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Qu’est-ce que le cloud computing ?

Le cloud computing, également connu sous le nom de "informatique en nuage", est un modèle
de prestation de services informatiques qui permet aux utilisateurs d'accéder à des ressources
informatiques à la demande via Internet. Plutôt que de posséder et de gérer des serveurs
physiques ou des infrastructures informatiques locales, les utilisateurs peuvent louer ou acheter
des services et des ressources informatiques à des fournisseurs de cloud computing, tels que
Amazon Web Services, Microsoft Azure ou Google Cloud Platform.

Le cloud computing offre une grande flexibilité, une évolutivité et une résilience accrues,
permettant aux utilisateurs de bénéficier rapidement de ressources informatiques en fonction de
leurs besoins. Les services de cloud computing comprennent le stockage de données, le
traitement, l'analyse de données, l'hébergement de sites web, la fourniture de logiciels et de
plates-formes en tant que services, ainsi que la fourniture d'infrastructures en tant que services.

Principaux avantages du cloud computing :


Le cloud computing offre de nombreux avantages, notamment :

1. Évolutivité :

Les ressources informatiques dans le cloud sont facilement évolutives en fonction des
besoins des utilisateurs, ce qui permet une augmentation ou une diminution rapide des
capacités en fonction de la demande.

2. Flexibilité :

Les services de cloud computing offrent une grande flexibilité, permettant aux
utilisateurs de choisir les services dont ils ont besoin et de les utiliser à la demande, ce
qui peut réduire les coûts et les complexités de gestion des ressources informatiques.
3. Réduction des coûts :

Les utilisateurs du cloud computing peuvent économiser de l'argent en évitant l'achat


et la maintenance de serveurs physiques, d'équipements informatiques et de logiciels,
ainsi qu'en ne payant que pour les ressources qu'ils utilisent réellement.

4. Accès à distance :

Les utilisateurs peuvent accéder à leurs données et applications de n'importe où dans


le monde avec une connexion Internet, ce qui peut favoriser le travail à distance et la
collaboration en ligne.

5. Sécurité :

Les fournisseurs de cloud computing offrent généralement des mesures de sécurité


avancées pour protéger les données et les applications des utilisateurs contre les
attaques externes, les pertes de données et les erreurs humaines.

6. Sauvegarde et récupération des données :

Les fournisseurs de cloud computing offrent généralement des sauvegardes régulières


des données et des services de récupération en cas de perte de données ou de
catastrophe.

+En résumé, le cloud computing peut aider les entreprises et les utilisateurs à économiser de
l'argent, à accroître leur flexibilité et leur accessibilité, à améliorer leur sécurité et leur
continuité des opérations, ainsi qu'à réduire leur impact environnemental.

Les Types de Cloud Computing :


Il existe trois principaux types de cloud computing :

1. Le cloud public : Le cloud public est accessible à tout le monde via Internet. Les
ressources informatiques, telles que le stockage, la puissance de calcul et les
applications, sont partagées entre plusieurs utilisateurs. Les utilisateurs peuvent accéder
à ces ressources en fonction de leurs besoins et ne paient que pour ce qu'ils utilisent
réellement.
2. Le cloud privé : Le cloud privé est une infrastructure informatique dédiée et exclusive
à une entreprise ou une organisation. Elle peut être gérée en interne ou par un prestataire
de services tiers. Les ressources informatiques ne sont pas partagées avec d'autres
utilisateurs et sont gérées uniquement par l'entreprise ou l'organisation.
3. Le cloud hybride : Le cloud hybride combine des environnements de cloud public et
privé, permettant aux utilisateurs de tirer parti des avantages de chaque modèle. Les
entreprises peuvent utiliser le cloud public pour des tâches non sensibles et le cloud
privé pour les tâches sensibles nécessitant une sécurité accrue.

En plus de ces trois types principaux, il existe également d'autres types de cloud computing,
tels que le cloud communautaire, qui est partagé entre plusieurs organisations ayant des
intérêts communs, et le cloud multi-cloud, qui permet aux utilisateurs d'utiliser plusieurs
fournisseurs de cloud computing pour répondre à leurs besoins.
Modèles de services cloud computing :
Il existe trois principaux modèles de services de cloud computing :

1. IaaS (Infrastructure-as-a-Service) :

Est un modèle de prestation de services cloud computing dans lequel un fournisseur de


services cloud met à disposition des utilisateurs une infrastructure informatique à la
demande. Cette infrastructure informatique peut inclure des serveurs, du stockage, des
réseaux, des systèmes d'exploitation, des outils de développement, des applications et
d'autres services liés à l'infrastructure informatique.

Les utilisateurs peuvent utiliser ces ressources informatiques pour héberger leurs
propres applications et services, gérer leurs propres bases de données, stocker des
fichiers et des données, effectuer des analyses de données et réaliser d'autres tâches liées
à l'infrastructure informatique. Les utilisateurs ont un contrôle total sur la configuration
et la gestion de l'infrastructure informatique, ce qui leur permet de personnaliser les
ressources en fonction de leurs besoins.

L'IaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus flexible, car
il permet aux utilisateurs de créer et de gérer leur propre infrastructure informatique sur
demande, sans avoir à investir dans des serveurs et des équipements physiques coûteux.
Les utilisateurs ne paient que pour les ressources informatiques qu'ils utilisent
réellement, ce qui peut réduire considérablement les coûts de l'infrastructure
informatique et améliorer l'efficacité opérationnelle.

Voici quelques exemples de fournisseurs de services IaaS :

• Amazon Web Services (AWS) : AWS est l'un des plus grands fournisseurs de services IaaS
au monde, proposant une gamme complète de services d'infrastructure cloud, y compris des
serveurs virtuels, du stockage, des réseaux, des bases de données, des outils de développement
et de déploiement, des services d'intelligence artificielle, des services de sécurité et bien plus
encore.

• Microsoft Azure : Azure est la plateforme cloud de Microsoft, proposant une large gamme
de services IaaS, notamment des serveurs virtuels, du stockage, des réseaux, des bases de
données, des services de calcul haute performance, des outils de développement et bien plus
encore.

• Google Cloud Platform (GCP) : GCP est la plateforme cloud de Google, proposant une
gamme complète de services IaaS, y compris des serveurs virtuels, du stockage, des réseaux,
des bases de données, des outils de développement, des services de machine learning, des
services de sécurité et bien plus encore.

• DigitalOcean : DigitalOcean est un fournisseur de services IaaS populaire, spécialisé dans


les serveurs virtuels et le stockage. Il propose également des outils de développement et de
déploiement, ainsi que des services de gestion et de surveillance de l'infrastructure.

2. PaaS (Plateforme-as-a-Service) :

Est un modèle de prestation de services cloud computing dans lequel un fournisseur de


services cloud met à disposition des utilisateurs une plateforme de développement et
d'exécution d'applications à la demande. Cette plateforme comprend des outils de
développement, des langages de programmation, des bibliothèques de code, des bases
de données et d'autres services liés à la création et à la gestion d'applications.

Les utilisateurs peuvent utiliser ces outils et services pour développer, déployer,
héberger et gérer des applications, sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente. Les
fournisseurs de PaaS gèrent l'infrastructure, les systèmes d'exploitation, les mises à jour
de sécurité et les tâches de maintenance, permettant aux utilisateurs de se concentrer sur
le développement et l'exécution d'applications.

Le PaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus adapté pour
les développeurs, car il leur permet de se concentrer sur la création d'applications plutôt
que sur la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Les utilisateurs ont accès
à des ressources informatiques hautement évolutives, ce qui leur permet de développer
et de déployer des applications à grande échelle plus rapidement et plus efficacement
qu'avec des ressources locales. Les utilisateurs ne paient que pour les ressources
informatiques qu'ils utilisent réellement, ce qui peut réduire les coûts de développement
et de déploiement d'applications.

Voici quelques exemples de fournisseurs de services PaaS :

• AWS Elastic Beanstalk : AWS Elastic Beanstalk est une plateforme de déploiement et de
gestion d'applications pour les applications web basées sur les langages de programmation tels
que Java, .NET, PHP, Node.js, Python, Ruby et Go. Il fournit une infrastructure et des services
de plateforme pour gérer l'infrastructure sous-jacente, tels que les serveurs, les bases de données
et les ressources de stockage.

• Microsoft Azure App Service : Microsoft Azure App Service est une plateforme de
développement et de déploiement d'applications web, mobiles et API. Il prend en charge une
variété de langages de programmation, y compris .NET, Node.js, Java, Python et Ruby, ainsi
que des outils de développement et de déploiement, tels que Visual Studio et Git.

• Google App Engine : Google App Engine est une plateforme de développement et de
déploiement d'applications web qui prend en charge plusieurs langages de programmation, tels
que Python, Java, Node.js, Go et Ruby. Il fournit également une base de données NoSQL et des
outils de développement pour faciliter la création et la gestion d'applications.

3. SaaS (Software-as-a-Service) :

Est un modèle de prestation de services cloud computing dans lequel un fournisseur de


services cloud met à disposition des utilisateurs un logiciel à la demande. Les utilisateurs
accèdent au logiciel via Internet, sans avoir besoin de l'installer localement sur leur
ordinateur ou leur infrastructure informatique.

Le fournisseur de SaaS gère l'infrastructure, les serveurs, les systèmes d'exploitation,


les mises à jour de sécurité et les tâches de maintenance, permettant aux utilisateurs de
se concentrer sur l'utilisation du logiciel plutôt que sur sa gestion. Les utilisateurs paient
généralement un abonnement mensuel ou annuel pour accéder au logiciel.

Le SaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus adapté pour
les utilisateurs finaux, car il leur permet d'accéder facilement à un large éventail de
logiciels à la demande sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente. Les utilisateurs
peuvent accéder au logiciel à partir de n'importe quel appareil connecté à Internet, ce
qui leur permet de travailler à distance et de collaborer plus facilement. Les utilisateurs
ne paient que pour le logiciel qu'ils utilisent réellement, ce qui peut réduire
considérablement les coûts d'acquisition et de maintenance de logiciels pour les
entreprises.

Voici quelques exemples de logiciels SaaS populaires :

• Salesforce : Salesforce est une plateforme cloud de gestion de la relation client


(CRM), offrant une gamme complète de fonctionnalités pour la gestion des
ventes, du marketing et du service client.
• Microsoft Office 365 : Office 365 est une suite de logiciels de productivité cloud,
comprenant des applications telles que Word, Excel, PowerPoint, Outlook et
bien plus encore.
• Dropbox : Dropbox est un service cloud de stockage et de partage de fichiers,
permettant aux utilisateurs de stocker et de partager des fichiers en ligne.
• Google Workspace : Google Workspace (anciennement G Suite) est une suite
de logiciels de productivité cloud, comprenant des applications telles que Gmail,
Google Drive, Google Docs, Google Sheets et bien plus encore.
• Zoom : Zoom est une plateforme cloud de vidéoconférence, permettant aux
utilisateurs de se connecter en ligne pour des réunions virtuelles, des webinaires
et des événements en direct.
• Adobe Creative Cloud : Creative Cloud est une suite de logiciels cloud de
création graphique, comprenant des applications telles que Photoshop,
Illustrator, InDesign et bien plus encore.

En plus de ces trois modèles de services de cloud computing, il existe également des services
de cloud computing spécialisés, tels que le stockage de données en tant que service (DaaS), le
réseau en tant que service (NaaS) et la sécurité en tant que service (SECaaS).
Les systèmes distribués :
Les systèmes distribués sont des systèmes informatiques dans lesquels plusieurs ordinateurs
travaillent ensemble pour accomplir une tâche commune. Les ordinateurs sont connectés entre
eux via un réseau, généralement Internet, et communiquent les uns avec les autres pour
échanger des informations et coordonner leur travail.

Dans un système distribué, chaque ordinateur est appelé un nœud. Chaque nœud a une partie
de la tâche à accomplir et communique avec les autres nœuds pour échanger des informations
et des résultats partiels. La coordination des nœuds est souvent gérée par un logiciel spécial
appelé gestionnaire de nœuds ou orchestrateur.

Les avantages des systèmes distribués incluent la possibilité d'effectuer des tâches à grande
échelle et la résilience. Étant donné que la tâche est répartie entre plusieurs nœuds, le système
peut traiter un volume plus important de données ou de demandes de traitement que s'il
était limité à un seul ordinateur. De plus, si un nœud échoue, les autres nœuds peuvent
continuer à travailler (Disponibilite) et à fournir des résultats.

Les systèmes distribués sont largement utilisés dans les applications cloud computing, où les
données et les ressources sont réparties dans plusieurs centres de données et sont accessibles
via Internet. Les systèmes distribués sont également utilisés dans d'autres domaines tels que les
réseaux sociaux, les jeux en ligne et les transactions financières.

✓ Exemples de systèmes distribués :

Voici quelques exemples de systèmes distribués :

1. Les systèmes de fichiers distribués : Ce type de système permet de stocker et de gérer


des fichiers sur plusieurs ordinateurs connectés à un réseau. Les exemples incluent
Hadoop Distributed File System (HDFS) et Google File System (GFS).
2. Les systèmes de bases de données distribuées : Ces systèmes permettent de stocker et
d'accéder à des données sur plusieurs ordinateurs connectés à un réseau. Les exemples
incluent Apache Cassandra, MongoDB, et Amazon DynamoDB.
3. Les systèmes de traitement distribué de données : Ces systèmes permettent de traiter
de grandes quantités de données en parallèle sur plusieurs ordinateurs. Les exemples
incluent Apache Spark, Apache Hadoop, et Google Cloud Dataflow.
4. Les systèmes de messagerie distribués : Ces systèmes permettent d'échanger des
messages entre plusieurs ordinateurs. Les exemples incluent Apache Kafka, RabbitMQ,
et Amazon Simple Queue Service (SQS).
5. Les systèmes de gestion de conteneurs : Ces systèmes permettent de gérer et de
déployer des applications conteneurisées sur plusieurs ordinateurs. Les exemples
incluent Kubernetes, Docker Swarm, et Amazon Elastic Container Service (ECS).
6. Les systèmes de recherche distribuée : Ces systèmes permettent d'effectuer des
recherches sur de grandes quantités de données sur plusieurs ordinateurs. Les exemples
incluent Apache Solr, Elasticsearch, et Amazon CloudSearch.
Les Data Centers
Un data center (ou centre de données en français) est une installation physique qui héberge des
équipements informatiques tels que des serveurs, des systèmes de stockage de données, des
équipements de réseau et des équipements de sécurité. Les data centers sont conçus pour fournir
un environnement contrôlé et sécurisé pour les équipements informatiques, avec une
alimentation électrique redondante, une climatisation, une surveillance de la sécurité et une
connectivité réseau haute vitesse.

Les data centers sont utilisés pour stocker, gérer et traiter de grandes quantités de données et
d'applications informatiques. Les entreprises et les organisations peuvent utiliser leurs propres
data centers, ou bien louer de l'espace et des services dans des data centers tiers, également
appelés centres d'hébergement ou centres de colocation. Les fournisseurs de services cloud, tels
qu'Amazon Web Services, Google Cloud Platform et Microsoft Azure, exploitent également
des data centers pour offrir des services de cloud computing.

Les data centers sont des éléments clés de l'infrastructure numérique moderne, permettant aux
entreprises et aux organisations de stocker, de traiter et de diffuser des données et des services
de manière fiable et à grande échelle.

✓ Les caractéristiques clés d'un data center comprennent :

1. L'alimentation électrique : Les data centers nécessitent une alimentation électrique


redondante pour garantir que les équipements informatiques restent en marche en cas
de panne de courant. Les data centers sont souvent équipés de générateurs de secours et
de systèmes d'alimentation sans interruption (ASI).
2. La climatisation : Les équipements informatiques génèrent beaucoup de chaleur et
nécessitent un refroidissement constant pour éviter une surchauffe. Les data centers sont
équipés de systèmes de climatisation et de ventilation pour maintenir une température
constante.
3. La sécurité physique : Les data centers abritent souvent des données et des
équipements critiques, et sont donc sujets à des menaces de sécurité physique. Les data
centers doivent être équipés de systèmes de sécurité tels que des caméras de
surveillance, des clôtures, des contrôles d'accès et des gardes de sécurité.
4. La connectivité réseau : Les data centers doivent être connectés à Internet et à d'autres
réseaux pour permettre la communication entre les équipements informatiques et les
utilisateurs finaux. Les data centers sont souvent équipés de connexions à haut débit et
de commutateurs réseau pour garantir une connectivité fiable et à haute vitesse.
5. La gestion des données : Les data centers sont conçus pour stocker, gérer et protéger
de grandes quantités de données. Les data centers peuvent être équipés de systèmes de
stockage en réseau, de serveurs de fichiers et de bases de données pour permettre le
stockage et la gestion des données.
6. La redondance : Les data centers peuvent être équipés de systèmes redondants pour
garantir une disponibilité maximale des équipements informatiques et des données
stockées. Cela peut inclure des connexions Internet redondantes, des systèmes de
stockage redondants et des serveurs de secours.
✓ Les contraintes et limites d’un data center

Les data centers peuvent rencontrer des contraintes et des limites, notamment :

1. La consommation d'énergie : Les data centers consomment de grandes quantités


d'énergie pour alimenter les équipements informatiques et les systèmes de
refroidissement. Cela peut entraîner des coûts élevés et des impacts environnementaux,
tels que les émissions de gaz à effet de serre.
2. L'espace physique : Les data centers nécessitent un espace physique pour héberger les
équipements informatiques et les systèmes de support, tels que la climatisation et
l'alimentation électrique. L'espace disponible peut être une contrainte pour les
entreprises qui cherchent à étendre leur infrastructure informatique.
3. Les coûts de construction et d'entretien : La construction et l'entretien des data centers
peuvent être coûteux, en raison des exigences techniques et de sécurité élevées. Les
entreprises doivent investir dans des équipements de haute qualité, des systèmes de
refroidissement, des systèmes de sécurité, etc.
4. Les risques de sécurité : Les data centers stockent souvent des données sensibles et
critiques, ce qui en fait une cible potentielle pour les cyber-attaques et les actes de
vandalisme. Les entreprises doivent mettre en place des mesures de sécurité robustes
pour protéger les données et les équipements.
5. La localisation géographique : Les data centers doivent être situés à proximité des
utilisateurs finaux pour garantir une connectivité rapide et fiable. Cependant, cela peut
être un défi pour les entreprises qui ont des utilisateurs répartis dans le monde entier.
6. La capacité de traitement : Les data centers peuvent atteindre leurs limites de capacité
en raison de la quantité de données et de trafic qu'ils doivent traiter. Les entreprises
doivent être en mesure de mettre à niveau et d'adapter leur infrastructure informatique
pour faire face à l'augmentation de la demande.

Les technologies "enablers"


Les technologies "enablers" (ou technologies habilitantes) sont des outils ou des plates-formes
technologiques qui facilitent la mise en place d'autres technologies ou applications. Elles sont
souvent utilisées pour fournir une infrastructure de base qui prend en charge les systèmes et les
applications complexes.

Voici quelques exemples de technologies enablers :

1. Les technologies de virtualisation : telles que les hyperviseurs, permettent aux


entreprises de virtualiser leurs ressources informatiques, ce qui facilite la gestion des
serveurs, des applications et des données.
2. Les plateformes de cloud computing : telles que Amazon Web Services (AWS),
Microsoft Azure, Google Cloud Platform, fournissent des ressources de calcul, de
stockage et de réseau sur demande, permettant aux entreprises de se concentrer sur leur
cœur de métier.
3. Les outils de gestion de données : tels que les entrepôts de données, les bases de
données NoSQL, les outils d'analyse de données, permettent aux entreprises de stocker,
de gérer et d'analyser de grandes quantités de données.
4. Les frameworks de développement : tels que Django, Ruby on Rails, Flask,
permettent aux développeurs de créer des applications web rapidement et efficacement.
5. Les technologies d'intégration : tels que les ESB (Enterprise Service Bus), les API
(Application Programming Interfaces), les services web, permettent aux entreprises de
connecter des applications, des systèmes et des données disparates.

Ces technologies "enablers" permettent aux entreprises de créer des environnements


informatiques plus efficaces, flexibles et évolutifs, et de tirer parti des dernières avancées
technologiques pour améliorer leur efficacité et leur compétitivité.

La virtualisation
La virtualisation est un concept qui consiste à créer des versions virtuelles d'une ressource
informatique, comme un serveur, un système d'exploitation, un réseau ou un stockage, pour les
rendre plus flexibles et plus faciles à gérer. La virtualisation permet de créer des
environnements informatiques isolés, appelés machines virtuelles (VM), qui fonctionnent de
manière indépendante les uns des autres, même si elles partagent les mêmes ressources
physiques.

La virtualisation peut être utilisée dans de nombreux contextes différents, y compris pour la
consolidation des serveurs, la mise en place d'environnements de test et de développement, la
fourniture de services cloud, la gestion de la sécurité et la continuité des activités.

✓ Les avantages de la virtualisation comprennent :

1. La consolidation des serveurs : La virtualisation permet de consolider plusieurs


serveurs physiques sur un seul serveur physique, ce qui peut réduire les coûts
d'infrastructure et de maintenance.
2. La flexibilité : La virtualisation permet de créer des machines virtuelles qui peuvent
être configurées et déployées rapidement et facilement, ce qui facilite la gestion des
ressources informatiques.
3. La gestion des ressources : La virtualisation permet de gérer les ressources
informatiques de manière plus efficace en allouant dynamiquement les ressources en
fonction des besoins.
4. La sécurité : La virtualisation peut contribuer à renforcer la sécurité en isolant les
environnements informatiques et en limitant l'impact des attaques potentielles.
5. La continuité des activités : La virtualisation permet de créer des environnements de
secours pour garantir la continuité des activités en cas de panne ou de catastrophe.

En résumé, la virtualisation est une technologie qui permet de créer des environnements
informatiques isolés et flexibles, ce qui peut contribuer à réduire les coûts, à améliorer la gestion
des ressources, à renforcer la sécurité et à assurer la continuité des activités.

✓ Les Types de virtualisation

Il existe plusieurs types de virtualisation, chacun ayant ses propres caractéristiques et


utilisations. Voici les principaux types de virtualisation :

1. Virtualisation de serveurs : Ce type de virtualisation permet de créer plusieurs


machines virtuelles sur un même serveur physique, ce qui permet de consolider les
ressources et de réduire les coûts. Les machines virtuelles partagent les ressources du
serveur physique, mais sont isolées les unes des autres.
2. Virtualisation de postes de travail : La virtualisation de postes de travail permet de
créer des machines virtuelles qui fonctionnent comme des ordinateurs de bureau, avec
leur propre système d'exploitation et leurs propres applications. Cette approche peut être
utile pour la gestion des postes de travail d'une entreprise ou pour permettre aux
utilisateurs de travailler à distance.
3. Virtualisation de stockage : La virtualisation de stockage permet de créer des espaces
de stockage virtuels qui agrègent plusieurs espaces de stockage physiques. Cette
approche peut simplifier la gestion du stockage et améliorer l'utilisation des ressources.
4. Virtualisation de réseau : La virtualisation de réseau permet de créer des réseaux
virtuels qui peuvent être configurés et gérés indépendamment du réseau physique. Cette
approche peut simplifier la gestion du réseau et permettre une meilleure utilisation des
ressources.
5. Virtualisation d'applications : La virtualisation d'applications permet de créer des
environnements virtuels pour des applications spécifiques, qui peuvent être exécutées
sur des systèmes d'exploitation différents ou sur des versions différentes du même
système d'exploitation. Cette approche peut simplifier la gestion des applications et
réduire les conflits entre les applications.

En résumé, les types de virtualisation incluent la virtualisation de serveurs, la virtualisation de


postes de travail, la virtualisation de stockage, la virtualisation de réseau et la virtualisation
d'applications. Chacun de ces types peut offrir des avantages en termes de gestion des
ressources, de flexibilité et de réduction des coûts.

✓ Exemples de Virtualisation

Voici un exemple pour chaque type de virtualisation :

1. Virtualisation de serveurs : Une entreprise souhaite réduire les coûts de son


infrastructure de serveurs en consolidant plusieurs serveurs physiques sur un seul
serveur. Elle peut utiliser la virtualisation de serveurs pour créer plusieurs machines
virtuelles sur le même serveur physique, chacune exécutant un système d'exploitation
et des applications distincts. Cela permet de réduire le nombre de serveurs physiques
nécessaires tout en maintenant la même capacité de traitement.
2. Virtualisation de postes de travail : Une entreprise souhaite permettre à ses employés
de travailler à distance tout en maintenant un accès à des ordinateurs de bureau avec un
ensemble spécifique d'applications. Elle peut utiliser la virtualisation de postes de travail
pour créer des machines virtuelles pour chaque employé, chacune exécutant un système
d'exploitation et un ensemble d'applications spécifiques. Les employés peuvent se
connecter à ces machines virtuelles à distance pour accéder à leur environnement de
travail.
3. Virtualisation de stockage : Une entreprise dispose de plusieurs espaces de stockage
physiques dispersés dans ses locaux, mais elle souhaite les utiliser de manière plus
efficace. Elle peut utiliser la virtualisation de stockage pour créer un espace de stockage
virtuel qui agrège ces différents espaces de stockage physiques. Les utilisateurs peuvent
accéder à cet espace de stockage virtuel comme s'il s'agissait d'un seul et même espace
de stockage physique.
4. Virtualisation de réseau : Une entreprise souhaite créer plusieurs réseaux virtuels pour
différents départements, chacun avec des règles de sécurité spécifiques. Elle peut utiliser
la virtualisation de réseau pour créer des réseaux virtuels qui s'exécutent sur le même
réseau physique. Chaque réseau virtuel peut être configuré indépendamment des autres
réseaux virtuels et peut avoir ses propres règles de sécurité.
5. Virtualisation d'applications : Une entreprise dispose d'une application qui doit être
exécutée sur plusieurs versions de système d'exploitation. Elle peut utiliser la
virtualisation d'applications pour créer un environnement virtuel pour cette application,
qui peut être exécuté sur différents systèmes d'exploitation sans nécessiter de
modification de l'application elle-même. Cela permet d'utiliser l'application sur
plusieurs systèmes d'exploitation sans avoir à créer des versions distinctes pour chaque
système.
Les services Cloud
Les services offerts sur un cloud peuvent être regroupés en plusieurs catégories. Voici quelques
exemples :

1. Stockage (storage) : Les services de stockage cloud permettent aux utilisateurs de


stocker et de gérer leurs données sur des serveurs distants. Les services populaires
incluent Amazon S3, Microsoft Azure Blob Storage, Google Cloud Storage,
Dropbox, Box, etc.
2. Calcul et traitement (Compute) : Les services de calcul cloud permettent aux
utilisateurs de traiter des données, d'exécuter des applications et de gérer des charges de
travail. Les services populaires incluent Amazon EC2, Google Compute Engine,
Microsoft Azure Virtual Machines, IBM Cloud Virtual Servers, etc.
3. Base de données (DataBase) : Les services de base de données cloud permettent aux
utilisateurs de stocker, de gérer et d'interroger des données. Les services populaires
incluent Amazon RDS, Microsoft Azure SQL Database, Google Cloud SQL, IBM
Cloud Databases, etc.
4. Réseau (Networking) : Les services de réseau cloud permettent aux utilisateurs de
gérer et de sécuriser leur réseau et leur connectivité. Les services populaires incluent
Amazon VPC, Microsoft Azure Virtual Network, Google Cloud Virtual Private
Cloud, IBM Cloud Network, etc.
5. Sécurité : Les services de sécurité cloud permettent aux utilisateurs de protéger leurs
données et leurs ressources contre les menaces. Les services populaires incluent
Amazon Inspector, Microsoft Azure Security Center, Google Cloud Security
Command Center, IBM Cloud Security Advisor, etc.
6. DevOps : Les services DevOps cloud permettent aux développeurs de gérer le cycle de
vie des applications et de déployer des applications rapidement et efficacement. Les
services populaires incluent Amazon CodePipeline, Microsoft Azure DevOps,
Google Cloud Build, IBM Cloud Continuous Delivery, etc.

Il existe de nombreux autres services disponibles sur les plateformes de cloud computing, et
chaque fournisseur de services peut proposer des services uniques en fonction des besoins de
ses clients.
L'architecture du cloud computing
L'architecture du cloud computing peut être divisée en deux parties principales : la partie front-
end et la partie back-end.

La partie front-end end correspond à l'interface utilisateur qui permet aux utilisateurs de se
connecter et d'interagir avec les applications hébergées dans le cloud. Il peut s'agir d'une
interface web, d'une application mobile ou de toute autre interface utilisateur. Le front-end est
généralement développé en utilisant des technologies telles que HTML, CSS, JavaScript et des
frameworks de développement d'interface utilisateur tels que React, Angular ou Vue.js. Le
front-end peut être hébergé sur des serveurs dédiés ou sur des services de stockage de contenu
tels que Amazon S3.

La partie back-end est la partie de l'application qui gère les processus de traitement des
données et des requêtes utilisateur. Le back-end est exécuté sur des serveurs hébergés dans le
cloud et peut être développé en utilisant différents langages de programmation tels que Java,
Python, Ruby, Node.js, etc. Le back-end est responsable de la gestion des données de
l'application, de la sécurité, de l'authentification et de l'autorisation, ainsi que de l'intégration
avec d'autres systèmes.

La partie back-end peut être divisée en plusieurs couches, dont voici quelques exemples :

1. La couche d'infrastructure physique : Cette couche comprend les serveurs, les


réseaux et les centres de données qui fournissent les ressources informatiques de base
telles que la puissance de calcul, le stockage et la connectivité réseau.
2. La couche de plate-forme : Cette couche comprend les systèmes d'exploitation, les
logiciels de virtualisation et les outils de gestion des conteneurs qui permettent aux
développeurs de créer et de déployer des applications sur l'infrastructure de base.
3. La couche d'application : Cette couche comprend les applications, les services et les
données qui sont exécutés sur la plate-forme de cloud computing. Les applications
peuvent être développées en utilisant diverses technologies et langages de
programmation, et sont souvent déployées à l'aide de conteneurs ou de fonctions sans
serveur.

En résumé, l'architecture du cloud computing est divisée en deux parties principales : la partie
front-end qui fournit l'interface utilisateur de l'application, et la partie back-end qui gère les
processus de traitement des données et des requêtes utilisateur. La partie back-end peut être
divisée en plusieurs couches, chacune avec des fonctions spécifiques pour assurer le
fonctionnement efficace de l'application.
Les composants de l'architecture cloud
L'architecture du cloud computing comprend plusieurs composants fondamentaux qui
permettent aux utilisateurs de bénéficier de services informatiques flexibles, évolutifs et à la
demande. Voici quelques-uns de ces composants :

1. Les serveurs : Les serveurs constituent l'infrastructure physique qui héberge les
applications et les données dans le cloud. Ils peuvent être des serveurs physiques ou des
machines virtuelles qui sont gérés par des fournisseurs de services cloud.
2. Virtualisation : le Cloud repose sur la virtualisation des serveurs, du stockage et des
réseaux. Les ressources virtualisées sont une représentation logicielle ou virtuelle d’une
ressource physique, telle que des serveurs ou des ressources de stockage. Cette couche
d’abstraction permet à plusieurs applications d’utiliser les mêmes ressources physiques,
ce qui augmente l’efficacité des serveurs, du stockage et du réseau dans toute
l’entreprise.
3. Les réseaux : Les réseaux connectent les serveurs, les utilisateurs et les services cloud.
Ils permettent aux utilisateurs d'accéder aux applications hébergées dans le cloud et aux
services de communication entre les différents composants de l'architecture du cloud.
4. Les services de stockage : Les services de stockage sont des composants qui permettent
de stocker les données de l'application dans le cloud. Ils peuvent être des services de
stockage de fichiers, de base de données, de stockage d'objets, etc.
5. Les services de traitement : Les services de traitement sont des composants qui
permettent de traiter les données de l'application dans le cloud. Ils peuvent être des
services de traitement en temps réel, de traitement par lots, de traitement d'images, etc.
6. Les services de sécurité : Les services de sécurité sont des composants qui permettent
de protéger les applications et les données hébergées dans le cloud contre les attaques
et les violations de la sécurité. Ils peuvent être des services de pare-feu, de gestion des
identités et des accès, de chiffrement, etc.
7. Les services de gestion : Les services de gestion sont des composants qui permettent
de gérer l'ensemble de l'architecture du cloud. Ils peuvent être des services de gestion
de l'utilisation des ressources, de surveillance, de suivi, de sauvegarde, etc.

En résumé, l'architecture du cloud computing comprend plusieurs composants fondamentaux


qui travaillent ensemble pour fournir des services informatiques évolutifs et à la demande. Les
serveurs, les réseaux, les services de stockage, les services de traitement, les services de sécurité
et les services de gestion sont des exemples de ces composants.
La conteneurisation :
La conteneurisation est une technique de virtualisation qui permet d'exécuter des applications
dans des environnements isolés et portables, appelés conteneurs.

Les conteneurs sont des packages qui incluent tout ce dont une application a besoin pour
fonctionner, y compris le code, les bibliothèques et les dépendances.

Docker est l'une des plateformes de conteneurisation les plus populaires et est utilisé pour créer,
distribuer et exécuter des applications dans des conteneurs.

Voici les étapes de base pour utiliser Docker :

1. Installez Docker sur votre ordinateur : Vous pouvez télécharger Docker depuis le site
officiel et l'installer sur votre système d'exploitation.
2. Créez un conteneur : Utilisez la commande "docker run" pour créer un nouveau
conteneur à partir d'une image Docker. Les images Docker sont des packages
préconstruits qui contiennent toutes les dépendances nécessaires pour exécuter une
application.
3. Exécutez une application : Après avoir créé un conteneur, vous pouvez exécuter une
application en utilisant la commande "docker exec". Cette commande vous permet
d'exécuter une commande à l'intérieur du conteneur.
4. Gérez vos conteneurs : Vous pouvez utiliser des commandes Docker telles que
"docker ps" pour afficher tous les conteneurs en cours d'exécution sur votre système,
ou "docker stop" pour arrêter un conteneur.

Voici quelques avantages de l'utilisation de la conteneurisation avec Docker :

1. Portabilité : Les conteneurs Docker peuvent être exécutés sur n'importe quel système
d'exploitation qui prend en charge Docker. Cela rend les applications facilement
transférables d'un environnement à l'autre.
2. Isolation : Les conteneurs Docker sont isolés les uns des autres, ce qui signifie que les
modifications apportées à un conteneur n'affectent pas les autres conteneurs sur le même
système.
3. Évolutivité : Les conteneurs Docker peuvent être créés rapidement et facilement, ce qui
les rend idéaux pour les applications qui doivent être mises à l'échelle rapidement.
4. Facilité de gestion : Les commandes Docker sont faciles à utiliser et permettent de
gérer facilement les conteneurs et les applications.

En résumé, la conteneurisation avec Docker est une technique de virtualisation portable, isolée
et évolutive qui permet d'exécuter des applications de manière efficace et sécurisée.

Conteneurs VS Machines virtuelles


Les conteneurs et les machines virtuelles sont deux technologies de virtualisation qui permettent
d'exécuter des applications dans un environnement isolé. Cependant, il existe des différences
importantes entre les deux technologies.

Les machines virtuelles (VM) sont des copies virtuelles complètes d'un système d'exploitation
(OS) qui s'exécutent sur un hyperviseur ou un hôte. Chaque machine virtuelle dispose de son
propre système d'exploitation et de sa propre pile logicielle, ce qui permet de faire
fonctionner plusieurs systèmes d'exploitation et applications sur une même machine physique.
Les VM sont créées en émulant du matériel, comme des processeurs, de la mémoire et des
disques durs virtuels.
Les conteneurs, en revanche, sont des environnements isolés qui partagent le même noyau de
système d'exploitation que l'hôte. Les conteneurs sont des packages légers et portables qui
incluent toutes les dépendances nécessaires pour exécuter une application, mais sans avoir
besoin d'un système d'exploitation complet. Les conteneurs partagent les ressources du
système hôte, tels que le processeur, la mémoire et le stockage, mais sont isolés les uns des
autres.

Voici quelques différences clés entre les conteneurs et les machines virtuelles :

• Efficacité : Les conteneurs sont plus efficaces que les machines virtuelles en termes
d'utilisation des ressources. Étant donné qu'ils partagent le même noyau de système
d'exploitation que l'hôte, ils ont besoin de moins de ressources pour fonctionner. Les
machines virtuelles, en revanche, nécessitent une copie complète du système
d'exploitation et des ressources de matériel émulées, ce qui les rend plus lourdes et
moins efficaces.
• Portabilité : Les conteneurs sont plus portables que les machines virtuelles. Étant
donné qu'ils n'ont pas besoin d'un système d'exploitation complet, ils peuvent être
facilement déplacés d'un système à l'autre. Les machines virtuelles, en revanche, sont
liées à un système d'exploitation spécifique et doivent être recréées si elles sont
déplacées vers un autre système.
• Isolation : Les machines virtuelles sont plus isolées les unes des autres que les
conteneurs. Étant donné qu'elles disposent de leur propre système d'exploitation, elles
sont plus isolées et sécurisées que les conteneurs. Les conteneurs, en revanche, partagent
le même noyau de système d'exploitation que l'hôte et peuvent potentiellement affecter
d'autres conteneurs s'ils sont compromis.

En résumé, les conteneurs sont plus légers et plus portables que les machines virtuelles, mais
offrent moins d'isolation et de sécurité. Les machines virtuelles sont plus isolées et sécurisées,
mais sont plus lourdes et moins efficaces. Le choix entre les deux dépendront des besoins
spécifiques de l'application et de l'environnement d'exécution.

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