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Les migrants de Caloforte

Image de migrants à Tabarka

Tout commence à Tabarka, une ville côtière au Nord-Ouest de la Tunisie située.


Elle borde le littoral méditerranéen des pays du Maghreb.
Tabarka, sert de point de départ aux migrants clandestins qui cherche à gagner le
à une centaine de kilomètres de Tunis et à quelques kilomètres de la frontière
algéro-tunisienne sud de l’Europe en quête d’un eldorado. Leurs destinations
sont les iles Italiennes comme la Sicile, Lampedusa ou la Sardaigne.
La Tunisie et un Etats qui ferme volontairement les yeux sur les conditions aux
droit et aux libertés. Si depuis le printemps arabe elle essai de devenir une jeune
démocratie, elle reste encrée avec les maux d’une ancienne démocratie.
Les migrants ont cette espoir d’avoir des conditions de vies dignes. Ils sont la
cible de passeurs qui ne recherche que le profit et qui les transporte aux
détriments de leur propre vie comme bafouant les conditions les plus
fondamentales.
Cette histoire et celle de ces gens ! C’est hommes, ces femmes et ces enfants qui
veulent croire à une vie meilleure ou l’herbe est plus verte ailleurs. Mais il n’y a
pas la dignité que devrait accordes la société.
En voici le récit.

C’était, un air de Ligurie que l’on respire ! Caloforte, Sur l’ile de San Pietro au
sud de la Sardaigne et un village fondé, au 18e siècle par des familles de
pêcheurs et des migrants de l’ile tunisienne Tabarka ! La mer ne servait pas
qu’aux pêcheurs, mais elle permettait un notre usages à certain hommes, des
passeurs, d’exploité la détresse humaine. L’ile se prêter à ce trafic lucratif. La
misère attire l'espoir fabuleux d’un monde meilleurs.
Ici les gens son silencieux une omerta qui engendre les peurs, c’est là que naquit
Pia, Gabriella, Luisa et Alicia. Elles sont toutes des amies d’enfances. Des
femmes d’aujourd’hui qui ont contribués avec force et acharnement à l’image de
l’étranger. Elles se sont élevées dans ce village, où on n'y parle encore le
dialecte du pays.

Le quotidien engendre l’ennuie ! qui s’intéressé à ses filles Pubères qui osé jouer
de la vie et penser avec bienveillance. L’humanité chaleureuse, et ses élans
spontanées puis il se trouver dans cette misère, une chance ses femmes avant
-gardiste avait foi, une promesse de faire évoluer l’opposition Caractéristique
aux différences. Ensembles elles soutenaient L’action contre la faim, l’aide aux
populations pauvres sinistrées, encadré par des associations humanitaires.
Vouloir, C’est pouvoir un long combat qui à l’heure d’aujourd’hui, n’est pas
gagner. Mais une trame de chaine militante n’a eu de cesse d’apporter le savoir,
les soins médicaux, la langue synonyme d’intégration. Le sujet était ses Beaux
exilés Qu’elle croisé, PIA avait rencontré JALIL ! qui signifie grand sublime, un
artiste peintre ! cela se voyait qu’il avait reçu une bonne éducation, Souleymane
été tigeur la découpe du cuir selon La forme de chaussure .et combien encore ?

Ce petit port aux maisons colorées, et un havre tranquille dont L’histoire les liés
bien malgré eux a cette exode. La stratégie et l’attractif, et le couloir de la
méditerranée. Ses Migrants était un point d’interrogation l’inconnue ne partage
Pas la confiance. Les anciens juger de dangereux de les aidés. Pourtant malgré
l’opprobre, des villageois leurs portés de quoi Vivre. Confiné dans une grande
maison délabré qu’ils réparés avec les moyens du bord. Aucune intention ne
leurs l’été accordé ni même de côtoyé Les habitants. Cette diversité n’était pas
ennemie à l’éducation, mais une Richesse, tant que respect et la compréhension
prôner.
Sur le seul bourg de l’ile un entrelacement des ruelles qui du Port s’élance Vers
les hauteurs et ses anciennes fortifications dont la porte ! del leone. Caloforte
avait cette beauté naturelle, de ce que peut-être L’Italie dans ses origines, et
l’intensités, du charme latin. Ses habitants avaient une vie rigide, la lassitude
gagner un vécu difficile, avec des préceptes préconçus, l’immigré été la crainte
du manque, au fond ont ne leurs avaient rien demandés. Dans leurs esprit qui
pouvait comprendre le trésor de ses différences. Et la difficulté de pouvoir faire
autre chose. Aucun enseignement scolaire leurs été donné, un village démuni de
service public, si ce n'est que de l'intelligence auto acquise. Les femmes mise à
part, le labeur De la maison et le souci d'élever des enfants animé leurs temps,
Rien qui puisse Réaliser des ouvertures autre que le quotidien. Leurs seule
Distraction été ce besoin chaque jour de se Retrouver entre elles, et là elle
exulter leurs pensées secrètes Elles refaisaient le monde. Les rires cristallin fusé,
le privilège De l'adolescence, ou l'inconscience qui attire la curiosité, ses
nouvelles générations, n’avait pas l’aspect sombre mais imaginé que ses
ressortissants transmettraient une autre vision ici les hommes, respectent les
traditions et l'affiliation se perpétue.
Ils avaient des rêves d'eldorado, dans leur pays la souffrance était-elle, qu'ils
étaient prêts a accepté une autre façon de vivre. Ce flux en continue apporter une
diversité, culturelle sociale, un sang neuf. Ce qui caractérise, ses angoisses et
parfois la différence l’incompréhension de la langue, mettait en exergue des
barrières. Des aprioris de jugement négatifs, Caloforte ne faisait pas exception.
Ce qui révèle oh ! combien le monde sociétal et démuni, quand L’homme guider
par le pouvoir évident qui reste le seul à changer la face du monde, mais il faut
croire en ses femmes altruistes Qui dans l’ombre trace le sillage des libertés.

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