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https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/3220-vaccination-base-covid-19-consolidation-periodique-
immunite.pdf (site web consulté le 23 septembre 2022).
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Sans besoin d’une oxygénothérapie.
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Inclus femme qui allaite.
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Dans certaines situations exceptionnelles, selon le jugement du clinicien, il pourrait être acceptable d’offrir le traitement
malgré le dépassement du délai de 5 jours.
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Population peu représentée dans l’essai clinique (moins de 1 %-non vaccinée).
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Aucun participant dans l’essai clinique, basé sur des études de cohorte exposant un surrisque de mortalité de plus
30%.
- Maladie cardiovasculaire athérosclérotique
- Insuffisance cardiaque de classe fonctionnelle
NYHA II à IV
- Maladie pulmonaire chronique (p. ex. MPOC,
asthme modéré à sévère)
Le risque de développer des complications de la COVID-19 est d’autant plus grand si les
personnes présentent un âge avancé et plusieurs comorbidités.
L’essai clinique a été réalisé chez des participants non vaccinés avec une primo-infection
majoritairement avec le variant Delta du SRAS-CoV-2. Néanmoins, selon des données in vitro, le
nirmatrelvir conserve son activité antivirale face aux sous-variants d’Omicron et leurs sous-lignées.
Passage d’une
À moins d’une contre-indication, un traitement avec le
icône jaune à une
nirmatrelvir/ritonavir devrait être amorcé chez un adulte 8
icône verte
avec une immunosuppression sévère ET atteint de la
COVID-19 (confirmation par TAAN ou test antigénique) ET
présentant des symptômes d’intensité légère à modérée
depuis 5 jours ou moins 9 et qui est non hospitalisé en
raison de la COVID-19, et ce, peu importante le statut
vaccinal et le délai depuis la dernière dose de vaccin.
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Efficacité vaccinale contre les hospitalisations : a reçu au moins un schéma vaccinal complet avec la 2e dose depuis ≥
7 jours (primovaccination) OU a reçu 1 dose de vaccin de Johnson & Johnson depuis ≥ 14 jours (primovaccination).
L’efficacité vaccinale est plus élevée avec la dose de rappel. L’état actuel des connaissances ne permet pas de
connaitre la protection conférée par une infection antérieure sur les complications de la COVID-19 et le cas échéant, la
durée de cette protection.
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Inclus femme qui allaite.
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Dans certaines situations exceptionnelles, selon le jugement du clinicien, il pourrait être acceptable d’offrir le traitement
malgré le dépassement du délai de 5 jours.
Basé sur l’état actuel des connaissances scientifiques, y Nouveau
compris des données en vie réelle, et en absence de
contre-indications, le nirmatrelvir/ ritonavir pourrait être
envisagé au cas par cas, selon le jugement du
prescripteur ou après discussion avec un médecin
spécialiste ou un collègue expérimenté, chez un adulte
• de 70 ans et plus SANS condition à risque élevé
de complications de la COVID-19, si le délai
depuis la dernière dose de vaccin remonte à plus
de 6 mois;
• de 18 à 69 ans avec plusieurs conditions à risque
élevé de complications de la COVID-19 (deux et
plus) et dont le délai depuis la dernière dose de
vaccin remonte à plus de 6 mois.
La population dans l’étude EPIC-HR était non vaccinée. Nouveau
De même, les résultats de EPIC-SR ainsi que des
données tirées d’études de cohorte ne démontrent pas
une diminution significative des hospitalisations à la suite
de la prise de nirmatrelvir/ritonavir chez les personnes
infectées avec Omicron ayant reçu une primovaccination
complète et dont la dernière dose remonte à 6 mois ou
moins, et ce, peu importe l’âge et qu’elles aient une ou
plusieurs conditions à risque élevé de complications de la
COVID-19. Ainsi, un traitement avec le
nirmatrelvir/ritonavir est déconseillé chez cette
population.
SRAS-CoV-2 confirmée, traitements de population particulière (enfant ; femme enceinte)
avec des symptômes d’intensité légère à modérée1 et non hospitalisée en raison de la
COVID-19