le demandeur
peut saisir le juge commis à la surveillance du registre.
Article R123-103
Les actes constitutifs des personnes morales dont le siège social est situé sur le territoire français sont
déposés au plus tard en même temps que la demande d’immatriculation. Ces actes sont :
1° Pour les sociétés ou groupements d’intérêt économique :
a) Une expédition des statuts ou du contrat de groupement, s’ils sont établis par acte authentique, ou
un original, s’ils sont établis par acte sous seing privé ; celui-ci indique le cas échéant le nom et la
résidence du notaire au rang des minutes duquel il a été déposé ;
b) Une copie des actes de nomination des organes de gestion, d’administration, de direction, de
surveillance et de contrôle ;
2° En outre pour les sociétés :
a) Le cas échéant, un exemplaire du rapport du commissaire aux apports sur l’évaluation des apports
en nature ou de la décision et des documents mentionnés aux articles R. 225-9-1 et R. 225-14-1 ;
b) S’il s’agit d’une société par actions, un exemplaire du certificat du dépositaire des fonds auquel est
jointe la liste des souscripteurs mentionnant le nombre d’actions souscrites et les sommes versées par
chacun d’eux ;
c) S’il s’agit d’une société constituée par offre au public, à l’exception des offres mentionnées au 1°
ou au 2° de l’article L. 411-2 du code monétaire et financier ou à l’article L. 411-2-1 du même code,
une copie du procès-verbal des délibérations de l’assemblée générale constitutive.
Pour les personnes morales mentionnées au 5° de l’article L. 123-1 qui, en vertu des textes qui les
régissent, sont tenues au dépôt de certains actes, une adaptation des règles fixées au présent article est
faite par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, du ministre chargé de la propriété
industrielle et du ministre chargé du contrôle de la personne morale.

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Article R123-130
Lorsque le greffier qui a procédé à l’immatriculation principale d’une personne morale pouvant faire
l’objet d’une dissolution constate, au terme d’un délai de deux ans après la mention au registre de la
cessation totale d’activité de cette personne, l’absence de toute inscription modificative relative à une
reprise d’activité, il peut procéder, après en avoir informé la personne morale par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception adressée à son siège social, à la radiation d’office de l’intéressée.
Toute radiation d’office effectuée en vertu du présent article est portée à la connaissance du ministère
public.
Article R123-131
Est radiée d’office toute personne morale, après mention au registre de sa dissolution, au terme du
délai fixé par les statuts pour la durée de la liquidation ou, à défaut, au terme d’un délai de trois ans
après la date de cette mention.
Toutefois, le liquidateur peut demander la prorogation de l’immatriculation par voie d’inscription
modificative pour les besoins de la liquidation ; cette prorogation est valable un an sauf
renouvellement d’année en année.
Article R123-150
Les greffiers et l’Institut national de la propriété industrielle sont astreints et seuls habilités à délivrer
à toute personne qui en fait la demande des certificats, copies ou extraits des inscriptions portées au
registre et actes déposés en annexe, sauf en ce qui concerne les inscriptions radiées et les documents
comptables, qui sont communiqués dans des conditions fixées par l’arrêté prévu à l’article R. 123-166.
Article R123-152
Les greffiers satisfont aux demandes prévues à l’article R. 123-150 par la délivrance soit de la copie
intégrale des inscriptions portées au registre concernant une même personne ou d’un ou plusieurs actes
déposés, soit d’un extrait indiquant l’état de l’immatriculation à la date à laquelle cet extrait est délivré,
soit d’un certificat attestant qu’une personne n’est pas immatriculée. La copie, l’extrait ou le certificat
est établi aux frais du demandeur et fait foi jusqu’à preuve contraire.
Les extraits ou certificats portant la date de leur délivrance et revêtus du nom, de la signature et du
sceau du greffier qui les a délivrés ainsi que de la mention du lieu dans lequel ce dernier exerce ses
attributions font foi jusqu’à inscription de faux. Toute surcharge, interligne ou addition contenu dans
le corps de ces documents est nul.
Article R123-152-1
Les copies, extraits ou certificats peuvent être délivrés par les greffiers par voie électronique dans les
conditions prévues à l’article R. 741-5.
Article R123-152-2
Les extraits ou certificats mentionnés au dernier alinéa de l’article R. 123-152 sont délivrés par les
greffiers sur support électronique dans les conditions suivantes :
1° Ils sont établis au moyen d’un système de traitement, de conservation et de transmission de
l’information garantissant l’intégrité de leur contenu et agréé par le Conseil national des greffiers des
tribunaux de commerce ;
2° Les systèmes de communication d’informations mis en œuvre par les greffiers doivent être
interopérables entre eux ainsi qu’avec les organismes auxquels ils doivent transmettre ces données ;
3° Les extraits ou certificats sont revêtus de la signature électronique sécurisée du greffier qui les a
dressés, telle que définie par le décret n° 2017-1416 du 28 septembre 2017 relatif à la signature
électronique ;
4° Ils doivent être conservés dans des conditions de nature à en préserver l’intégrité et la lisibilité ;

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5° Les greffiers conservent également l’ensemble des informations relatives aux extraits et
certificats délivrés, telles que les données permettant de les identifier, de déterminer leurs
propriétés et d’en assurer la traçabilité ;
6° Ils tiennent en outre, jour par jour, un répertoire sur support électronique de tous les extraits et
certificats qu’ils établissent ;
7° Ce répertoire mentionne la date, la nature, le nom des destinataires des extraits et certificats, le
support sur lequel ils ont été établis et toutes autres informations prescrites par les lois et règlements ;
8° L’image du sceau du greffier doit figurer sur les extraits ou certificats délivrés.
Un arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, précise, en tant que de besoin, les modalités
d’application du présent article.
Article R123-220
L’Institut national de la statistique et des études économiques est chargé de tenir un répertoire
national des personnes physiques exerçant de manière indépendante une profession non salariée,
des personnes morales de droit public ou de droit privé, des institutions et services de l’Etat et des
collectivités territoriales, ainsi que de leurs établissements, lorsqu’ils relèvent du registre du
commerce et des sociétés, du répertoire des métiers ou qu’ils emploient du personnel salarié, sont
soumis à des obligations fiscales ou bénéficient de transferts financiers publics.
Les personnes morales en formation sont inscrites au répertoire national mentionné au premier
alinéa.
Les modalités de leur inscription au répertoire et d’attribution d’un numéro d’identité unique sont
définies par arrêté des ministres intéressés.
Article R123-221
Le numéro d’identité attribué à chaque personne inscrite est un numéro d’ordre composé de neuf
chiffres.
Le numéro d’identité attribué à chaque établissement est composé des neuf chiffres du numéro de
la personne inscrite qui y exerce son activité, suivis d’un numéro complémentaire de deux à cinq
chiffres propre à cet établissement.

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