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JULLION
DST N° 1
Culture Générale
2) La problématique
3 Les 3 idées
Pour Gérard de Nerval la musique à pour effet de le faire plonger dans le passé « Or
chaque fois que je viens à l’entendre, de deux cents ans mon âme rajeunit ». La
musique lui fait faire un bon dans son subconscient et lui fait surgir un souvenir « J’ai
déjà vue et dont je me souviens ».
Dans la composition de Wassily Kandinsky, nous supposons que son œuvre fait
référence à une forme d’univers lointain, perdu dans le temps ou il n’y a pas de
frontière, ça peut nous faire également penser à une forme de voyage dans l’espace-
temps.
De plus Eric Emmanuel Schmitt fait un rapprochement avec un lien temporel dans
son texte, ou il site « Mozart cela ne signifie pas que j’éprouve la nostalgie de ton
temps ni que j’ai une sensibilité de ton époque ». En effet, il fait référence au fait que
en écoutant des grands musiciens à des époques diverses et lointaines, nous
faisons un bon dans le passé.
De par l’œuvre de Wassily Kandinsky, nous pouvons supposer que son ouvre fait
également une référence au voyage puisque en créant cette composition, et donc en
l’exposant, il nous fait voyager dans son monde (son esprit).
Pour Elizabeth Guiliani l’écoute musicale d’après elle est « l’aspiration à l’évasion ».
Cependant, Elizabeth Guilianille combine l’évasion à la liberté « ils ont manifesté la
faculté libératrice de la musique ». Alors que Gérard de Nerval, lui, rallie la notion de
musique à quelque chose qui est vecteur de mémoire, en se rappelant de souvenir
passé. Quant a Eric Emmanuel Schmitt la musique pour lui est quelque chose qui
nous fait voyager, même si nous pouvons supposer qu’une notion de voyage peut
être aussi une notion de liberté et que l’œuvre de Wassily Kandinsky peut également
supposer une source de liberté en exprimant son art comme il le souhaitait.