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 Lombard Street est une rue de San Francisco, en Californie.

Elle est orientée


d'est en ouest, débute au Presidio et finit dans le quartier d'Embarcadero en
passant à travers le quartier de Cow Hollow où Lombard Street est la plus
large et la plus utilisée, elle est également signalée comme faisant partie du
tracé du Highway 101 pendant 12 blocs entre Broderick Street et Van Ness
Avenue et les quartiers de Russian Hill et de Telegraph Hill.
 Lombard Street est mondialement connue pour un bloc spécifique sur
Russian Hill entre Hyde Street et Leavenworth Street le long duquel la
chaussée est constituée de huit virages très serrés qui lui ont permis
d'obtenir la distinction de « la route la plus sinueuse des États-Unis ». Elle y
est également très exposée au vent. Il est utile de savoir que la ligne de cable
car Powell-Hyde s'arrête en haut de ce bloc.
 La conception sinueuse a été suggérée en premier lieu par le propriétaire
foncier Carl Henry, puis mise en application en 1922, afin de réduire la pente
de 27 %, trop abrupte pour que la plupart des véhicules puissent la
remonter. Elle était également un réel danger pour les piétons. Cette pente a
été réduite à 16 % d'inclinaison. La partie sinueuse de cette rue est pavée de
brique et est réservée à un usage à sens unique, vers l'est, en descendant.
 En 1999, une commission d'enquête spéciale a été créée pour essayer de
résoudre les problèmes de circulation dans ce même quartier. En 2001, la
commission a décidé qu'il ne serait pas légal de fermer de façon permanente
le bloc à la circulation. Elle a décidé d'interdire dans cette zone le
stationnement l'été, de barrer la route en direction de l'est durant les
vacances et d'augmenter les amendes pour stationnement interdit. La
commission a aussi proposé d'utiliser des mini-bus pour acheminer les
touristes sur le site, bien que les habitants contestent l'efficacité d'une telle
mesure car un des intérêts de cette rue est de pouvoir conduire sur la section
sinueuse.
 Le Walk of Fame (littéralement « Promenade de la célébrité ») est un
trottoir très célèbre du quartier d'Hollywood à Los Angeles, en Californie,
recouvert de plus de 2 000 étoiles. Sur celles-ci, figurent les noms de
célébrités de l'industrie du spectacle honorées par la Chambre de commerce
de Los Angeles .
 Présentation
 Le Walk of Fame se trouve sur Hollywood Boulevard entre Gower Street et la
Brea Avenue et sur Vine Street entre Yucca Street et Sunset Boulevard.
 Chaque star se voit dédier une dalle carrée d'environ 80 cm de côté insérée
dans le trottoir. Fabriquée dans un matériau à base de ciment imitant le
marbre, chaque dalle présente, sur fond anthracite, une étoile rose à cinq
branches au contour en laiton gravée du nom de la célébrité. Sous cette
inscription, un emblème, lui aussi en laiton rappelle la catégorie dans
laquelle la star s'est distinguée.
 Histoire

 Créé en 1958, le « Walk of Fame » est un hommage aux différents acteurs du


« show business ». Au début, certaines célébrités ont reçu plusieurs étoiles
pour récompenser leurs contributions dans différents domaines.
Aujourd'hui, on a plutôt tendance à récompenser de nouvelles personnes et
peu de stars reçoivent plus d'une étoile. En 1978, la ville de Los Angeles a
déclaré le « Walk of Fame » monument historique.
 À l'origine, le « Walk of Fame » comprenait 2 500 étoiles vides. 1 558 étoiles
ont été décernées durant les seize premiers mois. Depuis, elles sont
attribuées au rythme d'environ deux étoiles par mois. En 1994, plus de 2 000
étoiles avaient été attribuées, pour arriver en 2009 à près de 2 400. La
localisation d'une étoile donnée n'est pas forcément définitive, certaines
étant parfois déplacées pour divers motifs, notamment en raison de
nouvelles constructions.
 L'attribution d'une étoile donne lieu à une cérémonie d'« intronisation » qui
se déroule dans les cinq ans à suivre sur le lieu même où l'étoile dédiée est
placée ; l'impétrant se voit remettre en souvenir un cadre représentant son
étoile dédicacée.
 La Rambla (mot d'origine catalane, lui-même dérivé du mot arabe « raml »
signifiant « sable »[1]) est une avenue emblématique de Barcelone qui relie la
Place de Catalogne, centre névralgique de la ville, au vieux port où se dresse
la colonne de Christophe Colomb.
 Description
 L'avenue se compose d'une voie piétonne centrale bordée par deux voies
carrossables de sens inverses. L'ensemble mesure en moyenne 35 m de large
sur 1,7 km de long.
 La promenade est particulièrement fréquentée, aussi bien le jour que la nuit.
Elle est jalonnée de petits kiosques de presse, de marchands de fleurs,
d'oiseaux et d'animaux, de bars et restaurants, de mimes, de commerces et
de vendeurs ambulants, le plus souvent d'origine indo-pakistanaise[2]. On y
trouve plusieurs immeubles d'intérêt comme le palais de la vice-reine, le
marché couvert de la Boqueria, l'ancienne maison Figueres et célèbre théâtre
du Liceu qui sert d'opéra à la ville.
 Au bout de l'avenue de la Rambla, Il y a un grand magasin de vêtements
de luxe, El Corte Inglés. Les rues avoisinantes sont représentatives du
quartier telles que la rue Ferran et la plaça Reial. Un peu plus loin se
trouve la place Sant Jaume, cœur politique de la ville. La Rambla compte
un grand nombre de cafés et de restaurants. C'est le lieu de réunion le
dimanche de collectionneurs de timbres et de monnaies et un des
principaux lieux touristiques de la ville.
 Histoire
 La Rambla est construite sur le lit de l'ancien ruisseau d'en Malla. Des
murailles et plusieurs couvents furent construits le long de ce ruisseau[3], qui
fut dévié en plusieurs étapes[4]. En 1704, les murailles furent remplacées par
des maisons autour du marché de La Boqueria[3]. La majeure partie des
couvents disparut lors des incendies volontaires de 1835. Sur l'espace libéré,
des édifices actuels ont été construits, tels que le Liceu. Les platanes ont été
plantés à partir de 1859. La fontaine des canaletes fut inaugurée en 1860. La
vente de fleurs traditionnelle a commencé au milieu du XIXe siècle.
 Les origines de Wall Street
 L’histoire de Wall Street remonte au XVIIe siècle, à l’époque où la
future ville de New York appartenait à l’empire colonial néerlandais
d’Amérique. La ville s’appelait alors « La Nouvelle Amsterdam »
(principalement établie sur l'île de Manhattan), et la colonie était
baptisée « Nouvelle-Néerlande ». Bien que le nom « Wall street »
(signifiant « rue du mur » en anglais) tienne de l’existence d’un seul et
même mur, à la place de la rue actuelle, les plans de la Nouvelle
Amsterdam montrent deux noms différents pour cette rue. Quoi qu’il
en soit, « De Waal Straat » (nom néerlandais) ne se rapporte pas à un
mur, mais à un important groupe de colons qui participèrent à la
création de la Nouvelle Amsterdam : des Wallons francophones,
puisque étymologiquement, en néerlandais, un Wallon se dit
« Waal ». En effet, vers 1630, la population totale de Nouvelle-
Néerlande était de 300 personnes, dont une grande majorité de
Wallons. Environ 270 personnes vivaient autour du Fort Amsterdam
chargé de protéger la nouvelle ville, exerçant pour la plupart le
métier de fermier.
 Durant le XVIIe siècle, Wall Street forma la frontière nord de la Nouvelle
Amsterdam. Dans les années 1640, de simples piquets et des planches
désignaient parcelles et residences dans la colonie. Plus tard, sur ordre de la
Compagnie néerlandaise des Indes occidentales, avec l’aide d’esclaves venus
d'Afrique noire, les Néerlandais bâtirent une palissade plus solide. À cette
époque, la deuxième Guerre anglo-néerlandaise faisait rage, un mur de
quatre mètres de haut fut créé en 1653.
 Lorsque les Britanniques prirent la possession de la Nouvelle-Néerlande en
1664, qu’ils rebaptisèrent New York — en l’honneur du Duc d’York, frère du
roi Charles II — le mur fut consolidé, de manière à assurer la défense de la
ville contre les assauts des différentes tribus indiennes. La Nouvelle
Amsterdam devint « New York » (« la nouvelle York »). Le mur fut finalement
démantelé en 1699. Malgré le fait que le nom original faisait référence aux
Wallons qui avaient contribué à la création de la ville de New York, « Wall
Street » fut repris en mémoire du mur érigé à cet endroit autrefois (« wall »
signifiant « mur » en anglais).
 À la fin du XVIIIe siècle, on trouvait un platane d'Occident (« buttowood tree »
en anglais) situé à l'emplacement de l'actuel numéro 68 de la rue, sous lequel
traders et spéculateurs se rassemblaient pour commercer. En 1792, les
traders formalisèrent leur union avec l’« accord de Buttonwood » (« accord
du platane »), en souvenir de cet arbre sous lequel ils avaient commencé leur
échanges. Cet acte signa la naissance officielle de la bourse de Wall Street
sous son nom actuel : le NYSE.
 C'est la promotion des actions industrielles par Charles Dow et Eddie Jones,
à partir de 1882, qui est à l'origine de la croissance du marché boursier
américain jusque-là essentiellement réservé aux actions des banques et des
chemins de fer.
 En 1889, le journal originel de la bourse de New York, Customers' Afternoon
Letter (« Lettre de l’après-midi des clients » littéralement) devient le Wall
Street Journal, en référence au nom de la rue actuelle. Ce média de la presse
écrite, publié dans la ville de New York, existe toujours et possède une
grande influence dans le monde des quotidiens économiques. Il fut pendant
longtemps le journal le plus lu des États-Unis d’Amérique, bien que
désormais second après USA Today. Il appartient au Dow Jones and
Company.
 Oxford Street est une célèbre avenue du centre de Londres. Longue
d'environ 2,5 km, elle est bordée par 300 magasins, ce qui fait d'elle l'avenue
commerçante la plus longue au monde.
 Elle commence à Marble Arch, au nord-est de Hyde Park, traverse Oxford
Circus jusqu'à St Giles' Circus, à l'intersection entre Charing Cross Road et
Tottenham Court Road. L'avenue devient ensuite New Oxford Street, avant
d'aboutir à High Holborn. À l'ouest, au-delà de Marble Arch, Oxford Street est
prolongée par Bayswater Road.
 Oxford Street croise d'autres avenues réputées de Londres, dont Park Lane,
New Bond Street et Regent Street. Dans cette rue, une statue de l'amiral
Horatio Nelson est placée dans un bâtiment avec une façade grise.
 La Via Dolorosa (en français : « Chemin de la Souffrance ») est une rue de la
Vieille Ville de Jérusalem. Selon la tradition religieuse, elle est le chemin que
Jésus a emprunté avant sa crucifixion. Ce chemin s'étend sur environ 500
mètres[1] et est marqué par neuf des quatorze Stations du chemin de Croix.
Les cinq dernières stations sont à l'intérieur de l'église du Saint-Sépulcre. Il
s'agit d'un lieu de pèlerinage très important pour les Chrétiens.
 Le chemin traditionnel
 Le parcours traditionnel débute juste à l'intérieur de la Porte des Lions
(Porte saint Étienne), à l'École primaire Umariya, près du lieu où se trouvait
l'ancienne forteresse Antonia et s'oriente vers l'ouest par la Vieille Ville
jusqu'à l'Église du Saint-Sépulcre. Ce parcours tire son origine d'une
procession organisée par les Franciscains au XIVe siècle.
 Même si certaines rues de Jérusalem sont signalées en anglais, en hébreu et
en arabe sur les différents panneaux, on peut trouver aussi indiqué sur le
mur l'inscription Via Dolorosa.
 Les stations du Chemin de Croix
 Station I
 La Première Station se trouve près du Monastère de la Flagellation, où Jésus
a été interrogé par Pilate puis condamné par la suite (Jean XIX 1-2-3)
19.1 Alors Pilate prit Jésus, et le fit battre de verges.
19.2 Les soldats tressèrent une couronne d'épines qu'ils posèrent sur sa tête, et
ils le revêtirent d'un manteau de pourpre; puis, s'approchant de lui,
19.3 ils disaient: Salut, roi des Juifs! Et ils lui donnaient des soufflets.
La chapelle de la Flagellation fut construite dans les années 1920 sur le site
d'un édifice érigé au Moyen Âge par les Croisés. Elle est maintenant
administrée par les franciscains. C'est de ce lieu, que tous les vendredis
partent traditionnellement les processions. L'église possède des vitraux
remarquables représentant le Christ flagellé sur la Colonne, Pilate se "lavant
les Mains" et libérant Barabbas. Au-dessus du maître-autel, à l'intérieur de la
coupole centrale, se trouve une mosaïque en or où on peut voir la Couronne
d'Épines percée par les Étoiles.
 Station II
 La Deuxième Station est proche des vestiges d'une ancienne construction
romaine connue aujourd'hui sous le nom d'Arche Ecce Homo, en mémoire des
mots prononcés par Pilate lorsqu'il montra Jésus à la foule. Cette porte
triomphale située sur le côté oriental de la ville à l'époque fut érigée sous
Hadrien en 135 ap. J.-C. célébrait la prise de Jérusalem. Seule une partie de
cet édifice est visible aujourd'hui. La partie gauche de l'arc qui n'existe plus,
faisait partie autrefois d'un monastère derviche islamique ; La partie droite
de l'arc de triomphe est toujours conservée et se trouve aujourd'hui à
l'intérieur de l'Église des Sœurs de Sion. Cette église fut construite durant la
deuxième moitié du siècle dernier sur les vestiges de ruines anciennes,
comme l'arc de triomphe romain pré-cité, une partie des fortifications et de
la cour de la forteresse Antonia et les vestiges remarquables des pavés de la
rue datant de l'antiquité romaine, appelés aussi Lithostratus. Sur certaines
pierres on peut remarquer des traces anciennes de jeu de dés, ce qui
confirme l'hypothèse selon laquelle il s'agissait du lieu où les soldats
romains jouaient pour gagner les vêtements de Jésus. Il faut enfin faire
mention de la Piscine de Struthion, un ancien réservoir d'eau datant du
IIe siècle av. J.-C., plus tard couvert par l'Empereur Hadrien.
 Station III
 La Troisième Station commémore la première chute de Christ sur le Via
Dolorosa. L'endroit est marqué par une petite chapelle appartenant au
patriarcat arménien catholique de Jérusalem. Sa reconstruction fut effectuée
au XIXe siècle et ce sont les soldats Catholiques de l'Armée Polonaise qui
achevèrent les travaux de rénovation durant la Seconde Guerre mondiale.
 Station IV
 Il s'agit d'une église dédiée à Notre-Dame du Spasme afin d'y commémorer la
rencontre de Marie et de son Fils portant la Croix. Si la tradition d'une halte
en ce lieu est institutionnalisée depuis le XIIIe siècle siècle, elle est
certainement plus ancienne dans la mesure où il existe des preuves
indiscutables d'une église byzantine.
 Les excavations nécessitées par la construction de l'église arménienne
actuelle, ont mis au jour les restes d’un pavé byzantin en mosaïque du
VIe siècle ou probablement du VIIe siècle siècle, ce qui permet d'asseoir
solidement la tradition. Ce petit oratoire est surmonté d'un panneau entouré
de frises (sculptées par l'artiste polonais Zieliensky) représentant deux
semelles de sandales et symbolisant le lieu de la rencontre.
 Station V
 Une inscription sur l'architrave d'une porte (Simoni Cyrenaeo Crux
Imponitur) commémore la rencontre entre Jésus et Simon de Cyrène, à qui
on a confié la charge de porter la lourde Croix du Christ au Golgotha (le
Calvaire), le lieu de la Crucifixion. Mis à part Jean, cet épisode est
confirmé par les Évangiles.
 Station VI
 L'église Sainte Véronique
 Une église appartenant aux Catholiques grecs préserve la mémoire de la
rencontre entre Jésus et Véronique, dont on peut aussi voir le tombeau. C'est
à l'occasion de cette sainte rencontre que Véronique essuya la face du Christ
avec un voile de soie et sur lequel se seraient imprimés les traits de son
visage. Cette sainte relique serait gardée, depuis le huitième siècle dans la
Basilique Saint-Pierre de Rome.
 Station VII
 Le lieu de la deuxième chute de Jésus est marqué par une colonne, située au
croisement de le Via Dolorosa et de la pittoresque et vivante rue du Marché.
 Station VIII
 Sur le mur extérieur d'un monastère Orthodoxe grec est sculpté une petite
croix noircie par le temps. C'était en ce lieu que Jésus rencontra les femmes
pieuses. Ces femmes l’avaient suivi, en pleurant, sur le chemin du Calvaire.
Cet épisode est raconté dans l'Évangile selon saint Luc au début du chapitre
(Luc 23-27-28).
 Station IX
 La troisième chute de Jésus est commémorée par une colonne de l'ère
romaine à l'entrée d'un monastère copte.
 L’avenue des Champs-Élysées (ou simplement les Champs-Élysées, parfois
même les Champs) est une grande et célèbre avenue de Paris. Elle est
considérée par beaucoup[1] comme la plus belle avenue de la capitale[2], et,
selon une expression couramment utilisée en France et principalement par
les Parisiens, comme la plus belle avenue du monde[3]. Elle tire son nom des
champs Élysées, le lieu des Enfers où séjournaient les âmes vertueuses dans
la mythologie grecque. C'est aussi un des principaux lieux touristiques de la
capitale.
 Description
 L'avenue des Champs-Élysées est située dans le 8e arrondissement de Paris,
au nord-ouest de la ville. Elle s'étend sur 1 910 mètres, d'est en ouest, reliant
la place de la Concorde, où se dresse l'Obélisque, et la place Charles-de-
Gaulle (ancienne place de l'Étoile), située au sommet de la butte de Chaillot
(ce qui explique le dénivelé entre les deux extrémités), au centre de laquelle
se trouve l’arc de triomphe de l'Étoile.
 Sa largeur est de 70 mètres (30 mètres sont occupés par une 2x4 voies,
tandis que le reste accueille deux trottoirs de 20 mètres chacun).
 Son tracé rectiligne offre une longue perspective née du palais du Louvre,
dans laquelle s'alignent la statue équestre de Louis XIV dans la cour
Napoléon du Louvre, l'arc de triomphe du Carrousel, le jardin des Tuileries,
l'Obélisque, l'arc de triomphe de l'Étoile, et plus loin à l'ouest, en dehors de
Paris, l'arche de la Défense. Il s'agit de l'axe historique de l'ouest parisien.
 Dans sa partie inférieure, à l'est du Rond-point des Champs-Élysées-Marcel-
Dassault, l'avenue est bordée par des contre-allées (baptisée « Promenade
des Champs-Élysées ») longeant les jardins des Champs-Élysées que l'avenue
traverse ainsi sur toutes leurs longueurs (soit 700 mètres).
 Histoire
 À l'origine, les Champs-Élysées ne sont que des terrains marécageux et
inhabités. En 1616, Marie de Médicis décide d'y faire aménager, le long de la
Seine, une longue allée bordée d'arbres : le cours la Reine.
 Louis XIV, vers 1670, charge André Le Nôtre, le paysagiste du château de
Versailles et, à Paris, du jardin des Tuileries, de poursuivre l'aménagement
de ces terrains. Celui-ci trace dans l'axe du pavillon central du Palais des
Tuileries, depuis l'actuelle place de la Concorde jusqu'à l'actuel rond-point
des Champs-Élysées-Marcel-Dassault, en direction de la montagne du Roule
– qui se situait à l'emplacement de l'actuelle place de l'Étoile – une belle
avenue bordée de terrains où sont aménagés des allées d'ormes et des tapis
de gazon. On l'appelle le Grand-Cours pour la distinguer du cours la Reine, ou
encore la Grande allée du Roule, l’avenue du Palais des Tuileries (1680) et
bientôt les Champs-Élysées.

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