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My Favourite Art Piece
My Favourite Art Piece
Rédigé par :
Mohamed H Sangaré
Sous l’encadrement de :
6.Résultats……………………………………………………………………………………………………………………………………7
7.Recommandations……………………………………………………………………………………………………………………7
8.conclusion……………………………………………………………………………………………………………………………8
9.Bibliographie………………………………………………………………………………………………………………………………9
1.Introduction : Les armoires électriques sont des boîtiers robustes utilisés pour protéger les
composants électriques ou électroniques et les appareillages de commutation.
Les armoires électriques protègent ainsi l’alimentation électrique contre l’eau, la poussière et la
chaleur, mais aussi contre le vandalisme par des personnes non autorisées.
Cependant toutes ces matrices relient les tensions et courants aux bornes des multiples. Or, en
Hyperfréquence, il est très difficile d'accéder à ces grandeurs, alors qu'il beaucoup plus facile de
mesurer des
Puissances. De plus, les puissances mises en jeu dans la majorité des applications en hyperfréquence
(Émission/réception d'ondes) sont très faibles. Ainsi un téléphone portable (GSM 900MHz ou DCS
1800MHz)
Doit être capable de fonctionner avec une puissance de -108dBm (environ 10-14 W..). Il est donc
important de
Savoir comment les faibles puissances mises en jeu sont distribuées à la traversée d'un multipôle.
3. Signification physique des paramètres S : Nous supposerons dorénavant que les impédances de
références Zk sont toutes identiques et égales à Z0 et
que les lignes correspondantes sont à pertes faibles (sinon nulles) et donc que Z0 est réelle. Cette
hypothèse ne changera pas le principe des calculs que nous allons faire, et c'est de plus le cas le plus
Fréquent.
A. Cas du dipôle :
Dans le cas d'un dipôle, on a un seul accès et 2 ondes a1 et b1.
La relation liant ces ondes est : b1=S11 a1
S11 est donc le coefficient de réflexion sur l'accès 1 quand aucune onde ne rentre par l'autre accès,
c'est-à-
Dire lorsque aucune cause extérieure au quadripôle n'est responsable d'un retour d'onde.
On dit que S11 est le coefficient de réflexion sur l'accès 1 propre au quadripôle.
De plus S21 est le coefficient de transmission de l'accès 1 vers l'accès 2 lorsqu'aucune onde ne rentre
par
L’accès 2 c'est-à-dire "qu'aucun obstacle extérieur ne vient diminuer l'onde transmise".
On dit que S21 est le coefficient de transmission de l'accès 1 vers l'accès 2 propre au quadripôle.
L'expérience symétrique (générateur sur l'accès 2 et une charge adaptée sur l'accès 1 : a1=0)
donnerait par
Le même raisonnement :
S22 est le coefficient de réflexion sur l'accès 2 propre au quadripôle, et
S12 est le coefficient de transmission de l'accès 2 vers l'accès 1 propre au quadripôle.
Les résultats précédents peuvent être représentés par le
Graphe de transfert suivant ci-contre.
On peut relier les coefficients de réflexion à l’entrée d’un quadripôle (synonyme de perte de
puissance ) aux paramètres S par l’expression :
Remarques :
- La réflexion à l'entrée du quadripôle est due au quadripôle lui-même (S11) et à la réflexion sur la
charge Zt vue au travers du quadripôle.
- Si la charge Zt est égale à l'impédance de référence Z0 alors Γt vaut 0 et on retrouve Γ1=S11.(on
considéra que les paramètres S sont directement les réflexions à l’entrée dans le cas d’une cellule
adaptée)
5-2) analyseur de réseau vectorielle(VNA) :
L’analyseur de réseaux est un appareil de mesure très répandu dans le domaine des hyperfréquences
(gamme de fréquences comprise entre 1 et 100 GHz). Il permet de mesurer les paramètres S d’un
multipôle, qu’il soit actif ou passif. Il existe deux grandes familles d’analyseurs de réseaux : les
analyseurs scalaires qui mesurent uniquement le module des paramètres S et les analyseurs
vectoriels qui mesurent également leur phase. Durant mon stage j’ai eu besoin d’utiliser l’analyseur
vectorielle qui mesure à la fois le module et la phase . le schéma est le suivant :
ils mesure les ondes transmises et réfléchies sur un dispositif afin d’en déterminer les paramètres S.
La très grande précision de l’analyseur de réseaux vectoriel en fait un outil indispensable dans un
grand nombre d’industries et d’applications, notamment au sein des chaînes de validation ainsi qu’en
métrologie.
5-3) Calibration d’un analyseur de réseau vectorielle : cette étape est nécessaire avant de débuter
chaque série de mesure ,afin d’éviter au maximum toute imprécision dans les mesures ;
Les mesures effectuées par les analyseurs de réseaux comportent des erreurs qui peuvent être
corrigées selon les cas rencontrés. Ces erreurs sont dues aux composants utilisés dans les systèmes
qui ne sont pas parfaits et sont donc sources de pertes. On distingue trois catégories d’erreurs qui
sont : • les erreurs systématiques : elles sont dues aux imperfections de l’analyseur, elles sont
constantes dans le temps et peuvent être corrigées numériquement. • les erreurs aléatoires : dues
au bruit interne des composants, elles varient en fonction du temps et ne peuvent pas être corrigées.
• les erreurs de dérive : causées par les variations de température et l’utilisateur, elles sont
corrigibles numériquement .
Pour calibrer l’analyseur j’ai utilisé la méthode de calibration one-port ,
Calibration one port : le principe du calibrage one port repose sur cette equation ;
S11M = ED + ERT x (S11A /(1-ESS11A))
S11A : paramètre S11 de la charge
S11M : paramètre S11 mesuré
ED : erreur liée à la directivité (La directivité est la capacité d'un émetteur ou d'un récepteur à
exercer sa fonction suivant une ou plusieurs directions)
ES : erreur liée à la désadaptation de la source
ERT : erreur liée à la réponse fréquentielle du système
cette équation permet d’avoir une relation entre le S11 réel et le S11 mesuré avec trois paramètres
qui sont inconnus qui sont les erreurs . Il est possible de déterminer ces inconnues en faisant des
mesures : court circuit, circuit ouvert et charge adaptée.
En effet on utilise pour cela un ensemble appelé( cal-kit) qui sont des connecteurs que l’on branche
sur les bornes de l’analyseur de reseau puis on calibre directement sur l’interface :
il est constitué :
septum au centre de la structure
d’un espace de travail
et de deux connecteurs de part et d’autre de la cellule
on utilise une cellule Tem pour mesurer le rayonnement d’un appareil (fréquence maximal entre
100Mghz et 2Ghz) puissance en fonction de l’angle
dans ce cas on place le dispositif dont on veut mesurer le rayonnement dans l’espace de travail puis
une charge sur l’un des connecteurs puis on mesure ou anlyse le signal de sortie avec un récepteur
(oscilloscope 100Mghz ,Analyseur de spectre plusieurs gHz )
-Pour des test d’immunité :Tester l’immunité(sa capacité à se détérioriser si l’on expose à une onde
électromagnétique) d’un appareil 100 Mhz-2Ghz ,dans ce cas on place le dispositif plus la charge
,puis on connecte l’autre extrémité a un générateur basse fréquence ou haute fréquence ,vérifier
l’immunité
Pour le test de rayonnement il nous faut un recepteur pour visualiser le signal du dispositif tandis que
pour le test d’immunité il nous faut obligatoirement un gbf pour faire passer une onde
electromagnetique a travers le dispositif et voir s’il resiste ou pas
Cellule GTEM : la cellule GTEM est peu étendue dans les hautes fréquences ceci est au resonnance
qui apparaissent au niveau du changement de section lorsque la frequence atteint quelques
gigahertz pour eviter ces resonnaces on supprime la zone du changement de section et on coupe
la cellule TEM en deux le schema est le suivant