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Galaar Buramog

Histoire
Galaar Buramog, premier fils de Rogmesh Buramog une orque cheffe de clan et d'un elfe qui sans
conteste avait des goûts prononcés nommé Entrydal Uriwarin, ce dernier arrivé dans une tribu orque
des déserts de pierres d'Egonzasthan, perdu entre deux falaises vertigineuses donnant sur des
canyons sombres.

Si sa mère était cheffe de clan, elle n'en restait pas moins aussi une mère qu'il savait qualifier
d'incroyable, douce et même amusante, cette dernière au caractère bien trempé apprit rapidement
les rudiments du combat et de l'intimidation à son fils, notamment en apprenant via les nombreuses
fois où son père plus frêle tentait de jouer avec les nerfs de sa compagne avant de finir dans la
chambre de couchage, certes heureux mais obligé de se reposer quelques jours. Si la question de
l'arrivée de son père en ces terres était des plus intrigante, ce dernier ne répondit que par une
volonté de la providence qui aurait fait tomber amoureux l'elfe de 352 années et dont l'ancien travail
était scribe. Ce dernier apprit à son fils le commun et l'écriture, tâchant du moins de lui apprendre le
plus possible alors que sa mère ne cessait de l'amener dans la fosse de combat, ce qui commença à
créer un fossé dans leur relation, finissant par simplement quitter l'endroit, le coeur lourd et brisé.
Galaard âgé de 17 ans du réconforter sa mère, ce fut la toute première fois qu'il la voyait abattue,
versant une unique larme après le départ de son père.

Restant à ses côtés, il tâcha d'être un orc parfait aux yeux de sa chère mère, gagnant ses combats
dans la fosse, devenant un guerrier berserker efficace et chassant son premier monstre, un Naga
Corrupteur qui avait déjà plusieurs fois attaqué le village, tout d'abord pistant la bête jusqu'à sa
tanière il tomba, ou plutôt la bête lui tomba dessus, le combat fut long et violent, certains de ses
frères orcs jurèrent l'avoir vu sortir du sable en tenant la bête par la gorge sans la relâcher la
fracassant contre les rochers tout en se prenant les coups de crocs de la bête, laissant ses avant bras
couverts de cicatrices. Le combat se termina alors qu'il déchirait la tête de la bête de ses mains nues.

Protégeant ses avants bras de bandages, désigné premier guerrier du clan, directement sous les
ordres de sa mère, il pu mener quelques raids sur des groupes d'huvaliniens récupérant quelques
trésors dont une cage contenant une étrange créature venue de terres plus verdoyantes, un
perroquet, l'orc le nomma Elios, venu d'une histoire conté par son père, parlant d'un Aasimar qui
avait tenté de récupérer assez de vent pour provoquer une tempête sur un groupe de démon. Sans
doute une histoire trop enfantine pour beaucoup mais qui avait de lui plaire.

Cependant si le demi orc était proche de sa mère, l'envie de revoir ce père qui avait su
l'impressionner, décidant de le rejoindre dans le grand nord, sa mère finit par accepter, lui donnant
sa propre hache fétiche, fier il la récupéra en jurant de lui ramener son idiot de père un jour ou de ne
jamais revenir. Son voyage prit 3 années entières, durant lesquelles il tomba tout d'abord sur un
groupe de gnomes étranges, ces derniers croyant à un orc solitaire voulurent l'acheter pour les
laisser en vie, lui donnant un étrange canari mécanique dans une lampe gnome, visiblement des
mécaniciens très... Tournés dans la blague, si beaucoup se seraient offensés, Galaar en fut ravi, le
trouvant adorable et donnant un ami certes mécanique à Elios, mais aussi quelques heures
d'amusements et de détente dans les moments plus rudes, il voyagea avec ces mêmes gnomes
jusqu'à la Porte de Baldur, les laissant ensuite partir pour vendre leurs marchandises, le remerciant
d'avoir servit de garde de caravane.

Une fois dans la grande ville ce fut de longues semaines pour le demi orc à chercher son père, usant
du pécule accumulé lors des raids pour avoir une mansarde, la ville étant si grande il perdait espoir
d'y trouver son père. Si bien qu'il finit par tomber au pire endroit possible, dans une rue plus sombre,
où un groupe d'elfe l'attendait, le prenant pour une proie facile avant de finir massacrés par Galaar
qui afin que cela n'arrive plus, récupéra 4 doigts elfes qu'il accrocha à une corde, la sortant
uniquement pour effrayer les elfes menaçants.

Son action eu cependant d'attirer l'attention, la garde l'arrêta pour enquête et parmi ces gardes se
trouvait un scribe elfe, son propre père venu l'interroger, mais il ne le reconnu point, ayant maigri
depuis leur dernière rencontre, Galaar lui était devenu un vrai sauvage demi orc impressionnant,
mais il senti qu'il discutait avec son père, il du prendre du temps avant de le convaincre qu'il était
bien son fils, parlant des scènes avec sa mère. Entrydal surpris et heureux de retrouver son fils
s'occupa de payer la caution avant d'emmener son fils chez lui, une humble maisonnée de la famille
Uriwarin, scribes judiciaires depuis des générations. Galaar lui demanda alors de retrouver sa mère,
son père fut si surpris qu'il finit par finalement fondre en larme devant son fils, expliquant qu'il en
avait rêvé dès le lendemain de son départ, mais persuadé que sa mère ne voudrai plus jamais de lui il
n'osa revenir. Convaincu par son fils il reparti pour le clan mais Galaar lui décida de rester, ayant
découvert une chose magnifique à son arrivée, la mer...

S'engageant dans l'armée marine de la ville, il pu facilement se faire marin par son physique
impressionnant, travaillant sur divers galions au fil de sa vie jusqu'à ses 28 ans. C'est à ce moment là
qu'en pleine mer sur le bateau d'un capitaine émérite il fut attaqué par un groupe de pirates,
bataillant comme une bête, il repoussa ces derniers avec tant de courage et de force que même le
capitaine du en parler une fois de retour en ville, ainsi Galaar reçu un navire et un équipage pour
chasser les pirates de la côte des épées. Durant ensuite 4 années il devint un fier capitaine aux
multiples victoires de combats navals, lui donnant une belle réputation de fléau des pirates, son
perroquet toujours sur l'épaule, ses batailles provoquèrent bien des cicatrices sur le corps du
guerrier, son dos, son torse, ses bras et ses jambes même son cou qui faillit se faire transpercer.
Chaque retour était synonyme de beuverie, femmes de joies et de fêtes, une justement marqua le
guerrier, Héléna Otombe, une jeune fille de joie de 22 ans, une humaine pourtant, se réservant pour
lui à chaque retour, pétillante, au fort tempérament, la douceur incarnée pour ses massages sur les
muscles du marin et aussi son rire, il finit par tomber amoureux sans discontinuer, lui promettant à
son prochain retour de l'emmener avec elle sur son navire pour quitter cette vie.

De cette volonté de la rendre heureuse, il ne pu tenir parole, son voyage à ses 33 ans fut le dernier à
bord du "Fendeur de Dagues", son navire, alors qu'ils poursuivaient un groupe de pirates vers un
récif bien loin des côtes pourtant une tempête terrible éclata, non naturelle, provoquant le naufrage
de son navire. À son réveil, il n'était pas seul, évidemment Elios était là, mais il y avait à la place de
son équipage un groupe de personnes masqués, une tête de pieuvre en guise de masque, ils avaient
attaché les marins et les emmenèrent dans leur temple perdu sur une île de roche noire en pleine
mer. Blessé par le naufrage, un oeil crevé par un coquillage, la douleur resta longtemps son seul
refuge pour oublier ce qui se passait. Retenu prisonnier durant 16 jours, c'est en pleine nuit de ce
dernier qu'il allait être sacrifié comme ses hommes, voyant sa dernière heure arriver c'est son
perroquet qui s'éveilla, sortant de sa peur il chargea les cultistes, l'un d'eux un mage le foudroya par
5 fois, laissant une bête grillée tomber au sol, mais ce qu'ils n'imaginaient pas c'était la colère de
Galaar qui sous celle-ci, brisa les liens le retenant, massacrant à main nue les cultistes puis envoya un
contre la grande statue d'une pieuvre, la faisant s'écrouler et... Un éclair tomba sur lui et sur le
perroquet dans ses bras.

À son réveil il était ailleurs, dans un autre plan, devant lui un être immense se déploya aux tentacules
multiples, des ossements servant de protections sur sa peau de muscles, il parla à son esprit : "Je
devrais sans doute te punir pour ton geste..." Si Galaar savait qu'il avait bien brisé une statue d'un
dieu, il ne connaissait pas ce dernier, qui se prénommait donc Bosak, dieu des mers perdues et des
maléfices abyssaux. L'implorant de sauver son perroquet et de le laisser rejoindre la porte de Baldur,
la bête demanda un échange, que Galaar accepta, devenir porteur d'un message de cet être : "Le
retour du divin abyssal est proche, quand il sera là nul ne pourra se cacher, même les dieux. La folie
de Bosak approche.." Il devait la transmettre aux divins dont un précis : Eldath, dieu de la paix, pour
que la guerre divine se déclenche...

Son souhait fut exaucé, il réapparut non loin des côtes et pas seul, accompagné d'Élios qui au lieu
d'un perroquet mort était devenu... Une bête immense comme un humain, mais totalement couvert
de plume à tête de perroquet et parlant ! Il comprit que la chose avait maudit son ami, il l'aida donc à
se remettre de cette épreuve en renforçant leur lien par une amitié plus vraie, comme si Elios était
un frère. Le corps de Galaar fut marqué par sa rencontre, laissant comme stigmate outre le cache
oeil, des mèches dans ses cheveux et sa barbe blanches comme la mer... En rentrant il découvrit que
Héléna avait disparu mystérieusement, il décida donc de la retrouver, estimant que Bosak la lui
rendrait une fois sa tâche accomplie, il se tatoua donc le symbole de la créature sur son bras et pour
renforcer ce lien, il parti en mer peu après affronter une pieuvre plus grosse que nature et usant de
sa peau sur son arme en se faisant guerrier totémique. Quittant ensuite la ville avec Elios il fut
accosté par les mêmes gnomes qu'à son arrivée, leur demandant de l'aide pour rejoindre une autre
ville, ces derniers acceptèrent, estimant que son compagnon n'était qu'un étrange Kenku, lui
donnant par la même occasion une de leur trouvaille dont ils n'avaient aucune utilité, un scarabée à
taille de main.

Les deux enchaînèrent alors les travaux de mercenaires, les combats, les découvertes avant de
finalement faire bivouac dans de nombreuses villes, espérant tous deux rencontrer ce dieu, allant le
prier à chaque temple trouvé...

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