Chapitre 1
Rappels sur les BD relationnelles
1 Licence 3 en Sciences de l’Informatique
2016/2017
But
• retrouver de l’information par
son contenu en se basant sur
des critères de recherche.
5 Qualité d’une BD
1. Cohérence des données de la base
Exemple: M. ou Monsieur
Qualité Nom Téléphone
M. Ahmed 123456
Monsieur Mohamed 345678
Mme Meriem 556783
2. Absence de redondance
Nom Wilaya CodeWilaya
Ahmed Constantine 25
Mohamed Alger 16
Meriem Oran 31
6 Modèles de données
Nom
Prénom
Logement Voiture
Numéro Marque
Rue Numéro
Ville
8 Modèle hiérarchique/réseau
~1960
Exemple 2
9 Modèle relationnel ~1970
Définition
• Le modèle relationnel permet de modéliser les
informations contenues dans les bases de données
en utilisant des relations, c’est-à-dire des ensembles
d’attributs.
3. Entrepôts de BD (datawarehouse)
BD récapitulatives, constituées à partir de
différentes sources pour disposer d’un accès
homogène à l’ensemble des données
2. SGBD
3. Etapes de conception
4. Approche relationnelle
17 2. SGBD
Définition
• Un SGBD (Système de Gestion de BD) est un
logiciel complexe qui permet de gérer et
d’utiliser les données que l’on stocke tout en
cachant la complexité des opérations.
a) Architecture
b) Objectifs
c) LDD/LMD
d) Protection des données
e) Transaction
f) Concurrence
g) Droits d’accès
18 2.a) Architecture d’un SGBD
ANSI/SPARC (1975): 3 niveaux d’abstraction
3. Etapes de conception
4. Approche relationnelle
27 3. Etapes de conception
• Mise en forme du
modèle pour l’intégrer
b dans un SGBD
Modèle
conceptuel
29 3.b) Passage au SGBD
Création
Création Remplissage Création
des
des tables des tables des vues
utilisateurs
31 3. Etapes de conception :
Résumé
32 Chapitre 1: Rappels sur les
BD relationnelles
1. Bases de données
2. SGBD
3. Etapes de conception
4. Approche relationnelle
33 4. Approche relationnelle
a) Concepts
b) Opérations
c) Passage au modèle relationnel
d) Normalisation
34 4.a) Concepts
Opérations ensemblistes
Opérations relationnelles
Calculs et agrégats
37 4.b.1) Opérations ensemblistes
1. Union ()
Mise en commun des enregistrements de chaque relation. Les
enregistrements identiques ne sont intégrés qu’une seule fois.
2. Différence (-)
L’opération différence consiste à désigner les enregistrements qui
appartiennent à une relation sans appartenir à l’autre.
3. Intersection ()
L’intersection désigne les enregistrements communs aux deux
relations.
4. Produit cartésien (X)
Le produit cartésien permet la combinaison des tuples de deux
relations sans tenir aucun compte du contenu des données.
38 4.b.1) Opérations ensemblistes
(suite)
39 4.b.2) Opérations relationnelles
1. Projection (A(R))
Extraire certains champs (A) de la relation (R).
2. Sélection (ou restriction) (F(R))
Extraire les enregistrements de la relation (R)
répondant à un critère (F).
3. Jointure (⋈)
Lier les relations par le contenu commun d’un
champ.
L’opération de jointure peut être vue comme une
sélection des enregistrements obtenus par le produit
cartésien des relations, dont les contenus du champ
sur lequel on effectue la jointure sont égaux.
40 4.b.2) Opérations relationnelles
41 4.b.3) Calcul et agrégats
Calculs
Il est possible d’effectuer des opérations
statistiques globales d’un champ, comme les
calculs du nombre d’enregistrements, de
moyenne, de maximum, de minimum. On
obtient dans ce cas une nouvelle relation
réduite à une ligne et une colonne qui contient
la valeur calculée.
Agrégats
Regrouper les enregistrements qui contiennent
les mêmes valeurs dans un champs.
42 4.c) Passage au modèle
relationnel
Règles générales:
Une entité donne une relation de même clé.
Une association donne une relation dont la
clé est composée des deux clés des entités
associées et des attributs de l’association.
Pour la cardinalité 1,1: La relation représentant
l’association disparait et fusionne avec la
relation représentant l’entité associée avec la
cardinalité 1,1.
43 4.d) Normalisation