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Contreventement Par Murs en Maonnerie de Petits Lments
Contreventement Par Murs en Maonnerie de Petits Lments
de formuler
des Avis Techniques
Groupe Spécialisé n° 16 « Produits et procédés spéciaux
pour la maçonnerie »
Note d’information
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L 122-5 et Code Pénal art. 425).
© CSTB 2012
Note d’information
SOMMAIRE
1. Méthode générale................................................... 2
1.1 Principes de justification........................................ 2
1.2 Figure et notations.................................................. 2
1.3 Vérification de non-écrasement
de la zone comprimée............................................ 2
1.4 Longueur minimale en cas de murs
montés à joints verticaux laissés secs.................. 4
1.5 Vérification de non-cisaillement............................ 4
1.6 Récapitulation des données essentielles.............. 5
1.7 Comparaison avec des résultats
expérimentaux........................................................ 5
1.8 Justification des formules et tableaux.................. 7
2. Cas des petits bâtiments
de forme simple...................................................... 8
2.1 Définition des bâtiments types.............................. 9
2.2 Action sismique de calcul...................................... 9
2.3 Résistance de calcul.............................................. 10
2.4 Détermination des valeurs de k........................... 10
2.5 Application numérique......................................... 10
3. Annexe : coefficients
de comportement évalués
sur la base de résultats
d’essais réalisés au cstb......................................11
H l
H l σ2 = 1 .(V + 6≤ H .h )
≤ t . l V 6l.h
V 6.h
H empirique
l H l
Nota 1 : une formule ≤ H Hdonnant l lc en fonction ≤
deσ H/V,1de l’épaisseur H .hσ2 =de.hla
V 6 1
.( V > .h )
maçonnerie,
+ 6 de sa raideur et V 6.h
des2 =
sections.(V + d’acier
6 ) det.chaînage
l V l6permettrait
.h de donner
t. l l
les résultats figurant 1 dans
H .h les tableaux ci-dessus sous une
= .(V + 6 l = )3 .lH– 3. Hl. h
σ2 condensée. σ2 = 1 .(V + 6 H .h )
forme plus H t. l l cl t. l l
> 2 V > 6V.h
Nota 2 : dans V le rapport
6.h de H/V, la valeur de V est prise en
pied de mur, et doitHintégrer l le poids propre de ce dernier. H l
> 2.H . h + V .l >
3 H . h σl 26=.=h3 .l – 3. H . h V 6.h
lc = de.l la
À partir . V de
– 3valeur c
la Vlc ) comprimée, on en
2 V 2 llongueur
c . t.(l –
déduit la contrainte 3 H.h
verticale maximale3 dans la maçon- 3 H.h
lc = .l – 3. lc = .l – 3.
nerie par la 2.H . h +2V .l σ V= 2.H . h + V .l
relation : 2 V
σ2 = 2 2.H . h +lV .l
l
lc .t.(l – 2c.)H . hσ+2V=.l lc .t.(l – l )
c
2.H . h + V .l H l
l .t.(l – 3c )
≤
σ2 = 3 σ2 =
l V 6.h
Ainsi que la forcel .tde lc c reprise
traction 3 par les aciers de lc .t.(l – c )
c .(l – )
chaînage 2vertical
.H . h + Vpar 3 2 .H . h + V . l
. l la relation : 3
σ2 = σ2 = σ2 = 1 .(V + 6 H .h )
l
) . h=+2V.H . h + V .llc
lc .t.(l – 2.cHT . llc .t.(l – 3–)V 2 .H . h + V . l t. l l
σ2 = 3 l σ2 =
l2.(l c ) l H l
lc .t.(l – c ) 3 lc .t.(l – c ) >
3 3 V 6.h
2.H . hla+vérification
permettant V .l 2.H du. hnon-basculement
+ V .l du mur.
T= –TV= –V
lc l 3 H.h
2.(l 2.H ) . hσ+2=
V .2l2.H.(.lh + Vc.)l ≤ ∅ . f k T=
2.H . h + V .l
–V
lc = .l – 3.
T = 3à effectuer
Vérifications – V l3 γM lc
2 V
l l .t.(l – c ) 2.(l )
.(l c ) c
On doit vérifier2l’inégalité 3
3 3 2.H . h + V .l
2.H .h + V .l ∅ . f k 2.H .h + V .l ∅ . f k σ2 =
σ2 = ≤σ2 = l
l lc
≤ lc .t.(l – c )
lc .t.(l – 2c.H ) .h +γVM .l2l.cH.t..(hl.+– V.l) γ Mf 2.H .h + V .l ∅ . f k 3
σ2 =T = 3 As. σs = ≤ ∅ f k 3 – V < γe σ = ≤
l 2maçonnerie) l s
2
Figure 2l–c Cheminement γM des efforts en cas de montage
) .(l γ–M 3 )
c
(non-écrasement lc .t.(l de– cla lc .t.(l – ) à joints verticaux 2.H . hsecs +V.l
3 3 σ2 =
l
T = As. puis
2.H. h + V.l
σs = l’inégalité – V <
f2e .H. h + V.l fe lc .t.(l – c )
Tl = As σs = γs
.
llbc – V < γs 3
2.(l – c )
32.H. h + V.llm 2=.(hl .–2.fhe ) T = As σs =
. Pour2.Hque . h + Vles .l efforts
–V <
f e puissent se transmettre à la base du
T = As. σs = – V < 3b mur, en ltenant compte
γs d’un décalage des blocs d’une
l γs
2.(l – sur c
) l’autre égal à2.une H . h +demi-longueur
V .l
2.(l – c ) rangée de bloc,
3 3 T = –V
l VRd =def vdlchaînage)
.t.lc la longueur minimale de ce dernier l l doit donc être égal
(non-rupture
lm = h . b des aciers au moins à : 2.(l c ) m
2.hb l m = h . b
3
l 0 + 0,4 2σ.dhb≤ 0en l
1.4 Longueur lm =f vkh . = b f vkminimale ,065cas f b de murs lm = h . b
2.h 2.hb , lb et hb étant respectivement la longueur et la
VRd =montés
f vd .t.lc à bjoints verticaux laissés secs hauteur du bloc ou de 2.H .h + V .l ∅ . f k
f vk = 0,5VRdf vk=0 +f vd0,.4t.lσcd ≤ 0,045 f b σ2la= brique. ≤
Dans le cas de murs montés à joints verticaux remplis, f Par conséquent, même si ce lc
modèle γde bielle n’a pas
V = f . t. l l . t.(l – ) M
f vk = le + 0,4 σdVRd
f vk 0principe ≤de 0=,065f vd .tf.blc c
f vk =cheminement
f vk 0 + 0,4 σd ≤ 0des efforts de contreven- 3 pratiques à caracté-
Rd vd c
,065 f été retenu ici en raison des difficultés
tement peut être f b f vk 0 fb
VRd =correctement
f vd .t.lc + ∑ Ac . cvkdécrit en considérant riser les performances en compression de la maçonnerie
f
f vk = l’ensemble
f +f 0 , 4
+
0,5vk vk=0 vk 0 formé σ0 , 4
≤ σ 0 ,045 0
d par les
≤ , f
065 f murs γ
deM maçonnerie et par les f vk = f vkdans
0 + 0,4une 0,065 f b autre que la verticale, on retiendra la
σd ≤ direction
f = 0,5 f vk 0 + 0,4 σd ≤ 0,045
d b b
f fb
chaînages envkbéton armé qui les encadrent à un système nécessité d’utiliser des murs .H. h de + V.longueur
l f minimale lm en
triangulé
f vk = 0,5dont f vk 0 + les0,4 σéléments diagonaux sont constitués
ff
vk = 0,5 f vk 0de
+ 0montage
,4 σd ≤ T0,=045 .f bσs = 2verticaux
àAsjoints –V < e
d ≤ 0,045 f b cas l secs. γs
f actives susceptibles f f 2.(l – c ) f
VRdpar
= f vdles bielles
.t.lc + ∑ Ac . cvk f cvkvk 0 deb se f formerf vkdans fb
la diagonale du V γ M
Rd = f
mur.vd . t.l + ∑ A .
c Les cconfigurations présentées
0
1.5 Vérification de non-cisaillement 3
ci-avant f cvkde mursγMborgnes fb à jointsV = f .t.l + ∑ A . f cvk
f vk 0montés f vk 0 fb
VRd =visaient
f vd .t.lc + ∑ leAcas
c . Rd vd c c
γ
verticaux remplis de mortier γ sur toute leur épaisseur. La résistanceMau cisaillement du mur à prendre en compte
M
est celle donnée danslm la l
Dans le cas de murs montés à joints laissés secs, la bielle = hformule
. b (6.13) à l’article 6.2
comprimée n’a pas la possibilité de se mobiliser dans de l’EN 1996-1.1. 2 .hb
la diagonale du mur. Les résultats expérimentaux et
théoriques ont montré qu’il se formait un réseau de VRd = f vd .t.lc
biellettes parallèles entre elles, et inclinées par rapport
à la verticale d’un angle dont la tangente est égale à la
demi-longueur du bloc ou de la brique divisée par sa f vk = f vk 0 + 0,4 σd ≤ 0,065 f b
hauteur.
f vk = 0,5 f vk 0 + 0,4 σd ≤ 0,045 f b
f
f cvk f vk 0 fb
VRd = f vd .t.lc + ∑ Ac .
γM
Commentaires
Les murs ont été testés sous diverses configurations
(chargement monotone croissant ou alterné, joints
montés au mortier épais ou au mortier-colle, joints verti-
caux remplis ou non, chaînages coffrés ou coulés dans
des éléments poteaux), alors que le modèle théorique
ne tient compte ni du type de traitement des joints verti-
caux, ni d’un éventuel endommagement lié à des actions
alternées répétées sous l’effet d’un séisme.
Pour les murs en blocs de béton cellulaire 550, les
résultats théoriques apparaissent optimistes au regard
des résultats expérimentaux, mais on peut remarquer que
ces derniers sont faibles par rapport à ceux obtenus sur
murs en blocs de béton cellulaire 400 (valeurs moyennes
très voisines).
Pour les murs en briques de terre cuite à alvéoles
horizontales, les résultats théoriques sont inférieurs
aux résultats d’essais. Cela peut s’expliquer par le fait
que ce type de mur présente une grande résistance en
compression horizontale (fbh / fb = 3,1), qui participe à
celle de la bielle de compression se formant dans le mur,
mais qui n’est pas prise en compte dans le modèle.
2 lcH =6H.6
= =6.. h
σ
6h..Vhh2.6lE. h1
H=
l . l . t l 6. h
Murs en briques de terre cuite « monomur » de 37,7 cm H .h + V. =
σ 2 c
(l − σ22 ).2=H c 2. H.h + V.l
2 .
. H
H .h .
.
2. Hh
h + +V.V
+ V.hl..+ll V.l
d’épaisseur (Cahiers du CSTB, cahier 3310) 2 2 σσ σ
22 2== =3σ2 =lc .t.(lll− lc )
clcc
lcll.cct2.( lH
..tt..(
.( l−llc − ..ht.(+l) −V
− )) 3.llc
3. H . h σ2 = 33 3 3)
l = l − 3. l
lc .t.(lσ−.lc.Cahier )
2 c t
e-Cahiers du CSTB -7- c 2 V 3719 - Octobre 2012
T + Vσσ =
2 .2 l2c..ll.ccσt..tt 3.l .t
TT T++ +VT V=+=
V =V = 22 cσ
V.l 222 2
H= T +. V σ .l .t
l = σ 22.lcc.t l
6. hH . h +l Vll σσ=.l..ll.t..tt2 (llll− c )
t.l l ε1 = .(V t−.l ) etl ε 2 = .(V + )
1 61E.H .t.lhε + 6ε. H.hl 1 σ 61E .H.t.lh 6. H.hl
ε1 = .( V − ) et ε = ( σ + .( V ).+ l.t )
E.t.l εE1 .=t.l.EE.1t..tll.l.(. V2 = .(V +
ε + ε 1− ( σ2 21=+ σ)E2et 1).lε
.t.l .t2 ==V .t=.llV
2 )
σ 2 ε1 +2 ε2 l (2σ1 + 2σ2 ).ElE .t
.t.= l. V
ε1 + ε2 l( σ1 + σ2 ).l.t
= =V
E.t.l. 2
= V E.t.l. =
2 σ = 1 .(V − 26. H.h ) et 2σ = 1 .(V +2 6. H.h ) 2
1 2
σ1 = 1 ⌠ 6l . Ht.lh l6. Hσ⌠.hll 1 ε 2 −61.εH t.hl l2
.(MlV −⌠ 1
σ= = ε . E.( .
V t.)x−⌠ . et = 2 (=)ε1ε.et
dx 2x−.(+Vσ ε1+= 2 1 .(. xV2E)).+.tdx .l62.EH.t.h.l ) .( ε1 + 2. ε2)
M t=.l lε.E⌡ 1 .σ0tl.t2x..lldx
c . t =⌡ lc1l ⌡
( ε . x + t.l
(l −0 )⌠0l Ml =ε⌠
2 . lxl t)..lldx .(l l6ε1 + 2. ε ) − ε
.t(.εl 12. x + ε2 2 1 . x2).uniformément
Nota E.t.:l 2dans le cas d’une force horizontale de densité p
H .h + V⌡ . 0 =⌠ 2− ε .εE1.t.x2. dx 6 =E⌠ dx .( ε1 + 2.répartie
ε2) sur la hauteur du mur, la quantité H
M2 = ε2.E.t.x. dx ( .x+ ⌡
ε . x ). dx ⌡ .( 1 2l. 2) ε + ε
⌡0 E.t.l. σ32=⌡ =0 V 1 0l 06 dans6 l’équation ci-dessus est à remplacer par p.h/2.
(équilibre des moments 2 par rapport aux aciers tendus,
dans E le.tcas .l. σ 2d’une = V σ 2 = V l 2 Etriangulaire
32. E.t..lH.H.répartition h.hl+ V .E.t= .l .t.l 2
.(2ε.1ε+) 2. ε2 )
des contraintes On s’aperçoit que la longueur comprimée est bien sûr
verticalesl = dans l − 3
H .hla+maçonnerie) 2
V . = 2 .l .(.t6ε1 + 2 fonction des paramètres géométriques du mur et du
V 2. l lσ62 cE.t.l lc 2 H .h + V . l = E.t.l .( ε + 2. εrapport
c
2 2
Des deux équations H .hH+.V h + V=. = (l −on
précédentes, .( ε1en )+ 2déduit. ε2 ) la longueur 1 2) H/V, mais également de la raideur relative acier/
l : σ 2 .lc .lt 2 σ l22c.lc .2t 6 lc 3 2 6 maçonnerie. Il s’agit d’une équation du troisième degré en
comprimée
H .h + V cH = . l .h.+l V. (=l − ) (l − )
V lc qu’il est difficile de résoudre analytiquement, mais qui
H 2= 1 21 2 6. H3.2h6. H.h 3 ε 1 1 6. H.h6. H.h
ε1 = ε61 .=h.(EV.tl.−cl .( V3− et Hε). het = V + .(V + ) ) peut
l 3 1être H résolue l 2 numériquement
H l E spour répondre H .l Eà diffé-
s
1 = . l 6−).3H l . 2 = 2(3).(
. h 1E1.t.l 6. 6H..H hl .h 1c3 + cas
rents H h .−h l ).lc + ( H . h + l ). E1 . s .lc − ( H . h + .l ). E1 . s l = 0
( 6..concrets.
E3.t.l H . h 2 l V ε E = . t . l .( V − l ) et ε = l .(V1 + H )
lc = ε1 .=l −E 3..t=.l .(3V. l −− 3. H . h) et ε 2 =E.t.l .(V + l ) 6 2 V .lh − ).lc + ( . h + ). 2 . .lc − ( . h + ). 2 . t l = 0
2 V 2 E t V 2 E
2
.t.l +la (valeur
1 2 c 1 1
l l E t l l EDe
2 c V2 . . 6 2 V 2de la longueur
V 2 Ecomprimée,
2 t V on 2enE2déduit
t
On vérifie 2. H.h au
bien + V.lpassage Vque cette formule permet ensuite aisément la contrainte verticale maximale dans la
σ2 = σ 1 6 . H .hV . l 1 6 . H . h
de retrouver σ1 = l1:.1t.( =V − l.(c6V. H−.hH) =et )σ et= σ 12 = .(6V. H+.h
) l.h )
maçonnerie par la relation :
c.l .(l −
tσ t1.lV .)l l 6. H lV..h6l . h2 σt.l .(V1t1.+l l 6.6H . H .h 1 6. H.h
H = 3.(V −H pour le )cas et limite 1 == .(
σ lcV
.(=V−l+ l ) ) et 2 = t.l .(V + l )
σ
2. H.h + V .l
1= = t . l
t.l6. h
2
l6. h t.l l σ 2 = 2. H.h + V .l
.σlc.2.tt.l. σmaximale σ 2 = l .t.(l − lc )
.l.2E =2.VH.h + Vdans
2
La contrainteT +VE .tσ
=verticale =σ2V .l la maçonnerie s’en c l
2..th.l.+σ2V2.l= V
= σ2 = V lc .t.(l − 3c )
déduit : 2.2EH 2 . H l . ht .(+ l V
− .
lc
l )
E . t.l . 3
σ2 = σ2 =2l c 2
l 3 Ainsi que la force de traction reprise par les aciers de
l l.l..t.(t l − lcl) .t.(σl −2 .lcc.t)
lc(l − lc )
c
H . h + V. = σ 2Hcc..hl(+l V − .3σ 2c).=lc .t chaînage vertical par la relation :
2 H .h +2V = 32 (l2−3 ) 3
.l .t H
2 .2lc .ct3 l . l σ 2 .lc .t lc 2. H.h + V .l
1.8.3.2 Mur chaîné H .h2+ V T.+l V2==σ σ (l − c ).h + V 2 = 2 (l − 3 ) T = 2. H.h + V .l − V
La présence Tl +=V εσ2 .tirantlc .t2 σ .2l .2t 3 T = 2.(l − lc ) − V
1d’un
+= 1T 32+ V==3 . lH réduit
2 c H. h
. h .
l’ouverture de fissure l
ainsi que les lc déformations ε l
lc =2 c. l −l 23. σverticales − 3
2.l .tV l aux extrémités 3 H .deh 2.(l − 3c )
la base du mur.H .La h +2V . 3=. V .comprimée 2 c H(.l h− ) lc est c
= .ainsi l − 3. plus 3
llongueur
.lct =2 2σ llc.− 23tenVl’absence 3 V
importante
H . h +lV que .H l celle σ 2 .lccalculée ( l l) . l de 2 chaînage, l
=. hσ . E. − VRd = f vd .t.lc = f vk .t. γc
21+ σ+1 .V2 2 2 = V (l − )
2 c c
d’autant plus=importante que . 3l2 V la. lsection 3 des armatures de V f . t.l f . t.
lMc
lc 2 EH 1 = l
H = ε1 2. Cas des petits Rd = vdbâtiments
c = vk γM
chaînage est importante. 1 6+ . h V . l
6. h== V . lε2 H= de forme simple
l problème ε lH
Les inconnues du = 1 + ε1l = 1 +sont 6ε.1h lc, s1 et s2. Les équations 6. h t
c
lc3 1 H l H l E s H .l E s
+ ( . h − ).lc 2 + ( . h + ). 1 . .lc − ( . h + ). 1 . l = 0
6 2 V 2 V 2 E2 t V 2 E2 t
2. H.h + V .l
σ2 =
l
lc .t.(l − c )
3
2. H.h + V .l
T= −V
l
2.(l − c )
3
l
VRd = f vd .t.lc = f vk .t. γc
e-Cahiers du CSTB M -8- Cahier 3719 - Octobre 2012
t
VRdi = f vk .
γM
2.1 Définition des bâtiments types
1
RDC + toiture légère
V l
VRd = f vd .t.lc = f vk .t. γc
lmin i = Ed
lmin VVEd
= EdRdi
M
min ii
3. Annexe : coefficients VRdi
Rdi
t
de comportement évalués 100 VRdi = f vk .
γM
k=
sur la base de résultats
100
k = lmin i
d’essais réalisés au cstb
lmin
min ii
K
q: coefficient de comportement q = 0 VEd
KK00 lmin i =
K0 : rigidité initiale ; q= VRdi
K K 1
K : rigidité à la capacité D
résistante
= 1− maximale
q=
KK 0 1 1− D
D : endommagement : D = 1 − , soit q = 100
K00 1− D k=
lmin i
Déplacement Endommagement D
Type Type Chargement correspondant à la à la capacité K0
q= Référence
de maçonnerie de montage maximal (kN) charge maximale de chargement K
(mm) maximale
K 1
Mortier D = 1− q=
courant, 560 3,9 – 4,09 0,58
K 0 2,4 1− D
JVR
400,
227 4,84 – 6,39 0,69 3,2
JVR
400,
203 6,3 0,75 4,0 Cahiers
JVS
Blocs en béton du CSTB,
cellulaire cahier 3492 de
550,
232 4,91 – 5,6 0,66 2,9 décembre 2003
JVR
550,
200 5,17 – 5,64 0,80 5
JVS
Mortier
courant, 503 5,8 0,8 5
JVR
Briques de terre
Mortier
cuite à alvéoles
courant, 289 14,37 0,85 6,7
verticales Cahiers du
JVS
CSTB, cahiers
Collé, 3199 de mars
329 12,2 0,9 10
JVS 2000 et 3310 de
janvier 2001
Briques de terre JVR 430 3,1 0,66 3
cuite à alvéoles
horizontales JVS 376 5,8 0,82 5,5