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DEa

PARLE

Docteur Gérard ENCAUSSE


DELAFACULTE
DEPARIS
LAURÉAT
DESHOPITALX
DEPARIS

Tousdroitsréservé».
DU TRAITEMENT
DE

%m MOT DE PHYSIOLOGIE

L'homme,en croyantfaire de.grandes inventions,


n'a fait qu'appliquerà la nature les lois de sa propre
constitution.En effet,l'être humain est formépar la,
réunionde troisusines : une usineinférieureou abdo-
minale, qui transformeles substancesde la nature
«n substancesassimilablespar l'homme; une usine
moyenneou thoracique,qui fait circulerdans l'orga-
nismela matièreet la forceet fixesur le globulesan-
guin l'oxygènede l'air; enfin, une usine supérieure
ou céphalique,qui fait mouvoirtous les organessans
exception,depuis la plus petite des artères jusqu'au
délicatet actiforganequ'est le coeur.
Or, ces trois usineshumainesnous indiqnentl'his-
toire de la mécanique,car l'usine abdominale - est
l'analoguede la machinehydraulique;l'usine thpra-,
cique, avec son piston cardiaque,ses chaudièrespul-
monaireset ses multiplestubesartérielset veineux,est:
—2 —
une usineà vapeurtandisque l'usine céphalique,avec
ses piles médullaires,ses accumulateursdu grand
sympathique,ses condensateurscérébrauxet ses mul-
tiples fils électriquesnerfs, est une usine électrique.
L'hommen'a doncfait que s'inventerlui-mêmeà tra-
versles âges.
Considérécommeune machine,l'organismehumain
rappellela locomotiveHelmann.En effet,l'usine tho-
racique ou à vapeurne fait rien marcherelle-même;
elle se contentede fournirà l'usinecéphaliqueou élec-
trique la forcevitalenécessaireà tout mettreen mou-
vement.
Lesalimentsreprésentent,dans ce cas, le charbon,
les poumonsréprésententles chaudières,le sang agit
commelavapeur,etlaforcenerveusecommel'électricité.
Maisce qui donneà l'organismehumainson carac-
tère bien particulier,c'est que tout ce qui n'a pas été
utilisé est misen réserve.Ainsi,les ganglionslympha-
tiques constituentles réservesde matièresde l'orga-
nisme,les cellulesgraisseusesdutissu conjonctifcons-
tituentles réservesde calorique,tandisquelesganglions
du grandsympathiquetiennenten réservela forcener-
veusemotriceet agissentcommede véritablesaccumu-
lateurs.
—3—
Cesréserves,par qui la santé,c'est-à-direl'équilibre
entrel'actiondes trois usines, se maintientparfaite,
doiventne pas être excessives,et l'hommedoittoujours
utiliserses ressourcessans chercher à les augmenter
outremesure.
En effet,l'augmentationde ces réservesamènedes
troublesvariés: trop de lympheprédisposeà la chlo-
rose et à la scrofule,trop de force nerveuseaux affec-
tions hystériqueset auxcrises de diversesnatures,et
trop de réservesgraisseusesaux graves accidentsde
l'obésité.

Les substances graisseuses que nous absorbons


passent directementdans le sang après avoir subi
l'actionde la bile et du suc pancréatique.Elles contri-
buentpourune grandepartauxphénomènesproduisant
de la chaleuranimaleet aidentpuissamment,d'après
Liebig,à la respiration.Maistout ce qui n'a pas été
utiliséest mis en réservedansle tissu conjonctifsous
formedé gouteletteshuileuses,contenuesdans le pro-
tOplasmade ce tissu, les goutelettesse réunissentbien-
tôten une grossegouttehomogène,etlacelluleadipeuse
est constituée.Le tissu conjonctifproprementdit dis-
—4 —
paraît ainsi à mesure que les réservesgraisseuses
augmententet donnenaissanceau tissu adipeux.
Celui-ci,prenantun développement exagéré,parrap-
port auxautrestissus de l'organisme,donnenaissance
par son hypertrophieauxtroubles si connusde l'obé-
sité et à tous ses dangers.Si l'obésitéest localisée,elle
donnenaissanceà de grossesboules graisseusesnom-
méeslipomes,et elleest moinsdangereuse.Maissi elle
se généralise,elle peutrapidementatteindrele coeuret
les reins, et entraverles fonctionsles plus importantes
de l'organisme.
C'estalors quele maladesongeà setraiter.

Pour empêcherl'hypertrophiedu tissu adipeuxet


pour la fairedisparaître,si elle existe,il fautramener à
leur faiblevaleurnormaleles réservesgraisseuses; il
faut brûler cesréservesen augmentantla productionde
chaleurorganique,c'est-à-direle travailfourni par la
machinehumaine,et il faut,enmêmetemps,empêcher
avecgrandsoinl'introductionde corpsgras dans l'or-
ganisme. C'est là le traitement classique de l'obésité
générale.
Cetraitement,pour être réel, doitêtreintensif; mais
alorsles tissussuperficielsne peuventsuivreassezvite
—5—
le tissu graisseuxdans sa régression,d'énormesplis
viennentdéfigurercelui qui a maigritrop vite et des
rides nombreusesviennentvieillir prématurémentles
victimesd'un traitementtrop actifet trop mal adaptéà
l'équilibreorganique.
£es inconvénientsse trouvent encoreconsidérable-
mentaugmentéss'il s'agit d'obésitélocale,commec'est
le cas chez la plupart des femmesoù les réserves
graisseusesse portent aux hanches, au menton, au
cou, etC;,sansallerautrepart. Dans ce cas, le traite-
mentgénéralde l'obésitédétruitla graissepartout, et,
pourfairemaigrirles hanches,la patienteconstateavec
désespoirquela peau desoncorpsseplissepartout,qud
sa poitrines'effaceet que sa figurese couvrede rides.
Conservantdonc le traitementgénéral de l'obésité
pour les cas graveset ressortissantvraimentdu méde-
cin, il fallaitinstituer un traitementlocal permettant
d'atteindrelesréservesgraisseuseslà où ellessonttrop
abondantes,sanstoucherà la portionabsolumentindis-
pensablepour la marchenormalede l'organisme.

Le type de l'obésitélocale est le lipome, ou boule


graisseuse,qui peut se loger aussibien au niveaudès
hanchesque sur le cuir chevelu.
Un Lrailement rationelde l'obésitélocaledoit donc
répondreauxdiversesconditionssuivantes:
1. — Êtreadaptéau tempsquemetTorganisme pour
éliminer et pour remplacerles cellules adipeuses.
On évitera ainsi le plissement de la peau et les
rides.
2. — Être le résultat d'une substance agissant
commeune sécrétionorganique,et non pas nomme
un corpschimiqueminéral.
3. — Être susceptibled'agirlocalementpar absorp-
tion cutanéede la substancechoisie,avec garantie
que cette substance ne pourra en aucun cas
être dangereuse pour les autres tissus de l'orga-
nisme.
4. — Donnerdes preuvesexpérimentalesde ces
diversesactions.
Nousallonsvoircommentle Savon Amiral répond
à cesdiversdesiderata:
1°Quandon veutmaigrir,il faut le temps néces-
saire, souspeinede plissements et deridesimpossibles
à détruirepar la suite.
Lesexpériencescélèbredu physiologisteFLOURENS
faisantmangerdelàgaranceà desanimauxont démontré
qu'il faut environun mois à l'organismede ces ani-
—7 —
maux (lapins et cobayes)pour éliminer les cellules
uséeset pour les remplacerpar des cellulesneuves.
Pour l'homme,ce tempsdoit être porté à deuxmois
lorsqu'ils'agit de cellulesconjonctives,et à plus encore
s'il s'agitde cellulesosseuses.
Le traitement de l'obésité locale doit donc
être doucementprogressif et les premiers résul-
tats doivent demander 15 jours à un mois,pour
devenir rapidesseulement au bout d'un mois.
Dansces conditions,la peau suit la régression du
tissu graisseux,elle a le temps d'éliminerles cellules
superficiellesinutiles,en mêmetemps que les cellules
adipeuses se transforment en cellules,conjonctives
ordinaires,et il n'y a ni plissements,ni rides.
Le Savon Amiral est tout indiquépar l'expérience
pour remplirce rôle. L'électricitéet les rouleauxélec-
triquesagissementrarement,ou alors agissenttrop vite
et sanstenir compte des nécessitésorganiques: de là
les rides et lesénormesplis de la peauabdominalecon-
sécutifsà ce traitement.
Le Savon, au contraire,détruit par sa douceurles
cellulessuperficiellesdevenuesinutiles,et, agissantsur
les lymphatiques,son action est strictementlocalisée
et en parfaiteharmonieavecla physiologie.Il a été
étudié pour ne pas agir trop activement avant
quinze jours de traitement, et les rides sont ainsi
évitées,mêmeà la peau la plus délicate.
2° Il fallaitun savonpour agir avec douceursur la
peau; voyons quelle substance devait contenir ce
savon:
Ona proposépour cet usage des substancesinorga-
niques,commeViodurede potassium.Or, ce genre de
substancesagitpar à-coupet peut amener des troubles
très graves,commele proclamentles professeursMa-
thiasDDVAL et LEREBODILLET, dans leur Dictionnaire
des Sciencesmédicales,en ces termes : « Les iodures
peuventprovoquer l'azoturie et conduirel'obèseà la
cachexie(1). «
Pour agirphysiologiquement sur l'organisme,il faut
un produit organique, un liquide physiologiquene
présentantaucun danger : voilà pourquoile chimiste
LouisENCAUSSE a choisila bile.
Lespropriétésde la bile par rapport aux substances
graisseusessont non seulementconnues des physio-
logistes,mais encoredes industrielset des chimistes.
(1) Voilàpourquoiil ne faut pas confondrele Savon
Amiral,basésur l'actiondu Fiel, avecles pâtes ou pro-
duitsIodés,quipeuventdevenirtrèsdangereux.
—9—
DORVADLT, dans son officine,p. 522, dit en effett.
« La bile est propre à dégraisser,usage duquel on
l'emploiesouvent.» BELEZE dans son Dictionnairede
la Viepratique, dit de soncôté : « Le fiel de boeufest
employéfréquemmentcommemoyende dégraisseret
de nettoyerles tissus, sur lesquelsil enlèveparfaite-
ment lestachesde graisse.»
Théoriquement, la bile était donc —
indiquée mais
commentl'employer?
On aura beau frotter la peau avec de la bile, on
n'obtiendraaucunrésultat, car l'absorptionne se fera,
pas, et la bile teindrala peau en jaunepour tout effet.
Il fallaitdoncrésoudreun nouveauproblème,celui de
l'absorption cutanée, et sur ce point le chimiste
ENCAUSSË était spécialementcompétent.
3° Lesdiversauteursqui se sont occupésde théra-
peutique sont d'accordpour affirmerque l'absorption
cutanée des substancesmédicamenteusesne peut se
faireréellementqu'au moyende corps gras (1). C'est

(1)RABUTEAU page10) exceptede cette


[Thérapeutique,
loi généraleles substancesmédicamenteuses
mêléesà la
vapeurpar le générateurL. ENCAUSSË.
Maiscecasne nous-
intéressepas actuellement.
— 10 —
ainsi que l'hydrargyrea dû être incorporéeà un corps
gras pour être absorbépar la peau.
Voilà pourquoila bile fut incorporéeà un savon,
«t dèslors son absorptionétait assurée et son action
pouvaits'excercerdirectement sur le tissu adipeux.
€ette idée était réellementneuve*aussi a-t-elle fait
l'objet d'un brevet spécial. De plus, la bile est
-absolument sans danger à toute dose, et aucune
intoxicationn'était à craindre,ce qui n'a pas lieu avec
les iodures, qui peuvent donner des complications
•quelquefois mortelles
4° Lathéoriejustifianten tous pointsla constitution
du SavonAmiral, il ne restait plus qu'à faire appel
-àl'expérience.
Lespremiersessais furent faits sur des lipomes,et
en un mois ou deux, suivantla grosseur, on vit ces
boules graisseusesfondre progressivementet dispa-
raître, sans que la peaudu lipomesecouvrîtde fissures
ou de grossesrides. L'actionétaitdoncen mêmetemps
activeet,physiologique.
Une secondesérie d'expériencesfut tentée en trai-
tant une jambe d'une personne très grasse avec le
savonet en laissantla secondejambe sans traitement,
après avoir mesuré exactementle diamètredes deux
— 11 —
En
jambes. quinze jours, l'effet commençait et, en un
mois, la jambe traitée avait diminué de deux centi-
mètres.
Aujourd'hui,les expériencesse chiffrentpar milliers,
et toujoursil y a eu un résultat positif et satisfaisant.
Ce résultat s'est toujours produit quand le
«ujet a eu la patience de ne pas vouloir aller
plus vite que la Nature, qui, faisant les choses au
mieux, demandeà être suivie d'aussi près que pos-
sible.
Nous aurions pu développernotre sujet dans un
«adreconsidérable.Maisnous pensonsqueles quelques
•élémentsthéoriquesqui précèdentsuffirontpour faire
comprendre à nos confrères et à tous ceux qui veulent
liien réfléchir, qu'à l'heure actuelle le problème du
traitementde l'obésité locale a été parfaitement
résolupar le Savon Amiral.
DrG.ENCAUSSË
— 12 —

prises parmi des centaines d'autres

11m'arrivefréquemment d'êtreconsultépar des clients,


desdamessurtout,qui désirentmaigrir,sansque le traite-
mentemployé porteatteinteà leursantégénérale.J'aipour
habitude,alors,deconseiller le SavonAmiralet je n'ai eu
qu'àmelouerdel'avoirindiqué,caril n'estnullement irri-
tant pourla peauet permetde setraitersanssuivreaucun
régime.
Paris,3 juin1897. DrMESNARD,
dela FacultédeParis,
del'Instruction
Officier publique.

Messieurs,
J'aifaitusagede toutle SavonAmiralqnevousm'avez
adressé,avecprièrede vouscommuniquer monappréciation.
Lerésultata été celuiannoncé; aprèsun traitementdesix
semaines, lestissusadipeuxontétéréduitsd'un demi-pouce
à deuxpouces.Le savonn'a occasionné aucuneirritationet
n'a laisséaucunetracedésagréable
sur lesdifférentes
parties
ducorpsoùil a étéappliqué.11a au contraire,en raisonde
soninnocuité, excercéunesalutaireinfluence
surl'étatgéné-
ral detousceuxqui l'ont employé.
Agréez, M...
Vienne,2 mars1898. DrE. WERNER.
— 13 —
J'attestequelespartiesdu corpssavonnées avecleSavon
Amiralperdenten peude tempsdeleur embonpoint et di-
minuentde volume.Ainsique je l'ai constaté,ce savon
n'exerceaucuneffetnuisiblesur la peau; il se prête par
•conséquent trèsbienautraitementdel'obésité.
Vienne,25avril1898. DrFranzCÉHAC,
Ex-internedel'Bôpital
Universitaire.
Je certifieavoiranalyséplusieurséchantillons
de Savon
Amiralet n'y avoirtrouvéaucunetraced'arsenic,demer-
cure,decuivreou d'autresubstance nuisibleà la santéou
à la peau.
Londres,3 juin 1898. DrJamesEDMUNDS,
M.R. G.P., F. C. S., etc.
deSantéet Chimiste-expert
Officier deSaint-James.
Je certifie,par la présente,quej'ai examinéle Savon
Amiralet quej'ai trouvéce savonexcellent pourle butspé-
cialauquelil est destiné.
C'est un savonde premièrequalité,contenantdu fiel
animalpurifié,lequelest bienconnupouravoirla propriété
de dissoudre lagraisseetlestissusadipeux;en conséquence,
on trouverace savond'untrèsgrand secoursdans les cas
d'obésité.
Comme cesavonestinoffensif et sansaucundangerpour
la santé,jepuis,enconscience, lerecommander comme ayant
des qualitésincontestablespourcombattre l'obésité.
D' A. B. GIUFFITHSF. R. S. E.
Directeurdel'Écoledepharmacie
deBrixton
Le3 décembre 1898.
_ 14 —
Monsieur,
Aprèsavoirexpérimenté votreSavonAmiralsurdifférent*
sujets,je puisattesterquej'ai obtenucheztous, aprèsun
moisde traitement,desrésultatsabsolument probants.Je
n'aijamaisconstatéle moindreeffetnuisiblesurl'épiderme.
Je vouspried'agréer,etc. DrDIBOT,
delaFacultédemédecinedeParis*
Paris,le 10avril1902.

Monsieur,
Je vouspriede m'adresser au plus tôt la nouvellecom-
mandede SavonAmiraldont vous trouverezci-jointle
détail.
Ainsiqueje vousl'avaispromis,j'ai fait essayerà plu-
sieurspersonnesde mesamisce remarquable :
maigrisseur
toutesen ont étésatisfaites.De plusayant eula curiosité
d'enfairel'analyse,je n'y ai rientrouvéquipuisseêtreen
quoiquecesoitnuisibleà l'épiderme ou à la santégénérale
de ceuxquienfontusage.
Expédiez-moi cettecommande au plustôt, carj'en suisà
court,etje craindraisd'enmanquer nonseulement pourmes
clientsqui l'emploientrégulièrement, maisencorepourles
personnesquecesclientsm'envoient journellement.
Agréez,M... Louis-Henry JOLLY,
Pharmacien dei"Te classedela FacultédeParis.
Paris,le25juin1904.
— 15 —
Monsieur,
Je me faisun vrai plaisir,et je puis direun devoir,de-
vous témoignerma sincèresatisfaction pourles résultats-
merveilleuxquej'ai obtenusavecvotreSavonAmiral,fai-
santmaigrirla partiedu corpssavonnée.
J'estimequevotrepréparation doitêtre placéeaupremier
rangparmitouteslesautres,pourlabonneraisonqu'elleest
absolument aupointdevuedelasantéet queses
inoffensive
bienfaitssontindéniables.
Agréez, M...
Dr LAFON,
Ex-internedesHôpitaux civilset militairesr
LauréatdesConcours.
le 12 février1905.
Montpellier,

Paris,6 novembre1907.
Monsieur,
J'ai pu, grâceà l'emploidevotreSavonAmiral,fairedis-
paraîtreles replisadipeuxdu cou,du menton,deshanches
et del'abdomen de touteslesclientesqui, surmesconseils,,
ontutilisécetexcellentproduit.J'estimequeles prépara-
tionsà basede fielpénètrentintimement danslestissuset
contribuent puissamment à la fontedesplastronsgraisseux.
-Ceciexpliquelesrésultats-Çrobantsobtenuspar votreSavon
Amiral,et je vousadresseà ce sujetmessincèrescompli-
ments.
Veuillez agréer,M... D' L. DDHONT,
ChefdeService deBadiologie
à l'Hôpital
International
deParis.
— 16 —
Paris,25octobre1908.
Depuisplusieursannéesje conseille,
àceuxde mesclients
le SavonAmiralet je doisà la
•quisontatteintsd'obésité,
véritéde direqueje n'aijamaiseu d'insuccèsdanslescas
où l'ona scrupuleusement tenucomptede sonmoded'em-
ploi.J'ajouteraiqueje n'aijamaisvula santés'altérerpar
«e traitement.
D' CHABAUD,
dela FacultédeParis

Paris,7 janvier1910.
Monsieur,
J'aile plaisirdevousinformerqu'aunombredetoutesles
existantes
spécialités pourfacilitél'amaigrissement
local,je
mesuistoujourstrèsbientrouvéd'ordonner le SavonAmi-
ral,fidèledanssesrésultats.
Agréez, M... ,—-••££A. GASTAL,
d'Hygiène.
^e\lfiksti\i^national

de
Imprimerie Montligeon —
(Orne). 7180-3-15

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