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cp : Demande s'il peut écraser le nom de fichier : répondre par Oui(y) ou Non (n)
cp -i : Avertit de l'existence d'un fichier du même nom et demande s'il peut ou non le
remplacer.
cp -l : Permet de faire un lien en "dur" entre le fichier source et sa copie
cp -s : Permet de faire un lien "symbolique" entre le fichier source et sa copie
cp -p : Permet lors de la copie de préserver toutes les informations concernant le fichier.
cp -r : Permet de copier de manière récursive l'ensemble d'un répertoire et de ses sous
répertoires.
cp –v : permet d'afficher le nom des fichiers copiés.
cp -b : Permet comme l'option -i de s'assurer que la copie n'écrase pas un fichier existant : le
fichier écrasé est sauvegardé, seul le nom du fichier est modifié et cp ajoute un tilde(~) à la fin
du nom de fichier
Supprimer des fichiers et répertoires: (remove & remove directory)
Autres Commandes
pwd : Où suis-je ?
man (et nom de la commande): Rechercher des informations sur une commande.
which : Permet de connaître le chemin d'un exécutable
mdir : Affiche la liste des fichiers d'une disquette MS-Dos
mkmode : Crée un nom de fichier temporaire unique
emacs, joe : Éditer un fichier
ln : UNIX permet de créer plusieurs liens sur un même fichier avec la commande
who : Liste les utilisateurs connectés sur la station
free : Mémoire utilisée
clear : Efface l'écran
touch : Met à jour les dates d'accès des fichiers
logout : Permet de fermer son compte utilisateur
logname : Permet de savoir sous quel nom on est logué
tar : Archivage de données : la commande
q : quitte
La commande mount est utilisée par linux dès son démarrage. Elle permet de monter un
système de fichiers. Ce montage est parfois effectué automatiquement grâce au fichier de
configuration /etc/fstab. Ce fichier contient tout ce que linux doit monter lors de son
démarrage, mount n'est accessible que par root.
Montage, démontage d'une partition Dos (Ne doit pas être en cours d'utilisation)
Démontage d'une partition Dos (Ne doit pas être en cours d'utilisation)
umount /dos/
Montage du lecteur de CD-ROM
1: mount -t iso9660 /dev/hdb /cdrom
2: mount /dev/cdrom /cdrom
On peut préciser l'option -oou -r pour monter un périphérique en lecture seule, tel qu'un cdrom
ou une disquette protégée en écriture par exemple.
Montage du lecteur de disquettes
mount /dev/fd0 /floppy
Archivage
Options:
tar c groupe.tar *.c: pour archiver
tar x groupe.tar: pour dé-archiver
tar cz groupe.tar.gz *.c: pour archiver et compresser
tar xz groupe.tar.gz: pour décompresser et extraire.
Messages Système
Passer du mode commande aux mode texte, taper du mode texte, enregistrer.
vi comprend deux modes : un mode "commande" et un mode "insertion", après le lancement
de vi nous sommes en mode commande : appuyez sur la touche "Echap" puis sur "a" ("a",
comme "append", permet d'ajouter du texte après le curseur). Vous voyez en bas de l'écran
apparaître la ligne "INSERT".
Sauvez un fichier : Il faut sortir du mode texte en appuyant à nouveau sur la touche "Echap".
La mention "INSERT" disparaît, nous sommes en mode commande. Tapez maintenant ":w
nomfichier" et sur la touche retour chariot (afin d'écrire ("write") le fichier). Vous devez
obtenir en bas de l'écran ceci : "nomfichier" [New File] 3 lines, 142 characters written
Supprimer du texte et quitter vi
J'ai fait une faute d'orthographe! Nous allons supprimer le "p" qui est en trop dans
"suppprime" : déplacez le curseur sur un des "p" en trop, passez en mode commande
("INSERT" ne doit pas apparaître à l'écran), appuyez sur "x", le "p" a disparu.
Sauver les modifications effectuées : Passez en mode commande et tapez " :wq" (write et
quit). Vous êtes sorti de vi et votre fichier a été sauvegardé sous linux-test. Pour revenir à vi
en ouvrant le fichier linux-test au démarrage tapez : [root@localhost/root]# vi linux-test
Si vous souhaitez quitter sans enregistrer les dernières modifications, il vous faudra passer en
mode commande et taper " : q!".
Quelles sont les points communs entre les liens symboliques et les liens durs ?
Le lien symbolique fait référence à un fichier dans un répertoire alors que le lien dur fait
référence à un espace sur le disque dur.
- Les liens symboliques sont des fichiers de petite taille qui ont une existence propre sur le disque
dur. Ces fichiers contiennent les références des fichiers sources auxquels ils correspondent.
- Dans le cas d'un lien dur, la suppression de l'un des deux fichiers n'affectera pas l'autre. Dans le
cas d'un lien symbolique, la suppression du fichier source entraînera un changement de
comportement du fichier lien qui ne correspondra plus à un fichier valide et sera donc dit "cassé"
("broken").
Utilité des liens
Les liens sont utiles si vous souhaitez qu'un fichier apparaisse dans plusieurs répertoires, ou sous
un nom différent. Imaginez que ce fichier fasse quelques megaoctets ... une copie à l'aide "cp"
entraînera une perte de place non négligeable alors qu'un lien permettra de limiter l'utilisation de
l'espace disque.
Mieux :un lien garanti que toute modification effectuée sur ce fichier concernera toutes les
apparentes « copies » dispersées.
Syntaxe de ln :
ln fichier-source fichier-lien ln -s permet d'effectuer un lien symbolique.
ln -b réalise une sauvegarde d'un fichier existant et dont nous aurions utilisé le nom avant de
l'écraser.
ln -i demande à l'utilisateur s'il souhaite écraser le fichier qui a un lien sur le fichier source au cas
ou celui-ci existerait déjà.
ln -d effectue des liens durs sur des répertoires ... seuls les utilisateurs possédant les droits
adéquats pourront le faire.
Le système de fichiers et correspondance Windows
Comme la plupart des systèmes de fichiers, les systèmes de fichiers Unix sont structurés hiérarchiquement, et
regroupent les fichiers dans des répertoires. Il existe un répertoire racine qui contient tous les fichiers soit
directement, soit indirectement dans ses sous-répertoires. C’est de ce répertoire que débutent tous les chemins
possibles dans le système de fichiers. Chaque fichier ou répertoire a un nom qui permet aux utilisateurs du système
de l’identifier. Le seul répertoire qui n’a pas de nom est le répertoire racine. Les systèmes de fichiers Unix n’ont pas
les mêmes limitations sur les noms que les systèmes de fichiers FAT et FAT32. Les noms des fichiers et des
répertoires peuvent être très longs (jusqu’à 256 caractères par nom), et ils prennent en compte la casse des lettres.
Les fichiers contiennent des données au sens large, ce peut être des documents (texte, image, film, son), des
programmes, des données utilisées par le système ou tout autre type de donnée imaginable.
En fait, les répertoires sont eux-mêmes des fichiers spéciaux, interprétés par le système différemment des autres
fichiers. Les données stockées dans les répertoires sont simplement les entrées de répertoires, qui caractérisent et
permettent d’avoir accès aux autres fichiers et aux autres répertoires.
Les noms de répertoires et de fichiers sont séparés par un caractère spécial. Ce caractère est traditionnellement,
sous Unix, la barre oblique de division (nommée « slash » en anglais) : ’/’. Les utilisateurs du DOS et de Windows
prendront garde ici au fait que Microsoft a préféré la barre oblique inverse
(nommée « backslash » en anglais) ’\’, rendant ainsi tous ses systèmes incompatibles avec les systèmes Unix, et
générant ainsi beaucoup de problèmes supplémentaires là où il n’était pas nécessaire d’en avoir (sincèrement, le coût
de cette ânerie, ainsi que celle des marqueurs de fin de ligne dans les fichiers textes, doit atteindre des sommes
astronomiques dans tous les projets de portage ou de développement d’applications portables). Comme le répertoire
racine n’a pas de nom, il peut être accédé directement avec un simple slash :
/
La qualification complète d’un fichier se fait en précisant le nom du répertoire à chaque niveau et en séparant par des
slashes chacun de ces noms. Cette qualification porte le nom de « chemin » d’accès (« path » en anglais). L’exemple
suivant vous montre l’allure d’un chemin d’accès typique sous Unix :
/home/remi.jean/lettres/professionnelles/marketing/ventes1999.sdw
Point de montage :
/boot
[boot = démarrage] l'image du noyau de Linux (chargée par
Lilo ou Grub au démarrage de la machine)
Il faut d'abord comprendre la différence entre /usr et /usr/local : ils sont assez
similaires et leur sous-répertoires contiennent des logiciels et tout ce dont ils ont besoin
(bibliothèques partagées, fichiers). La différence est que tous les logiciels installés par la
distributions (donc avec des packages .rpm ou .deb) vont normalement dans /usr, et les
autres logiciels (compilés soi-même par exemples) vont normalement dans /usr/local.
/usr/sbin
Logiciels d'administration installés par la
distribution
[share = partage] contient les fichiers partagés
/usr/share/ utiles aux logiciels, par exemple les textures et les
pinceaux de The Gimp
/etc fichiers de configuration de la plupart des logiciels (base de registres)
Logiciels disponibles pour tous et qui ne sont pas
installés par la distribution (par exemple si vous
/usr/local/bin C:\Program Files
installez la démo de Quake 3 ou si vous compilez
un logiciel, il devrait s'installer ici)
bibliothèques [voir plus haut] utilisées par les
/usr/local/lib C:\Windows\System32
programmes de /usr/local/bin
/usr/local/sbin Logiciels d'administration qui ne sont pas installés
par la distribution
/usr/local/share/
contient les fichiers partagés utiles aux logiciels de
/usr/local/bin
/var
[var = variable] Répertoire des données de taille variable dans
le temps (fichiers de logs par exemple)
/var/log
les logs (fichiers texte contenant tous les problèmes rencontrés)
du système et des applications