Vous êtes sur la page 1sur 32
5 UITE D’UN INC Ni © Continuité d'une foncts = Contin n deni A ~ Soit f une fonction numérique définie sur lintervalle Ja~ a; a+ al ou@>0 On dit que: lafonction f est continue en a => tim F(x) = Fla) = Soit f une fonction numérique définie sur 'intervalle [a; a+ a[ oua@ > 0 On dit que: lafonction f est continue Xdroiten a <> fim, f(x) = fla) = Soit f une fonction numérique définie sur intervalle Ja~a ; a] ova > 0 On dit que :lafonction f est continue d gauche en a => lim f (x)= flay = Lafonction f est continue en a > la fonction f est continue d droit et & gauche en a > Contimuité sur intervalle - Lafonction f est continue sur Ja; bf si seulement sielle est continue en tout les point de Ja; b[ Ff estcontinue sur Ja; bf - Lafonction f est-continuesur [a; b] => 4 f est continue d droit en a f estcontinue & gauche en b S Opération sur les fonction continues Soient f et g deux fonctions numériques continues str un intervalle [ et k un réel ~ Les fonction f + g + f x g et kxg sont continues sur l'intervalle T - Silafonction g nes'annule pas sur lintervalle 1 alors les fonctions aa - sont continues sur intervalle'I ~ Toute fonction polynéme est continue sur IR - La fonction sin et Cos sont continues sur R ~ Toute fonction rationnelle est continue sur chaque inelus dans son ensemble de définition = La fonction x 9 VX est continue star lintervalle [o : +o ~ Lafonetion tam est continue sur chagueintenalle de laforme JE + em; 2 + kn{ ou kez © Contin daucsi = Sif est une fonction continue sur wn intervalle T et g est une fonction continue sur un intervalle J tel que J.C f(1) alors la fonction gof est continue sur I | Pet Momanax BLMAGHATE | 9m 2 EMEBAC SCIENCE -BIOF ~ Si West une fonction continue et positive sur lintervalle 1 alorstafonetion f'zx > fu) est continue sur l'intervalle T > Image d'un intervalle yar une fonction continue ~ Limage d'un intervalle par une fonction continue est un intervalle ~ Vimage d'un segment par une fonction continue est vn segment ~ Sif est une fonction continue sur [as] alors f([aib]) = [m;M] . tel que ™ est la valeur minimale ot M lavalewr maximale de f sur [a:b] Soit f une fonction continue et strictement monotone sur Uintervalle 1 Le tableau suivant permet de déterminer la forme dle lontervalle f(T) ge FO) Va tervalle I f est strictement décroissante sur I Jastool | Ili FG): tim FOOL J lim, FG); tim FOOT | j-ecal | lim $s FDI UF); tim FO) | j-eial | 1 fm FO): lim FOO [ | lim FG); tim, FCO [ Soit f une fonction continue sur l'intervalle [ayb] = Pour tout réel R comypris entre f(a) et f(b); il existe au moins un réel ¢ de [ayb] tel que: f(c) = k ~ Sif est une fonction continue et strictement monotone sur Vintervalle [a;b] e Prof MOBARAK EL MAGHATE | sia 2 EME BAC SCIENCE - BLOF alors pour tout réel k compris entre f(a) et f(b) ; l'équation f(x) = k admet une sohition unique a sw tintervalle Ja :bf ~ Si f est ume fonction continue et strictement monotone sur lintervalle [a;b] et f(a) x f(b) <0 alors Véquation f(x) = 0 admet une solution unique a sur lintervalle Ja zb[ > Lafonction réciproque ~ Sif est une fonction continue et strictement monotone sur lintervalle I alors elle admet une fonction réciproque f—* definie surun intervalle J i) a helene ~ La fonction f~* est continue et ellea le méme sens de variation que la fonction f ~ Les courbes représentative de f et f} dans un repére orthonormé sont symétrique par rapport a la droite (A) d'équation y =x > Lafonction xr Vx ; neN” ~ Lafonetion xx" avec 1 € N* est continue et strictement croissante sur lintervalle I = [0 ; +99[ Etona: sa fonction réciproque est définie sur um intervalle J= [0 ;+90[ ; par, x Vr We ae ttonas{ ae o { (Bes yel0; +o xe[0; +00 - Soient a et b deux déments de [0; +09[; ona z 2Mat =a .(Wa)" =a _Va=Vb @ a=b .Va>Vb @ a>b Vab=Vax¥6 ."P=3 sy>0 ~ Puissance rationnelle d'un nombre réel strictement posilif , Soient.a un réel de JO ;+20[ et n € N* Mazar Yar = (Ya) =a0 (petet qen) i. Prof: MOBARAK EL BAGHATE «| ie 2 EME BAC SCIENCE - BIOF nN ‘A’ IN — FONCTION > Dérivabilité d'une fonction numérique nun point (a > 0) = Soit f une fonction numérique definie sur un intervalle de type Ja — a3 a + @[ On dit que Fest derivable nays et seulement silexiste un él Eel ques. Lem LS) — y lenombre'| est appelé le nombre dévive dela fonction f ena’; On éerit: f(a) =1 ~ Soit f ware fonction numérique définie sur un intervalle de type [a; a + a@[ On dit que fest dérivable & droite en a, siet seulement sil existe un réel l tel que: tim ea 1@)- = Onéerit: fy (a) = ~ Soit f ame fonction numérique définie sur in intervalle de type Ja — a; al Ondlit que f est derivable a gaucheen a, sict seulement sil existe un rel [tel ques lim “EO Ee (a= = Lafortction f est dérivable en asi seulement stelle est dérivable & droite en a, dérivable & gauche en a et fa (a) = fy (a) Dévivabilité et continuité Sif est dérivable ena , alors elle est continue en a. ( la néciproque est fausse) Interprétation géométvique de la. dérivabilité en un point ~ Sif est dérivable en a, alors f ’(a) est le coefficient directeur de la tangente a la courbe représentative de Ff aupoint dabscisse. ~ Lidquation de la tangente a la courle représentative de f' au point cl'abscisse a est + y= f (aye —a) + fla) oa + = Dérivabilite La courbe (C) admet une tangente (T) au point Ala; f(a) de coefficient directeur f (a), =f (ax —a) + f(a) est l'équation de la tangente (T) PRI ROSARAR ES baahiaTE 5 ier 2 EME BAC SCIENCE - BIOF lim £G0-f@) _ L a X-a f est dérivable enact f (a) =1 tim L9=1@) _ 9 Lacourbe (C) admet ume tangente horizontale au x-aox-a Ff cldetable cveupG)=0 point Ata; f(a) d'équation y= f(a) (=F (ay fs =e Sif est continue en a, alors la courbe (C) admet une f rest pas dévivable ena tangente verticale d'équation x =a Fao = Fa)=0 f(x) =x fix)= R Fix)=x"™ :men*-(1) P(xj=nx"4 R fia) == f= R —{0} f(x)=vx ]0 ; +00] f(x) =cos(x) f(x) = —sin(x) R F(x) =sin(x) Ff") =cos(x) R JG) =1anix) foo=i+unte) | FF +er:2+ kn] kez ff) = cos(ax +b) F(x) = =a sin(ax + by m7 F(X) =sin(ax +b) FG@)=acosax +b) | R > Oma fictions devi Soient U et 7 deux fonctions dérivables sur un intervalle Tet k € R La fonction ff F(x) = ula) + v(x) SO) =k uc) F(x) = ux) * V(x) Ff’) = ul(x) + v'(x) filxy=ku'(x) Fx) =wO) x ve) Hu xVoO) | u(x) vix) — u(x) x v(x) flx)= ao ROG) FO Foo= wan? fe)=z5 ix) #0 fe=-22 Gu@)}? To ue} PO= Fas FP @)=nX we) x uw) F(x) = fulxy fix)=u"(x) : (ne Q'-{1}) th Dévivée de la composée de deux fonctions Soient f et g deux fonction définies respectivement:sur les deux intervalles I et J tel que f) cI Sif est dérivable sur I et g est dévivable sur J , alors la fonction gof est dérivable sur Tet ona z (Wx ET): (gof)(x) = gfx) = F(x) * D fonction réi Soit. f une fonction continue strictement monotone sur un intervalle I et a € 1 - Sif est derivable en act f’(a) # 0 alors f-* est dérivable en f(a) eb ona: Of ~*)'(f (a) = aan = Sif est dérivable sur I et (Wx ET); Fe) #0 alors f~* ost dérivable sur f (I) etona? (Wee fO)) 5 GFAYG) = Les primitives = Une primitive d'une fonction f sur un intervalle I est,une fonction F dérivable sur lintervalle Tet qui verifie , pour tout x de 1: F(x) = f(x) - Si F est une primitive de f sur Vintervalle I alors toute primitive de f sur lintervalle I secrit sous la forme F+K ott k est un réel ~ Toute fonction continue sur un intervalle I , acbnet une primitivesur I re eH - Si f est une fonction continise sux un intervalle I , x9 un element de I et Yo un réel , alors il existe we unique fonction primitive F de f sur lintervalle I verifiant F(x) = Yo - Si F et G sont respectivement des primitives de f et g surun intervalle I , alors: -Lafonetion F +G estuneprimitivede f +g surl'intervalle 1 -Lafonetion. k F est une primitive de ke f° sur un intervalle 1 LafonctionE x", reQ— {-1} lu Prof: MOBARAKEL BAGHATE ez 2 EME BAC SCIENCE - BIOF sin(x) R sin(x) = cos(x) R tan (x) 1+ wn) = | EE + tres + te] skez ul(x) + v(x) udx) + v(x) w'(ax +b) = u(ax +b) u@y) =I T w(x) wa) u@) = 0 w(x) x u"(x) svi@ ul) uaa 2 Ju) u(x) > 0 > Concavité d'une courhe — point d’inflexion d'une courbe Soit f une fonction dewx fois dérivable sur un intervalle ouvert I, On note (Cy) sa courbe représentative ~ On dit que la courbe (Cy) est convere sielle se trouve au-dessus de toutes ses tangente . = Ondlit que la courhe (Cy) est concave si elle se trouve au-dessous cle toutes ses tangent. = Ondit que le point P(a ; f(a) est point d’inflexion de la courbe (Cy) siclle de concavité en P = Sif” est positif sur lintervalle I alors la courbe (Cp) est convene ~ Sif’ est négatif'sur l'ntervalle T alors la courbe (Cy) est concave = Sif” sannule en a et change de signe au voisinage de a , allors le point P(a ;f(a)) est un point d'inflexion de la courbe (Cy) Remarque : Sif" vannule en a sans change de signe au voisinage de a , alors le point P(a ; f(a)) est un point dnflexion dela courbe (Cp) « Contre de symétrie — Axe de symitrie Soit,f une fonction numerique definie sur D On note (Cy) sa courhe representative dans un repere orthonorme | PofeMonaRAaK EL BAGHATE | mies 2 EME BAC SCIENCE- BIOF ~ Ladroite (A) d’équation x = a est axe de symétrie de la courbe (Cy) Si ct seulement si: pour tout x de D ; (2a=2x) €D et f(2a~x) = f(x) = Lepoint (a ; b) est un centre de symétrie de la courbe (Cy) siet seulement si: pour tout x de D ; Qa-x)eD et fQa—x)=2b—f(x) ou f2Qa—x) + f(x) = 2b Branches infinies Soit (Cp) la courbe reprisentative d'une fonction f dans un repere (03737) et soient a et b deux réels Sit Limf(x) = © , alors: (Cy) admet une asymptote verticale d'équation X =a Si: dim F@) =b , alors: (Cy) admet une asymptote horizontale d'equation y = b au voisinage de co (Cy) addict une branche (Cp) addmet une (Cp) admet une parabolique ule dieetion la branche branche parabolique droite d’equation parabolique de dediection (0X) Y=AX au voisinage deco a ‘auc voisinage de 09 La droite (A) d'equation y =ax +b est mneasymptote a la courbe (Cp) auvoisinage de infini si et seulement si lim ( f(x) - (ax + b)) =0 ~10~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF LES SUITES NUMERIQUES Soit 2. un entier naturel et LC N avec l= {re N/n = ng} ‘% Suite minorée — suite majorée — suite bomnée Soit (Uy, net une suite numerique - (Un) net est majorke (AM eR) (Vnel):U,<=M = (Un)ner est minorée => (Ame R)(Wnel):U,>m ~ (Un)ner est bornée <> (Un) ner est majorée et minorée Monotonic d'une suite Soit (Up) ner une suite numerique ~ Ondit que (Up Jer est eraissante <> (WET): Uy, =U, = Ondit que (Up ne) est décroissante => (VneET): Unsy SU, a suite arithmétique Unser =U, 3 QER Uner =U, +7 reR est la raison de suite (Up)rsrig Fest la raison de suite (Up )risiig Un=Unq"™"? 5 (Wp eno) Un=Up+(n—p)t 3 (Wp2n0) S=Up + Upss + Upset vee + Un-1 + Un = Tayheney oe S=U, x =a q#l S= > Limites usuelles Soit pe N* lim n=+00 ct tim n?=40 et lim nP=+0o elim yfi= +00 roeeD Xe r+ Kot 1 1 oS. ae set Ee Oe ge Ot IE m=O Si @EQ** alors lim, n® =+00 Convergence dune suite Soit (Un nang wre suite numérique .S @eQ™ alors lim n*=0 xD ~ Ondit que la suite (Un) nang est convergente:si elle acmet une limite finic «i Prof MOBARAK BLDAGHATE | sts 2 EME BAC SCIENCE - BLOF = Toute suite non convengente est dite divergente ~ Toute suite ervissante et majorée est convergente ~ Toute suite décroissante et ntinorée est convergente Lescrittres de convergence d'une suite Soient (Up) , (Vn) et (Wp) trois suites numeériques , U un reel et Ne N =Si(¥NEN);[Un—U1 alors lim q” = +00 a seats Si -l Suite (U,,) detype Un. =f(Un) Soit f une fonction numérique définie sur wn intervalle 1 , et soit (U,,) la suite definie par : Up € Let (Wn EN) Unser =f (Un) ~ Si f est continue sur Let f(1) CT et (U,) convergente alors la limite I de la suite (U,) est une solution dans | de lequation f(x) =x |: MOBARAK EL BAC “12s 2 EME BAC SCIENCE - BOF LES FONCTIONS LOGARITHMES % Logavithme néptrien Fonction logarithme népérien, notée In est la primitive de la fonction x me sue lntervalle ]0; +20[ qui stannule en | > Lesignede In(a) a 0 1 +m In(a) = Aa > Proprittts ~ La fonction In est definie sur ]0 ; +00] In(1) =0 et In(e)=1 avec e = 2,7182 ~ La fonction In est continue et derivable sur ]0 ; +00[ et pour tout réel X strictement positif. On covit; (I(x) = ~ La fonction tra est strictement croissante sur] ; +00[ ~ Pour tous réels a et b strictement posilfs : In(a)=In(b) = a=b et In(a)>In(b) = a>b In(a x b) = In(a) + In(b) et Ina) =n Infa) /neQ" In@) = tn(a) = In(b) et IG) =-Intb) et In(va) = Inia) Limits usuelles WreR) et V nen” Inco) tna _ ——=Oe lim —==0-et lim ——— ate xT Kal xt lim In(x) = +02 et lim ince) ate xote lim In(x)=—a et ig xInQy=0 et fim, 2" In@a) = 0 et Lim “T= ee =! Derive Soit U une fonction derivable sur un intervalle} et ne s'annule pas sur 1 u(x)" ~ Lafonetion f x In|u(a)| est dérivable surun intervalleT et Vx ET f(x) = ace) Pats MOBARAK BLBAGHATE | ~13~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF © iain a Sais i> 2 u(x) Soil 1 une fonction derivable sur un intervalle Vet ne's'annule pas sul ae ~ Les primitives dela fonction x= 777 sur un intervalle I sont les fonctions 2c > Inlu@r)l+k [ker > Logarithme de basea; a € R* (3) Soit ae R‘* — {1} ~ La fonction de base a notée Log est la fonction définie sur JO ; +e0[ par: log. (x)=@= Inga) D=]0;+[ et loga(a)=1 et loga(1)=0 ~ Touites les proprietés algebriques de la foriction Log sont les mémes que la fonction In = Logatithme de base 10 (vx €]0;+0[ ) ; log(x) = Ltd) ing10) et Llog(10) = 1 et log(10") =n; (ne Q") BON COURAGE MES ELEVES Prof: MOBARAK EL BAGHATE MBK MATH { mas : MOBARAK EL bacHiTe | ~14's 2 EME BAC SCIENCE - BIOF LES FONCTIONS EXPONENTIELLES > Fonction exponentielle népérien ~ La fonction exponentielle népérien, notée exp est la fonction reciproque de la fonction logarithme nepérien. ~ La fonction exp est définie sur (WxER) exp(x)>0 .exp(0)=1 -exp(1)=e (WxER)(Wye]O;+o[): expixd=y = Ingn=x (¥xER);In(exp(x))=x (Wx ]O;+%[); exp(in(x) = x ~ La fonction @xp est continue et strictement eroissante sur (Wey) R? ):exp(x) = exply) = x=y et exp(x)>exply) = x>y > Nowvelle écriture -(WxeR);exp(x)=e* et e* >0 -(VxER)(Vye]0;+0[);e*=y —& x=InQ) -(VxER);Infe)=x .(VxeE]0;+«[); eM =x ~ Pour tout réel x et y et pour tout rationnel ,on.a: (vary) ER?) ;e* =e” > x= ys e>e ax>y +. @F wer sere: . Sse “= ee .(e%)"=e" > Limitesusuelles e (WxeR)(WneN'); lim e*=40 lim S=+0 at lim a aie wohe x x” lim, e*=0 et lim x e* = +0 et lima x" et = 40 et lim = = 1 Ladérivée ~ La fonetion exp est derivable sur IR etona :(W x € IR) ; (expy'(x) = exp(x) On derit: (e*)' = e* ~ Sittest une fonction derivable sur un intervalle 1, alors la fonction f° :x + e¥(*) est derivable sur lintervalle 1, (Wx el); (e%™)'=u(x)’ eX) Primitives de x uu(xy' e¥D Sit est une fonction derivable sur un intervalle I, alors les primitives de la fonction f > ¥ > u(x)" eMC) sur! sont les fonctions definies sur par:x-+ eM +k on keR Pete MOMARAK EL DAGHATE | ~15~ 2. EME BAC SCIENCE - BIOF + Fonction exponentielle de base a; Soit & un véel strictement positif et. different de 1 ~ La fonction exponentielle de base a notée exp, , est la fonction qui a tout réel x associe le réel e*!"(79 noté a* etona:(W x € R) 3 exp,(x) =a* =e%"@ -(VxeER); In(a*)=xln(a) -(Wimiy) eR? ); aX =a¥ <> x=y = (V@ziy) €R?); a* x a¥ =a*tY et aX == ot Zaary at (a) =a? ~ La fonction f :x+-¥a7 est derivable sur Ret on a: f(x) = (Ina) a* on écvil (a*)’ = (Ina) a* = $i 0 x>y -Sia> |; alors (WOny) eR? ); a® 0 = Sia’ ff fx) dx ~Lenombre reel M => J? F 20) dx est appeléla valeur moyenne de f sur fasb] } Lintégrale et calcul d'aire Le plan est rapporte a repére orthogonal (0;1;7 ) , L'unité d’aire est laire du rectangle On note lunité aire par t.a avec ua =i] x [ijl] an? ~ Soit f une fontion definie et continue sur un segment [a ; b], Soit A aire de la partie du plan delimitée parla courbe(Cy) de f ,'axe des abscisses et les croites d’equation: x=a et x=b A= ff] dx enunité daire Linntégrale ef caleul de volume espace eat rapporte wun eapice orthogonal (O;1sf38) Soit f une fonction continue sur lintervalle [a ;b] ;avec a Equation différentielle du type v’ = ay + b Soient a et b deux nombres réels ~ Léquation y’ = ay + b, dont l'inconniue est une fonction y dérivable sur IR de dérivée yy’ , est appelée quation difféventielle de premier ordre. = Toute fonction f dérivable sur Ret vérifiant ; f’(x) =a f(x) +b pour tout réel x . est appelée solution de Véquation différentielle y' = ay +b MOBARAK EL BAGHATE 1g ~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF > Equation différentielle dutype ay’ + by’ +cy =0 Soient a ;'b et ¢ trois nombres réels = Liéquation ay” + by’ + cy = 0, dont linconnuie est une fonction y dewx fois dérivable sur R dle dérivée y' ety” sa dérivée seconde, est appelée équation différentielle d’ordre dewe > Résolution de l'équation différentielle dutype ay” + by’ + cy =0 Pour résoudrel\équaition différentielle ay” + by’ + cy'= 0, on éerit dans lerisemble € léquation caractéristique ar? + br +c =0 , puis on calcule le discriminant A = b* — dae On nésume la résolution de cette dquation différentielle dans le tableau suivant : Solution de Equation Discriminant A equation Solution de Uéquation diffirenticlle caractéristique ~biva A>8 aaa yx) = pe" + wer 2S 2 5 (@, WER w = = me g A=0 yx) = (a x + Be’ + ° uy y(x) = (a cos(qx) + B sin(gx)ye?* Equation lifrentille Solution y’ +a? y=0 y(x) = @ cos(wx) + B sin(wx) ; (@, B) eR? y"-w* y=0 yx) = e™* + wel (p.m) ER™ SAGES 2 EME BAC SCIENCE - BIOF LES NOMBRES COMPLEXES o% Formealgébrique d'un nombre complexe Wexisteun ensemble C , appelé ensemble des nombres complexes, «ui possédle les propriété suivantes : = Lensemble des nombre réels IR est inelus dans C = Ccontientun nombre noté i tel que: i= = 1 = Tout nombre complexe Z s'écrit de maniére unique Z =a + fb ota etb sont des réels - Léeriture z= a + ib est la forme algébrique de z ~ Leréel a est appelé la partie réelle de z, on note: a=Re(z) ~ Le réel b est appele la partie imaginaire de Z ,onnote: b = Im(z) = Tout nombre complexe qui s'écrit sous la forme ib oit b un réel appelé nombre complexe imaginaire pur > ensemble des nombres imaginaires purs note HR. et ona: IIR = {ib /b € RR} -zeiR = Re(z)=0 ec zeR = In(z)=0 Egallite de dew nombres complexes: Soient z et 2’ sont deux nombres complexes on a: ‘z=2' > Re(z)=Re(z’) et Im(z)=Imiz’) *z=0 & Re(z)=0 et Im(z)=0 % Optration dans l'ensemble C L'addition ct la multiplication dans ensemble C sont analogues a l'addlition et la multiplication dans IR Soit z=a+ ib et-z’ =a’ + ib’ ou(a;b;a’;b’)e Rt -z+2' =(a+a')+i(b+b’) -Zx«2' =(a+ iba’ +ib'!)=axa'—bxb' +i(axb' +a’ xb) 1 1 a-ib “Z atih at+b? _#_atib _(a+ib)(a'= tb) _aa'+bb! b wm a'+ib at+b? Sateb? ate be % Leconjuguée d'un nombre complexe Le conjugué d'im nombre complexe z =a + ib ott (a; b) € R® est lenombre complexe a — ib , noté 2 etona: Z=a—ib ~2f=a% +b? .24+7=2Re(z) . 2-Z=2ilm(z) . z+2°= . Prof; MOBARAK ELBAGHATE ~20~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF > Lemodule d'un nombre complexe Soit Z=a+ib on (ab) ER? ~ Le réel positif V2z = Va? + B® est appelé module du nombre comipexe Z Noté |z| ,on crit: |z| =|a + ib] = Va® + b® ~ Soient z et 2’ deux nombres complexes -lzl=|-z)=|2] .zZJ=0 = 2=0 ae lz] .je+z'] = lel +12 AVme Ny ectz#0;|2"| = |zI" 4 =e a f= a Sedalia make. Le plan (P) est muni d'un reptre orthonormé direct (O; 1; #) ~Atoutnombre complexe z= a+ ib ott (a; b) € R® on associc le point M de coordonnées (a ; b). Le point M est appelé image de Z et on note M(z) ~ SiM est un point de coordonne (a ; b) alors le nombre complexe z= a + ib est appelé laffixe du point Meton note zy = yy estaussi 'affixe du vecteur OM et on note Zu ~ Atout vecteur # de coardonnees (a; b) , on associe le nombre complexe z= a + ib et réciproquement , @ estappeld laffixe de W et on note 2g ~ Le plan (P) muni dun repere orthonorme direct est appelé le plan complexe Affe duvecteur AB — Distance AB — Affixe le milicu— Points alignés Soient A ; B et C trois points cistincts daffixes respectives Za :Zp et 2c ~ Liaffixe dic vecteur AB est 2p — %, eton écrit: zag = Zp — Za ~ Si Lest fe milieu de [AB] alors taffove de est -2y = “88 + Ladistance: AB = [ty —2a| = [24-211 = Les points A ;B et C sontalignés si seulement si: ee (26 #2) __ Profs MOBARAK EL DAGHATE | ast 2 EME BAC SCIENCE - BIOF “* Equations du second degré A coefficients réels & une seule inconnue dans C *Vequatim 2? =a ot aunréelnon nul a> a<0 | z=iv=a_et z=-iv=a *Léquation az” +bz+c=0 ok a;betc sontdesréelsavec a_nonnul Léquation az? +bz+e=0 Les cas | Résultats Les solutions L’équation admet deux solution réelles a She a>o| ‘ Peete distinctes =| iguaton ele ne solani erga z= = Léquation aelmet deter solution complexes Buial pei a Argument d'un nombre complexe non nul Soit Z un nombre complexe non nul et M son image dans un plan complexe rapporté & un repre orthonormé direct (O; 1; 8) Onappelle argument de %, noté arg(Z) , toute mesure en radian de langle orienté (Hl ; OM); et on crits arg(2) = (G;0M) [2 m1 z=a_ j;aeR Soll. 2 umtnombre complexe ion mad Lériture 2 = r (cos(®) + isin(®)) o& r= lz] et 8 =arg(z) [211] est appelée forme trigonometrique dea 4 Passed nrme altri lfrme rigmomdtrin Soit 2=a-+ib ot (a:b) « R? pats NOBARAK EL BAGHATE ~w22~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF | Pour passer de la forme algebrique a la forme trigonométrique on dois suivre les étapes suivantes : Y — Htaper:Oncalcule [2] t= fal = Va? + 6? Y HlapeasOntransforme 2 —.2= (2+ 1%) Y Etape 3 :On determine le réel @ qui verifie: cos(@) == et sin(8) == Done: z=r (cos(@) + i sin(8)) > Opérations et argument d'un nombre complexe non mul Soient Z et 2’ deux nombres complexe non nuls tel que : 2 = r (cos(w) + i sin(w)) etz’=r' (cos() +i sin(@)) (r>0 e r>0) txzZ=rexr' (cos(w+@)+isin(o+)) .arg(z«z') =arg(z)+arg(z’) [2m] 3st zicos(-a) +isin(—w)) arg) = -arg() [21] Fp (cos(w -@) + isin(w-@)) arg) = arg(e)-ara(e) [2m] .2=1r(cos(nw) +isin(nw)) .arg(z)=narg(z) [21] Angle de dewx vecteurs et argument Le plan complexe est muni d'un repére orthonormeé direct (0:7; 3) Soient'A ; Bet C trois points dewx a dewx distincts du plan complexe, d’affixes respectives Z, ; Zp etZc . (W;AB) =arg(@p -zq) [2] (GB ;AC) = args) [2] 4 Misia beeen Seto z Soient A ;B ; Cet D points deux & deve distincts =(AB)// (CD) > arg@2=) =k; kez" =(AB) 1 (CD) <= arg@2== co) =itkn ; keZ *% Notation exponentille d'un nombre comple: non mul =Soientz eC’ ctr >0, z=r (cos(8) +i sin(8)) =re® estappelde une forme exponentielle ou notation exponentielle de = Soient 2= re! et2’ =r’ el dewcnombre complexes non nuls are .-g=re(@tm g.g'=rxp ellOt@ sree gape ~23~ 2 EME BAC SCIENCE - BLOF sb Formule de Moivre: 2” =r elt? =} Formulles d’Euler : Pow tout réel x, ona:cos (x) = + Ecriture complexe des transformation usuelles * Translation Soient T la translation de vecteur i daffixe Zz et M(z) et M'(2") dew points di plan complexe T(M)=M = MM =i ez -z=2q @ w=2gtz eee eft cit ZT et sin@)=—= Vécriture 2’ = zig + Z est appelée lexpression complexe dela translation T de vecteur U d’affixe zig © Homothitie Soient h thomathétie de centre O(w) et de rapport ket M(z) ct M'(2") deux points du plan complexe h(M)=M' = QM=kOM @ z-w=k@-w) @ 72=kz+w(1-k) Uécriture 2’ = kz + w (1 -k) est appelée expression complexe de 'homothetie A de centre 2.(w), et de rapport k Rotation Soient R la rotation de centre (co) et dangle'® , on a: R() = 0 QM = OM (QM ;2M') = 6 [2n] Soient M(2) et M'(2’) dewx points du plan complexe R(M) = M' <> { =e 5 2 = a enw=srny | fH = eo gs o re eS argG—>) = 0 [2m] arg@—) = 0 [2m] ee t=e"G-w)tw Uécriture 2! = ef (2 - co) + est appelce lexpression complexe de la rotation R. de centre (0) eldtangle @ BON COURAGE MES ELEVES [Pot MonaRAK EL MAGHATE | <2 2 EME BAC SCIENCE - BIOF sb Formule de Moivre: 2” =r elt? =} Formulles d’Euler : Pow tout réel x, ona:cos (x) = + Ecriture complexe des transformation usuelles * Translation Soient T la translation de vecteur i daffixe Zz et M(z) et M'(2") dew points di plan complexe T(M)=M = MM =i ez -z=2q @ w=2gtz eee eft cit ZT et sin@)=—= Vécriture 2’ = zig + Z est appelée lexpression complexe dela translation T de vecteur U d’affixe zig © Homothitie Soient h thomathétie de centre O(w) et de rapport ket M(z) ct M'(2") deux points du plan complexe h(M)=M' = QM=kOM @ z-w=k@-w) @ 72=kz+w(1-k) Uécriture 2’ = kz + w (1 -k) est appelée expression complexe de 'homothetie A de centre 2.(w), et de rapport k Rotation Soient R la rotation de centre (co) et dangle'® , on a: R() = 0 QM = OM (QM ;2M') = 6 [2n] Soient M(2) et M'(2’) dewx points du plan complexe R(M) = M' <> { =e 5 2 = a enw=srny | fH = eo gs o re eS argG—>) = 0 [2m] arg@—) = 0 [2m] ee t=e"G-w)tw Uécriture 2! = ef (2 - co) + est appelce lexpression complexe de la rotation R. de centre (0) eldtangle @ BON COURAGE MES ELEVES [Pot MonaRAK EL MAGHATE | <2 2 EME BAC SCIENCE - BIOF GEOMETRIE ANALYTIOUE DANS L’ESPACE Liespace est rapporte ii un repére orthanormé direct (O:7;J: K ) oi aa (x, y;2) et B(x’, y' 2’) deux vecteurs de espace © Expression analytique du produit scalaire 1 U.8 =x xx'+yxyltzxz © Orthogonalité de deux vecteurs ULG & UH=0 & xxx +yxy't2x7=0 *Norme d'un veeteur + Si T(x; y;2) alorsla norme du vecteur UZ est: [Ill = (x2 + y? + © Distance entre deux points La distance entre dewe points A et Best: AB =f (xg — xq)? + (vp — Ya)? + (Zp — Za)? © Le milieu d'un segment Les coordonnées dus point I milien du segment [AB] sont ; (“222,788 ; 2a*20 ) 2 2 2 > Plan défini par un point et un vecteur normal © Vecteur normal 4 un plan Le vecteur non nul 7i est normal a un plan (P) siet seulement si, le vecteur fi est orthogonal a dewx vecteurs directeurs duc plan (P) © Equation cartésienne d'un plan Soit 7i(a; b; c) un vecteur non nul et A un point de lespace ~ Leplan (P) passant par A est de vecteur directeur 7t est l'ensemble des points M(x ; y :2) qui vérifient : n.AM=0 ~ Léquation eartésienne de ce plan est : ax + by + cz + d= 0 ; ot dest un nombre réel ~ Lensemble des points M(x: y:Z) qui vérifient :ax + by + cz +d =0 avec (a: b: c) = (0:0;0), est un plan ayant le vecteur 7i(a: b: €) comme vecteur normal © Orthogonalité de deux plans Soient 71 un vecteur normal a wn plan (P) et 7 wr vecteur normal a un plan (Q) _ Les plan (P) et (Q) sont orthogonaivesi seulement i, 71. n = 0 [Tet MonaRAKELEAGHATE | ~25~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF ® Distance d'un pointa wi plan Soit (P) un plan d'équation ax + by + cz + d= Oet A(x; ¥q; Za) un point de l'espace Ladistance dc point A au plan (P) est: d(A; (P)) = eaaseactl + Etude analytique de la sphire Equation d'une sphire définie par son centre et son rayon Soient (S) une sphere de centre M(a; b; ¢) et de rayon R et M(x; ¥;2) un point de Uespace MeS(Q;R) = OM=R & (x-a)? + (y-b)? + (Z-0)? = R? ~ L’équation cartésienne de la sphere S(O; R) s'éorit : (x - a)? + (y - b)? + @- 0)? = R* Ou: x? + y? + 2? -2ax- 2by -2ce2+d=0 ot: d=a? + b? + ¢* - R? Equation d'une sphere définie par un diambtre Soient A(x; Yq; Za) et BOxp: Yq; Zp) deux points de l'espace = Vensemble des points M (2x; :Z) quivérifient : MA . MB = 0 est la sphére de diamétre [AB] et son Equation cartésienne s'écrit : (x ~Xq)(X ~ Xp) + (Y~-¥A)O" Ye) + (Z- Za)(Z-ZQ) = 0 % Position relative d'un plan et d'une sphtre Soient (5) une sphére de centre et de rayon R, (P))um plan de Pespace, H le projeté orthogonal du point © surle plan (P) .on pose: d = d(0,(P)) Pour étudier la position relative la sphére (S) et le plan (P), on ealeul la distance d et on la compare avec le rayon R d>R d=R ad0 | a=0 [a -on remplace't par ty dans o on remplace t par t , puis Céquation (1) et on obtient fe point H Uinterseetion de (D) et (S) , on dit que: (D) et F dintersection (D) et (S) eee (P) nD) = {E:; F} % Leplan tangent A sphire ~ Leplan (P) est tangente a lasphire S(O; R) <> d(:(P)) =R = Le plan (P) est tangente la sphére $(; R) en A apour vecteur normal AG ~ La droite (AM) est arthogonale auplan (P); Me(P) <= AN.AM=0 Encalculant cv produit, on obtient l’équation cartésienne due plan (P) tangent a la sphére S(O; R) en A ‘> Leproduit vectoriel * Propriétés Soient t , B et W des vecteurs de espace, et K un réel ;on a: HAD= -(BAU) WA (kv) = (ki) AD = kA D) -UA(+W)=UAD4UAW .(CEW)AB=UAT+WAT © Deux vectewrs colingaires par ty dans téquation (1) . (P) A) On obtient les cewe points E Ladroite (D) ne coupe pas lasphére (5) = Les veetews Het B sont colinéaires <> TAT=O. = Les coordonnées du produit vectoriel de deux vecteurs a eas MOBARAK BL UAGUATE | <27~ 2 EME BAC SCIENCE - BIOF u(3)n0(%) y j= 2 Melis a|i+ff xe © Vecteur normal un plan SiA_, B et C sont trios points non alignés, alors le vecteur AB A AC est un vecteur normal ati plan (ABC) © Laire dun triangle — Liaire d'un parallélogrammne ~Lisire du triangle ABC est : = ||AB a AC|| ~ Lisire du parallélogramme ABCD est: ||AB A AC] © Distance d'un point Aune droite Soil (D) une droite passant par le point A et de-vecteur directeur = La distance du point M a la droite (D) est :d(M ,(D)) = wal Deux plans paraliles Fest un vecteur normal au plan (P) et i est un vecteur normal aun plan (Q), -(P)//Q) @ wan'=0 = TAM #O <> (P) ct (Q) secoupeentune droite (D) dont An’ est unvecteur directeur. BON COURAGE MES ELEVES Prof : MOBARAK EL BAGHATE MBK MATH = Prof. _ MOMARAK EL HAGHATE 5 ~28~ 2EMEBACSCIENCE-BIOF Sy CALCUL DE PROBABILITE + Dénombrement © Principe fondamental de dénombrement Soit E une expérience nécessitant choix Si le premier choix se fait de Ky fagon différentes, la deuxitme choix se fait de Ky fiagon différentes et. lem choix ce fait de ky fagon différentes, alors de résultats possibles est le produit :Iky x Kz x Kg x x Ky ® Nombre d'arrangements avec répttition. Le nombre d'arrangements avec répetition de p déments choisis parmi n est 0” ® Nombre d’arrangements sans répétition Le nombre diarrangements sans répétition de p elements choisis parmin est: AP, Onécrit: AX =n (n= 1)x(n=2)x..x(n=p+1) ave (1S psn) ‘* Nombre de permutations Le nombre de permulation de” éléments est : Al = nx (N- 1) x (N-2)x ax 2x1 On note se nombre par: nl etse lit: (Factoriellen ), n! = Ay. parconvention O1=1 et 1!=1 Nombre de combinaisons p Lenombre de combinaisons de p elements choisis parmir est: = # Régles de calcul Soient nde N* et p deN tels que OS psn pat pm Pp cp-1 pet pp cpt An= Go Soe SG CHO HG =n GCs =nwce=1 « C= 1 # Cas particulier Type de tirage Nombre de possil On tire au hasardl et successivement et avec remise p Tirage ordonne et avec = dléments parmin remise On tire aw hasard et successivement et sans remise p Tirage ordonne et avec a éléments parmin remise Pete MODARAKEL BAGHATE | ~29~ 2. EME BAC SCIENCE - BIOF On reas hasard et simullanément p ements parmin ch > Probabilité d'un éxénement «Stabilité de la friquence un événement Soit 1. [univers d'une expérience aléatoire Lorsque la fréquence d'un événement élémentaire (a;} se stabilise en une valeur pj , on dit que la probabilité de l'éénement {aj} est pj et on note: P(fac}) = py ~ soit A = {ay j a2 549 jj An} uNevénement inclus dans. PCA) = Pit P2 + Bs +++ Pn ~ pour tout événement Ade ;ona: 0 < P(A) $1 =-P(AY=1 et PO)=0 = si A et B sont dewx événements de 0 alors : P(AUB) = P(A) + P(B) = P(AMB) = iA et B sont deux événements incompatibles (ANB = @ ),, alors: (AUB) = P(A) + P(B) = pour tout événement A de, A est levenemant contraére de A : P(A) = 1 - P(A) ~ [éénement ANB est realise si les dewx événements A et B sont verifies ~ [évinement AUB est réalisé si au moins l'un des événements A et Best vérifié © Léquiprobabilité Soit O luenivers d'une experience aléatoire ~ Si tous les événiement dlémentaires ont la méme prohabilité, on dit que la probabilité est uniforme ou gion est dans le cas de ltquiprobabilite card(A) card(Q) % Prohabilité conditionnelle Act B deux &enements associes i une méme expérience aléatoire telle que : P(A) + 0 = La prohabilité de lévinement B sachant que l’événement A est réalise est le nombre P,(B) ou P(B/, /n) PCAN. definie par : Py (B) a ~ SiAcet B deux événements associes & une méme expérience aléatoire telle que: P(A) # O et P(B) #0 ,alors: P(A. B) = P(A) x Pq(B) et P(A MB) = P(B) x Py (A) Dans eas, ona: P(A) = k Pool: MOBARAK ELBAGIATE | ~30~ 2 EME BAC SCIENCE- BIOF ~ Sif.= BUF et EMF = @. alors: P(G) = P(GNE) + P(GNF) P(G) = P(E) x Pe(G) + PCF) x Pe(G) (cette loi appelée Loi de probabilté total ) Indépendance de dewe évinements Soient A et B deux éénements associés d une méme expérience aléatoire = Ondit que A et B sont indépendance si: P(A 9 B) = P(A) x P(B) = AL B sont indépendant veut dire que la réalisation de lun d'entre ewe ninflue pas celle de Vauitre Variable aléatoires — Loi de probabilité © Variable aléatoire ~on appelle variable aléatoire, toute fonction X de dans RR. , quid toute éventualité ( élément de 2.) associé un reel. Llensemble des valeurs prises par X est note :X((2) = {x1 j ¥2 5X3 5-3 Xn} ~Lévénement: ( X =X; ) est lensemble des éventualités de M auoc quelles on associge le réel X; -Vévénements:(X > Xp Jest l'ensemble des éventualités de 2 aux quelles on associé un réel supérieur dX; © Loi de probabilité Définir la loi de probabilité de la variable aléataire X consiste & associer A chaque valeur xj de X(@) , la probabilite de l'evenement (X = xj ). Cela revienttcalculer la probabilité de chaque événement : (X =x; Jowie (15233; ..in) obabilité de la variable aléatoire X par le tableau : = Lespérance mathématique de la variable aléatoire X est le nombre réel noté E(X) défini par : E(X) = x1 Pi +22 D2 + X3 Ps +... + Xn Pn = Lavariance de la variable aléatoire X est le nombre réel nolé V(X) défini par + V(X) = 94? py +2? Pa + X5* py + + 2n? Pn - (EQ) * = Vécart-type de la variable aléataire X est le nombre réel noté o(X) defini par: o(X) = (VO) fet : MOBARAK BLBAGHATE | ate 2 EME BAC SCIENCE - BIOF ~ Sif.= BUF et EMF = @. alors: P(G) = P(GNE) + P(GNF) P(G) = P(E) x Pe(G) + PCF) x Pe(G) (cette loi appelée Loi de probabilté total ) Indépendance de dewe évinements Soient A et B deux éénements associés d une méme expérience aléatoire = Ondit que A et B sont indépendance si: P(A 9 B) = P(A) x P(B) = AL B sont indépendant veut dire que la réalisation de lun d'entre ewe ninflue pas celle de Vauitre Variable aléatoires — Loi de probabilité © Variable aléatoire ~on appelle variable aléatoire, toute fonction X de dans RR. , quid toute éventualité ( élément de 2.) associé un reel. Llensemble des valeurs prises par X est note :X((2) = {x1 j ¥2 5X3 5-3 Xn} ~Lévénement: ( X =X; ) est lensemble des éventualités de M auoc quelles on associge le réel X; -Vévénements:(X > Xp Jest l'ensemble des éventualités de 2 aux quelles on associé un réel supérieur dX; © Loi de probabilité Définir la loi de probabilité de la variable aléataire X consiste & associer A chaque valeur xj de X(@) , la probabilite de l'evenement (X = xj ). Cela revienttcalculer la probabilité de chaque événement : (X =x; Jowie (15233; ..in) obabilité de la variable aléatoire X par le tableau : = Lespérance mathématique de la variable aléatoire X est le nombre réel noté E(X) défini par : E(X) = x1 Pi +22 D2 + X3 Ps +... + Xn Pn = Lavariance de la variable aléatoire X est le nombre réel nolé V(X) défini par + V(X) = 94? py +2? Pa + X5* py + + 2n? Pn - (EQ) * = Vécart-type de la variable aléataire X est le nombre réel noté o(X) defini par: o(X) = (VO) fet : MOBARAK BLBAGHATE | ate 2 EME BAC SCIENCE - BIOF Loi Binomiales = On considére une expérience aldatoire E et A un événement issu de E tel que P(A) = p On répate cette expérience n fois de suite dans les memes conditions et de fagons indgpendantes et on Siintéresse, seulement, au fait que lévénement A soit réalisé ou non ~ Soit X la variable aléatoire égale au nombre de fois que 'évinement A se réalise au cours de cette expérience, on dit que la variable algatoire X suit une loi binomiale de paramstre n et «la loi de probabilité de X est appelée loi binomiale , on la note B(n,p) ‘SLX une variable aldatoire suit une loi binomiale de paramétre n et p , alors: - les valeurs prises par X sont:0;1;2;3;...;m.cest-d-dire:X(Q) ={0;1;2;3;..;n) - La loi de probabilite de X est définie par:

Vous aimerez peut-être aussi