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Le cloud computing, également connu sous le nom de "informatique en nuage", est un modèle
de prestation de services informatiques qui permet aux utilisateurs d'accéder à des ressources
informatiques à la demande via Internet. Plutôt que de posséder et de gérer des serveurs
physiques ou des infrastructures informatiques locales, les utilisateurs peuvent louer ou acheter
des services et des ressources informatiques à des fournisseurs de cloud computing, tels que
Amazon Web Services, Microsoft Azure ou Google Cloud Platform.
Le cloud computing offre une grande flexibilité, une évolutivité et une résilience accrues,
permettant aux utilisateurs de bénéficier rapidement de ressources informatiques en fonction de
leurs besoins. Les services de cloud computing comprennent le stockage de données, le
traitement, l'analyse de données, l'hébergement de sites web, la fourniture de logiciels et de
plates-formes en tant que services, ainsi que la fourniture d'infrastructures en tant que services.
1. Évolutivité :
Les ressources informatiques dans le cloud sont facilement évolutives en fonction des
besoins des utilisateurs, ce qui permet une augmentation ou une diminution rapide des
capacités en fonction de la demande.
2. Flexibilité :
Les services de cloud computing offrent une grande flexibilité, permettant aux
utilisateurs de choisir les services dont ils ont besoin et de les utiliser à la demande, ce
qui peut réduire les coûts et les complexités de gestion des ressources informatiques.
3. Réduction des coûts :
4. Accès à distance :
5. Sécurité :
+En résumé, le cloud computing peut aider les entreprises et les utilisateurs à économiser de
l'argent, à accroître leur flexibilité et leur accessibilité, à améliorer leur sécurité et leur
continuité des opérations, ainsi qu'à réduire leur impact environnemental.
1. Le cloud public : Le cloud public est accessible à tout le monde via Internet. Les
ressources informatiques, telles que le stockage, la puissance de calcul et les
applications, sont partagées entre plusieurs utilisateurs. Les utilisateurs peuvent accéder
à ces ressources en fonction de leurs besoins et ne paient que pour ce qu'ils utilisent
réellement.
2. Le cloud privé : Le cloud privé est une infrastructure informatique dédiée et exclusive
à une entreprise ou une organisation. Elle peut être gérée en interne ou par un prestataire
de services tiers. Les ressources informatiques ne sont pas partagées avec d'autres
utilisateurs et sont gérées uniquement par l'entreprise ou l'organisation.
3. Le cloud hybride : Le cloud hybride combine des environnements de cloud public et
privé, permettant aux utilisateurs de tirer parti des avantages de chaque modèle. Les
entreprises peuvent utiliser le cloud public pour des tâches non sensibles et le cloud
privé pour les tâches sensibles nécessitant une sécurité accrue.
En plus de ces trois types principaux, il existe également d'autres types de cloud computing,
tels que le cloud communautaire, qui est partagé entre plusieurs organisations ayant des
intérêts communs, et le cloud multi-cloud, qui permet aux utilisateurs d'utiliser plusieurs
fournisseurs de cloud computing pour répondre à leurs besoins.
Modèles de services cloud computing :
Il existe trois principaux modèles de services de cloud computing :
1. IaaS (Infrastructure-as-a-Service) :
Les utilisateurs peuvent utiliser ces ressources informatiques pour héberger leurs
propres applications et services, gérer leurs propres bases de données, stocker des
fichiers et des données, effectuer des analyses de données et réaliser d'autres tâches liées
à l'infrastructure informatique. Les utilisateurs ont un contrôle total sur la configuration
et la gestion de l'infrastructure informatique, ce qui leur permet de personnaliser les
ressources en fonction de leurs besoins.
L'IaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus flexible, car
il permet aux utilisateurs de créer et de gérer leur propre infrastructure informatique sur
demande, sans avoir à investir dans des serveurs et des équipements physiques coûteux.
Les utilisateurs ne paient que pour les ressources informatiques qu'ils utilisent
réellement, ce qui peut réduire considérablement les coûts de l'infrastructure
informatique et améliorer l'efficacité opérationnelle.
• Amazon Web Services (AWS) : AWS est l'un des plus grands fournisseurs de services IaaS
au monde, proposant une gamme complète de services d'infrastructure cloud, y compris des
serveurs virtuels, du stockage, des réseaux, des bases de données, des outils de développement
et de déploiement, des services d'intelligence artificielle, des services de sécurité et bien plus
encore.
• Microsoft Azure : Azure est la plateforme cloud de Microsoft, proposant une large gamme
de services IaaS, notamment des serveurs virtuels, du stockage, des réseaux, des bases de
données, des services de calcul haute performance, des outils de développement et bien plus
encore.
• Google Cloud Platform (GCP) : GCP est la plateforme cloud de Google, proposant une
gamme complète de services IaaS, y compris des serveurs virtuels, du stockage, des réseaux,
des bases de données, des outils de développement, des services de machine learning, des
services de sécurité et bien plus encore.
2. PaaS (Plateforme-as-a-Service) :
Les utilisateurs peuvent utiliser ces outils et services pour développer, déployer,
héberger et gérer des applications, sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente. Les
fournisseurs de PaaS gèrent l'infrastructure, les systèmes d'exploitation, les mises à jour
de sécurité et les tâches de maintenance, permettant aux utilisateurs de se concentrer sur
le développement et l'exécution d'applications.
Le PaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus adapté pour
les développeurs, car il leur permet de se concentrer sur la création d'applications plutôt
que sur la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Les utilisateurs ont accès
à des ressources informatiques hautement évolutives, ce qui leur permet de développer
et de déployer des applications à grande échelle plus rapidement et plus efficacement
qu'avec des ressources locales. Les utilisateurs ne paient que pour les ressources
informatiques qu'ils utilisent réellement, ce qui peut réduire les coûts de développement
et de déploiement d'applications.
• AWS Elastic Beanstalk : AWS Elastic Beanstalk est une plateforme de déploiement et de
gestion d'applications pour les applications web basées sur les langages de programmation tels
que Java, .NET, PHP, Node.js, Python, Ruby et Go. Il fournit une infrastructure et des services
de plateforme pour gérer l'infrastructure sous-jacente, tels que les serveurs, les bases de données
et les ressources de stockage.
• Microsoft Azure App Service : Microsoft Azure App Service est une plateforme de
développement et de déploiement d'applications web, mobiles et API. Il prend en charge une
variété de langages de programmation, y compris .NET, Node.js, Java, Python et Ruby, ainsi
que des outils de développement et de déploiement, tels que Visual Studio et Git.
• Google App Engine : Google App Engine est une plateforme de développement et de
déploiement d'applications web qui prend en charge plusieurs langages de programmation, tels
que Python, Java, Node.js, Go et Ruby. Il fournit également une base de données NoSQL et des
outils de développement pour faciliter la création et la gestion d'applications.
3. SaaS (Software-as-a-Service) :
Le SaaS est souvent considéré comme le modèle de cloud computing le plus adapté pour
les utilisateurs finaux, car il leur permet d'accéder facilement à un large éventail de
logiciels à la demande sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente. Les utilisateurs
peuvent accéder au logiciel à partir de n'importe quel appareil connecté à Internet, ce
qui leur permet de travailler à distance et de collaborer plus facilement. Les utilisateurs
ne paient que pour le logiciel qu'ils utilisent réellement, ce qui peut réduire
considérablement les coûts d'acquisition et de maintenance de logiciels pour les
entreprises.
En plus de ces trois modèles de services de cloud computing, il existe également des services
de cloud computing spécialisés, tels que le stockage de données en tant que service (DaaS), le
réseau en tant que service (NaaS) et la sécurité en tant que service (SECaaS).
Les systèmes distribués :
Les systèmes distribués sont des systèmes informatiques dans lesquels plusieurs ordinateurs
travaillent ensemble pour accomplir une tâche commune. Les ordinateurs sont connectés entre
eux via un réseau, généralement Internet, et communiquent les uns avec les autres pour
échanger des informations et coordonner leur travail.
Dans un système distribué, chaque ordinateur est appelé un nœud. Chaque nœud a une partie
de la tâche à accomplir et communique avec les autres nœuds pour échanger des informations
et des résultats partiels. La coordination des nœuds est souvent gérée par un logiciel spécial
appelé gestionnaire de nœuds ou orchestrateur.
Les avantages des systèmes distribués incluent la possibilité d'effectuer des tâches à grande
échelle et la résilience. Étant donné que la tâche est répartie entre plusieurs nœuds, le système
peut traiter un volume plus important de données ou de demandes de traitement que s'il
était limité à un seul ordinateur. De plus, si un nœud échoue, les autres nœuds peuvent
continuer à travailler (Disponibilite) et à fournir des résultats.
Les systèmes distribués sont largement utilisés dans les applications cloud computing, où les
données et les ressources sont réparties dans plusieurs centres de données et sont accessibles
via Internet. Les systèmes distribués sont également utilisés dans d'autres domaines tels que les
réseaux sociaux, les jeux en ligne et les transactions financières.
Les data centers sont utilisés pour stocker, gérer et traiter de grandes quantités de données et
d'applications informatiques. Les entreprises et les organisations peuvent utiliser leurs propres
data centers, ou bien louer de l'espace et des services dans des data centers tiers, également
appelés centres d'hébergement ou centres de colocation. Les fournisseurs de services cloud, tels
qu'Amazon Web Services, Google Cloud Platform et Microsoft Azure, exploitent également
des data centers pour offrir des services de cloud computing.
Les data centers sont des éléments clés de l'infrastructure numérique moderne, permettant aux
entreprises et aux organisations de stocker, de traiter et de diffuser des données et des services
de manière fiable et à grande échelle.
Les data centers peuvent rencontrer des contraintes et des limites, notamment :
La virtualisation
La virtualisation est un concept qui consiste à créer des versions virtuelles d'une ressource
informatique, comme un serveur, un système d'exploitation, un réseau ou un stockage, pour les
rendre plus flexibles et plus faciles à gérer. La virtualisation permet de créer des
environnements informatiques isolés, appelés machines virtuelles (VM), qui fonctionnent de
manière indépendante les uns des autres, même si elles partagent les mêmes ressources
physiques.
La virtualisation peut être utilisée dans de nombreux contextes différents, y compris pour la
consolidation des serveurs, la mise en place d'environnements de test et de développement, la
fourniture de services cloud, la gestion de la sécurité et la continuité des activités.
En résumé, la virtualisation est une technologie qui permet de créer des environnements
informatiques isolés et flexibles, ce qui peut contribuer à réduire les coûts, à améliorer la gestion
des ressources, à renforcer la sécurité et à assurer la continuité des activités.
✓ Exemples de Virtualisation
Il existe de nombreux autres services disponibles sur les plateformes de cloud computing, et
chaque fournisseur de services peut proposer des services uniques en fonction des besoins de
ses clients.
L'architecture du cloud computing
L'architecture du cloud computing peut être divisée en deux parties principales : la partie front-
end et la partie back-end.
La partie front-end end correspond à l'interface utilisateur qui permet aux utilisateurs de se
connecter et d'interagir avec les applications hébergées dans le cloud. Il peut s'agir d'une
interface web, d'une application mobile ou de toute autre interface utilisateur. Le front-end est
généralement développé en utilisant des technologies telles que HTML, CSS, JavaScript et des
frameworks de développement d'interface utilisateur tels que React, Angular ou Vue.js. Le
front-end peut être hébergé sur des serveurs dédiés ou sur des services de stockage de contenu
tels que Amazon S3.
La partie back-end est la partie de l'application qui gère les processus de traitement des
données et des requêtes utilisateur. Le back-end est exécuté sur des serveurs hébergés dans le
cloud et peut être développé en utilisant différents langages de programmation tels que Java,
Python, Ruby, Node.js, etc. Le back-end est responsable de la gestion des données de
l'application, de la sécurité, de l'authentification et de l'autorisation, ainsi que de l'intégration
avec d'autres systèmes.
La partie back-end peut être divisée en plusieurs couches, dont voici quelques exemples :
En résumé, l'architecture du cloud computing est divisée en deux parties principales : la partie
front-end qui fournit l'interface utilisateur de l'application, et la partie back-end qui gère les
processus de traitement des données et des requêtes utilisateur. La partie back-end peut être
divisée en plusieurs couches, chacune avec des fonctions spécifiques pour assurer le
fonctionnement efficace de l'application.
Les composants de l'architecture cloud
L'architecture du cloud computing comprend plusieurs composants fondamentaux qui
permettent aux utilisateurs de bénéficier de services informatiques flexibles, évolutifs et à la
demande. Voici quelques-uns de ces composants :
1. Les serveurs : Les serveurs constituent l'infrastructure physique qui héberge les
applications et les données dans le cloud. Ils peuvent être des serveurs physiques ou des
machines virtuelles qui sont gérés par des fournisseurs de services cloud.
2. Virtualisation : le Cloud repose sur la virtualisation des serveurs, du stockage et des
réseaux. Les ressources virtualisées sont une représentation logicielle ou virtuelle d’une
ressource physique, telle que des serveurs ou des ressources de stockage. Cette couche
d’abstraction permet à plusieurs applications d’utiliser les mêmes ressources physiques,
ce qui augmente l’efficacité des serveurs, du stockage et du réseau dans toute
l’entreprise.
3. Les réseaux : Les réseaux connectent les serveurs, les utilisateurs et les services cloud.
Ils permettent aux utilisateurs d'accéder aux applications hébergées dans le cloud et aux
services de communication entre les différents composants de l'architecture du cloud.
4. Les services de stockage : Les services de stockage sont des composants qui permettent
de stocker les données de l'application dans le cloud. Ils peuvent être des services de
stockage de fichiers, de base de données, de stockage d'objets, etc.
5. Les services de traitement : Les services de traitement sont des composants qui
permettent de traiter les données de l'application dans le cloud. Ils peuvent être des
services de traitement en temps réel, de traitement par lots, de traitement d'images, etc.
6. Les services de sécurité : Les services de sécurité sont des composants qui permettent
de protéger les applications et les données hébergées dans le cloud contre les attaques
et les violations de la sécurité. Ils peuvent être des services de pare-feu, de gestion des
identités et des accès, de chiffrement, etc.
7. Les services de gestion : Les services de gestion sont des composants qui permettent
de gérer l'ensemble de l'architecture du cloud. Ils peuvent être des services de gestion
de l'utilisation des ressources, de surveillance, de suivi, de sauvegarde, etc.
Les conteneurs sont des packages qui incluent tout ce dont une application a besoin pour
fonctionner, y compris le code, les bibliothèques et les dépendances.
Docker est l'une des plateformes de conteneurisation les plus populaires et est utilisé pour créer,
distribuer et exécuter des applications dans des conteneurs.
1. Installez Docker sur votre ordinateur : Vous pouvez télécharger Docker depuis le site
officiel et l'installer sur votre système d'exploitation.
2. Créez un conteneur : Utilisez la commande "docker run" pour créer un nouveau
conteneur à partir d'une image Docker. Les images Docker sont des packages
préconstruits qui contiennent toutes les dépendances nécessaires pour exécuter une
application.
3. Exécutez une application : Après avoir créé un conteneur, vous pouvez exécuter une
application en utilisant la commande "docker exec". Cette commande vous permet
d'exécuter une commande à l'intérieur du conteneur.
4. Gérez vos conteneurs : Vous pouvez utiliser des commandes Docker telles que
"docker ps" pour afficher tous les conteneurs en cours d'exécution sur votre système,
ou "docker stop" pour arrêter un conteneur.
1. Portabilité : Les conteneurs Docker peuvent être exécutés sur n'importe quel système
d'exploitation qui prend en charge Docker. Cela rend les applications facilement
transférables d'un environnement à l'autre.
2. Isolation : Les conteneurs Docker sont isolés les uns des autres, ce qui signifie que les
modifications apportées à un conteneur n'affectent pas les autres conteneurs sur le même
système.
3. Évolutivité : Les conteneurs Docker peuvent être créés rapidement et facilement, ce qui
les rend idéaux pour les applications qui doivent être mises à l'échelle rapidement.
4. Facilité de gestion : Les commandes Docker sont faciles à utiliser et permettent de
gérer facilement les conteneurs et les applications.
En résumé, la conteneurisation avec Docker est une technique de virtualisation portable, isolée
et évolutive qui permet d'exécuter des applications de manière efficace et sécurisée.
Les machines virtuelles (VM) sont des copies virtuelles complètes d'un système d'exploitation
(OS) qui s'exécutent sur un hyperviseur ou un hôte. Chaque machine virtuelle dispose de son
propre système d'exploitation et de sa propre pile logicielle, ce qui permet de faire
fonctionner plusieurs systèmes d'exploitation et applications sur une même machine physique.
Les VM sont créées en émulant du matériel, comme des processeurs, de la mémoire et des
disques durs virtuels.
Les conteneurs, en revanche, sont des environnements isolés qui partagent le même noyau de
système d'exploitation que l'hôte. Les conteneurs sont des packages légers et portables qui
incluent toutes les dépendances nécessaires pour exécuter une application, mais sans avoir
besoin d'un système d'exploitation complet. Les conteneurs partagent les ressources du
système hôte, tels que le processeur, la mémoire et le stockage, mais sont isolés les uns des
autres.
Voici quelques différences clés entre les conteneurs et les machines virtuelles :
• Efficacité : Les conteneurs sont plus efficaces que les machines virtuelles en termes
d'utilisation des ressources. Étant donné qu'ils partagent le même noyau de système
d'exploitation que l'hôte, ils ont besoin de moins de ressources pour fonctionner. Les
machines virtuelles, en revanche, nécessitent une copie complète du système
d'exploitation et des ressources de matériel émulées, ce qui les rend plus lourdes et
moins efficaces.
• Portabilité : Les conteneurs sont plus portables que les machines virtuelles. Étant
donné qu'ils n'ont pas besoin d'un système d'exploitation complet, ils peuvent être
facilement déplacés d'un système à l'autre. Les machines virtuelles, en revanche, sont
liées à un système d'exploitation spécifique et doivent être recréées si elles sont
déplacées vers un autre système.
• Isolation : Les machines virtuelles sont plus isolées les unes des autres que les
conteneurs. Étant donné qu'elles disposent de leur propre système d'exploitation, elles
sont plus isolées et sécurisées que les conteneurs. Les conteneurs, en revanche, partagent
le même noyau de système d'exploitation que l'hôte et peuvent potentiellement affecter
d'autres conteneurs s'ils sont compromis.
En résumé, les conteneurs sont plus légers et plus portables que les machines virtuelles, mais
offrent moins d'isolation et de sécurité. Les machines virtuelles sont plus isolées et sécurisées,
mais sont plus lourdes et moins efficaces. Le choix entre les deux dépendront des besoins
spécifiques de l'application et de l'environnement d'exécution.