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INTRODUCTION………………………………………………………………………2

I. CONCEPT ET ROLE DE LA BANQUE CENTRALE

A. DEFINITION…………………………………………………………………………………………………..…….3
B. DEFINIR LA POLIQUE MONETAIRE…………………………………………………………………4
C. FOURNIR DES BILLET DES BANQUES……………………………………………………………..5

II. LES MISSION DE LA BANQUE CENTRALE

A. RESERVER LA CONFIANCE DE NOTRE MONAIE…………………..….6


B. ASSURER LA STABILITE FINANCIERE…………………………………..7
C. CONTROLER ET SURVEILLER LE SYTEME BANCAIRE………………8

CONCLUSION……………………………………………………………………………………………………………………..………9

ANNEXE……………………………………………………………………………………………………………………….……10, 11,12
Banque centrale Au lendemain de l’Indépendance nationale, l’Ordonnance du 3 décembre
1977, complétée par le décret 79.030 du 18 avril 1979 relatif à ses statuts, a créé la Banque
Nationale de Djibouti.

En 2000, la Banque a changé de nom pour devenir la Banque Centrale de Djibouti.

Les premiers textes de création de la Banque Centrale de Djibouti, assignaient à celle-ci des
missions d’ordre régalien, qui la cantonnaient essentiellement à l’émission de la monnaie
nationale.

Avec le développement de l’économie nationale, la Banque Centrale a vu ses missions étoffer


pour devenir l’institution de tutelle chargée d’encadrer et d’accompagner les activités
financières sur le territoire national.

La présente la loi fixe les statuts juridique de la banque national de Djibouti désormais
appelée la banque centrale Djibouti, ci-après dénommée « la banque centrale » détermine
L’évolution du concept de banque centrale et, partant de son rôle, n’est pas terminée.

Elle n’est pas clairement définie dans le domaine de la surveillance du prix des actifs et dans
celle du taux de change. Le rapport de la BRI de 1997 a mis en évidence l’attention que devait
porter la banque centrale à l’évolution du prix des actifs, notamment à celle du prix des actifs
financiers.

Des mouvements excessifs et durables au regard des fondamentaux conduisent à des


phénomènes de « bulle » qui développent des risques pour les intervenants sur les marchés et
qui nuisent à la bonne transmission des impulsions de politique monétaire tendue de sa
mission et établit son mode d’administration et de contrat

Problématique : Quelle sont les rôles et les missions de la banque centrale


sur le marche bancaire

I- CONCEPT ET ROLE DE LA BANQUE CENTRALE

A.DEFINITION
La banque centrale se définit comme l’institution qui se situe au centre des systèmes
de paiement pour garantir les règlements et contrôler l’expansion de la masse monétaire.

C’est l’institution considérée comme apte à préserver la confiance dans la monnaie


d’un pays.

Les banques les plus anciennes, Banque d’Angleterre (1694), Banque de Suède (1666)
ou plus récemment la Banque de France (1800), n’avaient pas été conçues comme des
institutions centrales mais seulement comme des instituts d’émission des billets de banque et
d’escompte de lettres de change et de billets à ordre, ces activités étant pour partie exercées au
profit de l’Etat.

C’est ainsi, pour se limiter à l’exemple français, que les opérations de la Banque de
France consistaient essentiellement à émettre des billets payables au porteur et à vue ainsi que
des billets à ordre à un certain nombre de jours de vue, en contrepartie d’effets de commerce
revêtus de trois signatures.

Elle pouvait, en outre, recevoir des dépôts des particuliers et des établissements
publics. La Banque s’engageait à rendre divers services au Trésor public : encaissement des
obligations des receveurs généraux et paiements des pensions et rentes.

Par la suite, des conventions intervinrent entre la Banque et le Trésor, ayant pour objet
de mettre à sa disposition des avances afin de faire face à l’irrégularité des rentrées de ses
recettes c’est-à-dire des rentrées fiscales.

D’autres avances provisoires seront faites en cas de crise : en 1848, 1871, 1914, 1936,
de 1940 à 1944 pour régler les frais d’occupation (426 milliards de francs) ainsi qu’après la
guerre.

Initialement, les opérations d’escompte devaient être à l’origine des émissions de


monnaie fiduciaire.

La part des établissements bancaires dans les présentations à l’escompte fut, dans les
premières décennies de l’existence de la Banque, très importante. Mais la clientèle
particulière s’adressa de façon croissante à la Banque.

B. DEFINIR LA POLIQUE MONETAIRE


La politique monétaire est une politique conjoncturelle qui vise à agir à court terme sur des
variables macroéconomiques (croissance, chômage, inflation, notamment) par l’intermédiaire
de la quantité de monnaie en circulation et/ou de son coût (le taux d’intérêt).

Elle peut être :

Politique monétaire restrictive :

Mesures de la Banque Centrale visant à réduire le flux/la quantité de monnaie en circulation,


provoquant une inflation des prix.

OU

Politique monétaire expansive :

Mesures de la Banque Centrale visant à augmenter le flux/la quantité de monnaie en


circulation, provoquant une déflation.

L’objectif est donc de stopper la baisse du pouvoir d’achat de la monnaie sur le marché.
L’enjeu de la Banque centrale va être de choisir des objectifs qui permettent à l’économie de
fonctionner au mieux.

Quel est le rôle de la Banque centrale dans le processus de création monétaire ?

Politique monétaire expansive

Création de monnaie fiduciaire en refinançant les banques ↗ masse monétaire

Politique monétaire par le pilotage du taux d'intérêt directeur ↘ taux directeur

Politique monétaire restrictive

Destruction de monnaie fiduciaire en diminuant le refinancement des banques ↘ masse


monétaire

Politique monétaire par le pilotage du taux d'intérêt directeur ↗ taux directeur

C. FOURNIR DES BILLET DES BANQUE


Une banque centrale produit les billets qui circulent dans l'économie.
Ces billets sont fournis aux banques qui à leur tour les mettent en circulation au profit
des particuliers ou des entreprises.

Toutefois, il n'y a pas de création monétaire car lorsque ces derniers retirent des
billets, leurs comptes bancaires sont débités du montant correspondant.

Il s'agit donc d'un simple transfert des dépôts bancaires vers les billets, sans que la
masse monétaire en circulation dans l'économie ne gonfle

La banque centrale peut créer indirectement de la monnaie en finançant le déficit


budgétaire.

C'est ce que l'on appelle « faire marcher la planche à billets ».

L'expression « faire marcher la planche à billets » désigne le fait, pour une banque
centrale, de financer le déficit public en créditant le compte que l'Etat détient dans ses livres
du montant de ce déficit, moyennant une rémunération.

La banque centrale accorde ainsi une avance au Trésor public qui se traduit par une
injection de liquidités dans l'économie (via les paiements réalisés par le Trésor public) et un
gonflement de la masse monétaire (hausse équivalente des dépôts à vue et / ou des billets en
circulation).

Le billet de banque est moyen de paiement généralement en papier imprimé, émis le


plus souvent par la banque centrale ou l'Institut d'émission d'un pays. Ce type de monnaie —
appelée papier-monnaie ou monnaie-papier — est de nature fiduciaire (de la latine fiducie :
confiance) dans la mesure où sa valeur est fortement dépendante du degré de confiance
accordé par les porteurs de billets à l'organisme qui les émet.

D'origine chinoise, répandus massivement depuis le début du XIXe siècle, les billets


de banque sont imprimés sur un papier couché fin, très résistant au vieillissement et aux
manipulations, porteur d'un filigrane, composé exclusivement de pâte de chiffon
de coton ayant subi un raffinage très poussé ; ce papier non collé est enduit de gélatine puis
séché à l'air[réf. nécessaire], avant de subir un très fort calandrage. La grande majorité des
illustrations présentes sur les billets sont issues d'un travail de gravure (taille douce) élaborée
et d'une grande finesse.

II- LES MISSION DE LA BANQUE CENTRALE


A.RESERVER LA CONFIANCE DE NOTRE MONNAIE

Reserve confiance en la monnaie dans une économie monétaire - comprendre le rôle


des banques centrales dans la préservation de cette confiance, notamment leur rôle de prêteur
en dernier ressort.

La confiance dans la monnaie La valeur d’une monnaie se fonde sur la confiance des
gens qui l’utilisent.

La valeur de la monnaie canadienne, dont les billets de banque et les pièces de


monnaie, vient du fait qu’elle est largement acceptée et qu’elle constitue une réserve de valeur
sûre.

Pour que la monnaie puisse remplir toutes ses fonctions de façon satisfaisante, sa
valeur doit rester relativement stable au fil du temps.

C’est pourquoi la Banque du Canada s’emploie à entretenir la confiance du public à


l’égard de la monnaie du pays. Pour ce faire, la Banque met en œuvre la politique monétaire
de façon à maintenir l’inflation à un niveau bas, stable et prévisible.

La maîtrise de l’inflation contribue non seulement à protéger la valeur de la monnaie


canadienne, mais aussi à maintenir un climat favorable à une croissance économique
soutenue.

La prévention de la contrefaçon, c’est-à-dire l’ensemble des mesures prises pour


veiller à ce que les billets de banque soient acceptés facilement et à ce que leur authenticité ne
fasse aucun doute, constitue un autre des grands efforts que déploie la Banque pour préserver
la confiance dans la monnaie canadienne

La Banque est responsable de la conception, de la production et de la distribution des


billets de banque.

La monnaie est définie par Aristote par trois fonctions : unité de compte, réserve de
valeur et intermédiaire des échanges.

À la période contemporaine, cette définition ancienne persiste mais doit être amendée,
entre autres par la suppression de toute référence à des matières précieuses (à partir du Ive
siècle en Chine) avec la dématérialisation progressive des supports monétaires, et les aspects
légaux de l'usage de la monnaie — et notamment les droits juridiques qui sont attachés au
cours légal et au pouvoir libératoire, qui sont plus apparents.

Ces droits sont fixés par l'Etat et font de la monnaie une institution constitutionnelle et
la référence à un territoire marchand sous la forme d'un marché national (lié par une unité
monétaire, de compte commun).

B. ASSURER LA STABILITE FINANCIERE


Fonds monétaire international

Assurer la stabilité financière internationale

FMI : ressources et organisation

Une institution souvent critiquée pour ses préconisations de politique économique

Un peu d'histoire : les principales interventions du FMI

Banque mondiale

Banques de développement régionales

OCDE

Banque des règlements internationaux (BRI)

Le FMI a pour fonction première d'assurer la stabilité du système monétaire international


(SMI) et la gestion des crises monétaires et financières.

A cette fin, il fournit des prêts aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant
en péril la stabilité de leur système financier.

Lors d'une crise financiere un Etat peut se retrouver en situation de manque de liquidités et
de ne plus pouvoir honorer le paiement de la charge de sa dette envers ses créanciers
internationaux. Un pays peut aussi être confronté à une sortie importante de capitaux se
traduisant par un assèchement de ses réserves en devises, réduisant ainsi sa capacité à
importer les produits de l'étranger dont son économie a besoin pour fonctionner correctement.
Dans ce genre de situation, pour éviter qu'un pays ne fasse défaut (c'est-à-dire qu'il ne puisse
plus rembourser ses créanciers), le FMI lui prête de l'argent le temps que la confiance des
investisseurs revienne. Le FMI
Confiance des investisseurs revienne. Le FMI conditionne toutefois l'obtention de prêts à la
mise en place de réformes visant à assurer la soutenabilité des finances publiques et à
soutenir la croissance économique à moyen et long terme.

Jusqu'en 1976, garant du bon fonctionnement du système de Breton Wood

A l'origine, le rôle du Fonds Monétaire International était de promouvoir la stabilité


monétaire afin de maintenir un contexte favorable à l'essor du commerce mondial tout en
accordant des prêts à certains pays en difficultés dans le contexte de la reconstruction
d'après-guerre.

Le FMI agissait alors comme le garant du bon fonctionnement du système monétaire de


Breton Wood qui était fondé sur des taux de changes fixes ajustables marginalement : lorsque
certains pays se révélaient incapables de maintenir la valeur de leur monnaie dans la marge
Del % prévue par les accords de 1 944, ils pouvaient recourir à des réajustements monétaires
(dévaluations ou réévaluations), avec l'accord

Pour tenter d'éviter ce genre de situation, le FMI servait d'intermédiaire financier au profit
des États membres, lesquels sont tenus de lui verser annuellement une « quote-part » dont
le montant varie selon la puissance économique du pays, elle-même mesurée par le PIBet
par l'importance de son commerce extérieur.

En cas de déséquilibre de sa balance des paiements risquant de menacer la valeur externe de


sa monnaie, chaque pays membre pouvait obtenir automatiquement 25 % de sa quote-part («
droit de tirage »), afin de lui permettre de soutenir sa monnaie nationale en achetant celle-ci
sur le marché des changes. Si le FMI le jugeait nécessaire, il pouvait prêter à ce pays jusqu'à
125 % de sa quote-part.

L'octroi de ces crédits était soumis à conditions, le pays demandeur devant s'engager dans une
politique d'ajustement conseillée par l'organisation afin de remédier aux causes de la de sa
monnaie.

C.CONTROLER ET SURVEILLER LE SYTEME BANCAIRE

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