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Constitution Physique Du Sol: Sommaire Analytique
Constitution Physique Du Sol: Sommaire Analytique
CONSTITUTION PHYSIQUE
DU SOL
par
Ary BRUAND
Chargé de Recherche à l’INRA
Unité de Science du Sol - SESCPF - 45160 Ardon
et Claire CHENU
Chargé de Recherche à l’INRA
Unité de Science du Sol - Route de St Cyr - 78026 Versailles Cedex.
SOMMAIRE ANALYTIQUE
I. Le sol : un milieu divisé (1 à 7)
Liste A. Constituants minéraux (3 à 5)
B. Constituants organiques (6 et 7)
Ta b l e
BIBLIOGRAPHIE
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I n dex
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2
I. LE SOL : UN MILIEU DIVISÉ tation granulométrique entre les trois principales classes
granulométriques argile, limon et sable ont été établies :
1.– Le sol est un milieu divisé pour lequel on distingue la
il s’agit de triangles de texture (Baize, 1988 ; Chamayou
terre fine représentée par les constituants de taille infé-
et Legros, 1989 ; Soltner, 1992) (Figures 2 et 3).
rieure à 2 mm et les éléments grossiers de taille supérieure
à cette limite. L’analyse détaillée de la constitution porte
généralement sur la terre fine, les éléments grossiers ne 0 100
faisant l’objet que d’une détermination de leur nature
pétrographique et de leur proportion pondérale dans la
15
terre totale (v. n. 9). Dans un certain nombre de cas, tout 20
particulièrement quand la teneur en éléments grossiers est éle-
vée, il y a lieu de les étudier en détail car ils affectent significati-
vement les propriétés du sol (Hénin et al., 1969 ; Gras, 1994). 35 ALO
Ar
bl e
gi l
2.– La terre fine est en proportion essentiellement constituée 45
Sa
e%
de particules minérales, ou grains minéraux, de tailles diffé- 55 45
rentes et secondairement de composés organiques qui ont
néanmoins un rôle important dans les propriétés d’un sol. AS
A AL
30
Si certaines propriétés ne sont pas uniquement liées à la
LSA LAS LA
nature de ses constituants élémentaires mais aussi à leur 80 SA 17,5
mode d’assemblage (v. Fasc. 1140 ), d’autres sont en LMS LM
Liste LS
revanche largement dépendantes de la seule nature des SL
7,5
S LLS LL
constituants élémentaires (v. Fasc. 1210, 1220 et 1300) 100 0
(Hénin et al., 1969 ; Monnier, 1984 ; Tessier et Pédro, 1984). 0 20 45 65 85 100
Limon %
C’est pourquoi l’une des premières analyses effectuées pour
Ta b l e mieux connaître les propriétés d’un sol consiste très générale-
ALO argile lourde LLS limon léger sableux
ment à en étudier la constitution physique. AL argile limoneuse LS limon sableux
A argile LMS limon moyen sableux
AS argile sableuse LSA limon sablo-argileux
A. Constituants minéraux LL limon léger S sable
LM limon moyen SL sable limoneux
3.– En fonction de leur taille, les particules appartiennent LA limon argileux SA sable argileux
Index à différentes classes granulométriques (Figure 1). Ces Fig. 2. – Diagramme de classification des textures.
particules résultent en premier lieu de l’altération plus ou Triangle établi par le Service de la carte des sols de l’Aisne
moins intense du matériau originel du sol. L’évolution (Jamagne, 1967, modifié)
pédologique des produits de cette altération affecte par la
suite encore les particules minérales (v. lessivage, podzo- Il existe plusieurs modèles, mais le principe est toujours
Glossaire
lisation, Fasc. 1110). Il résulte de ceci que la minéralogie le même, que le triangle soit rectangle ou équilatéral. On
des particules peut être très variable au sein d’une même positionne la composition granulométrique selon 2 des 3
classe granulométrique (v. n. 22 - 27). fractions (la troisième étant définie puisque la somme est
égale à 100 %). Deux triangles sont couramment utilisés
en France, le triangle établi par le Groupe d’Etude des
0,002 0,02 0,05 0,2 2 20 mm
Problèmes de Pédologie Appliquée (GEPPA) et celui éta-
2 20 50 200 2000 µm bli par le Service de la Carte des Sols de l’Aisne.
• Maintien de l’état dispersé c’est-à-dire 10 fois plus petite mettra 100 fois plus de
temps pour les parcourir (8 heures).
11.– Pour les méthodes qui utilisent la loi de Stokes (v. n. 13
- 15), on prépare fréquemment une suspension dont la con- 14.– La loi de Stokes s’applique aux particules qui tom-
centration est de 5 à 10 g d’échantillon par litre d’eau. Après bent dans un fluide avec une v itesse constante,
ajout d’eau (0,2 l d’eau pour 5 à 10 g d’échantillon), l’échan- c’est-à-dire pour lesquelles la force d’attraction due à la
tillon est agité mécaniquement pendant plusieurs heures. gravité est équilibrée par les forces de frottement. Celle-ci
Ensuite, une seconde quantité d’eau est ajoutée de façon à dépend de la viscosité du liquide et de la température.
obtenir un milieu dilué où les interactions entre les particu- Dans l’eau, seules les particules inférieures à 0,02 mm
les sont très faibles. La concentration ainsi obtenue est alors atteignent rapidement leur vitesse constante propre
de 5 à 10 g pour 1 litre d’eau. Quelle que soit la méthode, il quand, après agitation, la suspension est laissée au repos.
est nécessaire de procéder à la séparation des particules de
taille supérieure à 0,05 mm par tamisage sous l’eau. La dis- La loi de Stokes suppose les particules sphériques. Il con-
tribution de taille de ces particules est alors effectuée par vient de conserver à l’esprit que la distribution de taille des
tamisage. Quant aux particules de taille inférieure à 0,05 particules ainsi déterminée correspond à une distribution
mm, on fait appel à des traitements qui maintiennent la sus- de taille équivalente et non à la distribution de taille réelle
pension dans un état dispersé. des particules. Cette équivalence avec des particules sphé-
riques peut introduire des distorsions importantes lorsque
12.– Les particules appartenant à la fraction argile sont des particules de morphologie très différente coexistent
essentiellement constituées de minéraux argileux , dans un même échantillon (par exemple, des grains de
c’est-à-dire de particules en forme de plaquette qui sont quartz sphériques et des micas en forme de plaquette).
Liste électriquement chargées. Dans une suspension, les pla-
quettes argileuses peuvent s’attirer et engendrer des phé- • Méthodes basées sur la loi de Stokes
nomènes de floculation qui sont incompatibles avec une
analyse granulométrique. Afin de limiter de tels phéno- 15.– De nombreux laboratoires d’analyse de sol utilisent
mènes de floculation, on peut : divers tamis et la pipette de Robinson pour effectuer le tri
Ta b l e des particules constituant la terre fine. Pour les particules
– ajuster le pH de la suspension à pH = 9 de façon à se situer de taille supérieure à 0,02 mm, non seulement elles
à une valeur de pH supérieure au point isoélectrique de n’atteignent pas assez rapidement leur vitesse limite de
l’échantillon ; les particules possèdent alors toutes une chute dans le liquide mais la vitesse de chute est trop éle-
charge électrique de même signe et se repoussent ; vée pour permettre des prélèvements précis à l’aide de la
Index – utiliser des produits dispersants comme l’hexaméta- pipette de Robinson. On utilise alors des tamis dont les
phosphate qui s’adsorbent à la surface des particules ouvertures (distance entre deux fils consécutifs) corres-
électriquement chargées et qui accroissent la charge pondent aux classes granulométriques retenues. Pour les
électrique de ces particules et, par voie de conséquence, particules de taille inférieure à 0,02 mm, la pipette de
les répulsions électriques entre particules ; Robinson permet de prélever un petit volume de suspen-
Glossaire sion à une profondeur donnée et à des temps donnés.
– saturer l’échantillon par un cation monovalent comme
l’ion sodium ou potassium ; les ions monovalents satu- Ainsi, après pesée de la quantité de solide prélevé, on
rant le complexe d’échange accroissent effectivement le détermine le poids de particules inférieures à une taille
phénomène de dispersion en favorisant le développe- calculée par la loi de Stokes.
ment d’une double couche diffuse. 16.– D’autres méthodes utilisent la loi de Stokes et condui-
sent à une distribution continue de la taille de particules
C. Méthodes de tri des particules inférieures à 0,05 mm. La méthode utilisant un densitomè-
tre ne nécessitant pas de prélèvement de la suspension, elle
• La loi de Stokes a été longtemps utilisée dans de nombreux laboratoires.
13.– De nombreuses méthodes de tri des particules ont
été développées en Science de la Terre pour déterminer la La quantité de solide à une profondeur donnée peut aussi
distribution de taille de particules (AFNOR, 1987 ; Allen, être déterminée en mesurant sa densité à des rayons X de
1988 et 1993) (Figure 3). Pour les sols, un grand nombre faible énergie. La quantité d’énergie transmise après tra-
de méthodes utilisent la loi de Stokes qui établit pour un versée de la suspension est fonction de la concentration de
grain sphérique une relation entre sa vitesse (v) et son la suspension. C’est le principe qui est utilisé pour les
diamètre (D). Cette relation s’écrit : appareils de type Sedigraph. Le temps de mesure est par
ailleurs considérablement réduit par le déplacement verti-
v=[D2g(ρs-ρl)]/[18h] cal de la cellule dans laquelle s’effectue la sédimentation.
On peut ainsi en moins de 2 h déterminer la distribution
avec g : accélération de la pesanteur, ρ l : densité du en continu des particules de taille comprise entre H 0,1 et
liquide dans lequel s’effectue la chute, ρs : densité du 0,001 mm (soit 0,1 mm). L’absorption des rayons X étant
grain et h : viscosité du liquide. fonction de la composition chimique des particules, elle
La vitesse de chute est d’autant plus faible que la parti- croît avec la teneur en éléments à fort pouvoir absorbant
cule est petite. Elle est proportionnelle au carré du dia- comme le fer ou le manganèse. Compte tenu de la minéra-
mètre des particules. Ainsi, une particule de 0,02 mm logie des fractions argile, limon et sable (v.n. 22 et 27), de
mettra environ 5 minutes pour parcourir 10 cm dans de telles méthodes peuvent surestimer la fraction argile aux
l’eau à 20°C alors qu’une particule de 0,002 mm, dépens des fractions plus grossières.
Difractométrie Analyse des figures de diffraction d’un faisceau Granulomètre laser 0,0001 - 0,6 Liste
laser
Fig. 4. – Principales méthodes utilisées pour réaliser l’analyse granulométrique d’un échantillon de sol.
Enfin, certains appareils permettent d’augmenter artifi- termes «décalcification» ou «décalcarification» sont Ta b l e
ciellement le champ de pesanteur dans lequel se trouvent encore fréquemment employés ; ils constituent une
les grains lorsqu’ils sédimentent et, ainsi, de réduire les source de confusion et devraient, par conséquent, être
temps de mesure pour les grains de très petite taille. Dans évités. Dans le cas où l’on procède à une décarbonatation
ce cas, la distribution de taille de particules ne peut être de l’échantillon, la composition granulométrique est
généralement obtenue que pour les particules de taille celle de la phase minérale non calcaire. Elle est soit expri- I n dex
inférieure à 0,002 mm. mée en pour cent de la terre fine - il est alors nécessaire
• Autres méthodes d’ajouter la teneur en carbonates à la somme des frac-
tions pondérales pour obtenir 100 - soit exprimée en
17.– D’autres méthodes utilisent des propriétés physi- pour cent de la fraction non carbonatée et, dans ce cas,
ques d’une suspension tels que les phénomènes de dif- leur somme est égale à 100 (Baize, 1988). Glossaire
fraction et de diffusion d’un faisceau lumineux mono-
chromatique (laser). Les analyses granulométriques «sans décarbonatation»
Les distributions de taille de particules obtenues le sont effectuées sur des échantillons carbonatés sont fréquem-
sur des concentrations de suspension très inférieures à ment d’un intérêt très limité en raison de l’effet du
celles qui sont utilisées pour la loi de Stokes et en un broyage intervenant lors de la préparation de l’échan-
temps très court. Néanmoins, ces distributions sont très tillon. En effet, ce broyage, s’il n’est pas réalisé avec pré-
différentes de celles obtenues avec les méthodes utilisant cautions, modifie fortement la distribution de taille des
la loi de Stokes et avec lesquelles nos références agrono- grains carbonatés et ceci d’autant plus qu’il s’agit de car-
miques ont été établies. Outre l’utilisation pour des tra- bonates tendres.
vaux de recherche très spécifiques, l’utilisation de telles Quant aux résultats des analyses «après décarbonatation»,
méthodes nécessite une phase d’étalonnage pour per- il faut toujours garder à l’esprit qu’ils peuvent être entachés
mettre le passage des résultats ainsi acquis à ceux obtenus d’une erreur liée à la libération de constituants résistants à
à l’aide de la loi de Stokes. l’attaque acide lors de la dissolution des grains carbonatés.
Enfin, des méthodes utilisées dans le domaine médical Ainsi s’explique que l’on puisse obtenir une teneur en argile
pour des comptages cellulaires peuvent être adaptées à (exprimée par rapport à la terre fine totale, c’est-à-dire non
l’analyse granulométrique mais la mise en oeuvre est décarbonatée) supérieure après décarbonatation à ce
délicate et leur utilisation limitée à une gamme restreinte qu’elle est pour l’échantillon non décarbonaté.
de taille de particule.
Il résulte de ceci que l’analyse granulométrique d’échan-
tillons carbonatés est une opération délicate. Il y a donc
D. Expression des résultats lieu de prendre garde au mode d’expression des résultats
18.– Le mode d’expression le plus généralement utilisé et de retenir que ni la méthode «sans décarbonatation»,
consiste à donner les proportions pondérales des cinq ni celle «après décarbonatation» ne conduisent à des
principales fractions granulométriques, leur somme résultats totalement satisfaisants dès lors que la teneur en
étant égale à 100 lorsqu’elles sont exprimées pour 100 g calcaire est supérieure à quelques pour cents et qu’il s’agit
de sol. La mention «après décarbonatation» indique qu’il de grains carbonatés à teneur élevée en constituants inso-
y a eu traitement acide pour détruire les carbonates. Les lubles (grains issus de calcaires marneux, de marnes.).
B
0 20 40 60 80 %
0
20
b II C
profondeur en cm
A LF LG SF SG
40
Liste 60 c
80 %
100
100
Ta b l e
120
0 100 f 80
A L S 60
15
20
40
Index 35 ALO
%
Ar
20
ble
gil
45
Sa
e%
55 45
0
61 0,001 0,01 0,1 1
A AL
AS 33
30 A A/E E1
Glossaire LSA LAS LA
E2 B II C
80 SA 17,5
LMS LM
d 100
S SL
LS
LLS LL
7,5
0
Argile %
0 6 20 45 65 85 100
100 Limon %
e
AA
%
60
60
55 50
45 A 40
37,5
33 As 30
Als AL
32,5 27,5
AS 20
LAS La
22,5
17,5
Sa Sal 10
12,5 LSa L
S 7,5 0
7,5
SS SI Ls LL A LF LG SF SG
0 6 25 45 75 100
Limon % horizon B
Fig. 5. – Modes de représentation des résultats de l’analyse granulométrique de la terre fine (< 2mm). Les résultats présentés
dans le tableau correspondent à un profil de sol étudié en forêt d’Orléans (Lamotte et al., 1988).
Représentation des variations de composition granulométrique dans un profil de sol par horizon d’épaisseur arbitraire (a),
sous la forme de profils de teneur en argile, limon et sable (b) et sous la forme cumulée pour chaque hrizon (c).
Représentation de la composition granulométrique d’un horizon (horizon B) sous la forme d’un point dans un triangle de
texture (d et f) ou d’un histogramme
Fig. 6. – Particules d’argile de sol observées en microscopie électronique à transmission en haute résolution. Les particules
élémentaires (P) font 0,1 à 0,2 mm de large et 0,05 mm d’épaisseur. Les feuillets élémentaires (F) de 0,001mm sont visibles sur
certaines particules (1 mm = 0,001 mm) (cliché F. Elsass et M. Hardy).
10
-20
profondeur (cm)
-40
-60
labour
-80
travail superficiel
non travail
-100
Liste
0 5 10 15 20 25 30
teneur en carbone (g/kg sol)
11