Ce document est un extrait de journal télévisé de la chaîne d’informations NBC News.

La journaliste explique que le Duc de Sussex, le prince Harry, et sa femme, Meghan

Markle attaquent en justice un journal anglais, le Mail on Sunday, pour avoir publié
une lettre écrite par Meghan à son père, avec lequel elle a pris ses distances.
Dans une déclaration, le Prince a violemment critiqué les journalistes, qui donnent le
mauvais rôle à Meghan. Il explique que cela fait longtemps qu’il est témoin de sa
souffrance et qu’il est nécessaire de réagir car ce genre de situation peut détruire des
gens et des vies. Il compare en effet le traitement de sa femme à celui de sa mère, la
Princesse Diana, qui avait été pourchassée par les journalistes jusqu’à sa mort dans un
accident de voiture impliquant des paparazzi.
Il évoque sa plus grande peur, qui est que l’histoire se répète. Il a perdu sa mère et
aujourd’hui il voit son épouse être victime des mêmes « forces puissantes ».
Une analyste de la famille royale intervient dans le reportage, expliquant que ce n’est
pas la première fois que le couple fait ce genre de déclaration, mais que cela n’avait
jamais revêtu un caractère aussi personnel et que cette fois la colère est nettement
perceptible.
Ce n’est pas la première fois non plus que le couple attaque la presse en justice. Ils
l’avaient déjà fait plus tôt dans l’année lorsque des photos de leur maison avaient été
publiées. Ils avaient eu gain de cause et l’agence de paparazzi avait dû payer des
dommages et intérêts.
Le couple a précisé que ces actions en justice étaient financées par leur fonds propres
et que les dommages et intérêts étaient reversés à une association luttant contre le
harcèlement.
La direction du Mail on Sunday a annoncé de son côté qu’elle maintenait les propos
qu’elle avait publiés et qu’elle défendrait son cas avec détermination.
À la fin de cet extrait, nous voyons Harry et Meghan lors d’un voyage en Afrique du
Sud, le premier voyage officiel avec leur fils Archie. Ils font cette fois encore les gros
titres, mais pour des raisons différentes.