Introduction
Top
managemen
t
Middle
managemen
t
Les managers qui progressent le plus vite sont-ils les plus efficaces ?
Rubrique FAKE OU SCIENCE : Managers qui réussissent vs efficaces – « Moment sucette »
Les promotions ne sont pas basées sur les performances mais sur les
connaissances sociales et politiques.
Réponse à la question :
- Importance des compétences relationnelles/humaines dans la fonction
management.
- Efficacité repose sur la coopération des individus dans une
équipe/dans une organisation.
Lecture de textes :
Innovations managériales : « Les Nudges »
On peut influencer/transformer les comportements (ex : les femmes
interviennent peu mais sont plus efficaces -> mail envoyé, influence du
comportement, donne confiance : effet pygmalion - communiquer pour que
les gens aient plus confiance en eux).
La fête de la défaite
Point de débat :
- « Donnez moi un nouveau né et j’en ferai ce que vous voudrez »
- dilemme éthique : la modification du comportement est-elle une forme de
manipulation ?
B
Classification des valeurs-outils de mesure :
- Inventaire de
Rokeach
- Le modèle de
Schwartz
- Les
dimensions
culturelles
d’Hofstede et
le
management
interculturel
Questions de fin :
Pourquoi est-il si important de connaître les valeurs d’un individu ?
Savoir comment gérer les négociations interculturelles.
Les valeurs expliquent-elles les comportements ?
En partie, mais pas dans tous les cas.
Pourquoi connaître les valeurs des candidats à l’embauche ?
Pour pouvoir assimiler correctement les valeurs du groupe et de
l’organisation. Cependant, la recherche de diversité n’est-elle pas bénéfique
pour l’entreprise.
Faut-il recruter des personnes ayant les mêmes valeurs dans une
organisation ?
Non, cela peut amener des débats/conflits et ainsi faire progresser,
avancer l’organisation. Permet également de développer les points de vue
et la créativité.
Les valeurs diffèrent-elles d’une génération à l’autre ?
Réalité et perception
Dans la cible :
Chez l’observateur :
Nouveauté
Dans la situation : Attitudes
Mouvement
Moment Motivations
Bruit
Cadre professionnel Centres d’intérêts
Taille Contexte
Cadre privé Expériences passées
Proximité
Attentes
Ressemblance
Perception
o Il existe plusieurs filtres à la perception :
Les filtres universels : touché, ouïe, odorat, vue, goû t.
Les filtres collectifs : liés à la culture du pays (régionale – exemple :
les touareg ont une dizaine de mots signifiant différentes teintes de
beige, dans le but de s’adapter à leur environnement, le désert).
Les filtres individuels : nos propres filtres (en plus des deux
premiers). À savoir l’état interne, l’histoire de l’individu, son état
émotionnel, etc, qui vont venir influencer notre perception des
choses.
o Cartes mentales :
C’est quoi la culture ?
C’est quoi une organisation libérée ?
C’est quoi être un bon manager ?
Les réponses à ces différentes questions vont varier en fonction des
personnes.
Attribution causale
Processus d’explication des
Facteurs internes comportements
Facteurs
Liés à la personne
externes
L’étudiant a réussi
Liés à la situation
l’examen car la matière lui
L’étudiant a réussi
plaît
son examen car
Facteurs stables l’épreuve était
L’étudiant est intelligent, facile
la matière est facile Facteurs
Instables
L’étudiant a bien
révisé, l’épreuve
était facile
Cette attribution aux facteurs internes ou externes peut être biaisée par
plusieurs choses :
Notre égo (déviation de jugement) :
- Egocentration : nous nous estimons davantage au centre des évènements
que ce n’est en réalité le cas (dans un travail de groupe, après coup, nous
aurons tendance à nous dire que nous avons plus travaillé que les autres)
- Bénéficience/complaisance : tendance que l’on a à analyser les réussites à
notre crédit et à nier nos responsabilités dans les échecs.
- Conservatisme : forme de résistance au changement. On va donner la
priorité aux informations qui confirment ce que l’on pense déjà . On va alors
rejeter les choses qui nous sont étrangères (cô toiement d’amis qui pensent
de la même façon que nous par exemple).
4- Application organisationnelle
Prise de décision
1- Processus de décision
o Point de réflexion :
« Vous êtes manager d’une équipe, et un matin, deux de vos collaborateurs
un peu gênés viennent vous informer qu’ils n’arrivent plus à gérer un collègue
qui depuis plusieurs mois s’est mis à boire avec excès. Que faîtes-vous ? »
2- Processus de décision
3- Biais décisionnels
o Biais décisionnels :
Biais de sur-confiance : tendance à surestimer des variables et à
s’attribuer une connaissance exagérément exhaustive et précise d’un
sujet. Les études montrent qu’on surestime nos capacités et
aptitudes.
Biais d’ancrage : tendance à se focaliser dès le départ sur les infos
initialement fournies (cf négociation de salaire).
Biais de communication : on recherche des informations qui
renforcent nos choix passés et on filtre/néglige celles qui
contredisent nos jugements intérieurs.
Biais de disponibilité en mémoire : tendance à fonder des jugements
sur les informations immédiatement disponibles.
Biais d’engagement : renforcement de l’engagement envers une
décision antérieure en dépit d’informations contraires.
Perspectives :
Comment développer la créativité dans la prise de décision ?
o Trois composantes de la créativité
- Expertise (compétence développée par rapport à une branche
d’activité),
- Ingéniosité (capacité à employer des analogies, envisager des choses
sous un angle nouveau),
- Motivation intrinsèque (le fait d’aimer son travail parce qu’il est
intéressant, captivant ; l’intérêt que l’on porte au travail)
L’ingéniosité se développe surtout quand on est de bonne humeur.
o 2 facteurs qui favorisent la créativité
- Culture organisationnelle (la culture d’entreprise peut favoriser la
prise d’initiative, la création d’idée et qui récompensent l’effort
créatif ; ex : Google)
- Management (soutient du supérieur hiérarchique, confiance,
reconnaissance du travail, etc.)
3
Besoin d'appartenance
2
Besoin de sé curité
1
Besoin physiologiques
Action (ce qui nous pousse à agir) = décalage entre ce que nous souhaitons
et ce que nous avons. C’est parce qu’on souhaite plus que ce qu’on a, que
l’on va être motivé, faire des efforts.
Motivation = ensemble d’activités déployées pour combler nos besoins
« vide à combler »
D’où , connaître les besoins des membres de son personnel c’est savoir
comment les motiver – Inventaires des besoins du personnel
(questionnaire papier).
Limites :
- Aucune validité empirique,
- Référence à la culture occidentale (tout en haut de la pyramide,
besoin de réalisation et culture occidentale très individualiste ;
dans d’autre société, ce serait une autre valeur en haut de la
pyramide),
- Hiérarchie dépend des individus (valeurs) : chaque individu a sa
propre hiérarchie
On ne les contrô le
Il faut les contrô ler pas
pour qu’ils travaillent
Alors ils sentent
qu’on leur fait
Mais les hommes confiance
contrô lés ne sont pas
épanouis
Donc ils assument
Donc il se démotivent leurs responsabilités
et se sentent
irresponsables
Ils sont motivés et
Ils cherchent donc à font le maximum
en faire le moins
possible
Théorie X : vision négative de l’homme au travail (besoin de niveau
supérieur de la pyramide Maslow qui prédomine)
Théorie Y : vision positive de l’homme au travail (besoin de niveau inférieur
de la pyramide Maslow qui prédominent)
26
Valence
Valeur subjective
ré compense
Instrumentalité
Expectation
Capacité auto- Motivation lien
effort/récompens
estimé e
e
- Valence : enjeu perçu par le salarié ; est-ce que ça vaut le coû t que je fasse
des efforts pour atteindre l’objectif. Valeur subjective de la récompense
- Instrumentalité : lien entre mon effort et la récompense. Est-ce que je
perçois le lien entre ma récompense et mon effort.
- Expectation : est-ce que je suis capable d’atteindre l’objectif qui a été fixé.
C’est la capacité auto-estimée de l’individu.
Etude de cas :
27
- Valence : il ne sait pas trop ce qu’il va obtenir pour l’effort (stress-fatigue
vs. Récompense inconnue)
Il faudrait travailler sur la récompense pour qu’il perçoive une valence
positive pour son effort supplémentaire
- Instrumentalité : pour le lien soit bien effectué, il faudrait effectuer un
lien entre les 10% de plus et sa récompense. Le manager doit prévoir une
récompense liée.
Au trois paramètre, M. Bigo répondrait non, on ne peut pas dire qu’il soit
motivé. Il faut mettre en place des actions de management pour le motiver.
Point de réflexion : Un individu peut-il être trop motivé ? Dans quelles
conditions un engagement excessif dans son travail peut avoir pour
conséquences de faire baisser sa performance ?
- Avoir conséquence sur l’individu lui-même : burn-out ; épuisement
professionnel qui va jouer sur la productivité
- Avoir conséquence sur l’équipe : cela peut décourager de voir
quelqu’un qui travaille tout le temps, cela peut générer du stress,
découragement car on s’aperçoit que ce n’est jamais à la hauteur de la
personne surmotivée.
Quand on perd l’équilibre entre vie pro et perso, cela peut avoir des
répercussions sur la santé de l’individu et donc faire baisser les
performances.
Identifiez 3 activités que vous aimez particulièrement et trois activités
que vous détestez. En utilisant le modèle VIE, analyser chacune de vos
réponses en essayant d’évaluer pourquoi certaines activités stimulent
votre effort et d’autres non.
28
- Humeurs : sentiments généralement moins intenses que les émotions et
dénués de stimulus contextuel (les émotions s’estompent au fur et à mesure
et se transforment en humeur). Les humeurs n’ont pas forcément de causes
directes et peuvent durer assez longtemps.
affect
humeurs emotions
29
Les rapports sociaux : vie sociale augmente les émotions positives
(cercle vertueux)
Le sommeil, l’exercice physique, l’âge, etc.
30
La motivation : on peut persévérer dans l’effort, peu importe les
émotions que l’on ressent.
L’empathie : le fait d’arriver à comprendre les autres, la capacité à
ressentir ce que les autres peuvent ressentir.
L’aptitude pour les relations sociales : réussite professionnelle car
aptitude à entrer en relation facilement avec les autres. C’est un QE élevé
qui va permettre de réussir.
On ne peut dissocier les émotions du lieu de travail parce qu’on ne peut
dissocier les émotions des gens.
Les managers qui ont compris l’importance des émotions améliorent leur
pouvoir de compréhension des comportements et la gestion des situations-
problème au travail.
1- La normalisation
31
Cet effet se caractérise par le fait qu’un point lumineux, bien
qu’immobile, semble se mouvoir lorsque l’on n’a pas de point de référence.
Chaque individu défini donc une trajectoire pour ce point lumineux.
Les individus sont ensuite rassemblés. Le résultat est que le groupe va
se mettre d’accord sur une trajectoire du point lumineux, c’est ce que l’on
appelle le processus de création de normes (la normalisation) qui met
graduellement en convergence les opinions et les comportements de
membres du groupe. L’individu entrant dans le groupe est amené à
remettre en question « consciemment ou inconsciemment » certaines de
ses façons de penser ou d’agir.
C’est le processus de socialisation, il se passe la même chose lorsque l’on
rentre dans une entreprise.
32
Résultats sur dynamique de groupe :
1. Le groupe exerce une influence notable sur le comportement
individuel de chacun de ses membres.
2. Les standards de groupe (normes) optimisent le degré de
performance de chacun. L’observation montre que le groupe peut
aller jusqu’à faire pression pour que l’individu change de
comportement.
2- Le conformisme
3- Soumission à l’autorité
33
Les conditions préalables de l’obéissance : elles vont de la famille
(l’éducation) à l’idéologie dominante (la conviction que la cause est
juste, c’est-à -dire ici la légitimité de l’expérimentation).
L’état d’obéissance ou état agentique : les manifestations les plus
importantes sont la réceptivité augmentée face à l’autorité et la perte
du sens de la responsabilité individuelle. L’individu soumis est passif
face à une autorité qu’il considère comme légitime.
Milgram considère les résultats de l’expérience comme négatifs car
aucun des participants n’a eu le réflexe de partir. Il a refusé
d’assimiler ça à de l’agressivité/sadique, mais plutô t à une banalité
du mal (déresponsabilisation auprès du responsable).
4- Points de réflexion
o Paresse sociale : l’individu s’investit moins au sein d’un groupe que s’il
travaillait seul : « Tire-au-flanc », « passager clandestin ».
Si les membres d’un groupe finissent par « court-circuiter » les tire-
au-flanc, pensez-vous qu’ils doivent communiquer cette information
au prof pour que la contribution de chacun soit évaluée de manière
plus équitable ? Dans ce cas, en informez-vous la personne
concernée ?
Pensez-vous qu’il soit légitime de pointer du doigt la conduite du tire-
au-flanc ? Cela dépend-il des compétences de l’individu ?
o Toyota structure toute son activité autour du travail en équipe. « On est
plus intelligent tous ensemble que chacun dans son coin ». Toyota
considère l’équipe comme le vrai moteur de l’organisation. Le leader est au
service de l’équipe et non l’inverse. Quand on demande au PDG de Toyota
USA, Yuki Funo, de se mettre en scène dans une publicité pour la marque, il
répond simplement : « Non. Nous souhaiterions montrer tous les employés
de l’entreprise. Les Héros. Pas juste une personne en particulier ».
En tant qu’employé, pensez-vous que la culture de Toyota vous aurait
convenue ?
34
Intervention M. Prou
La culture :
Critique vs ethnographie (permet de communiquer par le même langage, de comprendre la
réaction des gens) ou active (acquisition par soi-même) vs passive (elle nous est donnée dès la
naissance)
La culture a servit à l’être humain à se débrouiller dans son environnement (ajustement en
fonction des pays et des environnements). Ce que l’on considère comme normal est conditionné par
nos habitudes de vie.
Différence, intégration, hiérarchisation, investissement
Outil face à l’accumulation de données
Les deux libèrent le cerveau et le corps
Langage, idées, croyances, coutumes, codes, mode de vie dans son environnement
Tradition (portée par les femmes)
Tout cela permet de différencier ce qui est important et ce qui ne l’est pas. La gestion résulte
donc de ça. Comment organiser des gens de cultures différentes.
Paradigmes et valeurs :
Règles qui établissent frontières et donnent les clés du succès
Leur interrelation
Conscience ou non ?
« La loi éternelle qui règle la chute des pommes a supplanté la Loi de l’Éternel qui, pour une
pomme, fit chuter Adam »
Descartes refusait de croire que l’on puisse décrire par une loi mathématique la chute d’un corps
(…)
Théories :
Nomothétiques (universelles, s’appliquent au monde entier, mise en place multinationale)
Idiographique (on s’adapte à chaque culture, ne s’adapte pas à tout le monde)
Manifestations de la culture :
35
Dimensions en gestion :
Qu’est-ce qu’une nation ?
Distance hiérarchique : élément le plus marquant lorsque l’on va travailler à l’étranger.
Communautarisme – individualisme : par exemple les USA est le pays le plus individualiste du
monde (pas besoin de police, on a nos armes – on peut tout faire tout seul)
Masculinité – féminité
Faire face à l’incertitude
Long terme avant court terme
Tolérance à l’ambiguïté
Tolérance culturelle :
Accepter des choses chez les autres lorsque l’on est chez eux, que l’on n’accepterait pas chez nous.
Inacceptable pour nos valeurs, mais normal là-bas.
Richesse :
Pourquoi sommes-nous riches ?
Les colonies n’enrichissent pas forcément un pays (Espagne, Portugal, Angleterre). La
richesse vient de l’infrastructure économique que l’on s’est donnée, mais aussi de facteurs
géographiques et techniques. Notre richesse provient de notre capacité à vendre nos produits très
loin.
On a trop tendance à croire que nos éléments facilitateurs seront les mêmes pour les autres
à l’international.
Différences :
Politiques (institutions), sociologiques (appartenance aune nation) et psychologiques pensées
conditionnées par des facteurs culturels nationaux) en fonction des pays.
Six dimensions :
Souci des moyens vs souci des objectifs
Orientation personnes vs orientation tâches
Identité dans l’organisation ou dans le corps
Ouverture au monde (esprit ouvert)
Contrôle lâche ou étroit
Unités pragmatiques
36
B) Le leadership – Thème 5
1- Différentes approches
38
- M3 : les subordonnés sont compétents mais pas motivés
- M4 : les subordonnés sont compétents et motivés
C- La communication – Thème 6
1- À quoi sert-elle ?
o 4 fonctions principales :
Le contrô le : donner des règles de conduite et d’organisation aux
équipes, ainsi que donner des fiches de fonction/de poste afin qu’ils
sachent ce qu’ils ont à faire. On s’attend à ce que l’employé respecte cette
fiche et les règles de l’organisation.
La motivation : permet de clarifier les objectifs à accomplir et la
communication permettra elle de donner du feed-back aux subordonnés, ce
qui permettra de motiver les troupes. Ce feed-back peut se faire de manière
informelle ou sous forme d’entretien.
L’expression des émotions : dans un groupe on exprime ses
insatisfactions, ses joies, etc. C’est un élément de sociabilité et de lien social.
L’information pour la prise de décision : le manager va donner de
l’information pour identifier les situations de problèmes, ce qui permettra
ensuite de prendre une décision de résolution.
On considère, lorsque l’on est manager, que la communication doit
absolument rassembler ces 4 critères (aucun plus important que les
autres).
40
o Communication descendante : on va délivrer de l’information à son
personnel de manière unilatérale, à travers une réunion d’information (du
haut vers le bas – manager vers le subordonné).
o Communication ascendante : on veut faire remonter de l’information du
terrain (enquête de satisfaction, rapport d’étonnement sur l’entreprise
pour les nouveaux arrivés, boîtes à idées).
o Communication latérale : au sein d’une équipe projet. Plusieurs personnes
de différents secteurs afin de monter un projet (facilite la communication
des membres de l’équipe).
o Communication organisationnelle : réseaux formels, la rumeur (qui
émergent des inquiétudes des salariés). Il faut expliquer le changement et
essayer de démentir la rumeur qui se propage.
o Communication écrite :
Avantages : elle laisse une trace, formalise, laisse le même message à
plusieurs personnes différentes et même aux absents.
Inconvénients : moins rapide, confirmation de lecture, pas de feed-
back.
Outils : le mail, le PowerPoint, le SMS, les réseaux sociaux, les blogs.
o Communication non-verbale :
Le langage corporel exprime toujours quelque chose.
« L’important ce n’est pas ce que l’on dit mais ce que l’on fait ».
41
4- Les obstacles à la communication
o Le filtrage : manipulation délibérées de l’information visant à la rendre plus
acceptable par le récepteur.
o La perception sélective : projection des attentes, des motivations… lors de
la phase de décodage.
o La surcharge d’informations : la quantité d’informations reçue excède les
capacités de traitement du récepteur.
o Les émotions : l’humeur du récepteur influence l’interprétation du message
reçu.
o Le langage : les émetteurs ont tendance à s’imaginer que les mots utilisés
signifient la même chose pour le récepteur.
o La peur de communiquer : 5 à 20% de la population souffre d’anxiété face à
une situation de communication.
o Les obstacles culturels : la langue.
Conclusion
Mise en pratique de ces notions théoriques à travers : les projets
tuteurés, le travail de groupe, le travail associatif, etc… apprentissage sur le
tas.
TD pour des mises en situation : prise de décisions en groupe –
leadership
Meilleure connaissance de soi pour une relation aux autres plus
épanouie.
42