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Thème
1
DEDICACES
A mes parents :
2
REMERCIEMENTS
de notre stage.
3
RESUME
4
ABSTRACT
GSM.
5
SOMMAIRE
DEDICACES …………………………………………………………………….……………i
REMERCIEMENTS………………………………………………………………………….ii
RESUME..……………………………………………………………………………………iii
ADSTRACT……..………………………………………………………………........……..iv
SOMMAIRE…………………………………………………………………………………..v
GLOSSAIRE…………………………………………………………………………………xi
INTRODUCTION GENERALE……………………………………………………………..1
I - Le Champ électrique……………………………………………………..13
II- La directivité……………………………………………………………….13
III- Le gain……………………………………………………………………13
6
III- les antennes adaptatives et la détermination de l’angle d’arrivée
des signaux incidents……………………………………………………..33
7
II - Description de l’antenne……………………………………………59
I- Description de l’algorithme………………………………………97
II- Proposition d’un algorithme de gestion de l’antenne ………..99
CHAPITRE 11 : DISCUSSION………………………………………………………….103
8
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES………………………………………………...108
ANNEXES………………………………………………………………………………….112
SUMMARY……...…………………………………………………………………………119
TABLE DES MATIERES…………………………………………………………………128
9
TABLE DES ILLUSTRATIONS
Figure 7.3 : Positions et valeurs des déphaseurs dans une matrice non
standard 16x16………………………………………………………………………..67
10
Figure 7.9 : Schéma représentatif d’un réseau linéaire à gradient de phase
…………………………………………………………………………………………….74
11
GLOSSAIRE
B
BCCH: Broadcast Control CHannel
C
CBCH: Cell Broadcast CHannel
D
DCS: Digital Communication System
F
FACCH: Fast Associated Control CHannel
12
FDMA: Frequency Division Multiple Access
G
GMSC: Gateway Mobile Switching Center
H
HLR: Home Location Register
I
IMEI: International Mobile Equipment Identity
L
LAPD: Link Access Protocol on the D Mobile
M
MAP: Mobile Application Protocol
N
NSS: Network SubSystem
O
OMC: Operating and Maintenance Center
P
PAR: Puissance Apparente Rayonnée
13
PCH: Paging CHannel
T
TA: Timing Advance
U
UMTS: Universal Mobile Telecommunications System.
V
VLR: Visitor Location Register
14
INTRODUCTION GENERALE
15
GSM et donc diminuer l’encombrement du canal radio. Pour ce faire,
ce mémoire abordera à travers ses différents chapitres les points
suivants : la présentation des antennes intelligentes, l’étude du réseau
GSM, l’intégration des antennes intelligentes dans le réseau GSM, la
proposition d’un algorithme pour la gestion du diagramme de
rayonnement, et enfin l’évaluation des performances de la nouvelle
antenne.
16
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
17
CHAPITRE 1 :
18
Introduction
Fréquences d’utilisation
Directivité
19
(lesquelles) l’antenne va émettre. En GSM, il existe deux grands types
de directivités pour les antennes :
Omnidirectionnelle :
Directionnelle
20
blanche d’environ 2 m de haut, 20 cm de large et 10 cm d’épaisseur,
alors que pour les micro cellules, ce sont de petits panneaux d’une
vingtaine de centimètres de haut, 10 cm de large et quelques
centimètres d’épaisseur.
Ces antennes panneaux sont directionnelles, elles
émettent seulement dans la direction dans laquelle elles sont
orientées, ce qui permet de limiter le champ de propagation d’une
fréquence pour pouvoir ainsi la réutiliser à une distance proche, sans
risque de brouillage.
Portée
21
premier étant la micro (petite) ou pico (très petite) cellule qui couvre
une zone de taille réduite (rayon ≤ 2km). Le deuxième type est celui
des macro-cellules qui couvrent des zones de grande superficie (rayon
≤ 35km).
Gain – Puissance
Azimut
22
Tilt
III- Problématique
23
destinée à un seul usager dans toute la cellule. Cela a pour
conséquence, une perte d’énergie considérable pour l’opérateur GSM.
24
système existant est opérationnel, ces opérateurs n’ont pas jugé utile
d’adopter cette solution. De plus, l’UMTS a connu ses débuts en 2002,
année où cette antenne a été proposée. Les opérateurs ont préféré
migrer du GSM vers l’UMTS plutôt que d’améliorer les performances
du réseau GSM existant.
Conclusion
Ce chapitre a situé le travail à faire. Les chapitres suivants
présenteront les principaux concepts et théorie dont on aura besoin
tout au long de ce travail.
25
CHAPITRE 2 :
26
INTRODUCTION
I - Le Champ électrique
II- La directivité
,,
, = (2.2)
,,
III- Le gain
Pour une antenne quelconque dont le champ électrique émis est [8]:
'(
, , = , , , (2.5)
Conclusion
28
CHAPITRE 3 :
29
Introduction
30
Les antennes réseaux peuvent avoir différentes
géométries: réseaux linéaires, réseaux planaires et réseaux
circulaires, (Figure 3.1). Le champ total rayonné par le réseau est
déterminé par l’addition des vecteurs champs rayonnés par les
différents éléments. Si on veut rendre un modèle très directif, il est
essentiel que les champs interfèrent de manière constructive dans les
directions exigées et interfèrent nuisiblement dans l’espace restant.
31
II- Les antennes intelligentes
32
un dispositif de poursuite, une sorte de signature spatiale. C’est
comme doter chaque téléphone cellulaire de sa propre liaison sans fil.
3- Il faut moins d’énergie à la station de base pour focaliser
un signal sur 20 degrés (cas des stations de base intelligente) qu’il en
faut pour l’orienter sur 360 degrés.
Donc, en ajoutant un éventail d’antennes et en ayant
recours à un mode perfectionné de traitement numérique des signaux,
on peut créer les antennes intelligentes.
dont les sorties sont pondérées par un terme complexe ω avant d'être
sommées entre elles. L'unité de contrôle des pondérations permet de
mettre en forme un diagramme de rayonnement par l'ajustement
"intelligent" de l'amplitude et (ou) de la phase avec laquelle se
combinent les signaux reçus (ou émis) sur les différents éléments.
33
Figure 3.2 : Schéma représentatif d'une antenne adaptative [1]
34
Si nous supposons que le premier élément de réseau est
la référence de phase, le déphasage relatif du signal reçu au nième
élément est [1] :
+1C7D*
7 = ∗ FG"H (3.2)
E
7 D*
Y(t) = ∑]
7^* e wS exp jwt + {V2π. X sinθs} (3.4)
E
36
dont la géométrie dépend de la puissance d'émission des mobiles, des
gains des antennes d'émission et de réception et des conditions de
propagation. Il est alors possible de réutiliser le même canal de
communication (par canal, on entend une bande de fréquences, un
temps slot ou un code unique en CDMA) dans une autre cellule
suffisamment éloignée de telle sorte que l'interférence Co-canal soit
négligeable.
37
rayon d'une cellule. La distance D de réutilisation des fréquences est
donnée par la relation [2] :
= _√3b (3.5)
38
L'inconvénient est une complexité accrue au niveau de la
station de base pour deux raisons :
mise en œuvre d'un réseau d'antennes : augmentation
du matériel, calcul des pondérations...,
il faut éviter que les directions d'incidence des signaux
39
Figure 3.5 : Principe de la technique SDMA [1]
40
déploiement sont sélectionnés pendant l’opération. Quand un mobile
entre dans un macro-secteur particulier, le système sélectionne le
micro-secteur contenant le signal le plus puissant. Pendant l’appel, le
système écoute la puissance de signal et la commute vers d’autres
micro- secteurs fixes quand c’est nécessaire.
Les limitations de ce type de système reposent sur le fait
que la commutation du mobile d’un micro-secteur à l’autre peut ne pas
être suffisamment rapide pour empêcher une dégradation de la
communication.
Pour former les faisceaux multiples, un choix de N
éléments d’antenne est relié à N ports des faisceaux. Cette
architecture, est généralement connue sous le nom de réseau
d’alimentation de faisceaux (Beamforming Network). Un résultat
simple de réseau est formé quand des signaux induits sur différents
éléments de réseau sont combinés. Cette méthode de combinaison
des signaux de plusieurs éléments est appelée Formation De Faisceaux.
Plusieurs techniques existent et fournissent ces faisceaux
fixes. Dans cette section, nous présenterons la matrice de BUTLER, la
matrice de BLASS, et la matrice de NOLEN.
Matrice de Butler
41
de déphaseurs fixes. La Figure 3.6 montre un diagramme schématique
d’une matrice de Butler 4x4.
Figure3. 6 : Schémas des matrices de Butler 4x4 :(a) matrice non standard, (b)
matrice standard [2].
42
La formation des faisceaux multiples est possible, mais il y
a une limitation. Deux faisceaux adjacents formés simultanément
fusionnent et produisent un faisceau simple. La matrice de Butler
présente de nombreux avantages :
un réseau simple employant peu de types de
composants (des coupleurs et des déphaseurs fixes).
les faisceaux produits ont une largeur étroite et une
bonne directivité.
elle réalise le pointage électronique dans l’espace sans
mouvement mécanique dans le procédé de balayage.
elle est théoriquement "sans perte" puisque les pertes
d'insertion dans les coupleurs, les déphaseurs et les lignes de
transmissions utilisés ne rendent pas le système impraticable.
Matrice de Blass
43
transmissions reliées à un réseau d'antennes (N éléments) qui est
intersecté par l’ensemble de lignes des M ports de faisceaux, avec un
coupleur à chaque intersection. La Figure3.7 montre un exemple pour
un réseau 3 éléments, mais aussi une matrice de Blass conçue avec
un nombre quelconque d’éléments.
44
les faisceaux formés peuvent être produits en
commandant les rapports de couplage des coupleurs directionnels (la
pondération en amplitude est possible pour chaque faisceau) ;
le temps de retard assure une certaine constance des
faisceaux avec la fréquence.
Matrice de NOLEN
45
Figure 3.8 : Schéma représentatif de matrice de NOLEN [1]
46
III- les antennes intelligentes et la détermination de l’angle
d’arrivée des signaux incidents
47
Figure3.9 : Configuration de l'antenne pour la formation de voies [2]
Conclusion
48
CHAPITRE 4 :
49
Introduction
50
le sous-système réseau ou d'acheminement (NSS).
le sous-système opérationnel ou d'exploitation et de
maintenance (OSS).
L’architecture du réseau GSM peut être schématisée comme suit [19] :
Le mobile
51
qui est indispensable pour accéder au réseau. Cette carte contient, sur
un microprocesseur, les informations personnelles de l'abonné.
Le téléphone portable est identifié par le numéro IMEI
(International Mobile Equipment Identity). La carte SIM, quant à elle,
contient le numéro IMSI (International Mobile Subscriber Identity),
mais aussi une clé secrète pour la sécurité, ainsi que d'autres
informations. Les numéros IMEI et IMSI sont indépendants, ce qui
permet la séparation du téléphone portable et de la carte SIM. De
plus, la carte SIM protège l'abonné des connections frauduleuses par
l’introduction d’un numéro d'identité personnel (code PIN) lors de
l’accès au réseau.
52
gère la concentration des circuits vers le MSC. Elle joue le rôle de
relais pour les différents signaux d’alarme destinés aux centres
d’exploitation et de maintenance. C’est un maillon très important de la
chaîne de communication et le seul équipement du sous-système BSS
à être directement gérable depuis les sous-systèmes d’exploitation et
de maintenance.
54
couverture, ses données sont transmises à un autre VLR ; les
données suivent l'abonné en quelque sorte.
55
III- Description des canaux
56
L’accès multiple par division temporelle offre la totalité de
la bande de fréquences à l’utilisateur pendant une fraction de temps
donnée (TS = 577microsecondes). L’émetteur de la station mobile
stocke les informations avant de les transmettre sur un slot. Les
différents slots sont regroupés sur une trame, le système offrant ainsi
plusieurs voies de communication aux différents utilisateurs. La
succession des slots dans les trames forme le canal physique de
l’utilisateur. Le récepteur enregistre les informations à l’arrivée de
chaque slot et reconstitue le signal à la vitesse du support de
transmission. Cette technique s’utilise principalement pour la
transmission de signaux numériques
57
sont transmises sur un slot. Les différents canaux logiques du GSM
sont présentés dans l’annexe 1.
Figure 4.2 : Schéma d’un motif élémentaire et d’un ensemble de motifs du GSM [13]
58
zone géographique. C'est par le principe de réutilisation des
fréquences qu'un opérateur peut augmenter la capacité de son
réseau. En effet, il lui suffit de découper une cellule en plusieurs
cellules plus petites et de gérer son plan de fréquences pour éviter
toute interférence
Des études ont montré que la distance de réutilisation de
fréquence est donnée par la formule [13]:
≥ _ √3e (4.3)
59
Pour permettre le basculement d'un mobile du mode
réception en mode émission, la norme GSM prévoit un décalage de 3
slots. Plus précisément, le mobile émet des informations 3 slots après
réception des signaux envoyés par la station de base. Malgré tout, les
informations envoyées par les différents mobiles autour d'une même
fréquence porteuse entre en collision au droit de la station de base si
la distance entre les mobiles et l'antenne est fort différente d'un mobile
à l'autre. Pour éviter des collisions, certains mobiles (les plus distants)
doivent avancer le moment de l'envoi. La durée de l'avance temporelle
de l'envoi est appelée Timing Advance (TA). Elle est fournie
dynamiquement par la station de base.
Le codage
60
IV-4- La gestion des déplacements
Itinérance
Handover
Conclusion
Ce chapitre nous a présenté de façon brève la technologie
GSM. Les chapitres qui suivront présenteront le cadre de l’étude
61
DEUXIEME PARTIE : CADRE DE L’ETUDE
62
CHAPITRE 5 :
63
Introduction
TS0
FCCH (Frequency Correction CHannel) : c’est un canal
descendant qui diffuse un signal régulier, une sinusoïde pure
permettant aux mobiles de se synchroniser en fréquence.
64
SCH (Synchronisation CHannel): c’est toujours un canal
descendant qui diffuse une séquence d’apprentissage longue
permettant aux mobiles d’acquérir une synchronisation temporelle fine
avec le réseau
65
exemple pour une mise à jour de localisation et notamment de la
signalisation relative à l’établissement d’un appel. Il possède son
propre SACCH associé et transporte également les messages courts
(SMS).
66
SACCH (Slow Associated Control CHannel) : ce canal
accompagne toujours un canal TCH ou un canal SDCCH pour
transporter la signalisation à bas débit destinée à contrôler la
transmission du canal associé. Dans le cas présent, il accompagne le
TCH.
Conclusion
67
TROISIEME PARTIE :
MATERIELS ET METHODES
68
CHAPITRE 6 :
69
Introduction
70
Conclusion
71
CHAPITRE 7 :
72
Introduction
II - Description de l’antenne
73
utilisateurs. Toutefois, notre système pourra commuter vers un
diagramme couvrant simultanément tout le secteur au moment où le
besoin se fera sentir (au moment de l’envoi des messages de
diffusion).
75
IV -1-2- Etude de la matrice de Butler
IV -1-2-1 Présentation
Généralités
76
Familles de la matrice de Butler
77
Les déphaseurs passifs
E(
g = ∗ (7.1)
hi0°
Les croisements
Le circuit de la matrice de Butler au delà du 2*2 n’est plus
planaire. Cela nécessite donc des croisements quand l’on veut réaliser
la matrice sur une surface plane (matrice réalisée en technologie
78
micro-ruban par exemple). A des fréquences élevées, ces croisements
sont la source de parasites et de pertes.
IV -1-2-4 Dimensionnement d’une matrice de Butler
Le dimensionnement d’une matrice de Butler consiste à
déterminer les éléments à utiliser et en quel nombre. Nous allons dans
le cadre de notre étude dimensionner une matrice de Butler non
standard N*N (soit N entrées et N sorties). Il faut dire que le choix de
l’ordre de la matrice dépend du nombre de faisceaux que l’on veut
générer.
La matrice non standard utilise H coupleurs (3 dB, 180°), P
déphaseurs fixes et C croisements dont les nombres sont donnés par
les formules suivantes [3]:
]
k = log + e (7.2)
+
qrs ] ]
= ∑p^*2 4 − 2pD* 8 (7.3)
+
qrs ]
c = ∑p^*2 4e2pD* − 1/28 (7.4)
79
Positions et valeurs des déphaseurs dans la matrice
]
p = − 2pD* (7.5)
+
80
Figure 7.3 : Positions et valeurs des déphaseurs dans une matrice non standard
16x16 [3]
81
• la première entrée produit un gradient de phase négatif,
ensuite, le gradient de phase est tantôt positif, tantôt négatif.
La Figure 7.4 [3] présente les gradients de phase de la
matrice 16x16 non standard.
Figure 7.4 : Valeurs des gradients de phase de la matrice 16x16 exprimées en multiple de
π/16 [3]
+∗u∗1
= ]
(7.6)
83
Présentation de la matrice et de son diagramme de
rayonnement en fonction du port d’entrée sollicité [3]
• Voie 1L : - 90°
• Voie 1R : + 90°
• Voie 0 : 0°
Evolution du dépointage en fonction du pas du réseau d [3]
84
Figure 7.7 : Evolution du dépointage en fonction du pas du réseau d [3]
85
IV -2- Le bloc ‘’Estimation de la direction d’arrivée‘’
87
Figure 7.9 : Schéma représentatif d’un réseau linéaire à gradient de phase [1]
Avec :
= ,= , = + % , est la longueur d’onde.
On a:
|yz|
w = b α ∑7D*
^0 |
}~
(7.8)
|{w|
Posons :
|yz|
0 = b α (7.9)
|{w|
w = 0 ∑7D*
^0 |
}~
(7.10)
~
|H7 |
|w | = |0 | 2
~ (7.11)
|H7 |
2
88
Nous désirons que EM atteigne sa valeur maximale dans la
~
|H7 |
2
direction où ~ atteint sa valeur maximale pour un contrôle de la
|H7 |
2
Conclusion
Ce chapitre nous a permis de présenter les différents choix
techniques effectué pour la mise sur pied de l’antenne intelligente que
nous proposons.
89
QUATRIEME PARTIE :
RESULTATS ET DISCUSSION
90
CHAPITRE 8 :
91
Introduction
92
II – Simulation des différents faisceaux que peuvent générer
l’antenne proposée et du faisceau unique de l’antenne sectorielle
'(
| , , | = | | ∗ | cos | (8.1)
'( |S ∗0.∗+1H7∅|
| , , | = ∗ |F| ∗ 2
(8.2)
7|S 0.∗+1H7∅|
2
93
|S ∗0.∗+1H7∅|
• |F| ∗ 2
pour le réseau d’antennes
7|S 0.∗+1H7∅|
2
Figure 8.2 : Représentation de l’énergie rayonnée par une antenne sectorielle et par
les différents faisceaux d’une antenne intelligente
NB : Toutes les simulations effectuées dans ce document ont sur l’axe des
ordonnées l’énergie rayonnée dans le plan horizontal et sur l’axe des
abscisses l’angle de couverture .
94
III – Tableau récapitulatif des caractéristiques de l’antenne
proposé
Nombre de
faisceaux 1 1 1 2
générés
Gradients de
phase + 90° - 90° 0° 180°
correspondant
à la sortie
Direction de
pointage du 20° -20° 0° 45°/-45°
faisceau
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté les différentes
caractéristiques du système intelligent proposé.
95
CHAPITRE 9 :
96
Introduction
• Antenne sectorielle :
* '
) = - - ∗ cos + . .
(
(9.1)
+,
* '
) = - + . -cos + .
(
(9.2)
+,
Posons
1 0
+ . =
2
On a donc :
= ∗ -¡¢£ ¤ ¤ (9.3)
• Réseau d’antennes :
* '( |S ∗0.∗+1H7∅|
) = - - ∗ cos 2
+ . . (9.4)
+, 7|S 0.∗+1H7∅|
2
* '( |S ∗0.∗+1H7∅|
) = - . -cos
+ 2
+ . (9.5)
+, 7|S 0.∗+1H7∅|
2
97
%
|£¥ ∗.¦∗
%¤∅|
= ∗ -¡¢£ ¤
§ ¤ (9.6)
%|£¥ .¦∗
%¤∅|
• Antenne sectorielle
i0
) = ∗ -Di0cos + . (9.7)
≈ . ∗ (9.8)
• Antenne réseau
∅ = °
i0 |S ©∗0.∗*ª0H7| +
) = ∗ -Di0cos . (9.10)
©|S 0.∗*ª0H7|
≈ §«. ¬« ∗ (9.11)
∅ = °
|S +∗0.∗hi0H7®0|
) = ∗ -cos + . (9.12)
©|S 0.¯∗0.∗hi0H7®0|
≈ §. ° ∗ (9.13)
98
∅ = −°
|S +∗0.∗hi0H7D®0|
) = ∗ -cos + . (9.14)
©|S 0.¯∗0.∗hi0H7D®0|
≈ §. ±« ∗ (9.15)
∅ = §«°
|S +∗0.∗hi0H7*ª0|
) = ∗ -cos + . (9.16)
©|S 0.¯∗0.∗hi0H7*ª0|
≈ ±. ° ∗ (9.17)
99
Voie 1L et voie 1R
L’énergie rayonnée se présente comme suit :
≈ ¬, ∗ (9.18)
Voie 1L et voie 0
100
L’énergie rayonnée se présente comme suit :
≈ ¬¦. ∗ (9.19)
101
L’énergie rayonnée se présente comme suit :
Figure 9.3 : Représentation de l’énergie rayonnée quand les voies 1L et 2RL sont sollicitées
≈ °±. ° ∗ (9.20)
Voie 1R et voie 0
102
L’énergie rayonnée se présente comme suit :
Figure 9.4 : Représentation de l’énergie rayonnée quand les voies 1R et 0 sont sollicitées
≈ ¬«. ∗ (9.21)
103
L’énergie rayonnée se présente comme suit :
Figure 9.5 : Représentation de l’énergie rayonnée quand les voies 1R et 1RL sont sollicitées
≈ °±. § ∗ (9.22)
104
Figure 9.6 : Représentation de l’énergie rayonnée quand les voies 0 et 1RL sont sollicitées
≈ °¬. «° ∗ (9.23)
4 voies simultanées
105
Figure 9.7 : Représentation de l’énergie rayonnée lorsque les 4 voies sont sollicitées
≈ °. ¬« ∗ (9.24)
II – Illustration des résultats obtenus par des histogrammes
Les différents résultats obtenus sont illustrés par les
histogrammes suivants :
106
Puissance nécéssaire pour rayonner les
différents faisceaux
70
60
50
40
30 Puissance nécéssaire pour
rayonner les différents
20 faisceaux
10
0
Sectorielle Voie 0 Voie 1L Voie 1R Voie 2RL
(-90°) (90°) (180°)
60
50
40
Puissances nécéssaire pour
30
rayonner les différents
20 faisceaux pris par paire
10
0
Sectorielle Voies 1L Voies 1L Voie 1L et Voies 1R Voies 1R
et 1R et 0 2 RL et 0 et 2RL
107
Puissance nécéssaire pour rayonner les 4
faisceaux simultanéments
70
60
50
40
Puissance nécéssaire pour
30 rayonner les 4 faisceaux
simultanéments
20
10
0
Sectorielle les 4 voies
Conclusion
108
CHAPITRE 10 :
109
Introduction
I- Description de l’algorithme
Le bloc de commutation
110
Pour les timeslots 0 et 1, le commutateur sélectionne tous
les ports.
Pour les timeslots 2 à 7, le commutateur exploite les
informations reçues du bloc estimation de l’angle d’arrivée. Il faut dire
que la voie descendante de la BTS est en avance de 3 timeslots par
rapport à la voie montante [17]. Cela veut dire qu’avec un mobile calé
sur un timeslot donné, la BTS émet et reçoit à des TS différents. La
BTS peut donc émettre vers un mobile donné et recevoir d’un autre
mobile au cours du même TS.
111
II- Proposition d’un algorithme de gestion de l’antenne
i,j : Compteurs.
112
III-2-Algorithme de gestion de l’antenne
113
114
Figure 10.2 : Algorithme de gestion du diagramme de rayonnement
Conclusion
115
CHAPITRE 11 :
DISCUSSION
116
Introduction
117
II – Appréciation du système proposé par rapport aux
interférences Co-canal
Conclusion
118
CONCLUSION GENERALE ET SUGGESTIONS
120
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
121
[5] RICHARD ROY et THOMAS KAILATH, 1989.ESPRIT- Estimation of
Signal Parameters via Rotational Invariance Techniques.IEEE
Transactions on acoustics, speech, and signal processing, Vol.37, 12 p.
[7] FATNA BEN AHMED DAHO, 2008. Détection des Angles en 2-D.
Rapport de stage en Master Recherche 2ème année, Université de
Limoges, 50p.
122
[10] TRAII MBAREK, GHAYOULA RIDHA ET GHARSALLAH ALI, 2007.
Conception et évolution d’une nouvelle matrice de Butler 4*4 alimentant
une antenne réseaux. 4ème conférence internationale : Science de
l’Electronique, Technologie de l’information et de la Télécommunication,
TUNISIE, 5 p.
http://www.setit.rnu.tn/last_edition/setit2007/E/225.pdf; consulté 20 août
2010.
123
[15] XAVIER LAGRANGE et PHILIPPE GODLEWSKI, L'interface radio
GSM. Telecom Paris, 8 p.
http://www.infres.enst.fr/~ram/IMG/pdf/GsmCch4PF00.pdf; consulté le 15
septembre 2010.
http://www.prnewswire.co.uk/cgi/news/release?id=80755; consulté le 20
août 2010.
[19] J. BOUTKHILI, 2007. Les acteurs et les enjeux des réseaux NGN.
Mastère Manager Telecom INT d’Evry / INPT Rabat, 65p.
[21] Julien DELMAS, 2006. Les relais GSM. Paris, France, 42p.
http://lesrelaisgsm.juliendelmas.com/php/download/Les_relais_gsm_200
72006.pdf, consulté le 20 septembre 2010.
125
Annexe 1 : Les différents canaux logiques
126
Annexe 2 : Méthodes d’estimation de l’angle d’arrivée
Modèle du signal:
<² = . /² + e0 ²
X t S t N t
; * B ; * B ; 0* B
X t S t N t
: + A : + A : 0+ A
: . A = 4aθ* , aθ+ , … , aθµ 8. : . A+: . A
: . A : . A : . A
: . A : . A : . A
9X³ t@ 9Sµ t@ 9N0³ t@
Où
- S est l’enveloppe complexe des K sources de dimension [K x 1].
- ¸ = 4¹º§ , ¹º , … , ¹º 8 est la matrice réponse du réseau d’antennes de
dimension [M x K], et ¹º = 4»D∅§, , »D∅, , … , »D∅, 8¼ est le vecteur
directionnel lié à la kième source où ∅½, = ½ − §. % º représente le
_¾¾ = . _HH . ¿ + À + Áw
Où :
Rss est la matrice de covariance du signal S, elle est carrée, et de rang K.
La quantité Â Ã correspond à la matrice de covariance du bruit de taille MxM,
 est la variance du bruit et est la même pour tous les capteurs, à est la
matrice d’identité MxM.
Dans la pratique, la matrice de corrélation est estimée par
la quantité :
1
_¾¾ = <. < ¿
e
Dès lors que la matrice de covariance Rxx est estimée, les
méthodes à hautes résolution peuvent être utilisées pour l’estimation des
directions d’arrivée des signaux RF.
La matrice Rxx étant hermitienne et définie positive, ses
valeurs propres sont réelles et positives. Ses M valeurs propres non
nulles sont classées par ordre décroissants et les M-K dernières valeurs
propres sont égales à À + , on peut écrire :
§ ≥ ≥ ⋯ ≥ ≥ § = ⋯ =
Méthode MUSIC
Æ = Å* , Å+ , … , Åp .
129
Les zéros de cette fonction correspondent aux directions
d’arrivée.
Méthode ESPRIT
130
Où
-A est la matrice réponse d’un sous-réseau de dimension [M*K]
-Rss est la matrice de corrélation des signaux incidents.
Le sous-espace signal H = [Å* , Å+ , … , ÅÌ 8 du réseau entier peut être
décomposé en deux sous-espaces E1 et E2. Ces deux sous-espaces
sont les matrices de dimension [(M-1) x K] et sont engendrés chacun par
les K vecteurs propres correspondant aux K plus importantes valeurs
propres des matrices de covariance des sous-réseaux 1 et 2.
H est engendré par les vecteurs propres liés aux K plus grandes valeurs
propres de la matrice de covariance du vecteur d’observation total. Il
peut être décomposé en deux sous-espaces E1 et E2 de dimension
[(M-1) x K] qui sont les sous-espaces signal respectifs des sous-réseaux
1 et 2. On peut écrire alors :
H = È * É
+
H = È * É
* . Ψ
On désigne par Ψ , la matrice de translation liant les deux sous-espaces
E1 et E2,
§ §
Où = ¼D§ . ∅. ¼, ¹Î»Ï ¼ = Ч . Ч§ Ñ , Ч§ = Ò Ó§ . Ó§ » Ч = . Ó . Ó§ Ñ
Ò
131
SUMMARY
132
Improvement of the performances of the GSM network by the
migration of the sector-based antennas towards smart antennas
Outline
Introduction
Conclusion
133
Introduction
I- Survey of the possible interactions between the mobile phone and the
BTS
135
Grant Channel). This SDCCH comes with a channel of supervision
that is the SACCH (Slow number Associated Control Channel).
136
During communication, the following channels are
requested: TCH, SACCH, FACCH as well as diffusion channels.
137
Diagram 4: Overall block diagram of the intelligent antenna to be
used
The signal sent out from the source comes up stream into
the switch block. The switch block, according to the information
received from the block ''Estimate of the coming way'' directs the
radiated signal of the system towards the useful point of the power
supply network. This last assigns therefore to direct the diagram of
radiance of the system in the useful direction.
138
III - Description of the different beams radiated by the smart antenna
Number of
beams 1 1 1 2
generated
Gradients of
phase + 90° - 90° 0° 180°
corresponding
to output
Beam check
direction 20° -20° 0° 45°/-45°
139
IV- Evaluation of the proposed system
Conclusion
140
TABLE DES MATIERES
DEDICACES …………………………………………………………………….……………i
REMERCIEMENTS………………………………………………………………………….ii
RESUME..……………………………………………………………………………………iii
ADSTRACT……..………………………………………………………………........……..iv
SOMMAIRE…………………………………………………………………………………..v
GLOSSAIRE…………………………………………………………………………………xi
INTRODUCTION GENERALE……………………………………………………………..1
I - Le Champ électrique………………………………………………………………....13
II- La directivité…………………………………………………………………………....13
III- Le gain………………………………………………………………………………..…13
141
II-2- Structure d’une antenne Intelligente………………………..………….....19
142
DEUXIEME PARTIE : CADRE DE L’ETUDE………………………………………….48
II - Description de l’antenne………………………………………………………...59
VI-1-2-1 Présentation……………………………………………………….62
143
VI-1-2-4 Dimensionnement d’une matrice de Butler…….……………..65
VI-1-2-5 Présentation de la matrice de Butler à utiliser pour notre
système : la matrice de Butler non-standard 4*4………..……………..68
VI-1-2-6 Performances et propriétés de la matrice de Butler non
standard 4x4…………………………………………………..………………69
I- Description de l’algorithme………………………………………………….97
II- Proposition d’un algorithme de gestion de l’antenne …………………99
CHAPITRE 11 : DISCUSSION………………………………………………………….103
144
II – Appréciation du système proposé par rapport aux interférences Co-
canal……………………………………………………………………………………105
145