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CHEFS D OEUVRES CLASSIQUES de L'O PERA FRANÇAIS

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®PERA~BALLET en 4 ENTREES* et un Prolosue


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PARI S_ 45- 47 RUE DE MAUBEUGE 45-47_ PARIS
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LIBRARY UNIT. OF
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CHEFS-D'OEUVRE CLASSIQUES

L'OPÉRA FRANÇAIS >

LULLY, CAMPRA,
RAMEAU, GLUCK, SALLIERI, SACCHINI, GRÉTRY, etc.

L'EUROPE GALANTE
DE CAMPRA

INTRODUCTION
De tous les successeurs de Lully, Campra fntle seul qui eut véritablement
une valeur rée'le. 11 a écrit de nombreux ouvrages dont la plupart réus-
sirent brillamment. Malgré cela, la génération moderne ignore son œuvre
et presque son nom. André Campra, quelles que soient ses incorrections
de style, mérite pourtant une place à part dans la liste des anciens musi-
ciens français.
Comme Lully, son modèle, il a composé une vingtaine d'opéras, parmi
lesquels nous devons citer les Festes Vénitiennes, les Ages, Hésione et
surtout Tancrède.
L'Europe galante, le premier ouvrage de Campra, a été choisi par nous
pour beaucoup de raisons. D'abord, cette partition a servi de type à un
nouveau genre de pièces représentées pendant la seconde époquo de l'his-

toire de l'Opéra. Après les belles tragédies de Quinault, mises en musique


par le grand Lully, on commençait à être fatigué de tous les héros empa-
nachés et des inévitables scènes aux Enfers. La Motte, le collaborateur de
Campra, eut l'idée d'écrire des espèces de « spectacles coupés », comme
nous dirions aujourd"hui. Sans autre lien que le titre et quelquefois même

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qu'une appellation générale telle que: Fragments, Festes ou Amours,


ces actes divers, de sujets différents, aidaient beaucoup à la combi-
naison du spectacle. Le pub'ic, distrait par la diversité des costumes et

des décors, approuvait, par ses applaudissements, ce système de


mosaïque appliquée à l'art théâtral. C'était pourtant un signe de déca-

dence et de pauvreté d'invention ; les auteurs semblaient ne pouvoir


plus « cliarpenter » une pièce; mais la mode accueillit avec faveur la
combinaison de La Motte et, pendant la plus grande partie du dix-huitième

siècle, l'on ne renconire que très peu d'ouvrages ayant une autre forme que
celle de l'Europe galante.

Nous avons trouvé dans Y Histoire manuscrite de F Opéra, par Fr. Parfait,
une particularité historique fort intéressante. Nous l'avons relatée dans
notre catalogue de la Bibliothèque; mais elle doit trouver encore sa place
dans cette notice.
Ce fut à l'occasion de l'Europe galante que la question des « honoraires
d'auteurs » fut résolue en principe.

L'usage voulait que l'on attribuât aux auteurs une somme plus ou

moins forte, suivant le mérite de leurs ouvrages.

La Motte etCampra étaient alors des jeunes; aussi l'Académie, donnant

déjà aux directions futures l'exemple de l'économie et de la contemption


des talents à venir, offrit aux deux auteurs nouveaux une- rémunération
d'une modicité ridicule ; ceux-ci refusèrent et maintinrent leurs prétentions,

malgré tontes les exhortations pacificatrices qu'on leur adressait.

Des personnes influentes finirent par s'interposer entre les auteurs et

l'Académie; une convention s'ensuivit et celte convention est restée ù

l'état de loi, ou plutôt d'usage, pendant fort longtemps ; la voici :

Cent livres par représentation à chacun des auteurs pour les dix pre-

mières ;
cinquante livres pour chaque représentation, jusqu'à la vingtième.
Après ce chiffre de représentations, l'ouvrage devenait la propriété de
l'Académie.
Pour les tragédies lyriques, les honoraires étaient payés jusqu'à la

trentième représentation. Si l'ouvrage n'atteignait pas les chiffres ci-dessus,


on payait les auteurs au prorata

Campra était déjà assez âgé lorsqu'il écrivit V Europe galante, et

comme son existence d'artiste s'éla't passée jusque-là dans les chapelles
et les maîtrises de cathédrales, il lui était impossible, malgré son amour pour
e théâtre, de signer un opéra du môme nom qui était apposé sur une foule
de motets et Je psaumes. De plus, il aurait pcrJu si place de maître de
musique de Noire-Dame.
Ce fut donc son frère Joseph, basse de violon à l'Opéra; que l'on désigna,
pour la forme, comme l'auteur de la partition ; cette réserve dura peu et,

grâce à ses nombreux succès dramatiques, Cauipra put bientôt jeter aux
orties le petit collet et la robe de chœur.
Quelques écrivains du temps nous ont rapporté que Destouches avait
aidé Campra dans la composition de l'Europe galante; ce. ne pouvait être,

pour sûr, qu'à litre d'élève et d'ami. On cite comme ayant été écrits par
Destoucbes, les morceaux suivants : Paisibles lieux, agréable retraite
(1™ entrée", Nuit, sogez fidèle (2 e entrée), et Mes yeux, ne pourrez-vous
jamais... (4° entrée).

Les parties de l'Europe galante que nous croyons devoir recom-


mandera l'attention du lecteur sont nombreuses et vraiment intéressantes.
Les «airs à danser », surtout, sont remarquables de facture, de rhylhme
et d'entrain.

Dans le prologue : le premier menuet et le duo des deux Grâces, l'air

de Vénus et l'air à danser : les Canaries.


Dans la première entrée : l'air de Céphise, le chœur des bergers et ber-
gères, le second air à danser, les deux rigodons, le premier passe-pied.
Dans la seconde entrée : deux grands airs à danser.
Dans la troisième entrée : la Forlane.
Dans la quatrième entrés : le3 deux chœurs « des Boslangis, » dont ou
remarquera le développement inusité à cette époque et un cachet d'ori-
ginalité vraiment remarquable. Enfin l'air de Vénus qui termine l'ou-
vrage.
L'Europe galante eut six reprises — la dernière eut lieu en 1774.
Campra n'était pas un harmoniste d'un style irréprochable, loin de là, mais
son ouvrasre est fort curieux à étudier ; si les récits et les airs de chant
sont loin de valoir les récits et les airs de Lully, ses airs de ballets, en
revanche, peuvent soutenir la comparaison avec ceux du maître et même
quelquefois les égaler.

Théodore de LAJARTE.

U82-2933 Paris. — Typographie Morris Vin et l ils, rue Amelol, 64.


L'EUROPE GALANTE
OPÉRA-BALLET EN QUATRE ENTRÉES ET PROLOGUE
Paroles de HOUDART DE LA MOTTE
MUSIQUE DE CAMPRA

ACTEURS DE LA CRÉ AT I ON

PROLOGUE
VÉNUS La Demoiselle . . . Clément
LA DISCORDE (0 (Haute-contre) Lo Sieur Desvoyes

PREMIÈRE ENTRÉE. — LA FRANCE.


CEPHISE, Bergère Les Demoiselles. . . Desmatins
DORI3, Ber<rère — DupeyrÉ
PIIILENE, Confident do Silvandre fllaute-contrc). L?s Sieurs . . Boutelou
SILVANDRE, Berger (Basse) — Tkévenard

SECONDE ENTRÉE. — L'ESPAGNE.


DOM PEDRO dlaute-contre) Les Sieurs Chopelet
DOM CARLOS iBasse) — Baudouin

TROISIÈME ENTRÉE. — L'ITALIE.


OLYMPIA, Dama Vénitienne La Demoiselle. . . . Mon eau
OCTAVIO, Seigneur Vénitien Le Sieur du Mesny

QUATRIÈME ENTRÉE.
ROXANE, Sultano Les F^mo ,-elles. . .
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Pochoir
ZAIDE, Sultane — Desmatixs
ZCLIMAN, Sultan Le Sieur. ..... Thévenard
Chœurs de l'ouvrage en entier : Troupe de Jeux, de Plaisirs et de Grâces. Pâtrest —
Musiciens et Danseurs. Masques.— — Troupe de Sultanes et de Doslangis.
Troupe de plaisirs volants.

(i) Ce- rôle est écrit en Clef d'Ut, première li ='ne.


L'EUROPE GALANTE
TABLE THÉMATIQUE

Ouverture

PROLOGUE
Ain de venus Frappez, frappez G

Choeur 7

Premier Air j>our les Plaisirs 13


Premier Menuet |-,

Duo des deux Grâces Souffrez que l'Amour vous blesse. 16


Gavotte 21
Air de Vénus Faisons régner l'Amour 2S
LOURÉ POUR LES RlS ET LES PLAISIRS yt

Canaries 31
Choeur 35

PREMIÈRE ENTRÉE. — LA FRANCE.


Premier Ain de Silvandre Je romps mes premiers nœuds. . A
Second Ain de Silvandre L'Amour en comblant nos désirs. 47
Ain DE CÊPHISE Paisibles lieux /,0

Choeur Aimez, aimez belle bergère . . . 53


Premier et Deuxième An.s a danser 58 e/ 59
Premier et Deuxième Rigodons 61 el i,2

Premier et Deuxième Passe-pied o3 el Ci


Ain de Silvandre Lorsque Doris me parut belle . . 71

Air de Céphise Que n'adressez-vous mieux. ... 72


Ain de Silvandre l'ai senti pour vous seule .... 73
Air de Doris Quel funeste coup pour mon &me 75

m
SECONDE ENTRÉE. — L'ESPAGNE.
Prélude 70

Air de Dom Pedro Sommeil qui chaque, nuit. . . .

Air de Dom Cabxos La nuit ramène en vain 85

Premier et Deuxième Airs pour les


Espagnols 8S eC 90
Air de Dom Carlos N'est-il pas temps 9-1

" L0
Que notre ardeur soit éternelle. . 97

Choeur 100
Sarabande .... 102

TROISIÈME ENTRÉE. L'ITALIE.


Air d'Octavio Je ne me plaindrais pas 10-i

Marche des Masques et Choeur 10

\ir pour les Masques 113

Première Chaconne . . . . • 115

Choeur . 115

Seconde Chaconne 120

Une Vénitienne déguisée et choeur. Livrons-nous aux plaisirs 122

Air a danser 126

Forlane 12]

Menuet 120

Premier Air d'Olympia Peut-être de nos yeux 131

Second Air d'Olympia Vous voyez mon ardeur 133

QUATRIEME ENTRÉE. — LA TURQUIE.


Prélude Hl
Air de Zaïde Mes yeux, ne pourriez-vous . . . M2
Premier Air de Zuliman Je ne romprais pas^notre chaîne. \k%

Second Air de Zuliman Vous brillez seule en ces retraites. 154

Marche des Bostangis ICI

Le Chef des Bostangis et Choeur. . . Vivir gran Sultana 1G2

Premier et Second Airs pour les Bos-


tangis 1C0 et 170

Air de la Discorde J'excitais vainement 177

Air de Vénus La Discorde a l'Amour 179


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Le théâtre représente une forge galante, ou les grâces, les plaisirs et les ris sont occupés ;i forger
les traits de l'Amour, Venus j descend, pour les exciter au travail..

SCÈNE PREMIERE.
VENUS, CHŒUR.
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PREMIERE ENTREE
LA FRANCE
Le théâtre cepi'ese.ute uu Iioch^»' e( dans le fond un hxmeiiu.

SCÈNE PREMIERE
SYLVANDRE ET PHILENE.

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SCENE TROISIEME
CÉPHISE- Troupe de bergers, de bergères et de iPastresi
qui I interrompent par leurs danses.

Marche.

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SCENE QUATRIEME.
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SCENE CINQUIEME
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SECONDE ENTREE
L' ESPAGNE
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SCENE PREMIERE.
00M PEDRO, Cavalier Espagnol, sous le balcon de sa maîtresse

Lentement

PRELUDE.

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SCÈNE PREMIERE
OLYMPIA, OCTAVIO

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SCENE DEUXIEME
OLYMPIA.OCTAVIO.

Ine troupe de Masques galants et comiques entre sur la Scène.

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nous aux plaL sirs, il n'est rien de plus doux.

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SCENE CINQUIEME.
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MARCHE DES BOSTANGIS.

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SCENE VI.
VÉNUS, LA OISCOROE ET LES ACTEURS DE LA SCÈNE PRÉCÉDENTE.

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