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CM Ecue Normes PPT Master 1
CM Ecue Normes PPT Master 1
ECUE :
REFERENTIELS ET NORMES
INTERNATIONALES
PLAN
Introduction
I. HISTORIQUE
2. ISO 15189
2. AUTRES REFERENTIELS
Conclusion 2
Introduction
Pourquoi avoir quelques notions sur les normes? Exples pratiques
• Une carte bancaire est utilisable pratiquement partout dans le monde. N’est-ce
pas extraordinaire?
• Vous pouvez regarder n'importe quelle vidéo (MPEG) téléchargée sur le Web
sur n'importe quel ordinateur à disposition. Très pratique…
• Les jouets pour bébé n'ont jamais d’angles pointus. Sécurité oblige...
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Introduction
6
Introduction (fin)
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I. HISTORIQUE
La norme traditionnellement considérée comme un
mode d’expression de la souveraineté d’un état.
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I. HISTORIQUE
Historiquement, la notion de norme établit dans les
sciences sous la forme du système métrique sur
proposition de l’Assemblée nationale
constituante en 1790, remplacée par le système
MKSA (Mètre-Kilogramme-Seconde-Ampère) en
1946 et plus récemment par le Système
international (SI ou UI) en 1960.
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I. HISTORIQUE
Dans sa présentation de la norme, l’ISO évoque
deux dates :
1906 = mise en place de la Commission
Electrotechnique Internationale (CEI) et
1926 = création Fédération internationale
associations nationales de normalisation
(FIAN/ISA, AFNOR).
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I. HISTORIQUE
- la signature en 1865 (01/03 au 17/05) de la
première Convention télégraphique
internationale et la création de l’Union du
même nom, permit dès cette année la mise en
œuvre d’un Règlement télégraphique puis, à
partir de 1885, l’élaboration d’une législation
internationale dans le domaine de la téléphonie
et, plus tard, des communications
radiotélégraphiques, de la radiodiffusion, des
télécommunications spatiales.
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I. HISTORIQUE
De même, l’exemple d’un produit nécessitant la mise en
matière de normes.
14
I. HISTORIQUE
Après la 2è guerre mondiale, le processus
d'élaboration des normes s'est
considérablement développé dans
l’industrie, l’économie et les systèmes
d’information. En fait, le terme de
normalisation évoquait le plus souvent
la NORMALISATION dans L’INDUSTRIE
et les SERVICES.
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I. HISTORIQUE
En raison de son influence déterminante sur
les économies contemporaines, la
normalisation vue sous cet angle est
devenue un instrument commercial pour
étendre l'influence d'une puissance
économique, en utilisant des techniques
de LOBBYING et les réseaux d’ONG par
exemple (Relations internationales : la
question de l’hégémonie appliquée à la
norme). 16
I. HISTORIQUE
Ainsi, en économie et gestion, la théorie de la
Tétranormalisation qui étudie les
dysfonctionnements créés par les conflits
normatifs dans les organisations, leurs
causes et les moyens pour les dépasser est
apparue.
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I. HISTORIQUE
Extension aux sciences humaines
Même si la recherche implicite d'une certaine
normalisation était déjà ancienne, en Europe
par exemple, en ce qui concerne les règles sur
la langue française (grammaire française), la
notion de norme s'est élargie pour englober
les sciences humaines.
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I. HISTORIQUE
Extension aux sciences humaines
Vers le milieu du XXe siècle, la
normalisation a touché le domaine
juridique avec la notion de hiérarchie des
normes. On constate d'autre part que la
normalisation concerne aussi les domaines
culturels et linguistiques, comme on peut
le constater avec le patrimoine culturel et
les questions sémantiques sous-jacentes. 19
I. HISTORIQUE
Approches respectives États-Unis / Europe
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I. HISTORIQUE
Approches respectives États-Unis / Europe
Elle consiste à définir des communautés
d’intérêt, puis à en déduire les standards et
enfin à définir les services d’entreprises
adéquats. Cette démarche structurée,
appuyée par un ensemble d'organismes le
plus souvent privés (W3C) permet aux États-
Unis d'acquérir une certaine domination par
la connaissance.
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I. HISTORIQUE
L'attention portée au sujet de la normalisation en
Europe est à la fois différente et plus récente.
Tout d'abord, les Européens font la distinction
entre un standard (qui n'est pas nécessairement
une norme mais peut le devenir) et une norme
(qui a fait l'objet d'un processus officiel à l’ISO).
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II. DEFINITIONS ET
TERMINOLOGIES
….
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
Norme
• Une norme, du latin Norma « équerre, règle »,
désigne un état habituellement répandu, moyen,
considéré le plus souvent comme une règle à
suivre. Ce terme générique désigne un ensemble
de caractéristiques décrivant un objet, un être,
qui peut être virtuel ou non. 24
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
Norme
• L'ISO (et sa partenaire la CEI) donnent la définition suivante :
« Document établi par consensus et approuvé par un
organisme reconnu (national, régional ou international), qui
fournit, pour des usages communs et répétés, des règles,
des lignes directrices ou des caractéristiques, pour des
activités ou leurs résultats garantissant un niveau d'ordre
optimal dans un contexte donné ».
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
Norme (fin)
• L’organisme reconnu étant un organisme ayant autorité
pour établir les normes soit au niveau national
(CODINORM, SON, SABS, AFNOR, etc.), au niveau
régional ou à l’échelle mondiale (ORAN/ARSO, COPANT,
CEN, ISO, etc.).
• Une norme est le résultat d'un consensus élaboré par
un processus dit de normalisation. 26
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
Référentiel
• Un référentiel, c'est un ensemble de bases de
données contenant les « références » d'un
système d'information. Un référentiel clair,
logique et précis est un des gages de bonne
interopérabilité d'un système d'information.
• Une norme industrielle est un référentiel publié
par un organisme de normalisation comme par
exemple AFNOR, CEN, ISO.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
Standard
Le Standard est une norme de fabrication.
Critère
Le critère est un caractère, un principe, un élément
auquel on se réfère pour juger, apprécier ou définir
quelque chose. C’est une caractéristique observable
ou mesurable (dureté, dimension, luminosité, masse,
coût, etc…) qui permet de porter un jugement sur
une fonction ou une contrainte.
Le critère est ce qui sert de base à un jugement 28
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Qualité
• Le terme tire ses origines de la philosophie. Selon
Lalande, le mot qualité vient de « Qualis » qui
signifie manière d’être qui peut être affirmée ou
niée par un sujet. La qualité est une perception de
l'esprit, des aspects sensibles de quelque chose, du
jugement positif ou négatif, de la valeur ou de la
perfection. 29
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Qualité
• Selon Aristote, c’est : « ce en vertu de quoi on est dit
être tel » ; ainsi, la qualité est une caractéristique
propre à quelqu’un ou quelque chose.
• L’ISO 9000-2005, définit la qualité comme l’aptitude
d’un ensemble de caractéristiques intrinsèques à
satisfaire des exigences.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Management
• Le management est le pilotage de l'action
collective au sein d'une organisation (le coaching
d’une entreprise, d’un groupe). Il comprend
l'ensemble des techniques mises en œuvre dans
une organisation afin qu'elle atteigne ses
objectifs.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Management
• Le management est la mise en œuvre des
moyens humains et matériels d'une entreprise
pour atteindre ses objectifs.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Conformité
• C’est la satisfaction d’une exigence
Non-conformité
• C’est la non-satisfaction d’une exigence
Certification
• Procédure qui permet de garantir la validité,
l’authenticité (de certifier) de la qualité des
produits et des services ou d'enregistrer des
systèmes de management chez un certificateur 33
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Accréditation
• L’accréditation est une reconnaissance
par un organisme tiers de la compétence
d’une organisation dans un domaine
donné. L’accréditation peut être une
démarche volontaire, pour mettre en
valeur sa compétence ou une obligation
dans le cadre de certaine réglementation.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Accréditation
• L’accréditation est une reconnaissance par un organisme tiers de la
compétence d’une organisation dans un domaine donné. L’accréditation
peut être une démarche volontaire, pour mettre en valeur sa
compétence ou une obligation dans le cadre de certaine réglementation.
• La norme ISO/CEI 17000 définit l’accréditation comme une « Attestation
délivrée par une tierce partie, ayant rapport à un organisme d’évaluation
de la conformité, constituant une reconnaissance formelle de la
compétence de ce dernier à réaliser des activités spécifiques d’évaluation
de la conformité ».
• Cela se traduit par un contrôle de second niveau s’exerçant sur les
laboratoires, les organismes d’inspection et les organismes certificateurs
afin d’attester de leur compétence pour réaliser des étalonnages, des
essais ou des inspections ou pour certifier des produits, des systèmes ou
des personnes. 35
I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(fin)
ISO
L'ISO = Organisation internationale de normalisation
ou ISO (International Standards Organization) est un
organisme de normalisation international composé
de représentants d'organisations nationales de
normalisation de 163 pays.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Tétranormalisation
La tétranormalisation est une théorie créée en 2002
par Henri Savall et Véronique Zardet, qui a pour
objectif d’intégrer des normes qui sont disparates
(normes commerciales, normes financières, normes
sociales et normes environnementales), ce qui laisse
supposer une dimension éthique.
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Les quatre ailes de la Tétranormalisation
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(suite)
Hiérarchie des normes(Hans Kelsen)
- Selon le fondateur de hiérarchie des normes Hans
Kelsen, « L’ordre juridique n’est pas un système de
normes juridiques placées toutes au même rang,
mais un édifice à plusieurs étages superposés, une
pyramide d’un certain nombre d’étages ou couches
de normes juridiques. »
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I. DEFINITIONS ET TERMINOLOGIES
(fin)
Hiérarchie des normes(Hans Kelsen)
- une norme inférieure doit se soumettre à la norme
qui lui est supérieure,
…
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III. NORMES ET AUTRES REFERNTIELS
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III.1. NORMES
Organismes de normalisation:
- Chaque pays a son organisme national de
normalisation (CODINORM, ABNORM, AGANOR,
ASN, EOS, SABS, SON, AFNOR, DIN, BSI, ANSI, SCC)
- Aux niveaux sous régional et international
(ARSO/ORAN, CEN, COPANT, ISO).
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III.1. NORMES
Organismes de normalisation:
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III.1. NORMES
- Ces trois organisations ont chacune un partenariat stratégique avec
l'Organisation mondiale du commerce (OMC) afin de promouvoir un
système commercial global libre et équitable
- L'ISO coopère étroitement avec la plupart des institutions
spécialisées (codex alimentarius, …) et des organes des Nations Unies
- En plus des ONN et ORN, près de six cent organisations spécialisées
représentant les secteurs du commerce ou les secteurs
réglementaires, ainsi que d'autres groupes de parties prenantes, dont
les consommateurs, participent à l'élaboration des normes ISO
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III.1. NORMES
Sept étapes :
2) Programmation collective
5/ Validation du texte
7/ Utilisation et suivi
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III.1. NORMES
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III.1. NORMES
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III.1. NORMES
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III.1. NORMES
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III.1. NORMES
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Conclusion
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