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SOHO SOLO
n°31

Avril 2010
Revue de presse
Net-entreprises.fr et les déclarations en ligne des
entreprises – Source : Creation-entreprise.fr - Publié le 19 mars 2010 par Antoine
Haut-Muet
Les entreprises s’acquittent de plus en plus de leurs obligations déclaratives sur la toile. En témoigne les
excellents chiffres d’activité dévoilés par Net-entreprises.fr, le site officiel des déclarations sociales.
Pour leurs déclarations sociales, les entreprises ont de plus en plus le réflexe des procédures en ligne.
Financé par les organismes de protection sociale, le site officiel Net-entreprises.fr, qui présente une longue
liste d’organismes affiliés (Urssaf, pôle emploi, assurance maladie, RSI, AGIRC, ARRCO…), vient d’annoncer
que l’engouement des entreprises pour le service qu’il propose « confirme sa position de leader de sites
publics à destination des entreprises »
Gratuit, le site compte 1,72 millions d’entreprises inscrites. C’est 28,5% de plus qu’il y a deux ans. Le
portail permet aux entreprises, peu importe leur taille et leur statut, de s’acquitter en ligne d’une vingtaine
de procédures. Il a permis 14,3 millions de télédéclarations en 2009 et indique déjà envisager que ce
chiffre soit « largement dépassé en 2010 ».
Il faut dire que le premier trimestre a été ponctué de plusieurs bonnes nouvelles :
- Net-entreprises.fr a enregistré 2 millions de fichiers de déclarations annuelles des données sociales
(DADS-U) pour plus d’1,1 million d’entreprises. En d’autres termes, 90% des entreprises concernées par
cette formalité sont passées par le site pour satisfaire à leur obligation de déclaration. Entreprises
individuelles sans salarié et exploitants agricoles n’y sont pas soumis.
- 1,75 millions de déclarations unifiées de cotisations sociales (DUCS) ont également été réalisées, et la
plupart également téléréglées par l’intermédiaire du site. C’est 2,5 fois plus qu’il y a 2 ans !
Pas étonnant que le site batte tous ses records de fréquentation. Rien que pour le mois de janvier, Net-
entreprises.fr a enregistré 3,3 millions de visites !
Création d’entreprise : les clés du succès
Rédaction de NetPME - Nathalie Lepetz – Mars 2010
Quels sont les facteurs qui expliquent qu'une entreprise réussit ou échoue dans les cinq ans suivants sa
création ? Un étude de l'Insee montre que des éléments comme le choix du secteur d’activité, l’investissement
initial, l’expérience professionnelle ou encore les diplômes du créateur ont leur rôle.
Une entreprise sur deux est toujours en activité cinq ans après sa création. C’est ce que révèle une étude de
l’Insee publiée en janvier dernier. Menée auprès de 215.000 entreprises créées en 2002, l’étude montre que
52 % d’entre elles existaient toujours en 2007. Avec un zoom sur les éléments qui peuvent faire la différence.
Les entreprises du commerce sont moins pérennes
En 2002, une entreprise sur quatre était issue du commerce. Mais, quelles que soient les caractéristiques des
projets, les entreprises de ce secteur sont les moins pérennes : seuls 46 % des commerces étaient toujours en
activité en 2007. À l’inverse, cinq ans après leur création, 62 % des entreprises de transport étaient toujours
actives. Les services aux entreprises se prêtent également bien à la création d’entreprises : en 2002, plus
d’une entreprise sur cinq s’était créée dans ce secteur et 49 % d’entre elles étaient toujours en activité cinq
ans après.
Investissement initial et choix de la forme juridique, facteurs de réussite
Plus le créateur investit initialement (installation dans les locaux, achat de matériel, constitution de stocks…),
plus l’entreprise est pérenne. Ainsi, les entreprises créées avec au moins 80.000 euros d’investissement sont
1,7 fois plus souvent actives en 2007 que celles créées avec moins de 2000 euros. Dans la réalité, 21 % des
entreprises démarrent avec moins de 2000 euros, et seulement 14 % avec au moins 40.000 euros.
Le choix de la forme juridique apparaît aussi comme un facteur déterminant dans l’avenir de l’entreprise. Les
sociétés se maintiennent plus longtemps que les entreprises individuelles : 59 % des sociétés sont toujours
actives cinq ans après leur création contre 47 % des entreprises individuelles. Les sociétés ont 2,6 fois plus de
chances de franchir le cap de la première année.
Les principaux atouts du créateur
Selon l’étude de l’Insee, l’expérience professionnelle et le diplôme sont les critères les plus déterminants. Plus
de huit entrepreneurs sur dix avaient une expérience professionnelle avant la création de leur entreprise. Le
plus souvent, cette expérience a permis d’acquérir des compétences dans une activité identique à celle de
l’entreprise créée. Plus la période d’acquisition de ces compétences a été longue, plus les chances de pérennité
de l’entreprise sont importantes.
Ainsi, en 2007, 60 % des entreprises sont toujours actives lorsque le créateur a exercé pendant au moins
dix ans un métier proche de l’activité de l’entreprise, contre 51 % de celles dont le métier du créateur était
différent et 48 % quand il était sans expérience professionnelle.
En outre, plus le diplôme du créateur est élevé, plus ses chances de réussite sont importantes. Ainsi,
parmi les entrepreneurs diplômés de l’enseignement supérieur (32 % des créateurs), près de six sur dix
franchissent le cap des cinq ans.
L'âge et le sexe en question
Parmi les créateurs, 20 % ont moins de 30 ans. Ces jeunes entrepreneurs ont moins d’expérience
professionnelle que les autres et les entreprises qu’ils créent sont, en moyenne, les moins pérennes : 46
% sont toujours actives en 2007, contre 54 % de celles créées par les personnes âgées de 30 à moins de
50 ans. Les femmes ne représentent que 27 % des créateurs, et leurs entreprises apparaissent, en
moyenne, moins pérennes : en 2007, 49 % des entreprises créées par les femmes sont toujours actives,
contre 53 % de celles créées par les hommes.
Les moyens financiers investis, l’expérience professionnelle, le diplôme… n’expliquent pas entièrement ces
moins bons résultats. Des éléments extérieurs à l’entreprise, comme par exemple la compatibilité entre vie
familiale et vie professionnelle peuvent jouer un rôle dans cette différence.
Développer rapidement le chiffre d’affaires et l’emploi
Trois ans après la création, plus le chiffre d’affaires de l’entreprise est élevé, plus les chances de pérennité
à cinq ans sont grandes. En effet, les entreprises dont le chiffre d’affaires était supérieur à 300.000 euros
en 2005 sont 3,2 fois plus souvent actives en 2007 que celles dont le chiffre d’affaires était inférieur à
15.000 euros.
Au-delà du montant, c’est l’évolution du chiffre d’affaires au cours des trois premières années qui influe
sur la poursuite des activités. L’entreprise doit se développer rapidement. Ainsi, celles dont le chiffre
d’affaires a augmenté entre 2002 et 2005 ont 1,2 fois plus de chances d’être actives en 2007 que celles
dont le chiffre d’affaires est resté stable ou a diminué.
Le développement de l’entreprise en termes d’emploi est également déterminant. L’embauche dès les trois
premières années d’activité reflète la bonne santé de l’entreprise et, de la part du créateur, une certaine
confiance en l’avenir. Ainsi, les entreprises dont le nombre de salariés a augmenté au cours des trois
premières années franchissent plus souvent le cap des cinq ans que les autres.
Source : "Nouvelles entreprises, cinq ans après : plus d’une sur deux est toujours active en 2007" – INSEE
Première - n° 1274
Les télétravailleurs indépendants doivent-ils faire la
publicité de leur marque et de leur savoir-faire ?
Source : Redaction Wirkers le 23 mars 2010
On voit sans doute trop souvent, le télétravailleur indépendant comme un solitaire ou un petit groupe
d’acteurs, arquebouté sur son marché, ses processus de productions ou de traitement d’informations… et sa
clientèle fidèle…
Si nombre d’entre eux sont sur des segments de marchés très ciblés et localisés, cela n’empêche pas
certains de vouloir prendre des parts de marchés, diversifier leur clientèle, élargir leur assise économique et
financière.
Alors… à l’image des artisans / commerçants locaux doivent-ils rentrer dans le jeu publicitaire… ou rester
dans la visibilité ici et là au gré des référencements d’annuaire professionnel sur le papier ou sur le web ?
Pour éclairer le sujet, quelques rappels sur la situation du marché publicitaire sur le net et sur le
comportement actuel des annonceurs.
-Internet est un media de masse : 30 millions d’internautes en France
-Troisième support publicitaire devant la Radio
-Les annonceurs communiquent moins sur leurs produits que sur leurs marques
-Les annonceurs s’associent avec des sites thématiques pour rechercher davantage d’audience, en insérant
des minis sites sur des expériences utilisateurs, du vécu autour du produit, etc…
-La marque détrône le produit
-Les annonceurs déploient des plates-formes communautaires de contenus pour accroître l’audience.
Qu’en déduire ?
-La plupart des télétravailleurs indépendants, n’ayant pas de marques, il leur faut davantage situer leur
savoir-faire dans un contexte fortement concurrentiel ; puisqu’un client peut fort bien faire appel à un
télétravailleur indépendant situé à l’autre bout de la planète !
-Promouvoir la création de valeur externe pouvant s’opérer autour de leur strict savoir-faire. Cela sous-tend
un vrai décentrement / décalage du discours promotionnel, apte à séduire le client.
-Utiliser sans doute la « flopée » de réseaux sociaux - souvent simplement de mode- ; mais surtout se
positionner sur des sites fortement thématiques… drainant de fait des internautes directement intéressés par
le contact et l’identification de télétravailleurs.
Une lettre de l’Urssaf qui tombe comme un couperet –
Source : Marianne Rey | LEntreprise.com | Mis en ligne le 19/03/2010
Certains auto-entrepreneurs ont reçu, ces derniers jours, une lettre de l’administration leur indiquant qu’ils ne
pouvaient plus bénéficier de ce régime, et qu’il leur fallait basculer sur un statut plus classique. La raison ? Le
dépassement du plafonds de chiffre d’affaires de la micro-entreprise. Mais pas seulement...
L’histoire du type qui signe, sans avoir lu la petite astérisque, en bas du contrat, vous la connaissez ? La
mésaventure est arrivée à certains autoentrepreneurs. Au mois de mars, ils ont reçu une lettre de
l’administration leur indiquant qu’ils ne pouvaient plus bénéficier de ce régime, et qu’il leur fallait basculer
sur un statut plus classique.
La raison ? Le dépassement du plafonds de chiffre d’affaires de la micro-entreprise. Non pas qu’ils aient
réalisé plus de 32 000 euros ou 80 000 euros en 2009. Mais tous s’étaient inscrits au régime en cours
d’année.
Or, le calcul s’effectue au prorata des mois d’activité. Pour une personne s’inscrivant au 1er novembre, à
raison d’une activité de services, le plafond sera ainsi de : (32 100 euros X 61 jours) / 365 jours = 5365
euros. Pour ceux qui apprennent la règle brusquement, la pilule est difficile à avaler.
Surtout lorsque, dans l’ignorance, ils ont continué à facturer sans TVA pendant les premiers mois de 2010.
« La règle était inscrite noir sur blanc sur tous les documents officiels et les sites d’information sérieux! »,
assure François Hurel, président de l’Union des Autoentrepreneurs (UAE). Aujourd’hui peut-être, mais on a
beau chercher, on ne trouve aucune mention dans le premier Guide de l’auto-entrepeneur…
Extrapolations
« Là où le bât blesse vraiment, en revanche, poursuit François Hurel, c’est que certaines Urssaf sont allées
jusqu’à extrapoler le chiffre d’affaires annuel d’autoentrepreneurs qui avaient certes réalisé un gros chiffre
d’affaires en cours d’année, mais rien les mois suivants. Ainsi, quelqu’un qui avait déclaré 20 000 euros sur
un mois, se retrouve avec un chiffre d’affaires annuel de 240 000 euros (20 000 X 12 mois) ! ».
François Hurel est confiant dans le règlement de ces situations abracadabrantesques. Les victimes de la
« proratisation » auront en revanche beaucoup de mal à plaider leur cause. Tous sont en tout cas invités à
se faire connaître auprès de l’UAE. Un conseil : s’inscrire au régime le plus tôt possible dans l’année - même
si l’on n’est pas sûr de se lancer -, pour éviter d’être trop desservi par le système de la proratisation.
Identité numérique… ça laisse des traces ?
Par Yves CHABERT le 25 mars 2010 – Blog NETPME.fr
Entrepreneurs, si vous ne souhaitez pas que l’on parle de vous sur le Net, sans doute vaut-il mieux vous
taire. Mais voilà. Pour une entreprise, vivre cachée, cela pose un sérieux problème car si les gens ne
savent pas ce que vous pouvez faire, pourquoi vous demanderaient-ils de le faire ?
Qui plus est, dans une société de l’information omniprésente, propulsée par le Net, boostée par les outils
nomades, nous laissons des empreintes, qui se diffusent sur les réseaux, rebondissent, s’impriment sur
des serveurs distants, finissent stockées dans des centres de données perdus à peu près n’importe où, et
là, même le « silence » n’y peut rien.
L’entreprise finit par tracer son histoire avec plus ou moins de maîtrise, morceaux choisis ou énoncés à ses
dépends, qu’il s’agisse de ses relations avec ses clients, de sa place dans les chaînes de valeur, de la
confiance ou de la défiance qu’elle peut susciter.
Au final, l’entreprise se construit une identité numérique, faite d’un ensemble de données hétérogènes,
contributions et traces laissées en ligne, volontairement (blog, site institutionnel par exemple), ou
involontairement (ce que les autres disent ou pensent de nous).
Alors je me dis que plutôt que de chercher à « bétonner », ce qui est sans doute la première tentation ou,
pire encore, se planter la tête dans le sable, les entrepreneurs doivent apprendre à se servir de leur(s)
identité(s) numériques pour devenir stratèges de leur existence. Et peut-être bien qu’en s’y prenant
intelligemment, ils y trouveront alors des facteurs réels d’opportunités.
Pour en savoir plus sur ces questions :
-A lire un article détaillé, toujours très actuel de Fred Cavazza : Qu’est-ce que l’identité numérique ?
-A suivre de très près la FING, (Fondation Internet Nouvelle Génération) et la FIDIS, (Future of Identity in
the Information Society).
-Sur Youontheweb.fr, un guide pratique très pratique sur l’identité numérique rédigé par un collectif de
Geek.
-Sur Presse Citron, quelques règles simples préconisées par Eric pour contrôler son image sur Internet.
Travailler dans le Gers
Création - Transmission - reprise d'entreprise

MARDI DE LA CREATION à la CCI du


GERS (Réunions d’information pour
les porteurs de projet et les
créateurs)
Les prochaines sessions se dérouleront les 13
et 20 avril 2010 de 9H à 12H à la CCI du
GERS à Auch
Christine AVRIL - Conseiller d'Entreprise
E-mail : c.avril@gers.cci.fr - Tél : 05 62 61 62 18
Club Soho Solo
09 avril 2010
de 9h30 à 12h
Lombez
Le prochain club Soho Solo aura lieu le 09 avril à 9h30 dans les
locaux de la Communauté de communes du Savès à Lombez.
Thème:
Communiquer en 2010 : utilisation des réseaux sociaux
(Twitter, Facebook..) et lettres de diffusion
Intervenant : Yvan Gapin - société Sid Networks
Adresse :
Communauté de Communes du Savès Avenue Lagailloue
32220 Lombez
Pour confirmer votre présence à cette réunion, merci de contacter :
Franck CAZALAS : Tél : 05 62 60 16 12 ou
Courriel : clubsoho-solo32@gers.cci.fr
Les réunions du club Soho Solo sont ouvertes aux membres du Réseau Soho Solo
ainsi qu'aux porteurs de projet et aux personnes intéressées par les thématiques
abordées; n'hésitez donc pas à diffuser ce message autour de vous.
Vous cherchez une information économique sur le
GERS ?
Ayez le réflexe www.gers.cci.fr et retrouvez toute l’information économique gersoise sur le site
Internet de la CCI.

HEBDOPRESSE : la revue de presse économique gratuite des CCI de Midi-Pyrénées vous propose
chaque semaine, une sélection d'articles de la presse régionale, analysée par les services
économique des CCI de Midi-Pyrénées.
Abonnez vous à l’adresse :
http://www.e-midipyrenees.net/hebdopresse.asp?sX_Menu_selectedID=m2_th138 ou depuis le
site de la CCI du GERS: www.gers.cci.fr (page «S’abonner aux lettres de la CCI »).

CREER-REPRENDRE UNE ENTREPRISE DE COMMERCE OU


SERVICE DANS LE GERS :

Pour consulter des opportunités d’affaires à saisir/reprendre dans le Gers, rendez-


vous sur le site d’ACT Contact : http://www.actcontact.net/

Retrouvez les opportunités de reprise de commerces et/ou d’activités des villages


partenaires de l’action Soho Solo :
http://www.soho-solo-gers.com/fr/travailler/entreprendre-dans-le-gers.php
Culture
Pour obtenir l’agenda culturel du mois d’avril, nous vous invitons à consulter les
sites web suivants : www.sortir32.fr et www.addagers.fr

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