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CONSTATS DE L’INESSS – 7 janvier 2022

En se basant sur la documentation scientifique disponible, les positions d’autres


organisations et en adaptant sa démarche évaluative au contexte et aux incertitudes
entourant les données, l’INESSS met en lumière les éléments suivants au regard de l’usage
de l’ivermectine chez les personnes hospitalisées en raison de la COVID-19 :
• L’ivermectine ne diminue pas significativement la durée d’hospitalisation (niveaux de
preuve scientifique très faible à faible);
• L’ivermectine ne diminue pas significativement le recours à l’assistance respiratoire
(niveaux de preuve scientifique très faible à modéré);
• L’ivermectine ne diminue pas significativement l’incidence de la mortalité (niveaux de
preuve scientifique très faible à modéré);
• L’ivermectine ne semble pas augmenter la probabilité d’au moins un événement
indésirable (niveaux de preuve scientifique faible à modéré);
• La position des autorités internationales et des sociétés savantes est unanime quant
au fait de ne pas recourir à l’ivermectine pour le traitement de la COVID-19 en dehors
d’essais cliniques de qualité.

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