La mort d'Assya

C'était un après-midi de septembre, un de ces jours où le soleil brille encore avec force sur la ville. Assya,
neuf an, sortait de l'école avec sa mère, quand elle a vu une voiture rouge foncer vers elle. Elle n'eut pas
le temps de réagir, ni de crier. La voiture la percuta violemment, la projetant sur le trotoir. Le chauffeur
ne s'arreta pas, il continua sa course folle, ignorant les cris et les pleurs des temoins.

La mère d'Assya se préssipita vers sa fille, qui restait sans vie sur le bitume. Elle la prit dans ses bras, la
serrent contre elle, espérant un miracle. Mais il n'y en eut pas. Assya était morte, tuée par un chauffard
qui roulait à plus de cent kilomètres à l'heure dans une zone limitée à trente.

la scène était horrible, insoutenable. Le sang d'Assya tachait le sol et ses vetements. Ses yeux étaient
grands ouverts, comme si elle cherchait encore à comprendre ce qui lui était arrivé. Sa bouche était
entrouverte, comme si elle voulait dire quelque chose. Sa mère hurlait son nom, en vain.

Les passants étaient pétrifiés, choqués par ce drame. Certains appelaient les secours, d'autres tentaient
de réconforter la mère en pleurs. Mais personne ne pouvait rien faire pour ramener Assya à la vie.

La voiture rouge disparut au loin, laissant derrière elle une trace de pneus et de mort. Le chauffeur ne
savait pas qu'il venait de commettre un crime, qu'il venait de briser une famille, qu'il venait de détruire
un avenir. Il ne savait pas qu'il allait bientôt être rattraper par la justice, et qu'il allait payer cher son
inconscience.

le fait divers utilisé est : https://www.sudinfo.be/id728290/article/2023-10-12/le-chauffard-qui-fauche-

mortellement-la-petite-assya-9-ans-roulait-plus-de