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Les 7 étapes-clés

pour écrire un
roman à succès

Les secrets des auteurs


de best-sellers
Écrire un roman, ça s’apprend.

Les auteurs qui ont le plus de succès en France ne le di-


ront probablement pas, mais c’est un secret de Polichi-
nelle : ils n’ont pas la science infuse. Ils n’ont pas été tou-
chés par la grâce de Dieu. Ils ne sont pas sortis de la
cuisse de Jupiter.

Ils ont travaillé, appris leur métier, lu des ouvrages théo-


riques, suivi des masterclass.

De nos jours d’ailleurs, on voit enfin de plus en plus de


spécialistes de la narration proposer des masterclass,
sortes de séances d’apprentissage de l’art de la narration
et de l’écriture. Rien à voir avec les ateliers d’écriture qui
ont pour objectif de travailler le texte, mais conférences
sur l’histoire et les ressorts dramatiques.

Si vous aussi vous voulez devenir un Bernard Werber, un


Guillaume Musso, une J.K. Rowling ou une E.L. James,
vous pouvez.

Dans ce bref rapport, vous trouverez les étapes clés qui


ont mené des auteurs à écrire des romans qui ont plu à
leurs lecteurs. En suivant à la lettre ces étapes, vous ne
pouvez pas écrire une bouse, même s’il vous faudra en-
core beaucoup de travail et de connaissances pour réussir
à écrire un chef-d’œuvre (mais ça, on en reparlera plus tard
!)

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Sachez ce que
vous voulez
obtenir en
écrivant
Il est très important pour vous et pour la réussite de votre
projet d'écriture de roman de savoir ce qui vous motive, de
cerner l'essence de la motivation qui vous fait avancer.

Quand on démarre, on est tout feu tout flamme, possédé


par l'envie, l'enthousiasme et l'excitation. Il faut que cette
excitation, ce plaisir à créer, traverse de nombreuses
épreuves et le temps, pour vous porter à travers votre par-
cours d'écrivain. Le cœur de votre motivation est ce qui
vous permettra de continuer à avancer vers votre but
quand vous serez fatigué ou las des épreuves que votre
écriture vous imposera.

Est-ce que vous souhaitez obtenir la renommée et des prix


littéraires ? Est-ce que vous désirez vendre des milliers de
livres ? Est-ce que vous voulez changer la vie de lecteurs
en leur apportant un ouvrage qui les fait réfléchir et chan-
ger ou est-ce que vous voulez leur apporter une distraction
qui leur fait plaisir et leur fait dévorer votre livre ?

Quels sont les genres de fictions que vous lisez, que vous
connaissez, qui vous font saliver et éveillent votre intérêt ?
Avez-vous des livres qui vous ont profondément marqué
dans un genre particulier ? Quel est votre genre de prédi-
lection ?

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Vous avez besoin de vous poser ces questions pour savoir
où vous allez et comment vous y allez…

Vous avez besoin pour réussir, dans un premier temps, de


vous limiter aux limites précises d'un genre pour trouver
vos lecteurs et leur apporter ce qu'ils recherchent, avant
de maîtriser votre métier d'écrivain et de pouvoir réinventer
votre genre ou d'écrire des romans qui créent de nouveaux
genres. D'être l'élève avant de devenir le maître.

Si vous voulez tenir entre vos mains votre histoire de vie, si


vous avez le désir de changer la vie et la pensée de vos
lecteurs ou si vous avez envie de transformer votre activité
en un travail à plein temps, la réponse à ces questions im-
plique d'écrire différemment et différentes histoires,
comment vous publierez votre livre et le plaisir que vous
ressentirez à écrire celui-ci. Posez-vous donc ces ques-
tions avant de vous engager sur un chemin qui n'est pas
celui qui vous emmènera où vous désirez aller.

On n'aime pas se mettre dans de petites boîtes, se carac-


tériser précisément. Déjà parce que l'on a le sentiment de
perdre de la liberté, mais aussi par ce que l'on se sait bien
trop divers pour se limiter à un trait de caractère. Mais vos
lecteurs ont besoin de savoir ce qu'ils vont lire et d'adop-
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ter le bon mode de pensée et de lecture pour adhérer à ce
que vous allez écrire. Vous devez savoir ce que vos lec-
teurs lisent par ailleurs, ce qu'ils aiment, ce qui les fait vi-
brer pour leur donner ce qu'ils attendent, et ne pas les
perdre à mi-roman, ou pire, quelques pages avant le dé-
nouement.

Une fois que vous savez ce que vous voulez obtenir, écri-
vez-le et affichez-le à côté de votre ordinateur pour le voir
chaque jour. Une part de visualisation de votre objectif,
une part de contrat avec vous-même et avec les autres :
vous êtes un auteur et vous allez le prouver !

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Trouvez le temps
pour vous y
consacrer
Arrêtez de perdre votre temps sur Facebook ou sur Twitter,
de regarder la télévision pour meubler le vide, construisez
une bulle autour de vous pendant vos trajets maison-bou-
lot.

Faites de l'espace pour vous et votre écriture. Un espace


dans le temps et dans l’espace.

Vous n’avez pas besoin de modifier votre vie du jour au


lendemain. Vous pouvez le faire graduellement.

Trouvez d'abord 15 minutes demain pour relire ce texte.


Dans un café pendant une pause, pendant la sieste de vos
enfants, pendant vos trajets quotidiens vers le travail.

Trouvez le bon moment de la journée, celui où vous pou-


vez vous y consacrer. Puis prenez l'habitude de consacrer
ce temps à cette nouvelle habitude.

C'est l'habitude qui vous permettra de développer l'habi-


tude et de faire les choses petit à petit, mais de façon
constante. C’est l’habitude qui fait la différence entre ceux
qui accomplissent leurs objectifs ou réalisent quelque
chose sans même se déclarer un objectif et les autres qui
ont l’impression de faire du sur-place.

Trouvez ensuite une heure par semaine pour écrire et


construire votre roman, le travailler.

Vous devez éloigner ou fermer la porte aux distractions,


aux interruptions, aux mauvais sorts qui veulent vous dé-
tourner de ce que vous entreprenez. Vous devez dévelop-
per votre pouvoir de focus et de concentration. Seul le fo-
cus vous permettra de gravir des montagnes et d'avancer
régulièrement en parcourant des étapes constructives et
conséquentes.

Enfin, trouvez un moment quotidien qui vous correspond


pour écrire et créer. QUO-TI-DIEN.

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Laissons parler les maths : 3 pages d’écriture par jour,
c’est un roman de 180 pages en 2 mois.

Si vous avez la possibilité de mettre en place plus rapide-


ment ces habitudes, c’est tant mieux, mais mettez-les en
place graduellement et sans partir à fond les ballons tout
de suite. Ne grillez pas vos cartouches dès le début : vous
êtes ici pour construire quelque chose.

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Développez votre
créativité
Est-ce que vous pensez que le travail d'un écrivain est de
poser des mots sur le papier ? Repensez aux livres que
vous avez lus et qui vous ont transportés. Est-ce les mots
qui vous ont changé ?

Non, c'est l'histoire, la narration, le parcours, les épreuves,


les transformations. Tout cela vient de la réflexion, de la
créativité de l'auteur. Rarement de sa maîtrise du vocabu-
laire, des tournures de phrases, de la syntaxe.

Vous aussi devez développer cette créativité.

Vous devez connaître sur le bout des doigts le genre dans


lequel vous allez écrire, pour pouvoir l'oublier et le redé-
couvrir quand vous construirez votre roman. Vous devez
être un spécialiste pour connaître les limites et repousser
ces limites.

En connaissant votre genre, vous verrez naturellement le


puits de votre créativité se remplir. Ce puits est comme
une réserve : vous y trouvez ce que vous y avez mis. Il faut
donc commencer par le remplir. Et si la lecture est une
bonne manière de le remplir, les voyages, les visites, l'art
pictural ou statuesque, l'histoire, la télévision, les films et
les séries sont aussi de bonnes manières de le remplir.

C’est aussi en combinant les inspirations et les sources de


connaissances que vous pourrez créer des choses plus
originales, qui marqueront les esprits et deviendront une
marque de fabrique.

Un exemple concret ? Lee Child, auteur anglais vivant aux


États-Unis a inventé son personnage de Jack Reacher en
confrontant le thème du chevalier solitaire, type Perceval
au Western (genre qui lui-même reprend les codes de la
chevalerie dans une contrée sans foi ni loi). Et des
exemples comme cela vous pouvez en trouver de nom-
breux.

Lee Child a plusieurs fois été dans le palmarès des


meilleures ventes du New York Times et a vu son person-
nage poursuivre ses aventures dans 2 films au cinéma,
sous les traits de Tom Cruise.

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Créez des
personnages
Vous devez donner chair à votre roman, et faire en sorte
que vos lecteurs développent de l'empathie avec les per-
sonnages de ce roman.

Pas forcément qu'ils soient sympathiques, mais qu'ils


soient empathiques : que l'on reconnaisse et que l'on
comprenne la nature des sentiments et des émotions qu'ils
ressentent eux-mêmes.

Votre protagoniste peut être un salaud de première, un


tueur. Il n’a pas besoin d’être un gars sympa. Mais il faut
comprendre ce qui le fait bouger, ce qui l’amène à accom-
plir quelque chose en allant au bout de ce qu’il est humai-
nement possible de faire.

On n'est pas ce qui s'arrête aux apparences. On n'est pas


un homme de 45 ans qui fume et qui s'habille en costume.
On est ce qu'il y a à l'intérieur : les motivations, les doutes,
les peurs, les espoirs, les sentiments. Vous devez
connaître sur le bout des doigts vos personnages et ce qui
fait leur caractère pour les transformer en marionnettes
que vous allez agiter sous les yeux ébahis de vos lecteurs,
les transformer en eux même et les révéler à ce qu'ils sont
ou voudraient être.

C'est ce spectacle, ce cheminement, cette transformation


qui va provoquer l'adhésion de vos lecteurs à votre histoire
et votre roman.

Le monde physique ne bouge pas, ne change pas. La so-


ciété ne change pas : ce sont les personnes qui créent le
changement et c'est ce que recherchent vos lecteurs. Les
destinées, les sagas, les épopées.

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Écrivez une
histoire, pas du
texte
Un roman n'est pas une logorrhée, une suite de mots sans
queue ni tête. C'est une histoire, une progression, un che-
minement. Ce n'est pas forcément linéaire (même si cer-
tains genres ne s'adaptent pas bien à a autre chose
qu'une structure linéaire), mais c'est construit.

Il y a un début un milieu, une fin.

Il y a un monde normal, un incident perturbateur, des obs-


tacles à franchir, un retournement, un climax et un dénoue-
ment.

Il y a des structures plus complexes encore, plus dé-


taillées. Des structures qui ne sont pas récentes mais qui
ont au contraire prouvé leur efficacité au travers des
siècles, d'Homère à aujourd'hui.

Écrire un roman est un métier qui s'apprend, et il faut


connaître les bases théoriques, au même titre qu'on ap-
prend le solfège pour faire du piano, ou que Pablo Ruiz Pi-
casso a étudié aux Beaux-Arts de Barcelone avant de de-
venir Picasso.

Vous pouvez l’apprendre par vous même en étudiant et


analysant des dizaines et des dizaines de livres. Vous pou-
vez aussi et surtout prendre le chemin inverse, qui est plus
naturel : comprendre la théorie, apprendre à la maîtriser, la
pratiquer.

Comprendre et maîtriser les structures dramatiques est le


sujet d’une encyclopédie, je ne pourrai pas m’étendre là-
dessus. Mais vous devez les connaître, et maîtriser les
structures. La structure héroïque notamment, est capitale.

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Faites un premier
jet
 » le premier jet de n'importe quoi est à chier" — Er-
nest Hemingway

L'écriture n'est qu'une partie de ce que vous devez faire


pour écrire votre roman à succès. Une petite partie en fait,
même si elle peut sembler longue.

Et ce qui est important c'est d'écrire, pas de se relire, de


se corriger, de se rééditer. Vous ne pouvez pas travailler
pour obtenir un chef d'œuvre, ni même un bon roman, si
vous n'avez pas une ébauche à partir de laquelle travailler.

Il faut donc arrêter de se faire une montagne de cette pé-


riode d’écriture, rassembler ses notes et pondre de la co-
pie avec régularité et enthousiasme. Sans se préoccuper
de la « qualité » de ce que l’on écrit.

Quand vous lisez un roman qui vous transporte, ne prenez


pas peur en vous disant que vous n'arriverez pas à écrire
quelque chose d'aussi achevé. La réalité est que tout au-
teur commence par un premier jet. Et en général, ce pre-
mier jet ne vaut pas grand chose.

Mais dites vous que vous ne pouvez pas améliorer


quelque chose qui n'existe pas. L'étape d'écriture est
donc indispensable, même si ce que vous écrivez ne cor-
respond pas (encore) à ce que vous voulez publier.

La plupart des auteurs ne montreront jamais leur premier


jet à un éditeur, un correcteur, un conseiller d’auteur. Ils le
réserveront pour eux et attendront d’avoir fait des relec-
tures et des réécritures.

Mais pour faire une réécriture, il faut avoir écrit un premier


jet.

D’autres auteurs relisent et réécrivent ce qu’ils ont écrit la


veille avant de continuer. D’autres encore (comme Lee
Child, cité plus haut), n’écrivent qu’un premier jet. Mais ce
sont des cas exceptionnels et ils en se facilitent pas la vie.

Facilitez-vous la vie et faites un premier jet avant de faire


une réécriture.

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Écrire, c'est
réécrire
Le mot éditer, ce n’est pas dans le sens publier qu’il faut le
prendre, mais dans le sens faire des modifications pour
améliorer le texte avant de le publier. D’ailleurs les anglo-
phones utilisent edit pour tout ce qui est réécriture et cor-
rections, et publish pour tout ce qui est commercial.

Ce n’est pas au vendeur de livres de faire le travail d’édi-


tion et de modification du texte, mais à l’auteur.

Un minimum vital mais alors strictement minimaliste d’une


correction est indispensable pour traiter les problèmes
d’orthographe.

C’est aussi bien de corriger aussi le français et de faire une


édition ligne à ligne de votre roman.

Vous pouvez aussi corriger les incohérences.

Mais la réécriture la plus importante, c’est celle qui


concerne votre histoire.

Voyez-vous, c’est votre histoire qui est importante, c’est


votre histoire qui restera collée dans l’esprit de votre lec-
teur. Ce n’est pas telle tournure de phrase, telle erreur ou
maladresse de français. Ce ne sont pas les détails de
forme mais le fond et l’enchaînement des événements qui
vont transporter le lecteur dans votre monde, dans votre
intrigue, dans votre récit.

Revenons un instant sur le style et l’écriture elle-même. Je


peux dire avec certitude qu’aujourd’hui, dans notre société
moderne dominée par l’image et les images que les lec-
teurs forment dans leur esprit, la chose la plus importante
pour réussir un bon roman, ce n’est pas le style mais le ré-
cit.

Si votre histoire est bonne, le style on s’en fout.

Si votre style est bon, mais que votre histoire est mau-
vaise, vous ne transporterez pas les lecteurs.

Si votre style est parfait mais que votre protagoniste ne va


pas au bout de ce qu’il est humainement possible de faire,
que son monde ne change pas, qu’il ne change pas, tout

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ce qui restera à la fin c’est : « Meh, c’était bien écrit mais
ce roman ne vaut pas grand chose »

Peaufinez donc votre histoire, élaguez ce qui est néces-


saire, ajoutez peut-être quelques éléments qui manquent
(et encore, avec d’extrêmes précautions).

C’est cette réécriture qu’il faudra faire en premier, en inver-


sant les relectures évoquées plus haut :

1. Votre histoire

2. Votre français et votre style

3. L’orthographe

4. Les détails de cohérence

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Recommencez
Quand j’ai écrit ma première rédaction, ce n’était pas ter-
rible, quand j’ai construit mon premier meuble, c’était fran-
chement assez pitoyable.

Quand j’ai écrit mon premier roman, je n’ai pas obtenu un


résultat à la hauteur de mes espérances. Ou plutôt si, mais
j’avais fixé un mauvais objectif…

Si je m’arrête là et que je le publie, est-ce une bonne


idée ?

Déjà je n’en suis pas content et il faudrait quand même


que je refasse une grosse étape de réécriture pour faire
tourner le paquebot, lui faire quitter le port de La Hague et
le faire arriver à Curaçao. Je ne l’ai pas fait, donc on ne
peut pas savoir.

Par contre, on peut savoir que si je me mets demain à


écrire un deuxième roman, j’aurai appris de mes erreurs, je
pourrai mieux maîtriser ma structure dramatique, mon
genre, les arcs narratifs de ce roman : bref, je suis mieux
armé pour obtenir réellement ce que je veux obtenir.

Apprendre, ce n’est pas forcément faire des erreurs, mais


les erreurs nous permettent d’apprendre, si l’on se rend
compte de ces erreurs et de leur cause. Il faut recommen-
cer en ayant tiré la connaissance des maladresses ou des
impasses dans lesquelles on s’est fourré auparavant.

Un auteur français du XVIIIe siècle a écrit « Cent fois sur le


métier remettez voter ouvrage ». En matière d’écritures de
romans, il vaut mieux écrire cent ouvrages. Il ne faut pas
avoir peur de publier, plutôt que laisser votre manuscrit
dans un tiroir (sauf quand il est vraiment voué à l’échec
comme le mien).

Chaque écriture de roman est l’occasion d’une transforma-


tion, et vous verrez que vos croyances sur le métier d’écri-
vain en sortiront perturbées ou transformées, comme
vous-même vous serez transformé(e) par cette écriture.

Et oui, si vous savez compter vous vous rendrez compte


que cette étape est une étape de plus que ce qui était an-
noncé au début. C’est en fait l’étape qui fait la boucle, qui
transforme une expérience unique en habitude et peut faire
de vous un écrivain avec encore plus de lecteurs, quel-
qu’un qui enfin maîtrise son métier.

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J’espère ne pas vous avoir dégoûté en soulevant le rideau
pour vous montrer ce qui se passe réellement en coulisses
dans la vie d’un auteur, mais au contraire vous avoir donné
des armes pour atteindre votre objectif.

Écrire un roman à succès, c’est aussi beaucoup une ques-


tion de méthode, et il faut apprendre, pratiquer et maîtriser
la méthode. C’est à la fois rassurant et excitant, car la mé-
thode vous pouvez l’apprendre, donc rien ne vous est im-
possible.

Alors qu’attendez-vous encore ? Allez concevoir et écrire


votre roman à succès !

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En savoir plus
Si vous avez reçu cet ouvrage d’un ami, sachez que vous
pouvez en apprendre beaucoup plus sur la méthode pour
écrire des romans qui donneront envie à vos lecteurs de
les dévorer en vous inscrivant sur

https://autoediteur.com/ecrire-un-roman-a-succes/ (vous
pouvez cliquer sur l’adresse pour y accéder directement).

Vous retrouverez cet ouvrage ainsi que d’autres conseils


sur l’écriture romanesque. Vous aurez aussi accès à une
mine d’informations sur le métier d’écrivain et sur l’autoé-
dition ou l’édition hybride pour toucher directement vos
lecteurs, vendre plus de livres.

Vous pouvez distribuer gratuitement cet ouvrage, sans mo-


dification et en respectant l’attribution à l’auteur selon une
licence Creative Commons CC-BY-NC-ND, dont vous pou-
vez lire un résumé sur https://creativecommons.org/li-
censes/by-nc-nd/4.0/deed.fr

© Cyril Godefroy octobre 2018

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