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La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !
La nuit du petit oiseau.
Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

La nuit du petit oiseau.

Perché sur une petite branche, le petit oiseau crut pouvoir dormir sans crainte, la tête
ensevelie sous ses plumes, quand, à la lueur d'une étoile, il vit se glisser dans les arbres
la chouette silencieuse.
La fouine était venue du fond de la vallée, l'hermine était descendue du rocher, la martre
des sapins avait quitté son nid, le renard rôdait dans les broussailles. Qu'elles furent
longues, ces heures où, n'osant bouger, il n'eut pour protection que les longues feuilles
qui le cachaient ! Quelle fut sa joie, au lever du soleil, de pouvoir s'élancer à tire-d'aile,
protégé, défendu par la lumière !

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