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Edward Grieg Notturno Anatole Vieru Nuit

Chants d’oiseaux dans la nuit. Transfiguration,


Envol des oiseaux, envol des sentiments, transhumance
envol puis rechute…. sans gravité aucune… dans l’au-delà…

Birdsongs in the night. Transfiguration,


Flight of birds, flight of emotions, transhumance
flight then relapse… in the afterlife...
with no seriousness whatsoever
Ottorino Respighi Notturno
Clara Schumann Nocturne Respiration nocturne,
Chant d’amour, chevauché nocturne dans faisceau de lumière traversant les paupières,
l’imaginaire, traversant la neige…
regard fixe, doutes,
questionnements sans réponses... Nocturnal breathing,
beam of light passing through the eyelids,
Love song, riding by night in through the snow...
the imagination
fixed gaze, doubts, Benjamin Britten Notturno
questioning without answers... A tâtons dans la nuit,
oiseaux de nuit questionnant avec leur chants,
Robert Schumann In der Nacht tremblements, peur et frayeur
Appel dans la nuit, vagues déchainées, mais ce n’était qu’un rêve…
flamme « muette », désespoir,
L’amour et la mort. Groping in the night,
night birds questioning with their songs,
Call in the night, waves unleashed, trembling, fear and fright
“mute” flame, despair, but it was only a dream...
Love and death.
Philippe Hersant Dans l’air du soir Piotr Ilitch Tchaikovsky Nocturne Op.19 Nr.4
La cloche se tait Regards tournés vers le passé
le parfum des fleurs en écho Larmes résignées
dans l’air du soir (Bashō) Dans l’obscurité de la nuit.

The bell is silent Gazes turned to the past


the flowers’ perfume echoes Resigned tears
in the night air (Bashō) In the dark of night.

Dinu Lipatti Nocturne Oscar Strasnoy Berceuse


Des étoiles tombant du ciel, Bruits de cloches enfouis dans la mémoire,
comme des larmes qui se mettraient à chanter… chant d’une berceuse d’un autre temps…
d’une autre vie…
Stars falling from heaven,
like tears which would start singing... Sounds of bells embedded in the memory,
Song of a lullaby from another time…
Philippe Hersant Lune voilée from another life...
Lune voilée
sur l’auvent de la chapelle Fréderic Chopin Nocturne Op.posthume en do
des gouttes de pluie (Bashõ) dièse mineur
Merveille des merveilles
Veiled moon, Vol d’ange au-dessus du monde
over the chapel awning, D’un monde qui ne le voit pas...
drops of rain (Bashō) qui ne le voit plus…

Wonder of wonders
Flight of an angel above the world
A world which does not see it…
which sees it no more…
Claude Debussy Nocturne Erik Satie Songe creux
L’amour des deux amants Rêve dans le rêve
brille dans la nuit… Marche solennelle vers l’infini.
tel des étoiles filantes
au-dessus d’une sombre grotte… Dream within a dream
Solemn march into infinity.
The love of two lovers
twinkling in the night… George Enesco Carillon nocturne
like shooting stars Inouï chant des cloches dans les monastères.
above a grim cave... Les 12 coup de minuit .
Des ombres fuyantes, des odeurs d’encens se
Claude Debussy Clair de Lune levant au ciel.
Toile lumineuse Un geste d’adieu depuis le bord du monde…
cousue de fil d’argent
que la Lune déploie, silencieuse… Extraordinary song of the bells in the monasteries,
The twelve strokes of midnight,
Luminous canvas Receding shadows, incense odours rising
sewn with a silver thread into the sky,
rolled out by the moon, silently... A farewell gesture from the end of the world...

Francis Poulenc Nocturne


Tourment et agitation,
visions loufoques, grimaces,
temps suspendu…

Torment and agitation,


Crazy visions, grimaces,
time suspended...
On doute
La nuit…
J’écoute :
Tout fuit,
Tout passe ;
L’espace
Efface
Le bruit.
Victor Hugo

Ce que l’on pressent sans le savoir, ce qu’on ne peut percevoir que dans l’obscurité, dans les reflets
ou les lueurs dansantes, ce qui ne peut se dire autrement qu’en musique, ou n’apparaître qu’en rêve...
voilà de quelle matière est constitué l’album Soleils de Nuit. Il ne s’agit pas d’un album pour les
insomniaques, fait pour caresser et assoupir, mais plutôt d’une promenade nocturne, avec la qualité
d’écoute particulière qu’elle induit, à la recherche d’éclairages « inouïs » ( ou jamais été entendu)…
Un rêve les yeux grands ouverts.

Au côté des magnifiques nocturnes de Chopin, Grieg, Debussy ou Tchaikovsky, le disque propose
de faire découvrir des compositions moins connues, comme les nocturnes de Lipatti ou de Britten,
le Carillon nocturne d’Enesco, ainsi que des compositions de notre temps, de Strasnoy, Hersant ou
Vieru. Le partage avec les compositeurs d’aujourd’hui et donc le choix d’inclure des compositions
contemporaines était très important à mes yeux. J’ai ainsi pu collaborer avec Oscar Strasnoy – qui
m’a dédié le cycle Piano 4, dont est tiré la Berceuse qu’on entend sur ce disque et pour laquelle j’ai
développé une profonde affection. Mon affinité avec la musique de Philippe Hersant fut immédiate.
Sa musique me parle, je m’y sens “chez moi”.

Je suis heureuse de mettre en lumière le Nocturne en fa dièse mineur de Dinu Lipatti, mon mentor depuis
toujours, immense pianiste dont les compositions sont inconnues du grand public. Ce Nocturne, écrit
en 1939, est dédié à Clara Haskil, qui l’appréciait énormément et l’a joué à de nombreuses reprises
lors de ses concerts. Cette pièce se devait de figurer dans un programme qui est une recherche de
lumière dans l’obscurité. Je garde toujours à l’esprit les mots qu’il avait l’habitude de rappeler à ses
élèves : “Cherche la lumière toujours plus haut chez les autres et au plus profond de toi-même.”

Je voulais absolument clore cette promenade nocturne et rêveuse avec une composition prodigieuse.
C’est une œuvre posthume de G. Enesco, tirée des Pièces impromptues. On y entend les cloches des
monastères du nord de la Roumanie. L’atmosphère est impalpable, solennelle, songeuse, emportée,
et à la toute fin du morceau, j’imagine comme un geste d’adieu, esquissé de la main depuis le bord
du monde.

Jeux d’ombres et de lumières


Depuis toujours j’ai été fascinée par la lumière – et donc aussi par son absence.
Enfant, je me souviens que j’aimais beaucoup fermer les yeux et sentir la lumière, chaude ou froide, à
travers mes paupières closes. Ce jeu pouvait durer des minutes entières.

Sous Ceausescu, je travaillais le piano à la lumière des bougies, car nous subissions de fréquentes
coupures d’électricité inattendues, qui, pour l’enfant que j’étais, devenaient des moments de magie.

A l’adolescence je me promenais dans les rues à la nuit tombée, et, la tête toujours vers les hauteurs,
je regardais les lumières des appartements, des maisons, qui me racontaient des choses – intimes,
drôles, inquiétantes parfois – à travers les grands yeux de leurs fenêtres. Vues de loin, les lumières
des tours et des HLM pouvaient paraître des étoiles tombant du ciel.

Plus tard encore à Paris, j’ai eu la fascination de la nuit, de ce moment où la vie quotidienne se
suspend, s’arrête. Le silence, la solitude, l’attente, la musique qui tourne dans la tête, les pensées
obsédantes, les peurs, les doutes qui surgissent, le rêve dans le rêve… et puis les chants d’oiseaux,
surtout vers 3 heures du matin.
Le programme proposé sur cet album a eu besoin de temps pour trouver sa forme définitive et se
cristalliser. Le choix des nocturnes s’est fait progressivement et intuitivement. Il plonge dans mes
souvenirs d’enfance, mais j’ai aussi été guidée par une attention extrême portée au cheminement
d’une oeuvre à l’autre, d’un éclairage à un autre. Les œuvres se répondent entre elles grâce aux
enchainements des tonalités. Beaucoup, par exemple, sont en do dièse mineur. Une touche noire –
est-ce la couleur de la nuit ?

Ces “Soleils de Nuit” sont la constellation dans laquelle j’évolue et où je voudrais emmener avec moi
tous ceux qui aiment rêver… même en plein jour.

Mara Dobresco

La pianiste roumaine Mara Dobresco se fait très vite remarquer par le public et la critique pour son jeu
plein de tempérament, la finesse et l’élégance de son phrasé. Considérée comme une enfant prodige,
elle se produit dès ses 11 ans avec orchestre. Lauréate de nombreux concours internationaux, elle est
également boursière des Fondations Yamaha, Meyer, Tarazzi et Nadia et Lili Boulanger. Ses nombreux
enregistrements lui ont valu des critiques élogieuses de la presse spécialisée qui n’hésite pas à la
comparer à Argerich ou Arrau.

Dès lors, elle reçoit les conseils et l’appui de Martha Argerich, Dominique Merlet, ainsi que de Jean-
Claude Pennetier et Pierre-Laurent Aimard avec lesquels elle s’est produite en concert à quatre mains.

Elle donne des récitals en France, Roumanie, Espagne, Italie, Allemagne, Autriche Bulgarie, Russie,
Argentine, Australie, Japon, et fait ses débuts aux Etats-Unis à Chicago et New York. Parallèlement, elle
réalise des enregistrements pour Radio France, la Radio Suisse Romande et la Radio et la Télévision
Nationale Roumaine.
Elle est invitée par le réalisateur Radu Mihaileanu pour enregistrer la bande son du film « Le concert »
avec le 21ème Concerto de Mozart sous la direction de Adrian Prabava.

En France, elle est souvent invitée à jouer en récital ou en musique de chambre avec les meilleurs
musiciens de sa génération dans les plus prestigieuses salles comme le Théâtre Mogador, la Cité de
la Musique, le Théâtre de Châtelet, le Musée d’Orsay, la Salle Cortot, le Musée Jacquemart-André, la
Salle Pleyel, le Grand Théâtre de Provence ; par ailleurs elle s’est produite au Théâtre de la Monnaie
et au Bozar à Bruxelles ainsi qu’au Concertgebouw Amsterdam. Elle a été aussi programmée par le
Festival d’Aix en Provence, l’Anniversaire Chopin au Tarmac de Châteauroux, le Festival de Nohant, le
Festival Chopin à l’Orangerie de Bagatelle et le Festival « Classique au Vert » entre autres.

Fervente interprète du répertoire contemporain, elle collabore régulièrement avec de nombreux


compositeurs : Philippe Hersant, Franck Villard, Philipe Leroux ou Gyorgy Kurtag ou bien Oscar
Strasnoy qui a fait d’elle la dédicataire de plusieurs de ses œuvres. Mara Dobresco s’intéresse aussi à
la dramaturgie du geste musical et participe à de nombreux projets basés sur le croisement entre le
théâtre, la littérature et la musique.
Elle est membre du Quatuor Face à Face (2 pianos, 2 percussions) fondé il y a maintenant 10 ans, qui
présente des concerts dans les plus grandes salles, caractérisés par une grande virtuosité, une forte
identité et une aura scénique spectaculaire.

Diplômée du Conservatoire de Musique George Enesco de Bucarest (classe Gabriela Stepan), elle
reçoit une bourse du gouvernement français lui permettant de suivre ses études au CNSM de Paris,
dans la classe de piano de Gérard Frémy. Elle y obtient le Premier Prix de Piano, le Premier Prix
d’Accompagnement vocal et le Prix de Musique de Chambre.

Par la suite, elle intègre la classe de Perfectionnement de piano dans la classe de Theodor Paraschivesco.
Mara Dobresco est aussi diplômée d’un Master de Musique Contemporaine au Conservatoire National
Supérieur de Musique de Genève.
We doubt
The night…
I listen:
All flees
Takes flight
The sound
Is drowned
In space.
Victor Hugo

That which we sense without knowing, what we cannot perceive in the darkness, in the reflections or
the dancing glimmers, that which can only be said in music, or can only appear in a dream... This is
what this Album, Soleils de Nuit (Suns of Night), is made of. It is not an album for insomniacs, made
to caress and relax. Rather it is an evening stroll, with the particular listening quality a stroll can elicit,
in search of extraordinary (or unheard of) lighting... An eyes-wide-open dream.

Alongside the magnificent nocturnes of Chopin, Grieg, Debussy and Tchaikovsky, this disc aims to
present lesser-known compositions, such as the nocturnes of Lipatti and Britten, Enesco’s Carillon
nocturne, as well as compositions from our time, by Oscar Strasnoy, Philippe Hersant and Anatol
Vieru. Choosing to include contemporary compositions – and thus sharing the project with the
composers of today – was important to me. I had the opportunity to collaborate with Oscar Strasnoy,
who dedicated the cycle Piano 4 to me. The Berceuse on this disc is drawn from the cycle, and I
have developed a deep affection for the work. My affinity with the music of Philippe Hersant was
immediate. His music speaks to me; when playing it I feel “at home”.

I am especially happy to include the Nocturne in F-sharp minor by Dinu Lipatti, my mentor from the
beginning, a great pianist whose compositions are unknown to the general public. This Nocturne, written
in 1939, is dedicated to Clara Haskil, who appreciated it enormously and performed it on numerous
occasions. This piece had to be featured in a program representing a search for light in darkness.
I always have in mind the words he regularly repeated to his students: “Always search for the light
higher in other people, and as deeply as possible within yourself.”
I chose to end this dreamy evening stroll with a prodigious composition: a posthumous piece by
G. Enesco, drawn from the Pièces impromptues. In it, one hears the bells of northern Romania’s
monasteries. The atmosphere is impalpable, solemn, pensive, impulsive, and at the very end of the
piece, I imagine a farewell gesture, formed by a hand at the edge of the world.

Games of shadow and light


I have always been fascinated by light – and also by its absence. As a child, I remember that I loved
to close my eyes and sense the warm or cold light through my closed eyelids. This game could last
minutes at a time.
Under Ceausescu, I used to practice the piano by candlelight, because we were subjected to frequent
unexpected power cuts which, for children such as myself, became enchanted moments.

During adolescence, I used to walk in the streets after dark and, with my head turned upwards, look
at the lights of the apartments, the houses, which communicated different things to me – intimate,
funny, occasionally disturbing things – through the large eyes of their windows.

Seen from afar, the lights of the tower blocks and the public housing could look like stars falling from
heaven.
Later, in Paris, I was fascinated by the night, the moment when everyday life is put on hold, when
it disappears. Silence, solitude, expectation, music playing in one’s mind, haunting thoughts, fears,
doubts which arise, dreams within dreams... and then the birdsong, especially at three in the morning.

This album’s program needed time to find its definitive form and to crystallize. Nocturnes were
chosen progressively and intuitively. It delves into my childhood memories, but I was also guided
by close attention to the progression from one piece to another, from one lighting to another.
The pieces respond to each other through the sequences of tonality. Many, for example, are in
C-sharp minor. A dark touch – is it the colour of the night?

These Suns of Night are the constellation in which I move about and where I would like to take all of
those who love to dream... even in broad daylight.

Mara Dobresco

Romanian pianist Mara Dobresco was noticed by the concert-going public and media early on for her
playing which is full of character, and for the finesse and elegance of her phrasing. A child prodigy,
she first performed with orchestra at age 11. The winner of numerous international competitions, she
received scholarships from the Yamaha, Meyer, Tarazzi and Nadia and Lili Boulanger Foundations.

Her many recordings have been lauded by the press, who have compared her to Argerich and Arrau.
Consequently, she received the advice and support of Martha Argerich and Dominique Merlet, as
well as Jean-Claude Pennetier and Pierre-Laurent Aimard, with whom she has performed four-hand
repertoire.

Dobresco has given recitals in France, Romania, Spain, Italy, Germany, Austria, Bulgaria, Russia,
Argentina, Australia and Japan, and gave début recitals in Chicago and New York. At the same time,
she has made recordings for Radio France, Swiss Radio, and Romanian national radio and television.
She was also invited by film director Radu Mihaileanu to record the soundtrack for his film The
Concert (2009) featuring Mozart’s Piano Concerto No. 21 under the direction of Adrian Prabava.

In France, Dobresco is often invited to play recitals and chamber music with the best musicians of
her generation in the most prestigious venues, such as Cité de la Musique, Théâtre du Châtelet,
Musée d’Orsay, Salle Cortot, Théâtre Mogador, Grand Théâtre de Provence, Salle Pleyel, Musée
Jacquemart-André; she also performed at Concertgebouw Amsterdam, Théâtre de la Monnaie, and
the Centre for Fine Arts in Brussels. Dobresco has been programmed by Festival d’Aix en Provence,
Chopin Anniversary at the Tarmac de Châteauroux, Nohant Festival, Chopin Festival at l’Orangerie de
Bagatelle, and by “Classique au Vert” Festival.

A fervent interpreter of contemporary repertoire, she collaborates regularly with numerous


composers: Philippe Hersant, Franck Villard, Philippe Leroux, György Kurtág as well as Oscar Strasnoy,
who has dedicated several of his pieces to her. Mara Dobresco is also interested in the dramaturgy of
musical gesture, and has participated in multiple projects based on the intersection between theatre,
literature and music. She is a member of Quatuor Face à Face (2 pianists, 2 percussionists), founded
10 years ago, which gives concerts in many of the world’s largest concert halls, characterised by great
virtuosity, a strong identity and a spectacular stage presence.

A graduate of the George Enesco Music School in Bucharest under the tutelage of Gabriela Stepan,
Dobresco received a French government bursary which enabled her to pursue her studies at the
Paris Conservatory (CNSM) under Gérard Frémy. She was awarded a First Prize for Piano, a First Prize
for Vocal Accompaniment and a Chamber Music Prize. She later returned to the Paris Conservatory
for graduate studies with Théodore Paraskivesco. Mara Dobresco also holds a Master’s Degree in
Contemporary Music from the Geneva Conservatory.
Production : Paraty
Directeur du label / Producer : Bruno Procopio
Prise de son, direction artistique et montage / Sound, artistic direction and editing : Etienne Collard
Création graphique / Graphic design : Leo Caldi
Textes / Liner notes : Mara Dobresco revu par Lola Grüber
Photographe / Photography : © Patrick Kedzia, © Eric Sanger Monteros
Enregistrement / Recording : 8/2017, Salle Colonne
Accordeur / Piano tuner : Régie Pianos, Jean-Michel Daudon

Paraty Productions
contact@paraty.fr
www.paraty.fr
www.maradobresco.com

Nous voudrions remercier / We wish to thank :


Mécénat 100% *, Marc et Laurence Chauchard, Michel Dochez, Yann Orpin, Eric et Isabelle Ballot, Maxence Dufermont,
Bertrand Godart, Bertrand Decottignies, Jean Bacot, Adeline et JC Barrois, M.Perreux, Troun Bigo, Elsa Cliche, Patrick Fortuit,
Francis et Jennifer Gianni, Alice Vantores, Andrei Kivu, Jean Louis Cheminade, Marie Hélène Izac, Celia Barrois, Gerard Gras,
M et Mme Szapiro, Anne Calmels, David Shavelson, Alix de Loriol, Philippe Banquet, M et Mme Motte-Van Eecke, M et
Mme Bara Hardy.

Un remerciement spécial à / Special acknowledgement to :


Lola Grüber, Morgane Fauchois Prado, “Studio Babel (Katrin Oebel and Armand Amar), Jérémy Gaucher, Claus Drexel,
Antoine Valey, FerDanEM, Patrick Kedzia, Eric Sanger Monteros, “Autres Caps” (Marc David-Calvet and Loïc Dufour), Etienne
Collard, Régie Pianos, Jean-Michel Daudon, Nicolas Krüger.

*Mécénat 100 % poursuit sa politique de soutien artistique en s’associant au disque « Soleils de Nuit » interprété par
la pianiste Mara Dobresco. Mécénat 100% , association bénéficiant de l’agrément fiscal en France, réunit des membres
de professions libérales et des PME qui, de manière désintéressée, participent à des actions de soutien humanitaire,
scientifique, culturel ou musical. L’originalité de sa démarche réside dans son mode de fonctionnement : les dons reçus par
Mécénat 100% sont intégralement affectés aux projets retenus, tous les frais de gestion étant pris en charge directement
par les membres de l’association. www.100-pour-100.org

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