P ERISCOOP

Un jour,
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un sondage

RAPPEL À L'ORDRE
Soirperiscoop@yahoo.fr

Dimanche 13 juin 2021 - Page 2

Avez-vous été convaincus par la Le secrétaire général du ministère de l'Education

prestation des Verts face à la Tunisie ? nationale rappelle à l’ordre les directeurs de
l'éducation, en leur demandant d'adresser leurs
Êtes-vous pour la réouverture des salles correspondances directement aux directeurs
OUI NON Sans opinion

d'établissement lorsque l'objet des courriers les

des fêtes dans l’immédiat ?
concerne directement.
Résultat sondage La tutelle reproche, en effet, aux directeurs
de l'éducation de s'adresser uniquement aux
inspecteurs du cycle primaire et non pas aux
Oui Non Sans opinion

Quand les enfants

chefs d’établissement du même cycle.
18,25% 73 % 8,75%

se prennent en charge
Le dessin de Karim

La ville de Tizi-Ouzou, qui avait pourtant reçu un joli coup de

toilette jusqu’à il y a quelques mois, renoue avec les saletés
qui jonchent plusieurs ruelles et quartiers notamment ceux
du centre-ville. Profitant de leurs premiers jours de congé,
des bambins du Bâtiment-Bleu, au cœur de la ville, ont
eu la belle idée de prendre les choses en main et se
sont ainsi affairés au nettoyage de leur aire de
jeux sise au centre de la cité. Un exemple qui
devrait inspirer les adultes.

Réglementation du service
après-vente
Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, vient de signer un
décret exécutif destiné à réglementer les activités du service

Qui est apte au bonheur

après-vente des biens. Destiné aux fabricants et aux importa-
teurs, ce décret prévoit une série de conditions que ces der-
niers doivent remplir pour assurer au client un service
S O I T D I T E N PA S S A N T
après-vente fiable et de qualité, et mettre ainsi fin à

et qui ne l’est pas ?

l’anarchie prévalant jusque-là. Il est ainsi fait obli-
Par Malika Boussouf
gation, par exemple, aux fabricants et aux impor-
malikaboussouf@yahoo.fr
tateurs d’assurer des pièces de rechange du
produit commercialisé pour une durée de cinq

L’
ans, au moins.

DIGOUTAGE

Le bled est calme

impératif tra- fort, en graciant et légi- Par Arris Touffan

verse les timant le meurtre.

années avec Assembler les travaux
l’entêtement que l’on et faire en sorte que
reconnaît aux rares toute personne sou-
associations qui cieuse d’en savoir plus
veillent à ce que ne soit sur les évènements qui
pas récupérée la ont émaillé la décennie
mémoire ou déformé le rouge puisse y puiser
souvenir. Beaucoup de l’information qui sera
travail a été réalisé utile à ses propres
autour des terribles recherches. La capitali-
années 90 dont celui sation, puisqu’il est,
accompli par l’associa- désormais, question de
tion Djazaïrouna. Voilà cela, est donc en prépa-
pourquoi cette dernière ration. Le but ? Ne rien
a estimé qu’il était perdre du travail incon-
temps de faire plus que tournable réalisé autour
commémorer. Comme de la transmission,
passer à un palier passe, immanquable-
supérieur, répertorier ment, par la préserva-
les travaux et les capi- tion d’une histoire col-
taliser sans jamais lective maltraitée. Les
céder aux pressions ou actions autant que les
renoncer à transmettre. traumatismes n’y
À permettre seront, certes, pas tous
qu’échouent les efforts répertoriés, au regard
consentis pour contrer du travail colossal qui
la promotion de l’oubli reste à entreprendre,
au profit d’un islamis- mais l’énorme collecte
me meurtrier allié de déjà entreprise autour
Bouteflika. Un ex-prési- de la tragédie qui a
dent qui, aussitôt porté endeuillé le pays invite-
aux commandes, s’est ra celles et ceux qui
acheté une paix, au prix produisent individuelle-
Message d'une connaissance d'une petite ville à l'est d'Alger
hier, jour de vote vers 11h : «La ville est silencieuse et trop calme.
ment ou en groupe à
Ce silence et ce calme qui font peur.»
enrichir la mission. La
rencontre organisée A. T.
par Djazaïrouna, enri-
chie par la présence
des principales asso-
Publicité
ciations qui ont côtoyé
le traumatisme, aura
permis à leurs repré-
sentantes de témoigner
sur l’impact qu’aura eu
la foi de terroristes isla-
mistes sur celle de
leurs victimes. Elles ont
raconté le drame de ces
femmes armées de leur
deuil et portées par un
désespoir lourd à inter-
roger, en quête d’écou-
te et de réparation, qui
on osé franchir le seuil
des cellules psycholo-
giques, quand elles
n’ont plus pu gérer
seules leurs blessures.
Mais au fait, que
deviennent les cellules
opérationnelles en ce
temps-là ?
M. B.